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28 février 2021

Défi 52/2021 : Bidule

Bidule : non masculin, objet dont l'usage est plus moins identifié, et qui traîne depuis des années dans un récipient quelconque posé sur la commode de la chambre ou sur le meuble de l'entrée, déposé à l'occasion d'un ménage approfondi ou à l'issue du montage d'un meuble Ikea. D'où l'expression « Qu'est-ce que c'est que ce bidule ? » lorsque l'on vide ce récipient pour y chercher une pile, une clé allen ou une barette ; en général, on replace aussitôt le bidule, parce que « ça peut toujours servir ».

Sachez que j'ai dégoté, non pas un, mais deux bidules ! Je connaissais l'existence du premier, mais je ne savais plus où il se cachait. Pour le second, après la phrase rituelle, j'ai trouvé quelle était son utilité et j'espère me souvenir de son emplacement la prochaine fois que j'en aurai besoin, ça m'évitera un quart d'heure d'énervement.

Vous devinez ?

28 février - 1

Bravo à Pascale pour le bidule n°1 : c'est effectivement un accessoire qui permet de presser jusqu'au bout les tubes de dentifrice ou de crème (les tubes métalliques, plus précisément ; pour le plastique, je préfère couper le tube en deux avec des ciseaux)

Bravo à Bouchot qui a identifié le bidule n°2 : un outil d'horloger pour changer les piles et les bracelets de montre !

 

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26 février 2021

Quelques bouts de laine

Avec le Chouette calendrier, je me suis remise au crochet. Il m'a fallut d'abord m'équiper, puisque je n'avais que des crochets à dentelle, trop fins pour les kits fournis.

En quelques soirées (j'aime avoir les mains occupées devant un fim), j'ai crocheté quelques-uns des modèles proposés :

Le sac en filet, pour des courses raffinées 

26 février - 6

Le petit pingouin trop mignon

26 février - 3

Les peignes-nœuds, à offrir à une petite fille

26 février - 5

La petite maison caché-clés (je n'ai pas crocheté la cordelette pour le porte-clés, je lui cherche un autre usage)

26 février - 4

Le porte-gourde ne me semblait d'aucune utilité (trop fin), mais je l'ai transformé en pot à crayons : je l'ai durci au sucre, fait sécher sur le verre qui m'avait servi de gabarit, puis garni intérieurement de papier pour éviter que les stylos ne passent au travers de la dentelle.

 26 février - 8

Enfin j'ai vu, sur Tempsquifile, ce modèle de chaussons-bottes au tricot. J'ai récupéré quelques pelotes de laine entamées, à Ste Adresse, restes des pulls et gilets de nos enfants. Pour chaque pelote, ou presque, je me souviens du vêtement tricoté : l'écru, les rayures d'un gilet de style marin ; le bleu ardoise, un pull Bourriquet. Les petits chaussons sont parfaits pour utiliser de petites quantités de laine, en plus de compléter joliment un cadeau de naissance !

Je me suis d'abord lancée dans le premier chausson, détricoté la première semelle pour changer d'aiguilles (je tricote trop serré), puis une seconde fois pour diminuer la taille du bourrelet — ma laine écrue est un peu plus épaisse que la bleue – enfin décousu et défait le dernier rang du chausson terminé, parce que j'avais trop serré mes arrêts de mailles, le chausson risquait de faire garrot sur de petits mollets rebondis. Une petite demi-journée pour chaque botte, c'est un ouvrage gratifiant !

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23 février 2021

Les écureuils sont de sortie

Une trousse pour une petite Jeanne, née fin septembre. Je devais la coudre à l'automne, mais le confinement d'octobre (quand allais-je revoir la collègue qui me l'a commandée ?) et l'impossibilité d'utiliser le logiciel de ma brodeuse, depuis le changement de disque de l'ordinateur, m'avaient un peu découragée. Les problèmes informatiques résolus, j'ai pu composer la broderie comme je le souhaitais. Paul se chargera de la livraison, il habite la même ville que ma collègue, qui sera ravie de le revoir : elle l'a connu lorsqu'il avait quelques jours à peine !

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21 février 2021

Défi 52/2021 : c'est le pied !

