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attraper le temps qui file…
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30 janvier 2019

Mon Everest à moi

Il me faisait peur, ce carré G6. J'avais commencé la petite étoile centrale l'année dernière, je ne l'avais pas trop mal réussie et… je m'étais trompée de couleur pour le centre ! J'avais décousu, sauvé deux des côtés (les autres n'avaient pas résisté à l'opération), j'avais recommencé mais eu quelques déboires. Finalement, je m'y suis remise, sur quelques jours, j'ai accumulé les erreurs (en inversant deux côtés à la fin, j'avais un hexagone déformé à la place d'un carré) mais j'ai fini par obtenir un résultat assez satisfaisant (je sais, il y a des décalages de la grande étoile).

31 janvier - 1

Et puis j'ai terminé un carré commencé pendant l'été 2018 (vu de près il n'est pas très réussi…)

31 janvier - 2 

Celui-ci aussi a été cousu cet été

31 janvier - 7

Et j'en ai cousu quatre autres

31 janvier - 331 janvier - 6

31 janvier - 531 janvier - 4

J'avais dit 52 carrés par an… j'en ai cousu 31 en 2017 et 3 en 2018, si je veux voir la fin de ce plaid avant ma retraite, je vais devoir redresser la barre ! Comme je me perdais un peu dans mes tissus bleus, je les ai triés : dans le bac à chutes, ceux qui ont été cousus deux fois, puis d'un côté ceux qui ont servi à coudre un carré (à ré-utiliser donc) et de l'autre ceux qui n'ont pas encore servi. Un vrai gain de temps au moment de faire mon choix (faire correspondre la taille du motif ou l'épaisseur  du tissu aux découpes du carré et éviter que le tissu choisi jure ou ressemble trop à ses voisins est un véritable défi parfois).

Je me suis fixé comme priorité de remplir les lignes trop vides (M par exemple) :

Dear Jane

 

 

 

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27 janvier 2019

Projet 52 de Virginie #4

Le mot de la semaine est "enfantin". Voyons, qu'est-ce que j'ai gardé de mon enfance ?

Mon humeur qui se met immédiatement au beau fixe dès qu'il commence à neiger.

La peur du noir (mais le plus souvent, j'arrive à la surmonter).

De la musique, des chansons dans ma tête, toujours.

Le goût pour les nounours en guimauve (je résiste, je dois en acheter une fois tous les deux ans)

L'habitude de lire plusieurs livres à la fois (Balzac dans le train et le soir au moment de m'endormir — ce n'est pas pour Balzac mais pour la practicité de la liseuse que je n'ai pas besoin de tenir à deux mains — les écrivains américains pour les siestes du week-end — en ce moment : zéro page — et les autres au rythme de quelques pages par jour, dès que je peux trouver un moment. Il fut un temps où je pouvais totalement m'abstraire de ce qui m'entourait : un jour, tout le camping m'a cherchée, appelée, pendant des dizaines de minutes… j'étais dans la minuscule salle de bains de la caravane, un livre sur les genoux, les oreilles sourdes à mon prénom crié au-dehors. Comme dans cette phrase de Boris Pasternack, décrivant Lara à la bibliothèque : « Il la voyait de trois quarts, presque tout à fait de dos, elle lisait avec passion, comme les enfants ». À présent, une conversation un peu forte dans le train suffit à me faire perdre le fil de ma lecture. Mais perdre le fil de l'histoire du livre abandonné depuis plusieurs jours, jamais !

27 janvier

 

24 janvier 2019

Le tour du monde des soupes #14

Elle était bien adaptée à un jour de neige, cette soupe ! Notre amie slovaque a évoqué dimanche le menu de Noël de son enfance, avec notamment une soupe à base de choucroute et de saucisse (kapustnica), se désolant de ne pas trouver la fameuse saucisse au paprika qui colore la soupe en rouge. J'ai préparé la version tchèque de cette recette : la kyselica (qui signifie aigre) porte bien son nom, avec l'acidité de la choucroute et celle de la crème sûre. Pour remplacer cette dernière, j'ai versé un peu de jus de citron dans de la crème fleurette et laissé le mélange épaissir pendant quelques heures au frais. J'ai également ajouté du yaourt bulgare. Pour la saucisse, sur les conseils de mon amie, j'ai pris de la Montbéliard. Je n'avais pas de carvi, j'ai mis du cumin (c'est sensiblement la même plante, non ?) et je m'aperçois à la relecture de la recette que j'ai oublié le pain, mais comme tous avaient mangé des petits-fours 1 h avant, personne n'a réclamé.

