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24 avril 2022

52/2022 :La mer grise

Le thème proposé aujourd'hui par Virginie est une citation : 

« La mer était belle, d’un gris d’orage, on l’entendait gronder sa colère contre les hommes qui la pillent sans vergogne », Nadine Monfils, Les folles enquêtes de Magritte et Georgette : À Knokke-le-Zoute !

24 avril - 1

La mer est grise, mais se colore vers l'horizon. Le ciel est plombé, mais s'illumine dans un coin. Comme dans ma tête : j'étais heureuse mais fatiguée de cette journée scoute qui a finalement pu avoir lieu… mais deux bien tristes nouvelles m'attendaient et c'est le gris qui prend le dessus, ce soir.

 

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20 avril 2022

Collection été 2022 #1

La météo plus que printanière de la mi-mars m'a incitée à attaquer la couture d'été : en août dernier, j'ai constaté que l'une des jupes que je porte régulièrement était dans un triste état. La couleur était bien passée, mais surtout, le tissu était tellement usé qu'il se fendait le long des plis.

20 avril - 520 avril - 6

J'ai cherché sans succès un coton uni de la même teinte, mais finalement, c'est un tissu fleuri qui m'a tapé dans l'œil aux coupons de St Pierre. Je ne commande jamais en ligne sur ce site car j'ai constaté, au fil de mes passages en magasin, de grandes variations de qualité des cotons qui peuvent être magnifiques, souples et doux et, quelques semaines plus tard, grossièrement tissés et raides, parfois avec un même motif imprimé ! Cette fois, c'était un jour de chance et j'ai dû me raisonner pour ne prendre que 2 coupons, un pour ma blouse et un pour ma jupe.

20 avril - 2

J'ai choisi la facilité en coupant des bandes de 21 cm de haut, que j'ai ensuite froncées puis cousues en augmentant la largeur de chaque volant (environ 1,3 à 1,5 fois le précédent). Ça fait beaucoup de fronces à répartir et épingler ! Enfin, j'ai replié 3 cm en haut pour y passer un élastique et j'ai posé une fermeture invisible sur le côté.

20 avril - 1

Je l'ai terminée juste avant le retour du froid et l'arrivée du covid à la maison, de sorte que les photos ont dû attendre un peu.

20 avril - 320 avril - 4

L'élastique de la ceinture est très souple, je vais devoir le reprendre sous peine de perdre ma jupe ! 

 

 

17 avril 2022

52/2022 : petit bonheur

C'est Gilsoub qui a proposé le thème de ce dimanche, pour le défi photo de Virginie.

Mes petits bonheurs, voilà des années que je les note, en essayant d'en trouver un chque jour. Parfois (comme ce matin), je les relis…

mais je n'ai pas eu besoin de fouiller mes souvenirs, des bonheurs, il y en a plein ce week-end pascal :

- traverser le sous-bois tapissé de jacinthes, l'un de mes bonheurs d'avril (la photo pourrie de l'Iphone, en revanche…)

17 avril - 3

- fêter l'anniversaire de Marie (juste tous les trois, c'était un peu étrange)

17 avril - 4

- terminer ma future robe préférée de l'été

17 avril - 5

 

- le concert venu clôturer des mois de répétitions, qui s'est bien déroulé

17 avril - 2

(et le spectacle qui a suivi et s'est achevé juste à temps pour nous permettre d'avaler quelques bouts de pizza…
« Vous mangerez ainsi : la ceinture aux reins, les sandales aux pieds, le bâton à la main. Vous mangerez en toute hâte : c’est la Pâque du Seigneur » (Livre de l'Exode, 12)
… avant de filer à l'église pour une Vigile de 3h30, encore plus intense que les autres années, avec ces baptêmes par immersion (même si le montage de la piscine a passablement perturbé la répétition) 

Peut être une image de 3 personnes, bougie et feu

- la première sieste dans le hamac, avec de joyeuses conversations chez de lointains voisins en fond sonore et le parfum de l'oranger du Mexique et du lilas

17 avril - 6

et, petit bonheur et pas des moindres :  ce n'est pas fini ! 

