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attraper le temps qui file…
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30 novembre 2012

Un concours chez Linnamorata !

en collaboration avec My little square, avec un superbe lot à gagner, jugez plutôt :

C'est que ça se passe. Vivement le 7 !

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29 novembre 2012

Septième trousse… 

29 novembre1

… pour Alexey, cette fois. J'essaye à chaque fois d'améliorer le modèle et de perfectionner ma technique de montage (Claudie m'a fait remarquer que les longues tirettes au bout de la fermeture-éclair étaient plus pratiques ; vu que ces trousses partent de chez moi aussitôt finies, je n'ai pas le temps de les essayer).

29 novembre3

Aucune difficulté cette fois, pas d'erreur non plus et j'ai réussi à tout surpiquer à la machine (jusque-là, j'avais toujours un petit bout de couture à la main). Si ça intéresse quelqu'un (mettez un commentaire), je peux faire un pas-à-pas la prochaine fois (quelque chose me dit qu'il y aura une prochaine fois…)

29 novembre2

 

28 novembre 2012

première fois… aux urgences

Dans mon enfance, il y a eu probablement plusieurs passages aux urgences, nos chutes de vélo étaient fréquentes et spectaculaires (je me souvins au moins d'une radio de la tête et d'un genou ouvert au point de voir le tendon) mais je n'ai aucun souvenir de l'arrivée à l'hôpital et de l'attente qui a certainement suivi…

En revanche, quand on devient parent, là ça marque un peu plus ! Un passage aux urgences de l'hôpital du Havre pour Paul, qui s'était ouvert la tête sur un radiateur, un autre, plus rigolo, pour Marie : elle avait avalé une pièce de 20 centimes (de francs) qui  lui était restée au travers de la gorge (j'ai conservé la radio), provoquant des vomissements à répétition, mais pas d'étouffement, donc nous y sommes allés tranquillement, on nous attendait, et suite à la radio, l'ORL a récupéré la pièce après une légère anesthésie, suivie d'une nuit passée à l'hôpital, pour vérifier que tout allait bien ; tout le service l'appelait "la tirelire" (oui, nous avons récupéré la pièce !)

Le souvenir le plus traumatisant (en tant que parent) datait de deux mois avant : le dimanche, Marie (18 mois) tombe de la table à langer… pleurs, aucun traumatisme apparent, je me réveille toutes les 3 heures, comme je l'avais appris lors de la chute sur le radiateur sus-mentionnée, pour controler ses pupilles… lundi matin, tout va bien, mais Paul vomit en partant à l'école, je décide donc de le garder au chaud à la maison (Marie est chez sa nourrice, heureusement). Vers 10 heures, j'entends des bruits supects et le vois convulser (j'ai tout de suite su de quoi il s'agissait). J'ai réussi à le porter dans mes bras, à saisir le téléphone, à appeler le 15…  un quart d'heure, le plus long de ma vie… et voici 2 camions de pompiers et l'ambulance du Samu au pied de notre immeuble * … va-et-vient, agitation, oxygène, départ en ambulance pour l'hôpital, toutes sirènes hurlantes. J'ai vécu des heures d'angoisse, à attendre le scanner, l'électro-encéphalogramme, à espérer qu'il allait se réveiller enfin (en fait, il a fait la plus longue sieste de sa vie, tant la crise l'avait épuisé). Une infirmière compatissante m'a apporté un café au lait et une tartine en milieu d'après-midi. Après une nuit éprouvante (père et fils ont un rythme cardiaque de grands sportifs, très bas, mais je n'ai jamais obtenu que l'on désactive l'alarme qui se déclenchait au-dessous de 50 pulsations/minute), mon petit bonhomme est en grande forme. Mais il faut attendre… que le neurologue ait un créneau libre pour le voir, qu'il y ait une place pour un nouvel encéphalogramme. En fin de journée, je craque, Paul ne tient plus en place et j'ai un bébé à la maison ! Nous sortons… Il y a eu, deux semaines plus tard, les signes d'une nouvelle crise d'épilepsie, la neurologue a voulu d'emblée le placer sous traitement lourd, j'ai refusé, souhaitant attendre un peu, soutenue par mon pédiatre…

… il n'a jamais refait de crise !