On va continuer dans les plaies et bosses, mais cette fois, la photo est d'actualité :

48h après mon passage au bloc, après que l'infirmière m'a libérée, de bonne heure ce matin, du gros pansement compressif post-opératoire qui m'a fait souffrir toute la nuit, quel bonheur de prendre une douche, assise sur une chaise, puis de me préparer pour aller déjeuner chez ma meilleure amie ! Double bonheur, d'ailleurs, puisque nous n'aurons pas à nous embarasser de masques ou gestes barrières : nos amis ont eu le covid, tous les quatre, il y a trois semaines, et ne sont donc ni contaminants, ni contaminables. Une toute petite parenthèse de normalité dans ce monde de fous.

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Et puis je reviendrai dans mon univers réduit à une trentaine de pas autour de la chambre d'amis, confinement dans le confinement…

 

15 février 2021

Quand l'obstination paie

Trois semaines avant Noël, Marie m'a encouragée à me coudre une robe pour Noël « Ça fait des années que tu mets ta robe bleu marine ». Je n'étais pas très enthousiaste, à cause de l'incertitude sur le déroulement des fêtes, mais elle a insisté et j'ai décidé de m'offrir le patron que je lorgnais depuis plusieurs mois : Mademoiselle Joséphine de PM-patterns, en ajoutant des manches grâce au tutoriel offert. Elle a ajouté qu'elle m'imprimerait le patron en A0 ! 

Nous sommes allées ensemble choisir le tissu (crêpe de viscose), le choix était très limité en magasin, je souhaitais une autre matière pour les manches, idéalement de la dentelle, je me suis rabattue sur de la mousseline, et à part du noir et du blanc, il n'y avait que ce rose, qui ne m'enchantait pas trop, mais parfaitement identique pour les deux tissus.

J'ai évidemment fait une toile, dans un vieux drap. J'ai coupé une jupe de 20 cm de long, une manche papillon et un mancheron. Tout était parfait, à part les fronces qui partaient un peu en biais (ce n'est pas le cas sur les modèles présentés sur le site, mais toujours visible sur les robes cousues par diverses couturières), j'ai donc décalé les repères de 2 cm vers les côtés. Et dans la foulée, j'ai coupé mon crêpe et commencé l'assemblage. Et puis les problèmes sont arrivés…

Par précaution, j'avais décidé de préparer les manches à l'avance, de les fermer sous le bras par une couture anglaise, puis de les ourler avant de les monter sur la robe. Bonne idée ! J'ai d'abord tenté d'utiliser mon pied à ourlet étroit et ce fut une catastrophe, l'ourlet gondolait, ou laissait échapper le tissu. J'ai fini par jeter la manche et en recouper une nouvelle, puis piqué un ourlet classique, tout doucement, sans tirer. Ensuite, j'ai réussi à coudre le devant en décalant les milieux d'1 cm. Je m'en suis aperçue en essayant la robe, une fois la fermeture posée. Pas de panique, j'ai décousu soigneusement, repassé les fils de fronces et recousu correctement.

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Et je suis arrivée à la parementure ! Je me doutais qu'elle ne resterait pas en place. J'ai tenté de la couper dans un coton fin : échec. Je l'ai donc faite en crêpe, malgré l'épaisseur et la légère élasticité du tissu, je l'ai piquée dans les coutures d'épaule et le long de la fermeture, j'ai essayé ma robe : la parementure sortait sans cesse.

C'était le 23 décembre, le temps pressait. J'ai décidé de surpiquer le tour de l'encolure, tout en sachant que c'était une mauvaise idée. 
Effectivement : la parementure s'enfuyait toujours et la surpiqure tirait par endroits et gâchait le côté raffiné du crêpe. De plus, ma robe était trop grande ! J'avais sous-estimé la souplesse et l'élastité du crêpe par rapport au drap de la toile.

Le 24, j'ai porté la robe pour le réveillon, mais j'étais déçue. Puis j'ai réfléchi : l'idéal, pour régler le problème de la parementure, était de doubler le haut. Mais au niveau des fronces, avec un tissu un peu épais, j'aurais une sur-épaisseur trop importante. Et la ceinture devait être maintenue, mais là encore sans la doubler, comme préconisé par le modèle. 