 

12 avril 2022

20 ans !

Après la grande fête surprise de ses 17 ans (quelle bonne idée j'avais eu !), puis deux anniversaires confinés, voici encore une date importante que nous avons fêtée très modestement en raison du calendrier. En effet, la jeune fille vient de passer 10 jours enfermée dans sa chambre (dommage que la météo ne mui ait pas permis de s'installer au jardin), à lire et relire à voix haute ses fiches du matin au soir. Elle sortait (masquée) pour se préparer un thé ou un goûter, allait marcher une demi-heure et nos repas se prenaient dans la salle, à chaque bout d'une très longue table. Mais finalement, le défi a été tenu et elle a échappé au cluster familial !

11 avril - 5

Elle avait établi la liste des mets qu'elle souhaitait sur sa planche apéritive d'anniversaire.

11 avril - 3 

(C'est Marie qui a eu l'idée de confectionner des lettres de sablés au parmesan)

11 avril - 4

Et bien sûr, le fraisier traditionnel que Marie a décoré (que ferais-je sans elle ?)

11 avril - 111 avril - 2

Et puis dimanche midi, nous l'avons laissée à la gare de Bercy, avec 3 amies, en partance pour Dijon où ces demoiselles ont choisi très pertinemment, de passer le concours (sinon, c'était un entrepot de Rungis, l'enfer !), en ayant réservé un appartement à 20 min de marche du lycée, histoire d'oxygéner leurs cerveaux chaque matin avant de plancher pendant 6 heures (et ce durant 6 jours !). Elles fêteront donc Pâques là-bas, entre deux ultimes révisions.

10 avril 2022

52/2022 : la beauté me plaît…

Virginie a choisi, pour ce dimanche, une citation de Jean-Louis Guez de Balzac : « La beauté me plaît en quelque lieu que je la rencontre » (voilà un auteur, contemporain de Descartes, dont je n'ai jamais rien lu et dont je connaissais à peine le nom)

On pourrait disserter sur « Qu'est-ce que la beauté ? » ou « Existe-t-il une beauté universelle ? ». Ce que l'un de nous trouve beau sera jugé "moyen" ou "moche" par un autre. Mais l'auteur parle bien de « beauté qui plaît », autrement dit un jugement totalement subjectif.

Il m'est arrivé, pas très souvent finalement, d'être submergée par la beauté d'un lieu, d'une œuvre d'art. Mais je pense qu'il n'y a que ce jour-là que j'en ai eu le souffle coupé et les larmes aux yeux :

10 avril - 1

 

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4 avril 2022

Le tour du monde en 80 livres #2

C'est un petit challenge lecture créé par Bidib. Au cours du mois de mars, en huit livres, j'ai visité sept nouveaux pays, sur quatre continents et je m'aperçois, avec ce récapitulatif, que j'ai lu une majorité d'histoires féminines.

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Afrique

Algérie :
Kamel Daoud, La préface du nègre : le Minotaure 504 et autres nouvelles. Un athlète algérien qui court le marathon aux JO, le monologue d'un chauffeur de taxi, un militaire qui expose son prototype d'avion, un nègre, engagé par un vieillard analphabète pour écrire ses mémoires, et qui profite de la situation, un nouveau Vendredi, tombé d'un avion, cinq personnages qui s'interrogent « Qu'est-ce qu'être algérien aujourd'hui ? », cinq nouvelles par l'auteur de Meursault, contre-enquête. Un petit recueil qui donne à réfléchir.

Maroc : 
Mohamed Leftah, L'enfant de marbre

Nigeria : 
Chigozie Obioma, Les pêcheurs. Quatre frères profitent de l'absence de leur père pour aller pêcher dans un lieu interdit, jusque-là rien d'anormal, quels enfants ne font pas de bêtises ? Mais une prophétie lancée par Abulu le fou et les supersitions qui les hantent provoqueront une série de drames au sein de la famille. L'histoire est triste, mais magnifiquement racontée par l'un des garçons, un peu comme un conte.

Rwanda :
Gaël Faye, Petit pays.
Scholastique Mukasonga, L'iguifou, nouvelles rwandaises. 