Et puis il y a deux ans, j'ai connu de nouveau les joies du transfert en ambulance (Waouh, voir toutes les voitures s'écarter devant soi sur une autoroute bondée, c'est impressionnant ! Mais ma fièvre à 40°C, l'urticaire géant et les taches rouges que je voyais apparaître ici et là sur ma peau m'empêchaient un peu de profiter… 6 jours d'hôpital et des dizaines de prises de sang plus tard, eh bien je n'en sais pas plus, un virus non identifié, m'a-t-on dit !

Mais nos urgences "à nous", à moins de 10 km, dans une clinique privée, je ne dirais pas qu'on y va avec joie (un front ouvert, un ongle arraché, un poignet cassé, une violente migraine ne sont pas une partie de plaisir)… mais sans inquiétude, l'odeur même qui y règne me semble rassurante. C'est presque toujours le même médecin qui nous reçoit, il demande des nouvelles, connaît les établissements scolaires, plaisante parfois sur l'accident qui nous amène là. On sait qu'on va y passer une heure ou deux, rarement plus, et qu'à la sortie, on sera soigné, soulagé, rassuré… et pour les petites urgences médicales, la maison médicale de garde, parce qu'on ne va pas encombrer la salle d'attente de la clinique pour une angine un dimanche ! J'ai conscience de la chance que nous avons, tous ne sont pas si bien lotis.

D'autres premières aux urgences chez Anne (avec photos)

 

* les pompiers viennent de passer pour leurs étrennes, ils sont toujours bien reçus chez nous (juste qu'ils ne comprennent pas que je refuse de prendre leur calendrier, l'année dernière, j'ai voulu leur donner un calendrier scout en échange…)

23 novembre 2012

Première lettre au Père Noël

Comme Anne, ce doit être la première lettre que je lui écris, car je n'ai aucun souvenir d'avoir cru au Père Noël, en fait… petite, les cadeaux m'étaient envoyés par le Petit Jésus (eh oui, direct ! Il était bien gentil d'offrir des cadeaux aux enfants pour son anniversaire à lui) et puis un jour, en furetant, je suis tombée sur les cadeaux qui devaient nous être expédiés quelques jours plus tard par les cloches de Pâques… surprise ! grande explication avec Maman… et me voilà dans le secret. Nous habitions encore dans notre premier appartement, je n'avais donc pas plus de 8 ans, ma petite sœur y a cru bien plus longtemps.

Enfin bon, comme Anne me donne l'occasion d'écrire au Père Noël (alors que je passe tous les loisirs enfermée dans l'atelier des lutins), je vais en profiter !

Cher Père Noël,

tu sais que cette année encore, j'ai été très très sage. J'ai bien travaillé au bureau, j'ai préparé à manger presque tous les jours, j'ai presque tenu ma chambre rangée, mon bac à linge est presque vide. Alors, pour Noël, je voudrais juste :

- un retourneur de temps, comme Hermione.

Hein, quoi ? Ça n'existe pas ? On nous aurait donc menti… 

- Bon, alors, des journées de 28 heures.

Ah bon, ça non plus ?

- des week-ends de trois jours, alors !

Comment ça, pas possible non plus ?

- Ah, j'ai une idée : une Mary Poppins qui viendrait convaincre les enfants de ranger leurs chambres (et qui rangerait un peu la maison, aussi)

Non ? Enfin, Père Noël, il faut faire un petit effort, je travaille bien pour toi, moi ! Non, je ne peux pas dormir moins, c'est hors de question !

- Bon, je vais rester dans les classiques alors : un gilet doux et chaud à enfiler en rentrant le soir, parce qu'une maison, c'est plein de courants d'air, des livres, même si je n'arriverai jamais à lire le centième du fonds de ma médiathèque, un billet de train pour retourner au Stofenspektakel en automne, avec mes copines (et une journée de congé pour mon mari ce jour-là), un chauffage qui fonctionne dans ma lingerie… et puis dans les moins classiques :

- pas de séjour à l'hôpital cette année, pas de dents en moins non plus, j'ai eu mon compte, je crois bien
- pas de souci scolaire pour les enfants, j'ai eu ma dose aussi, que chacun d'eux trouve sa place l'an prochain et s'y trouve bien
- le courage de dire "non" à un engagement de plus et la faculté de déléguer, parfois