.24 janvier1

23 janvier 2019

Une journée particulière

Il a neigé hier, quelques centimètres, assez pour tenir sur les routes. Et cette nuit, il a gelé. Après quelques hésitations, j'ai décidé de conduire Marie et Guillaume à la gare (trop tard pour y aller à pied et trop dangereux en vélo). Dans notre petite impasse, ça glissait un peu, normal. Dans la petite rue à côté, ça allait. Je suis sortie du quartier sans encombre, arrivé sur l'avenue bien salée. Mais ensuite, le centre-ville était une véritable patinoire : une couche de glace épaisse au sol ! En roulant tout doucement (personne ne jouait les Formule 1), nous sommes arrivés à bon port. Demi-tour vers la maison, tranquillement, puis un bon thé pour me remettre de mes émotions. Une heure plus tard, j'ai conduit Aurore, pensant que les saleuses seraient passées, eh bien non ! 8h30, sur l'avenue la plus fréquentée de l'agglomération, les piétons tombent comme des dominos, les voitures dérapent, il est difficile de s'arrêter au feu. Bon, je suis rentrée sans accrochage, mais j'en ai vu quelques-uns autour de moi.

Il fait beau, mais le ciel menace au loin, j'embarque Paul pour un tour des étangs.

23 janvier02

Les traces de l'averse de grêle qui m'a réveillée avant 6h sont bien visibles.

23 janvier01

Les daims se cachent dès que je m'approche, ce sont des jeunes, d'habitude ils adorent se faire photographier.

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Tout est calme, sauf les canards qui sont bien agités (pour se réchauffer ?)

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Bon, ça devient de plus en plus vivifiant…

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Pas la peine de me le dire !

23 janvier06

La cascade est à sec, c'est dommage

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Sur le chemin du retour, difficile de se dire que nous sommes en pleine ville

23 janvier0823 janvier09

Paul reçoit un appel, lui demandant d'effectuer un remplacement dans une école éloignée, le lendemain à 8h30. Il demande un délai, puis refuse : il ne connaît pas les enfants, ce n'est pas vraiment son boulot, notre voiture n'a pas de pneus neige, il va geler nette nuit et aucun transport en commun ne dessert le village.
Aucune nouvelle du cours d'aquagym, il doit donc être maintenu, je vais y aller à pied, c'est plus prudent. Nous ne sommes que 6, l'eau est un peu froide mais ça fait du bien. En revanche, dehors, il neige sans discontinuer, ce n'était pas du tout prévu par la météo ! L'après-midi se passe, entre aspirateur, cuisine et couture.

Puis nous remettons nos grosses chaussures en fin d'après-midi. Sous la passerelle enneigée, la route est enfin bien dégagée.

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Nous coupons par la forêt… enfin, un peu clairsemée la forêt depuis les coupes du mois dernier !

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Nous voilà au centre-ville, l'université est illuminée

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Et nous retrouvons Marie et une partie des Spuntini pour l'expo-photo à la mairie-annexe de la ville qui leur avait accordé une subvention (quatre autres groupes de jeunes ont été aidés à partir au Cambodge, Vietnam, Sénégal et Népal). Aurore puis Guillaume nous rejoignent.

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Quelques discours et petits-fours plus tard, nous rentrons tous les cinq dans la ville enneigée pour manger une soupe.

 

 

21 janvier 2019

C'était ma fête !

