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attraper le temps qui file…
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30 avril 2020

Une première

Hier, c'était notre grande sortie, celle qui était projetée depuis des semaines et planifiée depuis 8 jours, une fois que j'ai réussi à attraper 4 rendez-vous d'un coup, ce qui m'a demandé pas mal de persévérance : nous sommes allés donner notre sang en famille, à 6,5 km de la maison, un grand voyage, par les temps qui courent (ou plutôt, qui stagnent).

29 avril - 1

Aurore attendait avec impatience sa majorité pour cet acte citoyen (à égalité avec le droit de vote… mais je pense qu'elle va pouvoir voter aux municipales, finalement) et nous avions promis d'y aller avec elle, nous avons donc laissé passé les collectes début mars. Et pour cette grande première, elle a été gâtée, avec la visite du directeur régional de l'EFS, qui a pris le temps de parler un peu avec chacune des personnes présentes !

 

 

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29 avril 2020

J-XXXX

On commence à perdre le compte non ?

Les vacances sont déjà loin, drôles de vacances ! Aurore a continué de travailler comme si de rien n'était, passant de ses devoirs à son dossier de camp (costaud, cette année, il a doublé en nombre de pages depuis notre première année d'AC). Nous avons fêté Pâques et les anniversaires, cela rythmait notre vie.

21 avril - 5

La période "interdiction de sortir faire du sport entre 10h et 19h" a porté un coup fatal à mes efforts pour essayer de reprendre la course. Tourner sur 3 ou 4 rues est vraiment peu motivant, courir sur des trottoirs qui empestent (forcément, les chiens sortent plus souvent dans un espace restreint) est vraiment désagréable. Mais je ne fais pas non plus de sport à la maison, je sors de moins en moins marcher… il va falloir trouver une motivation !

21 avril - 221 avril - 3

Les filles ont campé une nuit dans le jardin, pour se donner une impression de vacances. Le beau temps nous a permis de garder les fenêtres ouvertes toute la journée… et tant pis pour les pétales de fleurs de cerisier partout et l'aspirateur à passer tous les jours. Les fleurs sont devenues des cerises, qui grossissent à vue d'œil. Il va nous falloir trouver un dénoyauteur performant (quoique… Paul ne va peut-être pas reprendre le travail de sitôt ?). Les fraisiers, groseillers, framboisiers nous font de belles promesses.

28 avril - 228 avril - 3

28 avril - 1 (2)28 avril - 4

Aurore a eu sa période "broderie", à présent, elle coud à la chaîne des sacs à linge sale en tissu, pour financer le camp. Après des débuts difficiles, elle est devenue la plus performante de son équipe, avec deux à six sacs par jour (me voilà mise à la porte de ma lingerie). Celle qui a des tissus est confinée près de Nantes, celle qui a les cordons est dans le Sud-Ouest, alors je fouille mes placards, à la recherche de vieilles housses de couette, et je sacrifie quelques coupons.

21 avril - 728 avril - 1 (1)

Les vendredis sont très attendus par toute notre rue ! Après le Te Deum, joué en commun avec nos voisines en guise de générique, nous exécutons quelques pièces, répétées durant la semaine : Canon de Pachelbel, valses, danses folk, Petite musique de nuit, Vivaldi au cor. Nous préparons une thématique "musique de film" et, depuis peu, il y a aussi une ou deux chansons au programme, j'envoie les paroles et un lien vers une vidéo aux voisins, pour qu'ils répètent. Une petite demi-heure où tout le monde est sorti sur la placette (dont l'acoustique est parfaite), distances de sécurité respectées bien entendu. Ça commence à se répandre dans le quartier, des promeneurs s'approchent "par hasard"…
21 avril - 621 avril - 4

Faute de mésanges, le nichoir accueille une colonie de bourdons noirs. Nous avons été alertés par le bruit, il y a eu une activité intense pendant deux jours, à présent qu'ils ont fait le nid (très désordonné), ils sont moins nombreux à entrer et sortir. C'est bien la peine de leur installer un hôtel 4 étoiles ! (début avril, un bourdon solitaire à cherché à s'istaller dans un trou du vélux de la lingerie. Je l'ai capturé dans un verre pour le relâcher devant l'hôtel, trois fois, puis j'ai mis du scotch sur les trous, il a longtemps continué à s'y cogner, ne comprenant pas pourquoi il n'arrivait pas à entrer… 

28 avril - 1

Le temps passe vite, nos journées sont bien occupées, contre toute attente ! Sauf peut-être pour Marie, qui est au chômage partiel désormais… mais elle a spontanément repris son statut d'elfe de maison.

Ah : et il a plu !

 

 

 

 

 

 

 

 

27 avril 2020

Mets ton masque !

