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attraper le temps qui file…

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10 mars 2016

10 du 10 : une journée sans…

Le thème proposée par J'habite à Waterford était "leitmotiv". Comme Frenchlily il y a 18 mois, avec "fil rouge", l'idée était qu'un objet apparaisse dans les 10 photos. Sauf que je n'avais pas la moindre idée d'objet à garder toute la journée, et puis les petites contrariétés se sont accumulées… je décrète donc que pour moi, le thème sera "une journée sans" (il en faut bien de temps en temps pour apprécier à leur juste valeur les petits bonheurs des autres jours !)

Après un réveil difficile, un trajet sans anicroche, j'arrive devant la porte qui me conduit au bureau : fermée, sans explication ! Je devrai dorénavant, le soir, parcourir toute la longueur du bâtiment, descendre 4 étages et refaire le chemin en sens inverse par la rue, au lieu de sortir ditrectement au niveau de la gare). C'est une conséquence du plan vigipirate (avec 4 mois de retard donc…), au moment où les mesures de sécurité sont assouplies un peu partout ailleurs.

10 mars03

Comme ce n'est pas mon jour, je renverse le café en le mettant dans le filtre.

10 mars01

Mais, heureusement, je ne renverse pas ma tasse sur mes notes ! (joli sous-tasse rapporté d'Allemagne par Aurore)

10 mars02

Le retour, par la rue donc, me permet d'observer l'état du bâtiment : l'humidité fait des ravages !
Une grande partie de l'enduit a dû être enlevée.

10 mars04

Ce panneau d'avertissement me fait rire : aucun risque de voir passer un train à cet endroit,
les voies sont à une vingtaine de mètres, à l'étage au-dessous.

10 mars05

Ce n'est qu'une fois devant la pharmacie que je réalise que j'ai laissé l'ordonnance à la maison

10 mars06

Nos voisins font effectuer les mêmes travaux que nous, avec la même entreprise (les chicanneries amicales entre Antonio et Mohamed nous manquaient… au passage, ils nous ont gentiment remplacé une tuile qui s'était échappée du toit)

10 mars07

Un peu de réconfort après cette journée : un bon couscous hivernal

10 mars09

Et comme notre panier de l'Amap contient un chou kale, je vais essayer cette recette

10 mars10

(avec une méthode toute personnelle pour presser le tofu - pour finir, j'ai remplacé la bouteille par la cocotte en fonte)

10 mars08

Et puis, et puis… la reprise du Pilates après 3 semaines d'interruption (ouille !) et la réponse à ma question : pourquoi mes photos sont-elles si moches  aujourd'hui ? Il suffisait simplement de nettoyer l'objectif !

Bon, ça ira mieux demain…

 

 

 

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9 mars 2016

Défi 52 carrés #9

Le carré du jour, assez simple à coudre, finalement. Je n'ai plus guère de problèmes d'alignement, avec ma nouvelle technique (couper les pièces bien plus grandes que nécessaire, marquer toutes les lignes de couture au fur et à mesure et recouper ce qui dépasse)

9 mars2

Et le repas asiatique du jour, cuisiné par Paul tout seul : poulet au tofu et champignons noirs, petite salade de soja-carottes au sésame… délicieux !

9 mars1

8 mars 2016

Vacances romaines #4

Dernier jour, un gros orage a éclaté hier soir, il a plu une partie de la nuit mais ce matin, le ciel est tout bleu ! Comme nous n'avions pas laissé de caution, nous pouvons quitter l'appartement dès que nous sommes prêts. Un peu de rangement, un dernier tour pour vérifier que rien n'a été oublié avant de claquer la porte… et nous disons adieu à notre logis provisoire (dans la maison de Rossini !)