Voilà, avec tout ça, je devrais tenir dans la bonne humeur un an de plus ! Merci d'avance…

Je vais lire maintenant les autres lettres chez Anne, Loulou, Lapunaise, Mamanlit, Manderley (quand le lien voudra bien fonctionner…)

 

 

 

 

22 novembre 2012

Envie de fraises…

Non, il n'y a aucun message caché sous ce titre ; juste une idée inspirée par cette collection de tout petits livres de recettes bien pratiques pour faire de petits cadeaux : on offre le livre, on y joint un paquet/une boîte/un bocal du produit correspondant et le tour est joué. Et pour un cadeau un peu plus conséquent, le tablier assorti !

22 novembre5

Tissus de mon stock (dont 2 chutes terminées, un beau score), broderies de provenances diverses également, bouton offert (et fabriqué) par Rachel.

22 novembre222 novembre322 novembre122 novembre4

Voici donc le cadeau d'anniversaire de Pauline, 10 ans. J'ai dû rechercher dans les photos pour me rappeler si elle était présente à la fête des 6 ans d'Aurore, où chacun était reparti avec son tablier… en fait non, mais de toutes façons, tous ont bien grandi depuis !

22 novembre7

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18 novembre 2012

Ma bête noire

J'ai déjà parlé d'une activité de couture que je n'aime pas particulièrement, à savoir refaire les genoux des pantalons…

Maintenant, parlons d'un travail que je n'aime particulièrement pas : le changement de fermeture-éclair sur un vêtement épais !

Prenons, un manteau de fille, en bon état, imperméable, dont la fermeture se rouvre sitôt le curseur passé. Testons la méthode de Casa (ben oui, je ne suis pas folle non plus). Bon, ça ne marche pas , la fermeture est morte… quel dommage… ah tiens, il y a des fermetures de la bonne couleur et de la bonne taille dans mon magasin de tissus… à moins de 4 euros, ce serait dommage de racheter une nouvelle parka ?

Ahem, je me demande, finalement… j'ai passé je ne sais combien d'heures à découdre la chose. Une fois toutes les surpiqures et coutures apparentes enlevées, la fermeture tenait encore très bien, ainsi que la doublure du manteau. Visiblement, elle était cousue par l'intérieur du vêtement avant le montage, du jamais vu ! J'ai donc glissé mon découd-vite comme je pouvais pour couper les points un à un en tirant bien fort la sous-patte de l'autre main. J'ai fait pareil de l'autre côté. Comme la fermeture était particulièrement large, elle était encore prise à de nombreux endroits dans la deuxième surpiqure, là j'ai déclaré forfait et découpé au ras de la couture, ouf, c'est presque fini ! J'ai inséré la nouvelle fermeture, il m'a fallu la bâtir à la main car aucune épingle ne pouvait traverser toutes les épaisseurs (doublure, sous-patte, fermeture, veste, sur-patte) Ma machine à coudre a peiné, évidemment, le moteur patinant régulièrement à la moindre sur-épaisseur (les coutures de la capuche, la poche intérieure)

Si je vous dit qu'en plus, j'ai entrepris le grand reclassement de 4 gros classeurs de partitions en 5 plus petits en changeant l'ordre, que Marie avait une maquette de maison à fabriquer et un devoir de maths à réviser sur les identités remarquables (et quand on fait des erreurs de signe ou de calcul sans arrêt, ça ne pardonne pas), vous aurez une idée de mon humeur en cette fin de week-end !

pas contente

 

14 novembre 2012

Alors la Belgique, c'était comment ?

C'était…

pas trop loin : un réveil à 7h30 jeudi, petit déjeuner à la maison avant le départ, et vers midi, nous étions à Gand. Retour chez nous à 16h30 après le Stoffenspektakel de Courtrai, une bonne surprise…

lumineux, avec une météo bien meilleure que celle annoncée, juste un peu de bruine samedi matin et de pluie samedi soir.