Ma ville n'organise pas de grande campagne de couture de masques lavables… et je ne sais pas si j'aimerais en produire en série, d'ailleurs je n'ai pas tellement de temps car je travaille comme d'habitude, voire même un peu plus (je n'ai pas l'impératif du train pour  éteindre mon ordinateur à 16h pile). 

J'ai d'abord répondu à une demande de l'Amap : pour être bien certains que les distributions restent autorisées (certaines décisions abusives des autorités locales à ce sujet me mettent en colère…), il fallait prouver le respect absolu des gestes barrière (et tant pis si les grandes surfaces prennent les plus grandes libertés à ce sujet sans se faire rappeler à l'ordre !). Donc, masques et gants pour les personnes chargées de préparer les paniers sur le terrain et celles qui assurent la distribution, et procédure inattaquable : les adhérents se présentent par petits groupes, selon l'ordre alphabétique, tous les quarts d'heure, le producteur dépose les denrées sur la table, s'éloigne de deux mètres, l'adhérent vient prendre ses produits. Contacts réduits au minimum. J'ai donc cousu (ainsi que deux autres adhérentes) des masques en tissu, après avoir étudié attentivement le document de l'Afnor. Ensuite, je me suis occupée d'en coudre pour nous, afin d'aller faire nos courses tranquillement (même si, encore une fois, je n'ai pas croisé la moindre personne toussant ou éternuant depuis janvier…).

La première expérience m'a amenée à adapter les mesures aux morphologies de chacun : au bout de 10 minutes, mon masque me remontait au milieu des yeux, ce qui est peu pratique surtout quand la consigne est de ne pas le toucher. Mes élastiques étaient trop lâches également. J'ai donc tracé deux patrons, le premier pour Guillaume et Marie, le second pour Aurore et moi (qui avons de plus petits visages ?) et noté pour chacun la longueur l'élastique adéquate. Quant aux élastiques, j'en ai trouvé de bien souples sur des alèzes jetables que j'avais conservées après un séjour à Métabief, 35 cm d'élastique à chaque angle, ça devrait me suffire pour confectionner trois masques pour chacun.

Pour les tissus, chacun a choisi les siens, tant qu'à porter des masques pendant des semaines, autant qu'ils soient beaux ou assortis à nos tenues !

24 avril - 2

 

Et pour les prochaines réunions territoriales des scouts, je suis prête :

24 avril - 1

26 avril 2020

Défi de Virginie : 17/52 - feu

La météo ne se prête guère à allumer un feu… même si je suis bien tentée de brûler tous les branchages et les mauvaises herbes que nous avons accumulés durant ces 6 semaines de confinement. Mais c'est interdit.

Alors j'ai fouillé dans mes photos et j'ai constaté qu'il est bien difficile de faire une belle photo de feu, tant cet élément est insaisissable. Mais j'en ai trouvé une qui illustre bien notre préoccupation du moment : comment motiver les chefs et les compagnons à préparer soigneusement leur dosser de camp, alors qu'ils ne savent pas si le camp aura lieu ? Préparer un budget quand ils ne peuvent pas connaître le mode de transport ? Prévoir, pour les compagnons, un plan B en France, voire un plan C dans la région ?

Malgré les incertitudes, il y en a une ici qui remplit consciencieusement son dossier de 24 pages, tant elle tient à son projet !

26 avril - 1

C'était le camp Harry Potter, le dernier camp de Paul en tant que chef.

 

 

25 avril 2020

Un tricot, pour changer

J'aime bien avoir un tricot en cours, mais je tricote peu : devant un film, s'il est en français, éventuellement avec sous-titres quand les dialogues ne sont pas trop bavards. Forcément, à ce rythme, je n'avance pas vite, surtout qu'il me faut souvent recommencer 3 ou 4 fois, parce que je me trompe dans le nombre de mailles, les augmentations…

Et j'ai plein de pelotes de laines diverses, données par une copinaute. Il me faut donc trouver des modèles adaptés. En octobre, lors d'un week-end normand (la belle époque !), je discutais tricot avec Mathilde, qui me dit que Chloé portait avec plaisir les petits tricots fait-main. J'avais justement avec moi, dans le but de tricoter des échantillons pendant le trajet, plusieurs pelotes de fils données par une copinaute. Mathilde a fait son choix Puis j'ai cherché un modèle qui se tricote sans coutures, que j'ai trouvé chez Drops.

25 avril - 1

J'ai fait mes premiers rangs au tricothé d'Annabelle, aux vacances de la Toussaint (quand je dis que je ne suis pas rapide). Au tricothé de février, je commençais une manche (enfin, ce jour-là, j'ai surtout débobiné toute ma pelote parce que j'avais passé le fil au travers du tricot sans m'en rendre compte, puis démêlé le gros tas de fil sur mes genoux). Et début mars, j'ai rabattu le dernier rang et réfléchi à mon prochain tricot. Hier, je me suis motivée pour rentrer les fils et donner un léger coup de fer aux ourlets. Il me faudra trouver des boutons, évidemment, je n'ai pas suffisamment de stock.