 8 mars018 mars02

Astuce du jour : avec le développement des locations d'appartements se pose le problème des bagages. À l'hôtel, vous pouvez déposer vos bagages à la réception en quittant votre chambre. Ce n'est pas possible quand vous louez à un particulier, le départ se faisant vers 10h en général. À Barcelone, nous avions pu garder l'appartement jusqu'à 16h car il n'était pas loué les jours suivants. À Londres, nous avions déposé notre gros sac à la consigne de la gare et porté toute la journée nos sacs à dos. À Rome, nous sommes tombés dès le premier jour sur une consigne à bagages à deux pas de l'appartement. Un service qui est amené à se développer largement, je pense, dans les grandes villes touristiques.

Allégés de notre sac, nous voici partis vers l'un des musées nationaux de Rome, le Palazzo Massimo, consacré à la Rome antique : statues, fresques et mosaïques de villas romaines (installées selon leur disposition d'origine, c'est très réussi et les couleurs sont incroyablement préservées), sarcophages spectaculaires (notamment ceux représentant des batailles) et au sous-sol, une immense collection de monnaies, de bijoux et d'objets de la vie quotidienne (dont l'ancêtre de Barbie, toute articulée). Encore une fois, je suis impressionnée par les connaissances d'Aurore, qui me fait une lecture détaillée de bas-reliefs.

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Aux origines du Dear Jane ?

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Les premières Barbies : leur morphologie a quelque peu évolué au cours des siècles…

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Comme nous sommes près de la gare Termini, aucun souci pour trouver nos pizzas du jour, que nous mangeons en établissant notre programme de l'après-midi, histoire ne n'avoir aucun regret (tant pis pour les thermes de Dioclétien).

Ce sera donc : le musée du Palazzo Altemps (ce cardinal a fait réparer les sculptures antiques qui lui plaisaient le plus, elles ont donc retrouvé des nez, des bras… c'est parfois maladroit mais témoigne d'une époque, un peu comme les reconstitutions de Viollet-le Duc ; par ailleurs, ce palais est une splendeur : tout comme au Louvre, on en oublie les vases ou les statues pour garder les yeux au plafond — j'y aurai gagné un début de torticolis)

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Les ruines du jour (forums d'Auguste et de Trajan)

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Puis le Panthéon, même si ce n'est pas le plus beau monument romain (Paul et Marie tentent une mise en abyme)

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et partout, nous croisons des écossais en kilt : le match Italie Écosse a eu lieu quelques jours auparavant)

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St Ignace de Loyola (un peu décevante à côté du Gesu, mais une belle exposition de sculputures d'arbres basée sur l'encyclique Laudato si)

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Une dernière glace avant de récupérer notre sac, acheter notre pique-nique du soir et nous diriger vers la gare du Trastevere

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Voilà, c'était un beau voyage. Je me suis fait la réflexion, quelques jours plus tard, qu'il n'y a eu aucune dispute chez nos ados, aucune plainte (à part quelques "j'ai mal aux pieds ou j'ai faim" qui nous concernaient tous) ; chacun y a trouvé son compte (et pourtant, à une époque, ils n'étaient pas tous amateurs de visites d'églises ou de musées). Des ados qui ont grandi et qui acceptent encore de partir avec leurs parents *, c'est quand même très chouette !

 

* et qui remercient !

 

 

 

 

7 mars 2016

Anton, Ivan, Boris et moi

C'est peut-être à cause de La clé des champs qui donne des titres de chansons à toutes ses coutures que j'ai cet air dans la tête depuis 2 jours !

C'est une période riche en naissances : cette semaine, j'ai commencé cinq trousses pour bébés !

Ma brodeuse travaille sans répit, et (presque) sans défaillance depuis que je lui ai offert une nouvelle capsule à canette (elle a quand même sauté quelques points et cassé quelques fils, mais rien  à voir avec les soucis qui me faisaient appréhender chaque nouvelle broderie dernièrement).

La première trousse est destinée au petit frère d'Alexey  (et cousin de Robert).