13 novembre113 novembre2

riche en musées, en moyenne 3 ou 4 par jour, vive le pass Musea Brugge : pas d'attente, pas d'argent à débourser à chaque entrée ! Au menu, le beffroi, les peintres flamands, la dentelle, l'archéologie, les anciens hôpitaux (et leur chirurgie aproximative). Nous ne sommes pas retournés au château de Gand, je n'ai pas le meilleur souvenir du musée de la torture qui y est installé…

13 novembre113 novembre2

pas équilibré du tout question nourriture, les restaurants sont très chers dans cette région, les snacks également, nous avons bien abusé des frites, fricadelles, gaufres… avec quelques incursions dans la gastronomie flamande, tout de même (waterzoï, carbonades, flamiche), un peu de bière pour faire passer tout ça (la carafe d'eau n'existe pas et l'eau en bouteille est plus chère que la bière ou le soda !) et une petite folie avec un goûter très chic au salon de thé (les chocolats servis avec les boissons ont été engloutis avant que je pense à sortir l'appareil photo)

13 novembre113 novembre2

usant pour nos chaussures, nous avons marché des kilomètres, pas mal piétiné également

13 novembre113 novembre2

gourmand : dans nos bagages, quelques douceurs, quelques bières à goûter… mais nous n'avons pas retrouvé la pâtisserie dénichée il y a 10 ans, qui faisait de délicieux spéculoos

13 novembre213 novembre3

Nous avons même eu droit à notre petite manif habituelle : à Albi, nous avions eu le défilé des syndicats contre la réforme des retraites, à Barcelone, une grande manifestation contre l'austérité et à Gand, c'étaient les étudiants des Beaux-arts (à en juger par leurs blouses) qui défilaient, bières à la main… (rien compris aux slogans, je ne parle toujours pas le flamand et j'ai renoncé à le faire comprendre aux commerciaux de Bernina qui m'envoient inlassablement leurs pubs…)

13 novembre413 novembre5

 

 

12 novembre 2012

À la demande de Casa…

… qui a lancé un petit jeu très amusant au sujet d'une « cousette de poilu » (allez voir sur son blog pour en savoir plus), je vous mets mes « cousettes » familiales :

Un écrin hérité de ma grand-mère, qui appartenait probablement à mon arrière-grand-mère, contenant des accessoires de couture en argent. J'utilise régulièrement les ciseaux et le poinçon (redoutable, celui-ci, je n'ai pas intérêt à déraper !) Je fais appel à vos lumières en ce qui concerne l'espace rond vide : que pouvait-il bien contenir ? Je sèche…

12 novembre2

Un autre étui à aiguilles en argent

12 novembre3

La cousette de mon poilu à moi : dans le trousseau généreusement attribué par la Gendarmerie nationale aux appelés qui y effectuaient leur service, avec des savons de Marseille (qui m'ont servi à frotter le linge durant une bonne douzaine d'années), du cirage noir, du petit linge, chaussettes, chaussures (de très bonne qualité), pull, chemises, pantalon, gants blancs… et bien sûr un sifflet et le képi *. Vous noterez l'absence incompréhensible de fil bleu ciel et la présence incongrue de fil rose ! Il devait y avoir une paire de ces mini-ciseaux qui cassent au premier usage… ce petit étui nous suit régulièrement en vacances.

12 novembre1

* à propos, une année, je m'étonnais que durant une semaine les voitures restent sagement derrière moi sur la 4 voies, alors que je respecte strictement la limitation à 50 et subis donc régulièrement appels de phare et dépassements par la gauche ou la droite… jusqu'à ce que je réalise que Fiston répétait à l'époque une pièce de théâtre où il jouait un policier, et que le képi était négligemment posé sur la plage arrière de notre break bleu marine…

11 novembre 2012

Stoffenspektakel en famille

Je les avais prévenus, mais je crois qu'ils ont eu un choc terrible, comme moi la première fois… tous ces tissus, ces allées où l'on peut à peine avancer *, ces stands dont on ne peut pas approcher, l'attente interminable pour se faire servir par des vendeurs si peu nombreux qu'on se demande comment ils tiennent le coup, avec le sourire en plus !