Beata Umubyeyi Mairesse, Tous tes enfants dispersés.  

Sénégal:
Birago Diop, Les contes d'Amadou Koumba. Ces contes font penser aux Fables de La Fontaine ou au Roman de Renard (avec Golo le singe dans le rôle de Renard). Du côté des humains, on pense à Perrault, Grimm, en lisant l'éternelle rivalité entre les épouses Khary et Koumba, ou des histoires de chasses miraculeuses. Ruses, vantardise, tromperies, c'est le pouvoir des mots qui est ici raconté : « Comme le miel dans l'eau, la parole, bonne ou mauvaise, se dissout dans la salive qui en garde une part de puissance ».

Fatou Diome, Celles qui attendent. Sur cette petite île, il est difficile de joindre les deux bouts et les femmes rivalisent d'efforts pour nourrir et habiller leurs enfants. Les jeunes gens qui n'ont pas la chance d'avoir fait des études n'ont d'autre choix que de devenir pêcheurs… ou d'embarquer sur une pirogue à detination de l'Espagne. Commence alors, pour leurs mères, leurs épouses, une attente qui se compte en mois, puis en années, pour avoir des nouvelles ou voir revenir celui qui est parti depuis si longtemps qu'il les a peut-être oubliées. Au village, la vie continue : mariages, naissances, décès, rivalités entre épouses, amitiés fidèles et résurgences du passé.
« Arame, qui récurait la vaisselle de son maigre déjeuner, sursauta. C'était Bougna qui venait de pousser le portail avec le débordement d'une digue rompue. La vague qui ne laisse aucune crique tranquille, c'était bien elle. »
« Ce n'était pas un roman, c'était le fleuve Sénégal qui se déversait des lèvres d'Arame et rien ne semblait pouvoir l'endiguer. Elle expliquait, commentait, moralisait, se flagellait et le scribe l'écoutait, captait et consignait l'essentiel. Mais malgré ce tri, Lamine allait, enfin, tout apprendre du forfait de Daba, mais surtout de la part insoupçonnée du passé de sa propre mère. »

Amérique

États-unis :  
Jack London, Martin Eden

Mexique :
Laura Esquivel, Chocolat amer. 

Carlos Fuentes, Une certaine parenté

 

Asie

Japon :
Haruki Murakami, Le passage de la nuit. 

Vietnam :
Kim Thúy, Man. Man quitte Saïgon pour épouser un Vietnamien installé au Québec. Dans le restaurant de son mari, elle fait revivre les plats traditionnels de son enfance tout en s'imprégnant de la culture occidentale. Une lecture poétique, qui m'a rappelé Le Restaurant de l'amour retrouvé d'Ito Ogawa. Chaque page raconte un souvenir et porte en marge un mot vietnamien.

« Les mères enseignaient à leurs filles à cuisiner à voix basse, en chuchotant, afin d'éviter le vol des recettes par les voisines, qui pourraient séduire leurs maris avec les mêmes plats » : ớt hiểm (piments vicieux)

Europe

Allemagne :
Eduard von Keyserling, Altesses.
« Tu ne sais pas, dans ton château, ce qu’est la vie. Tu crois, pour t’être risquée un jour dans le parc sans permission, avoir accompli je ne sais quel exploit pour lui. Mais ce n'est plus le moment de penser à ces enfantillages… » Avec sa mère et ses sœurs, retirées à la campagne, la jeune princesse Marie s'ennuie et aimerait oublier sa condition d'altesse. Hélas, dans l'Allemagne de 1905, chacun doit rester à sa place : une princesse n'épouse pas un comte, même en secondes noces, un comte n'épouse pas une jeune bourgeoise, le mariage n'a pas pour but le bonheur et l'on peut mourir pour avoir essayé d'échapper à son destin… malgré tout, ce roman est très plaisant à lire, les évocations de la nature, des couleurs, des sentiments ne sont jamais fastidieuses.

France :
Maurice Leblanc, Arsène Lupin

Riad Satouff, Le jeune acteur
Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art
Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi et Les racines du ciel)

Hongrie :
Magda Szabó, La porte et Abigaël.