Avec, pour m'accueillir à Versailles une haie d'honneur de 25 cars de CRS entre la gare et mon bureau…

Avec les manifestants de la CGT qui, ne pouvant pas s'avancer vers le château, ont défilé en chantant (faux) sous nos fenêtres une bonne partie de la matinée…

Avec un ciel parfaitement bleu, avec les radiateurs enfin purgés (finis les glouglous à longueur de journée)

Avec une réponse de "mon" auteur danois et une collaboration qui s'annonce sous les meilleurs auspices

Avec des CRS (encore !) et des pompiers qui barraient l'accès vers la gare : fuite de gaz, veuillez faire un détour, un grand détour et une fois arrivés devant l'autre entrée : ah non, on ne passe pas, prenez le hall 2. Là, il y a eu révolte des voyageurs, il fallait marcher plus d'un kilomètre, sans certitude de ne pas être bloqués une fois de plus. Alors nous avons avancé, descendu un escalier, parcouru toute la longueur d'un quai, remonté l'escalier de l'autre côté, traversé toute la nouvelle gare.

Avec ce jeune homme que j'ai récupéré au passage, qui voulait prendre un train pour Trappes mais ne savait pas où aller. Je l'ai guidé dans ce labyrinthe, pendant 20 minutes, puis l'ai laissé dans le train avec toutes les indications pour rentrer chez lui plus tard.

Avec le Navigo de Marie qui ne fonctionnait plus très bien (forcément, au bout de 9 ans 1/2), l'agence encore ouverte mais pleine de monde et le logiciel qui a fait des siennes juste quand nous sommes arrivées… et les automates de la gare qui ne voulaient pas de sa carte bancaire. Enfin, la voilà avec une carte toute neuve chargée pour la semaine.

Avec un mari en télétravail imprévu, qui en a profité pour préparer un bon dîner (et nous avons séché notre répétition pour être tous ensemble, pour une fois)

Heureusement quand même que ce n'est pas ma fête tous les jours !

 

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20 janvier 2019

Projet 52 de Virginie #3

Le thème de cette semaine est "gris", je n'ai pas besoin de chercher : gris, c'est la couleur de ce début d'année. À peine quelques heures d'ensoleillement (comme par hasard, le mercredi en début d'après-midi, quand je suis là pour voir à quel point ces quelques rayons rendent visible la poussière dans la maison, ce qui fait que les quelques heures de soleil ont été synonymes pour moi d'aspirateur et de nettoyage de vitres — très bonne idée quand il re-pleut juste après !). Même si ce gris a été remplacé par un peu de ciel bleu vendredi et un peu de neige blanche samedi matin, j'aimerais un peu plus de lumière. 

Mais aussi le gris de la fatigue, toujours présente (ces vacances n'ont pas été reposantes), de ces petits soucis de santé qui se succèdent (quand je parlais de routine médicale dans mon bilan, ça n'était pas à prendre au pied de la lettre ! Une angine dès le 2 janvier, suivie d'un mal de dos — merci à Paul pour sa ceinture lombaire) et la gastro qui nous cerne (pour l'instant, nous résistons)

Le gris des mauvaises nouvelles de début d'année, graves maladies ou décès, pourquoi y en a-t-il toujours plus en janvier ? 

Le gris du cœur de l'hiver, alors que l'élan des fêtes est passé, que le printemps semble encore si loin et qu'il faut résister aux virus en tous genres, aux jours si courts, à la routine d'une période où les nouveaux projets se font rares.

Alors résistons au gris, avec un repas entre amis, autour d'un plat qui réchauffe, dans notre beau Baeckeoffe rapporté de Nancy, que nous étrennons ce dimanche !

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(et à côté, un mini baeckeoffe végétarien au tofu, pour Paul)

 

 

17 janvier 2019

Le tour du monde des soupes #13

Il me faut revenir en Europe pour trouver des recettes utilisant les légumes d'hiver. Et encore, celle-ci demandait des tomates. C'est au Portugal que nous avons dîné, avec cette sopa de grão de bico.