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11 novembre0611 novembre0411 novembre02

Mais cette fois-ci, j'avais une équipe de compétition et j'ai battu un record historique : arrivés à 10h30, nous étions repartis à 12h45 ! Après un premier repérage, j'ai commencé mes emplettes, que je laissais entre les mains de mes porteurs… au bout d'un moment, les enfants sont repartis, bien chargés, à la voiture. Je m'attendais à ce que mon mari fasse de même ou imite les quelques hommes présents qui se contentaient de décharger les bras de leurs épouses en les suivant vaguement… mais, peut-être motivé par l'envie de ressortir au plus vite de cet enfer, il a adopté une autre stratégie : je faisais mon choix, lui disais quelle quantité acheter, puis je le laissais attirer l'attention de la vendeuse (il est grand, c'est plus facile) et payer, pendant que j'allais sur un autre stand repérer mes futurs achats ! C'est ainsi que j'ai pu amasser mon butin :

- des velours à pyjamas et une polaire doudou trop chouette11 novembre08

 

- des jerseys (le choix se restreint de plus en plus en jerseys de coton, pour moi qui n'aime pas du tout travailler la viscose, c'est une tragédie)

11 novembre09


- des cotons et de l'organza

11 novembre10 

 

- LE tisssu dont Paul rêvait depuis des mois (le drapeau fait 50 x 75 cm)

11 novembre11

* C'était dimanche, évidemment, mais j'ai été horrifiée par le nombre de poussettes ou de bébés en écharpe, voire de petits enfants assis par terre, alors que l'on est bousculé en permanence !

7 novembre 2012

P'tit défi du 7 : Sonia Rykiel

 7 novembre4

Pour les autres réalisations aux aiguilles, c'est chez Casa.

En hommage à la « reine du tricot », Casa nous proposait de tricoter, ce mois-ci !
Seulement, si je ne peux pas, sans tricher, me présenter dans la catégorie « débutante »*, je suis loin d'être une rapide en tricot. Je suis la reine de l'indécision également, donc le temps de trouver un modèle, de trouver la laine, de commander les aiguilles qui vont bien (eh oui, une fois qu'on a goûté au bambou, pas possible de revenir en arrière ; je n'avais pas d'aiguilles à chaussettes en 3,5 et je n'ai trouvé que du métal autour de chez moi), de recevoir ma commande, de faire un échantillon… 16 jours étaient passés, oups ! Je me suis attelée à ce défi dès que j'ai pu et comme j'essaye toujours d'en faire un défi personnel, j'ai choisi un modèle de mitaines sans couture, donc à 5 aiguilles, avec des torsades en plus, ce qui ajoute une sixième aiguille.

7 novembre1 7 novembre2

Bilan : c'est bien plus facile que ça n'en a l'air, passés les premiers tours, on ne s'emmêle plus les aiguilles… reste le rang des torsades qui est un peu plus délicat, surtout les torsades à gauche avec lesquelles je ne suis pas à l'aise. Le relevage des mailles pour faire le pouce, qui me semblait insurmontable, s'est avéré tout aussi simple. Si vous voulez essayer, le modèle est

7 novembre6

Bon, en plus, j'avais décidé de tricoter une écharpe assortie, j'ai tenté le tricot en simultané (mitaines à la maison le jour, écharpe dans le train ou le soir devant un film) mais le temps m'a manqué, malgré les vacances, et l'écharpe ne mesure encore que 60 cm**.

7 novembre5 7 novembre7

Enfin, j'ai bon espoir de finir avant la rentrée car demain, mon mari m'emmène à Venise…

 

 

… oui, bon, la Venise du Nord, mais justement, je vais pouvoir tricoter dans la voiture, parce qu'en avion, à mon avis, les aiguilles, même circulaires, même en bambou, doivent être considérées comme une arme… vous imaginez : détourner un avion avec des aiguilles à tricoter ?

Pour en revenir à Sonia Rykiel, j'ai lu il y a quelque temps Mère et fille, un roman, d'Éliette Abécassis, qui m'avait beaucoup plu (un peu interrogée, aussi, vu que j'ai deux filles, sur ce que l'on transmet, volontairement ou non, de son histoire personnelle).

7 novembre3

 * J'ai dû tricoter mon premier pull vers 8 ans, au point mousse, pour une poupée, fini avec l'aide de ma grand-mère. Ma petite sœur me l'a renvoyé lorsque j'étais enceinte de Paul avec la mention « à avaler avant le 17 août 1995 pour qu'il(elle) ne naisse pas tout(e) nu(e) ; contre indications : allergie à la lanoline.

** J'aurais pu choisir une laine qui se tricote aux aiguilles 5 ou 6, aussi…

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