Islande :
Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande

République Tchèque (merci Laurence !) :
Kafka, Le procès et La métamorphose

Royaume-uni :
Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno

Suède :
Camilla Läckberg, Femmes sans merci. Birgitta, Ingrid, Victoria, trois femmes prisonnières de leur mariage, humiliées, trompées, maltraitées, qui subissent leur sort en silence… jusqu'à la goutte d'eau de trop. Elles vont alors préméditer des crimes parfaits. 
« Cette zone résidentielle était une prison pour femmes sans barreaux, les femmes y étaient retenues par leur amour et leur devoir envers leurs enfants. Ingrid, n'allait pas assassiner un homme, elle allait libérer une femme ». Une fois commencé ce court roman, je l'ai lu presque d'une traite jusqu'au bout !

je pensais n'avoir lu, en fait de littérature suédoise, que des policiers, avec la série Millenium. Mais j'ai lu également ces dernières années deux romans légers (Katarina Mazetti, Le mec de la tombe d'à côté et Jonas Jonasson, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, ainsi que La saga des émigrants (7 tomes) de Vilhelm Moberg.

 

Océanie

Australie :

Joan Lindsay, Pique-nique à Hanging Rock. 14 février 1900 les jeunes pensionnaires de Mrs Appleyard partent pour leur pique-nique annuel de la fin de l'été, au pied d'un massif rocheux. Quand, tard dans la nuit, le groupe regagne le pensionnat, trois jeunes filles et une maîtresse ont disparu. Qu'a-t-il bien pu se passer, cet après-midi-là, sur le rocher ? Tous ceux qui sont, de près ou de loin, liés à cet événement en resteront marqués à jamais.
« Des années plus tard, lorsque madame Montpellier racontait à ses petits-enfants l'étrange histoire de la panique dans une classe australienne – il y a cinquante ans, mes enfants, mais j'en rêve encore –, la scène avait pris les dimensions d'un cauchemar. »

 

3 avril 2022

52/2022 : sorcellerie

C'est le thème que nous propose ce dimanche Virginie.

Point de sorcellerie chez nous, mais si j'avais des recettes de potions et d'incantations pour chasser le virus et, surtout, l'empêcher d'entrer dans une certaine chambre où la future candidate révise ses cours à voix haute, 9 jours avant le concours qu'elle prépare depuis deux ans, croyez-moi que j'en userais et abuserais. À défaut, on se contente de masques, gel hydroalcoolique et ouverture des fenêtres malgré le froid !

J'aimerais parfois avoir une formule magique pour revenir trois ans en arrière, lorsqu'une équipe de jeunes sorciers avait transformé la maison, le temps d'une soirée :

3 avril - 13 avril - 2

3 avril - 33 avril - 4

3 avril - 53 avril - 6

3 avril - 73 avril - 8

2 avril 2022

Beaux souvenirs de mars

Malgré les tristes nouvelles d'Ukraine, malgré les courbes de l'épidémie qui repartent à la hausse, on a cru au printemps et aux retour des beaux jours. Nous avons jardiné, j'ai déjeuné avec d'anciens collègues, nous avons participé à deux bals, enlevé les masques (sauf dans les transports, les magasins, les lieux très fréquentés), retrouvé nos activités en soirée (et la fatigue qui va avec). La fin du mois a mis un terme à cette relative euphorie, puisque le covid nous attaque au plus mauvais moment. Mais sous une forme très légère et… Aurore semble être épargnée, pourvu qu'elle tienne ! 

2 avril - 1 

Pêcher, cerisier, mirabellier sont en pleine floraison et voici la neige et le froid !

