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attraper le temps qui file…
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28 juillet 2015

#52xmerci–29 : quelque chose du passé

Loin de la maison, je n'ai pas grand chose  sous la main (et une connection internet bien hasardeuse)… mais finalement, il y a quelque chose de mon passé qui ne m'a pas quittée durant ces deux semaines : ce couteau, que Papa m'a donné lorsque je suis entrée aux guides, et qui était déjà, si j'ai bonne mémoire, à son père ; je l'ai emporté pour tous mes camps, et plus tard lors de nos périples à vélo. Il est resté dans notre matériel de camping, chose étonnante dans cette maison où tout disparaît… et je l'ai donc emporté dans mon sac à dos. Jeudi, alors que nous achetions un pique-nique, une petite dame demandait un couteau à la caissière pour couper proprement sa baguette, j'ai sorti mon canif en disant « il était à mon grand-père », je crois que ça lui a fait plaisir !

28 juillet1

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24 juillet 2015

escapade estivale #3

Une escapade un peu plus longue cette fois-ci : une fois Aurore partie en camp dans les Alpes et Paul abandonné chez ses grands-parents, nous sommes partis avec Marie le long du canal de Bourgogne. Départ de bonne heure, donc, direction Dijon, où nous trouvons tout de suite un stationnement près du canal.

23 juillet01

Et hop, c'est parti ! Enfin… il est presque midi, il fait chaud et curieusement, l'ombre est toujours du mauvais côté. Après notre périple en Normandie, nous apprécions de pouvoir laisser la carte au fond du sac : pas moyen de se tromper de route ! 

23 juillet02

Le chemin est plat, il n'y a que les écluses à monter, 5 mètres environ, c'est une petite côte… mais au bout de 40 écluses, 50 km et un chemin devenu caillouteux, les jambes commencent à fatiguer. C'est alors que se présente l'opportunité d'un détour pour visiter un charmant petit village. À la base, j'avais dit “peut-être”, une première étape de 60 km, ce n'est pas rien… mais lorsque nous voyons le village en question… oui, c'est celui que l'on aperçoit depuis l'autoroute, tout en haut d'une colline ! 
La menace de mutinerie de la partie féminine de l'équipe est matée par la promesse d'une glace une fois arrivés en haut.

23 juillet03

Et quand on dit en haut : 2 km de montée raide, par une chaleur suffocante. Marie et moi montons à pied, poussant nos vélos avec peine, nous arrêtant à chaque virage pour reprendre notre souffle. Une petite pause à l'entrée du village pour admirer ce beau mur de pierres sèches, c'est bon, là, nous sommes arrivés ? Ah ben non, en fait, ça monte toujours, ça monte jusqu'au bout du village.

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 Heureusement, que la glace promise était au rendez-vous, et fameuse ! Et que le village vaut le détour (mais en voiture, hein…)

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Une fois redescendus, nous attaquons la dernière partie du trajet, 10 km jusqu'à Pouilly, ça devrait aller… sauf qu'un panneau nous annonce une “zone éclusière” ; ça veut dire que les écluses, jusque-là réparties tous les kilomètres sont à présent tous les 300 mètres, les petites côtes commencent à se faire pénibles ! Nous remarquons la numérotation : écluse 5, ça veut dire qu'il n'y en a plus que 4 à monter ? Ah, voici donc la dernière écluse !

23 juillet09

Arrgh, voilà que le canal rentre dans un tunnel… la piste cyclable, en revanche, monte, monte, fait un détour pour passer sous l'autoroute… nous râlons, en plus, le revêtement est mauvais ; c'est réellement épuisés que nous atteignons Pouilly et son camping— 70 km au compteur.

23 juillet10

Mardi : bonne nouvelle, nous avons atteint le point le plus haut du canal, à présent, nous descendrons les écluses, les seules côtes seront donc pour franchir les ponts (qui sont raides, parfois). Une chose est sûre : les vacances en péniche ne nous tentent pas du tout ! Avancer à 9 km/h en pointe, passer 20 min dans chaque écluse, et ne rien faire de la journée…

23 juillet11

Ce deuxième jour sera consacré aux problèmes techniques : mon pneu arrière se déglonfle régulièrement (mais tient quand même 30 km, du coup nous préférons jouer de la pompe plutôt que tout décharger et démonter) et Marie, la seule à avoir un pneu ordinaire à l'avant, crève, par chance juste devant un cimetière, ce qui permet de se laver les mains une fois la rustine posée et la roue remontée. Nous arrivons de bonne heure à Montbard et notre vague projet de visiter l'hôtel Buffon sera vite balayé par les entrées au centre aquatique offertes avec notre emplacement de camping : bains bouillonnants, jets massants… un vrai moment détente ! En revanche, le camping n'est pas aussi calme que le précédent, situé au bord d'une route passante, avec quelques enfants qui passent en trombe à vélo en criant juste devant notre tente… à la nuit tombante, j'espère qu'ils vont enfin rentrer, mais j'entends « regarde, mon phare éclaire plus que toi ! » ( dans ces moments-là, on en arrive à souhaiter que l'un d'eux se ramasse par terre) ; nous finissons par nous endormir au milieu du vacarme.