25 avril - 2

Ce modèle se tricote en partant de l'encolure, au bas des épaules, on met de côté les mailles des manches et on continue les devants et dos d'un seul tenant. J'ai ensuite tricoté chaque manche avec cinq aiguilles. Il n'y a plus à nouer les fils sous chacune des manches et le gilet est terminé, sans la moindre couture ! Le fil, d'épaisseur très irrégulière, avec une nette tendance à se dédoubler, a été un peu difficile à apprivoiser. J'avais peur qu'il cache le motif de dentelle, mais il est assez visible une fois le tricot terminé.

25 avril - 325 avril - 4

Sous les manches, six mailles sont ajoutées pour le corps du gilet, puis relevées pour les manches, ce qui évite d'avoir des trous.

25 avril - 5

Fil Deauville de Berger du Nord, coton et viscose, lavable à la main, pas de repassage.
Drops design, gilet Agnès, taille 3/4 ans, ce qui devrait me permettre de le donner à Chloé avant qu'elle soit trop grande pour le porter !

 

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20 avril 2020

Anniversaire confiné - #3

Et l'on espère que ce sera le dernier de l'année…

20 avril - 1

Le jardin est à lui seul un magnifique bouquet coloré et parfumé !

20 avril - 220 avril - 3

La Linzertorte que j'avais demandée, confectionnée par Marie.

Et quelques cadeaux surprises :

un dont je profiterai à l'automne (je me demandais pourquoi elle arrosait un coin de terre nue !)

20 avril - 4

Une étiquette de circonstance

20 avril - 5

Et la belle broderie d'Aurore, qui s'est mise aux travaux d'aiguille début mars !

20 avril - 620 avril - 7

J'ai tout de suite reconnu la photo, prise quelques jours avant sa naissance.

 

 

19 avril 2020

Défi de Virginie : 16/52 - printemps

Je renonce : pendant des années, j'ai retiré les pavés pour déplacer les eschscholtzia et les remettre dans le parterre (avec assez peu de réussite car cette fleur n'aime pas être transplantée). J'en ai semé deux années de suite, de couleurs variées. Mais il n'y a rien à faire : seuls les oranges, issus d'un mélange de graines semées en 2011, ressortent d'année en année et ces fleurs, visiblement, aiment être confinées dans un tout petit espace, puisqu'elles s'installent de préférence dans l'interstice entre deux pavés ou au pied du mur. Et c'est très beau ainsi, je les laisse donc tranquilles à présent.

19 avril - 1

17 avril 2020

Corona-couture #4 - petites choses

En vacances depuis 10 jours, j'ai eu du temps pour coudre. Lors des ajustements de toiles sur mes filles, j'ai pris l'habitude, au lieu de poser mon pique-épingles auprès de moi, je passer à mon poignet l'élastique que j'avais ajouté pour le fixer à ma machine à coudre, réalissant ainsi l'un de mes rêves d'enfant : avoir un bracelet porte-épingles ! Lorsque nous allions acheter une robe, un manteau, dans un magasin, l'ourlet n'était jamais fini et la vendeuse l'ajustait, on ne récupérait le vêtement terminé que quelques jours plus tard ; et ce petit accessoire me fascinait, je le trouvais tellement pratique.

17 avril - 417 avril - 5

Sauf que je me suis piqué plusieurs fois le poignet avec une épingle qui avait transpercé le coussin. C'est en jetant un emballage de médicaments que j'ai repéré son couvercle, aux dimensions parfaites (je suppose que le bouchon d'une bouteille de lait — je n'en achète pas — doit faire parfaitement l'affaire aussi). Deux coups de tournevis plus tard  (pour percer le bouchon), un petit coussin cousu et un élastique attaché plus tard, me voici équipée !

17 avril - 617 avril - 717 avril - 8

Chaque semaine, je reçois un mail de l'Aiguille en fête (pour patienter jusqu'à l'hypothétique édition de juin… probablement annulée, hélas) avec des idées d'activités créatives. Pami celles-ci, j'avais retenu l'adorable doudou baleine de Chouette Kit. J'ai fouillé dans les chutes de jersey velours pour en coudre un, comme ça, sans raison (et au passage, j'ai pris la résolution de trier mes tissus, car mon grand inventaire commence à dater et nécessite une sérieuse mise à jour).

17 avril - 117 avril - 2

17 avril - 3

16 avril 2020

Anniversaire confiné -#2

L'an dernier, l'anniversaire avait été un peu perturbé par l'actualité… espérons qu'il n'y aura pas de saison 3 !