Les légumes sont finement râpés, mais se tiennent bien à la cuisson, j'en étais un peu surprise. Sous cette forme, les oignons n'ont pas voulu dorer (mais j'avais pas mal réduit la quantité d'huile). J'étais à court de cumin en poudre, alors j'ai moulu des graines de cumin avec mon petit moulin à café et le parfum était incomparable ! Je pense que je vais arrêter d'acheter les épices en poudre désormais.

C'était délicieux ! Pour en faire un repas complet, j'ai ajouté une belle tranche de pain au levain (comme dans l'autre soupe portugaise du site) et je l'ai terminée ce midi avec quelques tranches de chorizo et un peu plus de pois chiches.

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15 janvier 2019

Vive la reine !

Vous vous demandiez quel ouvrage au crochet j'ai commencé la semaine dernière ? Nous fêtions les rois, hier soir, à Calibeurdaine. Notre nouvelle guitariste est une pâtissière hors pair et elle avait promis d'apporter des galettes de sa fabrication, mais nous a annoncé qu'eile n'avait pas de couronne chez elle.

Il y avait longtemps que je voulais refaire cette couronne crochetée avec un fil métalllisé, afin qu'elle fasse moins "coiffe bretonne". Le fil, je l'avais acheté sans lire l'étiquette, grave erreur ! Comme il est destiné au tricot, il n'est pas torsadé et se dédouble à chaque point, le fil métallique accroche et je n'avais qu'un crochet n°2, un peu trop fin. La brillance du fil métallique m'a gênée pour compter les mailles (il aurait fallu crocheter en plein jour). Mais j'en suis venue à bout, en partie grâce à l'astuce de Zenobia : passer le fil sur une bougie chauffe-plat.

J'ai retrouvé le diagramme, j'ai dû encore une fois rechercher l'explication des points, parce que j'avais tout oublié et quelques jours plus tard, j'avais ma couronne. Restait à la rigidifier. Je ne voulais pas l'amidonner comme la fois précédente car j'avais peur d'abîmer le fil ou de le ternir au repassage. J'ai vu qu'il existait du durcisseur pour tissus et j'ai eu l'idée de le remplacer par du vernis-colle.

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J'ai donc placé mon ouvrage sur un saladier qui avait juste les bonnes dimensions et je l'ai tendu grâce à  des fils de coton entrecroisés. Une fois installée ma toile d'araignée, j'ai dégainé mon pinceau et… j'ai été prise d'un doute : le vernis-colle, je m'en sers pour les étiquettes de mes pots de confiture, ça tient très bien, tellement bien qu'elles résistent au passage au lave-vaisselle. Je m'apprêtais donc  à coller solidement ma couronne sur le saladier !

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Comme je n'avais pas envie de défaire toute mon installation, j'ai glissé tant bien que mal quelques morceaux de film plastique entre la dentelle et le verre, puis j'ai largement imbibé ma couronne de colle et laissé sécher quelques heures. Puis j'ai coupé les fils et testé le résultat, c'était un peu trop souple à mon goût, j'ai donc reposé la couronne sur son support et remis une couche de colle, en activant le séchage à l'aide du sèche-cheveux. 2h plus tard, c'était prêt.

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Ma couronne a fait sensation (pas autant que la galette, mais presque !). Je la trouve cependant toujours trop inclinée vers l'extérieur (un problème de saladier ou de diagramme ?) et trop petite, il aurait fallu un motif de plus, pourtant la chaînette de départ semblait trop longue, il faudra que je le note sur le modèle.

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13 janvier 2019

Projet 52 de Virginie #2

Sur la route de…

J'avais oublié de faire une photo, mais Paul est venu à mon secours ! Avec justement la route que nous avons empruntée plusieurs fois aujourd'hui.

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Sur la route de la solidarité : ce dimanche commençait par une rencontre (à 9h !) avec deux représentants du CCFD et une partie des équipes compagnons. Chacun s'est présenté, a parlé de ses actions et de ses projets, puis nous avons cherché comment s'accompagner les uns les autres, comment faire ensemble un peu de chemin : eux peuvent aider les jeunes à trouver leur partenaire de 2e temps, leur donner une visibilité, présenter leur projet au public ou dans les médias. Faire renaître la journée « Bouge ta planète », monter un spectacle de cirque pour le Jamboree, visiter des installations de permaculture… les idées n'ont pas manqué.