23 juillet12

 Le lendemain, nous passons devant la Grande forge de Buffon, nous avons hésité à visiter, trouvant plus judicieux de profiter de la relative fraîcheur du matin pour avancer… aucun regret : le site est fermé pour tournage du film Meurtre en Bourgogne.

 23 juillet13

Les kilomètres défilent, le ciel est un peu couvert, l'ombre plus présente

23 juillet14
Nous faisons quelques rencontres…

23 juillet1523 juillet16 

site du sculpteur

Le prix de la formule "deux cafés et une limonade" ne cesse de baisser avec le niveau du canal. Un grand merci au passage au patron du café de Lezinnes qui a rempli nos gourdes d'eau glacée ! 

Après un léger détour pour admirer le château de Tanlay…

23 juillet17

… voici Tonnerre, but de notre voyage !

23 juillet18

L'une de nos occupations en camping est d'étudier l'équipement des autres cyclistes ou l'aspect parfois étrange des tentes !

23 juillet19

Enfin, après une courte nuit (merci les tourterelles et pigeons ramiers de venir roucouler au-dessus de notre tente dès le lever du jour), nous embarquons à grand-peine (les marches sont hautes, la porte étroite et l'arrêt bref) dans le train pour Dijon. C'est un peu chaud de caser les vélos dans l'espace imparti, mais nous apprécions d'être assis confortablement ! 

23 juillet20

Retour à la maison, passage de relais à Paul qui part à son tour pédaler avec un copain de lycée, lessives, cueillette de groseilles et remplissage de valises pour la suite des vacances…

19 juillet 2015

Trousse de toilette estivale

J'avais quelques consignes : une grande trousse de toilette, avec une large ouverture « tu sais, comme celle que tu as cousue pour ma sœur, j'ai reconnu ton tissu à coquillages ». C'est là que c'est utile de prendre toutes mes cousettes en photo ! J'ai effectivement retrouvé la trousse, cousue dans une chute de notre sac de plage, il y a bien 8 ans… sur le modèle de la valisette de Un petit bout de fil.

Je voulais une trousse doublée, bien entoilée pour se tenir et avec des poches intérieures. Le modèle du tuto me semble moins adapté dans ce cas, trop d'épaisseurs au niveau du pliage. Je me suis plutôt inspirée de la forme du Little Holiday Bag, en modifiant les dimensions, bien évidemment. Le système de montage permet de n'avoir aucune couture visible à l'intérieur, sauf quelques centimètres dans le haut de la doublure.

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J'ai repris les tissus et broderies de ce sac, offert à la même destinataire il y a deux ans.

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Les anses sont prises dans les coutures de côté, c'est beaucoup plus confortable à coudre ! J'ai mis également des poignées aux deux bouts, ce sera plus pratique à l'usage.

 

 

18 juillet 2015

Marjolaine, toi si jolie…

Et voilà, à cause de La clé des champs qui met des chansons en titre de ses cousettes, j'ai eu cet air dans la tête tout le long de ma soirée de couture !

Elle est jolie, c'est vrai, Marjolaine, et gentille, et toujours de bonne humeur. C'est une très bonne amie d'Aurore depuis leurs années jeannettes. Elles partent donc toutes les deux en camp demain matin, seulement, le départ était initialement prévu aujourd'hui ; nous avons une fête de famille à Sainte-Adresse, ça va faire court, l'aller-retour dans la journée… Aurore ira donc ce samedi chez Marjolaine !

Les filles avaient tout organisé entre elles, j'ai un peu culpabilisé quand j'ai appris que les parents de Marjolaine déménageaient début juillet… mais la maman m'a assuré qu'elle serait ravie d'avoir Aurore à la maison, que ça ne posait aucun problème (et puis tous les déménagements ne se passent pas aussi mal que le notre)…

Afin qu'Aurore n'arrive pas les mains vides et parce que Marjolaine n'était pas encore chez les scouts à l'époque de l'opération "sacs à linge, sacs à gamelles cousus par les guides" (une bonne quarantaines de jeunes sont équipés), je lui ai donc cousu un petit kit de départ en camp.

 

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Je n'avais pas de petites mains pour m'aider, mais c'était rapide ! (hum, on voit que je n'ai pas vraiment pris le temps de centrer les motifs)

17 juillet 2015

#52xmerci–28 : confort !