Malgré le confinement, nous avons pu fêter dignement cet anniversaire. Le matin, j'ai trouvé les derniers ingrédients nécessaires au menu qu'elle souhaitait : un bò-bún (faire les courses devient un parcours du combattant : d'un côté, les pénuries commencent à reculer, à part des œufs, de la farine et des ingrédients asiatiques, les rayons se remplissent de nouveau, mais il faut maintenant attendre longtemps pour entrer dans le magasin, attendre longtemps avant de passer en caisse… presque deux heures, si l'on compte le trajet, il ne s'agit pas d'oublier quelque chose !)

16 avril - 1

Et un gâteau chocolaté, inspiré de cette recette : une couche de moelleux au chocolat dessous, une fine génoise autour, une couche de praliné croustillant, puis une mousse dans laquelle j'ai ajouté un peu de caramel (c'était très sucré, au final). Pour la déco, Paul nous manque…

16 avril - 2

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Pour les cadeaux, deux livres arrivés juste à temps (une flore et un ouvrage sur les insectes) et deux DVD de Miyazaki que Paul (présent par skype) avait pris soin de commander en avance, elle aura bientôt la collection complète. J'avais bien d'autres idées, comme une autorisation de sortie illimitée ou une cape d'invisibilité, mais je n'ai pas su les trouver, alors je me suis contentée de lui coudre une robe !

 

 

15 avril 2020

Magnolia jaune

Elle rêvait que je lui couse une robe Magnolia. J'ai un peu laissé traîner, suite à mon expérience précédente avec ce patron, et puis c'était une robe pour la belle saison. j'ai tout de même cousu une première toile, dans un vieux drap, et le verdict a été sans appel : beaucoup trop large au niveau de la poitrine, encore ! Et beaucoup trop croisé, ça tire de partout. J'ai fait les retouches pour petite poitrine, deux fois, puis totalement redessiné le devant : épaule plus basse, côté plus étroit, décolleté moins prononcé en haut. La troisième version a été la bonne.

15 avril - 4

Le 11 mars, nous étions allées au marché et Marie avait choisi cet imprimé fleuri. Le tissu doit être en polyester, il est très fin, doux et fluide, il ferait de très beaux foulards ou de la lingerie. Pour une robe, je l'ai trouvé finalement trop fin et transparent, il fallait le doubler, mais avec quoi ? J'ai fouillé dans mon petit carton et trouvé du crêpe noir qui m'avait servi à doubler… je ne sais plus quoi, mais il m'en restait un bon métrage, de quoi doubler tout le haut de la robe, sauf les manches, et les 2/3 de la jupe. Marie était un peu réticente mais je lui ai montré que cette doublure ne changeait pas le fond jaune du tissu, elle mettait même en valeur les motifs fleuris. En revanche, ma doublure était extrêment fuyante et déformable. J'ai commencé par piquer les pinces du dos, puis cousu les épaules des deux hauts, intérieur et extérieur, avant de les assembler par l'encolure et les bordures du devant. Ensuite, j'ai surjeté toutes les pièces du patron en double. J'avais ainsi des pièces relativement stables avant d'épingler et d'assembler. J'ai juste entoilé les ceintures avec une vlieseline fine pour tissus extensibles (je ne sais plus quelle référence), pour les solidifier car la forme cache-cœur les soumet à pas mal de tension.

15 avril - 1

J'ai choisi un intermédiaire entre le décolleté plongeant et le décolleté sage, mais j'ai tout de même fait une petite couture pour le maintenir dans des limites raisonnables, sinon Marie n'osera pas porter sa robe ! 

15 avril - 2

J'avais une fermeture invisible blanche (j'en avais aussi une jaune et pensais pouvoir enfin la caser, mais elle était trop courte) que je n'ai pas eu de mal à poser (j'améliore ma technique à chaque fois) et j'ai grandement apprécié d'avoir mon pied à ourlets étroits pour ourler les manches.

15 avril - 1 (1)15 avril - 2 (1)

Après un peu d'hésitation (je me demande toujours si les coutures vont passer sans problème), j'ai également fait un ourlet étroit pour le bas. Et, grande première, j'ai arrondi la robe grâce à Lucie, qui est équipée d'une pince à ourlet (bon, en vrai, j'ai simplement fait tourner la pince autour du mannequin, épinglé juste au-dessus, puis recoupé le bas, car mes panneaux avaient des longueurs très inégales. Mes souvenirs d'arrondissage d'ourlets, debout sur la table de la salle à manger devant Marie, restent un traumatisme, ça n'en finissait pas ! Alors, vive Lucie !

15 avril - 3

je n'ai pas assez insisté pour qu'elle mette ses chaussures à talons ! 

 

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