Sur la route d'une meilleure forme : je suis allée courir, modestement (3 fois 5 minutes, la reprise est vraiment difficile), j'ai rencontré une voisine qui cherchait son chien, j'espère que le fugueur est revenu !

Sur la route de l'accompagnement : un petit point avec nos jeunes compagnons, ils avancent, ont des idées, se donnent les moyens de réussir. Ils y arriveront, à Phnom Penh !

Et prendre contact avec cette toute nouvelle animatrice liturgique, qui a décidé de se lancer, lui indiquer où trouver les partitions, les textes, un site pour écouter les chants, des aides pour les choisir, pour construire son programme. Nous ferons un point en milieu de semaine, puis je l'accompagnerai samedi et aussi longtemps que nécessaire pour qu'elle devienne autonome.

Enfin, reprendre la route pour conduire Aurore à sa réunion d'aumônerie, alors qu'elle avait déjà un dîner avec son équipe hier soir. Et aller la chercher en fin de soirée, l'écouter raconter les discussions, les projets à venir…

C'est toujours la même route, mais nous l'empruntons dans des états d'esprit bien différents !

 

10 janvier 2019

10 du 10 : début

C'est le thème proposé par J'habite à Warterford pour ce 10 janvier : « Bonjour et bonne année ! Nous sommes en janvier, le mois qui marque le début... alors pourquoi pas ? Comme d'habitude, à prendre au sens le plus large possible, le début, c'est le (premier) bout, le départ, l'ouverture, l'entrée... que sais-je ! »

Début de journée… givré ! Il faudra faire attention à ne pas glisser sur la passerelle !

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Mais un lever de soleil qui promet un beau début de journée, plus lumineux que les jours derniers.

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C'est le début de mon (petit) voyage : j'ai le temps de m'installer, enlever gants et bonnet, ouvrir mon manteau, lire un chapitre et je suis déjà arrivée !

10 janvier - 6

 

Une petite heure après le début du travail, c'est la pause café. Moment de détente, mais aussi partage d'informations essentielles (et quelques médisances, parfois… chut !)

10 janvier - 3

Au début d'un nouveau chapitre, je garde sous les yeux la liste de toutes les manipulations et vérifications à faire pour importer le texte proprement et me faciliter le travail de mise en pages rapide. Au passage, je note quelques questions à poser à l'auteur.

10 janvier - 5

Pour le maraîcher, c'est le début de la vente hebdomadaire. Qu'y a-t-il dans le panier ce soir ?

Chou-fleur, salade, pommes de terre, betteraves et pommes. Je prends rarement des légumes au détail, le panier m'évite de réfléchir et ensuite, il n'y a qu'à s'adapter à son contenu.

10 janvier - 7

Début de ma deuxième journée, avec mes assistants en cuisine : pendant que le saucier se charge de la béchamel, que le micro-ondes cuit les endives à la vapeur, je prépare une pâte à tarte au robot.

10 janvier - 8

Une heure plus tard : les endives sont au four, la cuisson est programmée avec la fonction "gratin 5 minutes avant la fin" (ce four est vraiment top), la pâte est étalée (et la garniture n'est pas de mon ressort), la vaisselle faite, reste à attendre le refroidissement du saucier pour le ranger. Je peux prendre un thé avant d'allumer la cheminée.

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Début d'ouvrage un peu fastidieux, le fil n'est pas du tout adapté au crochet et se dédouble, je n'avais pas fait attention en l'achetant. Tant pis, je vais essayer quand même.

10 janvier - 4

Début du CA de l'AMAP dans 15 minutes, tout est prêt, les membres du CA devraient arriver.

10 janvier - 10

 

Et de mon côté, je vais m'atteler aux démarches auprès de la nouvelle mutuelle (le transfert automatique ne se fait jamais comme prévu, mais ils sont très réactifs) et crocheter !

 

 

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