Le thème est, plus exactement, confort de la vie moderne. Il y a 25 ans, nous partions à deux pour une randonnée de 15 jours à vélo.  J'avais cousu moi-même les sacoches, on n'en trouvait pas en France à cette époque. En arrivant dans un département, nous allions dans le premier office de tourisme rencontré pour demander une liste des campings, pour la plupart, c'étaient de petits terrains municipaux à une étoile, très bon marché, avec des douches froides (on achetait un jeton pour 6 minutes d'eau chaude). Le gardien passait le soir, ou pas, il nous est donc arrivé de ne rien payer. Nous avons même séjourné deux fois dans un camping fermé (en plein mois d'août !), sur les bords du stade municipal et une fois, avons assité au match de l'équipe locale en attendant le départ des joueurs pour planter notre tente… les pauvres s'étaient fait laminer, un joueur avait même marqué un but contre son propre camp. Au début, nous tracions notre route au plus court, ensuite nous avons compris qu'il vallait mieux suivre les rivières ! Une fois, nous avons dû nous séparer, suite à une casse de rayons. Je suis partie en avant, Guillaume devait me rejoindre en bus après avoir confié sa monture à un répérateur. Trouvant le camping complet, j'ai connu un grand moment de désespoir en réalisant que peut-être, il n'arriverait pas à me retrouver… aucun moyen de nous joindre, à moins de trouver une cabine, appeler nos parents en espérant que l'autre aurait la même idée…  pour finir, le bus circulait bien et une habitante du village m'avait indiqué le pré communal et m'avait donné de l'eau, ouf !

Mercredi, j'ai commencé à préparer notre matériel pour une courte randonnée. J'ai découvert que j'avais jeté il y a trois ans les fameuses sacoches qui avaient fait leur temps. Après un bref moment de panique, j'en ai commandé de nouvelles sur internet, j'irai les chercher en magasin ce vendredi, si tout va bien. Nous sommes équipés à l'arrière de pneus anti-crevaison (nos mésaventures passées nous ont rendus méfiants). 25 ans après, les petits campings municipaux ont fermé, trop peu de confort… du coup, ça complique un peu, nous devons prevoir notre itinéraire en fonction des points de chute. Mais un site est là pour nous faciliter la tâche ! On rentre le nombre de km à parcourir par jour, on clique sur un point de départ et hop, le lieu d'arrivée apparaît (dans la pratique, ça fonctionne assez mal, il faut recommencer pour chaque étape…)

Capture d’écran 2015-07-15 à 19

 Nos téléphones et l'application GPS nous aiderons également  à ne pas nous perdre, un peu d'aventure en moins, un peu de confort en plus…

 

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16 juillet 2015

Reprise des activités !

Ma brodeuse a enfin repris du service. Depuis quelque temps, j'étais contrariée : elle avait des soucis de tension, un coup trop haute, un coup trop basse, et puis elle sautait des points, assez régulièrement. Après la broderie du papillon sur simili-cuir, dont l'envers était vraiment catastrophique, j'ai décidé d'agir : j'ai ouvert la bête autant que je le pouvais, nettoyé de mon mieux le bloc de tension et l'intérieur, sorti et légèrement graissé le boîtier de canette, resserré la vis de tension de celui-ci et fait un essai ; c'était mieux, mais pas parfait. Je me demandais s'il fallait la déposer à Paris (ce qui demande beaucoup de temps) ou l'expédier chez Stecker, en Belgique.

J'ai laissé passer quelques semaines… et puis j'ai lavé ma housse de canapé ; quel rapport ? Eh bien, sur ce canapé, il y a des coussins, que j'ai trouvé bien sales aussi mais surtout très usés. Certains ont l'âge du canapé, 20 ans donc ! Alors j'ai cherché un motif acheté depuis longtemps mais jamais fait à cause de ses 73 minutes de broderie, un morceau de lin et j'ai lancé l'opération. Au pire, avec ce motif, il y aurait quelques defauts guère visibles…

Au début, j'ai remarqué que la tension n'était pas régulière. En plus, j'avais laissé par erreur du fil de canette noir donc ça se voyait… et puis j'ai mis du fil blanc, continué… pas trop mal, à part quelques points sautés. Et ma canette est arrivée au bout… j'en ai bobiné une autre et pour avoir un peu plus de tension, j'ai légèrement tenu le fil entre le pouce et l'index, et senti de grosses secousses de temps en temps : arrivé au bas du cône, le fil se coince, ce qui doit créer une surtension au niveau de la canette. J'ai commencé ce cône peu après l'aiguille en fête, à peu près au moment où les problèmes de tension sont arrivés. Puis-je donc espérer que ma brodeuse saute un point au moment où le fil de canette est trop tendu ? Il m'a semblé que la broderie se terminait sans défaut… alors j'espère !

