lendemain de fêtes
Évidemment, il y a la joie d'avoir vécu ces moments intenses en famille et avec nos amis les plus chers. Évidemment, la fatigue est là, aussi. Les préparatifs ont mobilisé toutes nos énergies, surtout lorsque quelques événements se sont ajoutés au dernier moment à la liste prévue : une table-ronde (professionnelle) fort intéressante à Paris, jeudi après-midi et les obsèques de notre diacre vendredi, que l'on m'avait demandé d'animer, en alternance avec une chorale vietnamienne, et pour lesquelles j'étais heureuse d'être disponible, puisqu'en congés. Le concert de l'orchestre symphonique des filles qui s'est achevé à une heure déraisonnable jeudi : 23h20 ! Ont-ils vraiment conscience qu'il s'agit d'adolescents qui ont classe tôt le matin ? Était-il nécessaire d'ajouter la prestation (non prévue au programme) d'un ensemble de cuivres ? Le vide-grenier des scouts, également, auquel j'ai conduit Marie avant 7h dimanche matin alors que la messe de confirmation s'était terminée tard samedi…
(voilà, ses cinq filleuls sont tranquilles, leur parrain est enfin confirmé !)
Du coup, j'ai oublié de photographier le buffet, mais il était bien garni, comme toujours ! J'ai seulement le sandwich-cake aux trois poivrons, que je vous recommande, je pense d'ailleurs commander le livre, une salade de veau très proche du bo-bun et le gâteau dont je mettrai la recette cette semaine car c'était une création maison : l'association framboises-chocolat ne semble pas être très usitée et pourtant, c'est délicieux.
Il ne nous reste que quelques gâteaux à finir et la vaisselle à ranger !
Et cette année, j'ai reçu des fleurs pour la fête des mères
(ils ont courageusement bravé les 20 minutes d'attente chez la fleuriste pour choisir leur composition)