Enfin, je me suis lancée : j'ai décousu tout le haut de la robe. Comme toutes mes coutures étaient surjetées, avec du fil de couleur identique au tissu, j'y ai passé une semaine, j'en avais des crampes dans la main !

Puis j'ai recoupé le corsage une taille au-dessous. Enfin, j'ai dessiné une parementure-doublure, de façon à ce qu'elle soit prise en partie dans les emmanchures et dans la taille, mais en laissant libres les parties froncées. Les photos de l'envers de la robe montrent bien cette demi-doublure.

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Enfin, j'ai sous-piqué la parementure sur les valeurs de couture de l'encolure et l'ai surpiquée dans les coutures d'épaules.

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Pour donner de la tenue à la ceinture, je l'ai entoilée avec du coton thermocollant (destiné à protéger l'envers des broderies), coupé dans le biais. J'ai réussi une seconde fois l'exploit de faire correspondre exactement tous les repères.
La fermeture invisible ne l'est pas vraiment : je n'ai pas trouvé la bonne couleur et je l'ai cousue à 2 mm du bord, car dans ma première version, cousue presque au ras des mailles, elle passait très difficilement les coutures et j'ai eu peur de la déchirer (vécu plusieurs fois avec des vêtements du commerce)

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La doublure du dos a permis de régler aussi le problème de l'effilochage du tissu (pourtant surjeté) et des fils qui se prennent dans la fermeture. Reste à coudre un fin biais le long de celle-ci, au niveau de la jupe.

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Enfin, je suis fière de ma couture et je porterai ma robe avec plaisir, lorsque l'occasion se présentera…

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… ce qui n'est pas pour tout de suite ! Photos prises par - 4°C, il fait tellement froid et sec que le tissu est chargé d'électricité statique et me colle aux jambres (ce n'était pas le cas le soir de Noël)

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14 février 2021

Défi 52/2021 : partie du corps

Ah, tu ne sais pas ce que tu as fait là, Virginie ! Voilà une photo que je n'avais jamais osé publier, et pourtant en posant devant l'objectif (parce que je n'avais que ce moyen pour voir l'étendue des dégâts), j'avais dit à mon (ou ma) photographe du jour « si je la poste sur mon blog, j'aurai des centaines de visites ». Alors, voilà.

Un petit chemin bien raide que l'on redescend, des graviers qui roulent sous les pieds et une pierre qui dépasse, là, juste sous mon postérieur, au moment où je glisse.

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Et le lendemain :

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7 février 2021

Défi 52/2021 : Arbre en hiver

Heureusement que Virginie a précisé, la semaine dernière, que cet arbre serait notre fil rouge au long des quatre saisons ! Il m'a semblé plus pertinent de choisir un arbre fruitier. Impossible cependant, dans notre petit jardin, d'isoler un seul arbre. Le sujet principal sera le cerisier, mais le bouleau s'invite forcément en arrière-plan. Nous l'avions planté il y a une dizaine d'années : notre voisin avait proposé que nous achetions un cerisier ensemble, et que nous le plantions juste contre la clôture, afin de profiter en commun des cerises. Et je dois dire qu'à part les premières années, où les oiseaux se sont servi largement plus que leur part, et un printemps trop pluvieux où les cerises ont pourri sur les branches avant de mûrir, la nature est généreuse !

Pour l'instant, les branches dénudées servent de perchoir aux mésanges, qui ont besoin de se poser plusieurs fois, de plus en plus près de la mangeoire, afin de vérifier qu'aucun danger ne les menace. La méfiance de ces oiseaux est incroyable ! Les rouge-gorge préfèrent picorer les graines tombées au sol, bien à l'abri sous l'oranger du Mexique.
Le bouleau, lui, accueille le nichoir à balcon, assez haut perché pour être hors d'atteinte de Gribouille, le chat acrobate des voisines.