 

2 avril - 1 (1)

1/ Dîner festif pour mardi gras, avec un bel arc-en-ciel de légumes
2/ Obtenir un devis du menuisier est 1000 fois plus facile que du couvreur ! Et ils ont du bois en stock et un créneau avant l'été.
3/ Marie, une fois de plus cas-contact (et patraque), est toujours négative.
4/ Cette journée de télétravail (avec, en fond sonore, Aurore qui commente des tableaux) m'a été offerte par l'électricien du bureau.
5/ Avec le grand ami de Marie, nous remettons de l'ordre dans les plantations devant la maison.
6/ Dans le parc, je passe près de deux couples qui répètent un reel irlandais.
7/ La visite d'une collègue, jeune retraitée, pour animer un peu ce lundi froid et morose.
8/ Des pommes et des clémentines du marché, pour la semaine.
9/ Le vent du nord a tourné au sud, le soleil est là, une vraie journée printanière !
10/ Emily in Paris, pour nos soirées "entre filles" avec Marie (les soirs de CA de l'Amap), c'est plein de clichés, un peu "téléfilm de Noël", mais ça repose.
11/ Aurore, presque au bout de ses concours blancs, plus détendue que dimanche dernier.
12/ Limours, le retour ! Les danseurs sont un peu moins endurants, les musiciens aussi, mais c'est bon de se retrouver trois ans après.
13/ Déjeuner chez des voisins, puis concert Beethoven et Schubert (ce n'était pas tout à fait le programme prévu, mais le violoniste, malade, a été remplacé au pied levé par un brillant élève !)
14/ Batch cooking du lundi efficace (couscous, galettes chou-fleur-carottes, potée au chou rouge et pain de seigle, malgré le long coup de fil avec la RG des marins.
15/ Je vais courir dans cette curieuse lumière orange (le sirocco)
16/ Une petite heure au jardin pour planter un jasmin, désherber la rhubarbe qui s'est divisée toute seule et constater que le rosier qui semblait mort est reparti du pied, le mirabellier est couvert de boutons floraux et le nichoirs à mésanges est occupé.
17/ Soirée scouts fort agréable (j'aurais préféré éviter le détour de 20 km pour cause de sortie ratée…)
18/ Retour du beau ciel bleu (et du froid, on ne peut pas tout avoir) et la perspective d'une journée de repos.
19/ Par ce beau samedi ensoleillé, j'attaque la couture pour l'été, j'ai besoin de renouveler mes jupes, usées jusqu'à la trame.
20/ Voir danser et s'amuser mes filles au bal de la St Patrick (j'en ai loupé quelques mesures !)
21/ Le temps vraiment printanier m'aide à garder les yeux ouverts malgré la fatigue (mes nuits ne s'améliorent pas)
22/ Il est des journées où je ne travaille vraiment qu'une heure (en revanche, j'ai aidé un collègue au traitement d'images, sauvé des fichiers antédiluviens et proposé des solutions techniques pour la suite, envoyé des textes d'anciens livres, converti un CD en fichiers mp3 pour une conférence et passé un certain temps avec le support de mon logiciel pour régler 3 problèmes plus ou moins cruciaux)
23/ Un agréable déjeuner parisien avec J., l'arrivée de la convocation tant attendue, mon trajet vers Arcueil avec un CD que je n'avais pas écouté depuis longtemps, une réunion scoute régionale, pour consolider les liens.
24/ Le covid est arrivé à la maison (Guillaume), mais Marie et moi semblons résister.
25/ Rien de tel qu'un petit test antigénique (négatif) pour commencer une belle journée ensoleillée.
26/ Une soirée crêpes, ça faisait longtemps.
27/ Enfin, l'Amap a retrouvé un maraîcher, ça nous promet de beaux légumes.
28/ Nos stagiaires de troisième sont en général motivés et dégourdis, mais celui-ci apprend vite et bien, pose des questions pertinentes et résoud de lui-même tous les petits problèmes techniques et musicaux qu'il rencontre.
29/ Marie est malade, j'ai subitement mal à la gorge… un petit PCR de précaution, je tombe sur un infirmier sympathique et habile (je n'ai rien senti)
30/ Test négatif, je peux aller chercher Aurore (en gardant le masque, quand même), qui entre en phase de révisions.
31/ À part le mal de gorge et la toux, je n'ai pas de fièvre et je suis assez en forme pour aller courir 3 km malgré le froid, le test de demain devrait confirmer que j'ai échappé au virus.

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