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J'ai fait ma paresseuse en utilisant, pour le dos, le bord d'un drap utilisé pour une housse de couette : aucun ourlet à faire, des pressions résine pour fermer, hyper rapide ! (ça compense l'heure et demie passée sur la broderie)

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En revanche, je suis dépitée par ce coussin, brodé à la main lorsque j'avais eu beaucoup de temps libre (fin de grossesse allongée pour Paul, à une époque où l'ordinateur portable et internet n'existaient presque pas) : au lavage, le rouge a déteint et bavé tout autour ! J'ai pourtant lavé à l'eau froide, avec une lessive pour laine et les fils sont du DMC.

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15 juillet 2015

Une petite couture rapide

Toujours la jupe du dernier Ottobre femme, mais en version courte cette fois, pour Marie. Elle a choisi elle-même son tissu pour éviter toute déception, nous sommes loin des "motifs africains" demandés initialement, voire du style mexicain qu'elle m'avait montré ensuite. Je déteste coudre le voile de polyester et surtout le couper, mais je m'y suis attelée rapidement : nous avons acheté le tissu samedi dernier, un record !

Petit zoom sur la fermeture (presque) invisible pour montrer à ma copine La clé des champs que ça y est, j'ai enfin utilisé la fermeture que la poste avait tellement promenée entre chez elle et chez moi. En revanche, la pose laisse à désirer : pour coudre la fermeture, ça va, mais pour plier le haut sous un tissu aussi fin, j'ai vraiment galéré et de plus, il m'a fallu piquer ensuite le bord de la parementure. Si quelqu'un publie un jour un pas à pas pour cette délicate étape, je suis preneuse !

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Avec les chutes, j'ai pu confectionner un foulard, l'intéressée est ravie, c'est le principal (hum, il faudrait quand même couper les fils qui dépassent… Mamie aurait dit « elle n'a pas payé sa couturière » — et elle aurait eu raison !)

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14 juillet 2015

Il fait chaud !

Et vous pouvez constater que j'ai une tenue parfaitement adaptée aux 35°C de cet après-midi ! Voilà que ma jardinière a rendu son tablier sous prétexte qu'il y a un nid de guêpe sous un rosier, dans le parterre qu'elle doit désherber et qu'elle a été piquée…

Le problème est que ce nid, récemment installé (j'avais arraché un chardon à cet endroit voici 8 jours sans rien remarquer), est situé juste sous la fenêtre de la cuisine. Première offensive : la méthode écologique. Noyer le nid dans un mélange eau-liquide vaisselle (pour engluer les guêpes). Échec total ! Deuxième étape, donc, beaucoup moins écolo : l'insecticide en poudre… résultat dans quelques jours, le temps que les bestioles transportent la poudre à l'intérieur du nid. En compensation, je veux bien installer un hôtel à insectes… mais au fond du jardin ; et j'offre volontiers ma lavande aux bourdons !

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13 juillet 2015

escapade estivale #2

Aller-retour sur la journée, parce que nous nous sommes décidés trop tard pour envisager un quelconque hébergement, et finalement, c'était parfaitement faisable. Les études de Marie nous invitent à découvrir toujours plus de jardins ; encore un beau dépaysement, cette fois-ci !

Nous n'avons même pas eu peur des plantes carnivores…   avons admiré des fleurs comme dans un tableau,

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fait une petite balade rafraîchissante, découvert la gamme incroyable des teintures végétales…

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… et de drôles de fleurs. J'ai été comblée, j'aime tant les fleurs bleues (mais elles sont violettes, me disait Aurore)

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nous avons visité également le parc historique et ses installations poétiques, avons déambulé dans un jardin japonais

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nous avons fait connaissance avec le sphinx colibri et nous sommes promis de visiter le château, une prochaine fois

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Après tant et tant de marche, une glace était indispensable, d'autant que les parfums étaient bien tentants : thé matcha-cranberries, violette-fenouil, pêche-litchi, ananas-réglisse… (mais il faisait si chaud que nous n'avons pas eu le temps de les photographier !)

 

12 juillet 2015

#52xmerci–27 : moyen de transport

C'est le thème proposé par Frenchlily pour cette semaine. J'ai dû répondre vendredi à une enquête portant, entre autres, sur mes déplacements quotidiens… ce jour-là, j'avais, comme tous les jours, utilisé ma voiture pour 15 km, mon vélo pour 6 km, le train pour 18 km, le bus pour 2 km (ça, c'est plus rare) et marché au moins 5 km. Difficile donc de choisir un seul moyen de transport… cette semaine, donc, je dis merci à mes pieds qui me portent fidèlement là où je veux aller (tant que je supporte mon arthrose de l'orteil droit, les séquelles de ma petite fracture, ma tendinite d'Achille). À moi de les soigner un peu plus que je ne le fais actuellement, si je veux en profiter longtemps encore !

11 juillet1

(pour l'occasion, j'ai vernis mes ongles, ce qui doit arriver 2 fois par an, c'est fête !)

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