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4 février 2021

Bonheurs de janvier

Dans la morosité ambiante, il m'a semblé vital de recommencer à noter mes petits bonheurs du jour. J'ai connu un gros coup de blues au début du mois, en constatant que j'étais très isolée de mes collègues, pour la plupart tellement débordés qu'ils ne m'informent plus de rien, ni des projets qui ne me concernent pas directement (et dont j'entendais parler, dans la vie d'avant, à la pause-café ou dans les couloirs), ni même de la sortie des livres que j'ai mis en page du printemps à l'automne ! J'ai même été "zappée" à une réunion. Pire, j'ai été accueillie, lors d'un bref passage au bureau, par un « Tu es encore là, toi  Ça fait au moins un an que je ne t'ai pas vue ! » — « Heu… le premier confinement n'a commencé qu'il y a 10 mois et je suis revenue tout septembre et octobre, quand même ! »
 — « Ah bon, je ne m'en souviens pas ». Très agréable, de la part de la standardiste que je salue tous les matins en arrivant…

La météo maussade et quelques petits déboires domestiques ont achevé de me déprimer, heureusement qu'il y a tout de même eu de bons moments.

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1/ Ciel bleu, grand soleil, brunch du nouvel-an avec les filles, puis nous partons à pied goûter chez des amis. Nous rentrons à 20h04, ce couvre-feu est vraiment trop tôt (ah, ah, je ris !). 2/ Je prépare une pâte feuilletée maison, puis une galette pour la manger avec nos amis de toujours, venus en coup de vent, avant de terminer la journée par une messe animée avec notre clarinettiste préférée. 3/ Enfin, le lycée d'Aurore nous envoie une attestation pour la raccompagner le dimanche soir en toute légalité. 4/ Dans la série "où est notre deuxième place de parking ?", j'appelle le syndic, qui m'informe qu'il existe un plan détaillé de ce labyrinthe et me l'envoie (quand je m'étonne qu'aucun copropriétaire n'ait connaissance de ce plan, on me répond que personne ne l'a jamais demandé). 5/ J'appelle ma collègue fraîchement retraitée et nous discutons longuement. 6/ Trois cartons déposés chez Emmaus, le garage redevient praticable. Marie ouvre la lettre recommandée arrivée ce matin et découvre… la conversion de son CDD en CDI, avec 6 mois d'avance ! 7/ Mon kindle ne démarrait plus après être resté trop longtemps déchargé, mais je trouve sur un forum une manipulation improbable qui le ressuscite (appuyer 40 secondes !! sur le bouton). 8/ Aurore qui rentre tôt cet après-midi : sa prof de philo est absente et elle n'a pas de DS demain. Je m'étonne, à chaque fois, de voir qu'à l'instant où elle pose sa valise devant la porte, Gribouille est là pour quémander des caresses (nous n'avons pas ce privilège). Nous fêtons le week-end en commandant un repas libanais. 9/ J'essaie une nouvelle recette de cake au potimarron. 10/ Nos voisins viennent partager le dessert (avec quelques distances) et restent tout l'après-midi, ça fait du bien de discuter un peu plus que sur le pas de la porte. 11/ Le cadeau de Noël offert par Paul et Marie arrive enfin, il a passé plus de 3 semaines en quarantaine à Roissy ! 12/ Un devis demandé en mai, reçu en octobre, un rappel de notre part hier et… les ouvriers arrivent ce midi, mais n'ont pas le bon devis ni la VMC à installer ! Pendant qu'ils attendent que leur conducteur de travaux (c'est le troisième que nous voyons à ce poste en 6 ans et visiblement, il ne fait toujours pas l'affaire) leur apporte le nécessaire (45 minutes), nous leur offrons un café et leur donnons des nouvelles de la rue : ils ont refait notre isolation, ainsi que celle de deux maisons voisines, changé nos fenêtres et se souviennent bien de nous et de nos habitudes ! 13/ Fatiguée, ces jours-ci, j'ai beaucoup de peine à me lever le matin et je me traîne toute la journée. Une courte réunion territoriale, suivie d'un coup de fil de Paul et Alice, puis je rejoins la conversation skype de Guillaume avec le parrain d'Aurore et nous sommes au lit de bonne heure, malgré tout (vive le confinement). 14/ Le panier de légumes contient exactement ce que je voulais : chou-fleur, poireaux, potiron, salade. 15/ Marie garde le sourire, malgré le sort qui s'acharne contre elle (beaucoup de pertes/casses cette semaine) 16/ Il neige à gros flocons, nous repoussons à demain la visite chez Paul et Alice. 17/ Un bon moment passé chez nos jeunes, un retour un peu stressant (pas facile d'estimer l'ampleur des bouchons pré-couvre-feu et nous trouvons mon filleul et son adorable chérie devant la maison : ils s'arrêtent pour la nuit sur la route de leurs vacances. 18/ Blue monday ? Pas du tout : il fait beau, nos visiteurs repartent en milieu de matinée, après le travail, je regarde un concert auquel nous aurions dû assiter, puis j'appelle mon Tonton préféré pour prendre de ses nouvelles (elles sont bonnes). 19/ Paul s'invite pour le déjeuner, après sa mise à jour vaccinale. 20/ Une réparation réussie suffit à me mettre en joie pour la journée ! 21/ Je retrouve le bureau pour mon entretien individuel : j'y vais à vélo, je discute avec les collègues présents, fais le point sur mes activités à venir, puis rentre sous un véritable déluge : je suis trempée jusqu'à la petite culotte ! Un bon repas de fête préparé par Guillaume et Marie me remet d'aplomb (et Aurore est rentrée !). 22/ J'aime bien avoir tout mon monde à la maison : Aurore a son premier jour de cours à distance. Une raclette pour bien terminer la semaine. 23/ Des amis nous ont invité pour la galette. Avec une bonne distance entre nous, nous passons l'après-midi à discuter de vive-voix, ça fait du bien ! 24/ Neige, le retour. Guillaume part pour Le Havre, je fais un tour d'étang avec Marie, puis nous vidons une bibliothèque (de l'eau renversée s'est infiltrée dessous) et faisons un grand tri des BD et albums enfantins. Puis je reconduis Aurore en un temps record grâce au couvre-feu qui a vidé l'autoroute et le périph. 25/ Désœuvrée, j'attends qu'on m'envoie du travail en rangeant mes fichiers, puis l'autre bibliothèque de l'étage. Un coup de fil me rassure, j'aurai du travail demain. Pendant ce temps, au Havre, la cuisine est démontée, avec une bonne surprise : les meubles tenaient par leur propre poids, le carrelage est donc intact (à part 45 ans de saleté accumulée), et l'électricien s'active. 26/ La valise commandée dimanche soir est déjà là ! Aurore aura une bonne surprise (espérons que la sienne tienne le coup samedi, toutes les coutures lâchent). Guillaume nous envoie des photos du chantier en cours, le poseur travaille vite et bien. 27/ Je passe la journée à découdre ma robe de Noël, qui était trop grande. Le soir, nous continuons avec Marie notre intégrale Harry Potter commencée… en octobre. 28/ Super, le changement de compteur inopiné ! Un quart d'heure de coupure l'électricité, mais toutes les pendules à remettre à l'heure, je bataille avec le radio-réveil puis laisse tomber, mon téléphone fera l'affaire. J'appelle mon Papa : la vente de leur maison est confirmée (après 3 ans presque sans aucune visite) et ils achèteront la nouvelle le même jour (et se préparent activement au déménagement en triant, donnant, vendant meubles et objets). 29/ Une petite séance de musique avec Marie, avant de poursuivre notre programme de cinéma. 30/ Aurore rentre pour déjeuner, puis file aux portes-ouvertes de son ancien lycée pour retrouver sa grande amie, Guillaume rentre ravi de sa semaine havraise (et moi, j'ai profité du silence), nous prenons la voiture pour acheter du tissu et chercher une souris pour Marie, mais le couvre-feu (et la fermeture annoncée des centres commerciaux) a des effets indésirables : il nous faut 25 min pour sortir du parking du magasin (et pas de souris à essayer). 31/ Un après-midi passé à coudre avec Marie, en écoutant de la musique et en buvant du thé, pendant que la tempête fait rage au-dehors.

1 février 2021

Roulement de tambour

Puisqu'il y avait 11 participantes, j'ai fait cela à l'ancienne. J'ai écrit les noms sur de petits papiers avec ma plus belle plume.

1er février - 11er février - 2

Puis j'ai appelé la main innocente  (qui m'a prêté sa boîte à bazar) et…

1er février - 3

Bravo Mme Chapeau !

 

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