7 mars2

Et pour changer des broderies de trousses, j'ai répondu à une demande de Mamanlit pour sa Poulette, qui va rentrer à Poudlard (au moins pour une journée)

7 mars1

La joie avec laquelle ces petits travaux sont reçus par leurs commanditaires compense largement les heures de ta-ca-ta-ca-tac de la brodeuse que je dois supporter !

 

6 mars 2016

Vacances romaines #3

Ce matin, direction le Vatican. Comme notre appartement est vraiment bien situé, nous y sommes en 10 minutes de marche. Nous avions déjà visité le musée il y a 10 ans, il faut bien compter la demi-journée et impossible de visiter juste la Chapelle Sixtine. Nous décidons de nous limiter à Saint Pierre.

25 février01

Rome est en état d'alerte, les Carabinieri sont présents en nombre partout, ainsi que des véhicules blindés de l'armée, deux militaires avec mitraillettes sur toutes les places, devant tous les bâtiments officiels ou touristiques. Les églises dépendant du Vatican (Saint Jean de Latran, St Pierre, Ste Marie Majeure) ne sont accessibles qu'après un contrôle similaire à celui de l'aéroport (portique et scanner pour les sacs), probablement en raison de l'année de la Miséricorde durant laquelle les Portes Saintes sont ouvertes et les pélerins encore plus nombreux que d'habitude. Il nous faut donc trouver une cachette pour le canif de Paul avant de passer ces contrôles (canif très utile pour partager les pizzas du midi).

Bon, Saint Pierre, c'est grandiose, fastueux… mais trop chargé à mon goût.

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Ensuite, Marie veut absolument visiter les jardins de la Villa Médicis, le plus bel exemple de jardins italiens selon son professeur. Nous nous dirigeons donc vers la Piazza del Populo et montons sur le Pincio.

25 février05     Aurore tente le selfie avec Pythagore ! 25 février06

 

C'est un peu compliqué de trouver notre pique-nique, les boutiques de mode et les restaurants chics sont plus nombreux que les pizzerias. Puis nous cherchons le bar pour prendre nos "quattro caffe" avant de gravir les escaliers de la place d'Espagne (nos mollets se seront bien musclés durant ce séjour). Il y a 10 ans, nous avions pu jouer les privilégiés en rendant visite à l'une des pensionnaires de la Villa. Désormais, les visites sont possibles, mais nous ne pouvons pas voir tout le parc, juste le labyrinthe. Ceci dit, le guide est très intéressant, nous comprenons bien la différence entre l'extérieur (la résidence assez sobre d'un cardinal, en pleine contre-réforme) et l'intérieur (bas-reliefs pillés sur les ruines romaines et placés un peu partout, symboles de la puissance d'une famille prestigieuse, peintures de dieux et déesses fort déshabillés aux plafonds, maison "de campagne" d'un cardinal qui avait une maîtresse, elle-même fille de cardinal et petite-fille de pape…)

 

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En sortant (pliés en deux pour passer la porte), hop, hop, pas de relâchement, on file à Sainte Marie Majeure (troisième passage de Porte Sainte).

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Enfin, nous rentrons sans oublier de lever la tête ou d'entrer dans une cour qui nous fait signe… (il faut rester vigilant, la beauté peut vous tomber dessus à tout moment)

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Et nous flânons dans les rues, avant de passer dans notre boulangerie préférée acheter des napoletano, ces gâteaux consistants qui nous avaient laissé un souvenir impérissable (avec ça, on peut marcher encore une bonne heure !)

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25 février 125 février 18

L'astuce du jour : nous mangeons pour pas cher le midi (en moyenne 20 à 30 euros pour 5 bons mangeurs) et surtout, nous ne perdons pas de temps pour les visites. On trouve un peu partout (sauf autour de la Place d'Espagne, donc…) des pizzas à emporter (Forno, Pizzeria a taglio). Les garnitures sont souvent peu mélangées (deux ou trois ingrédients maximum), c'est là que nous avons découvert la pizza aux courgettes, aux pommes de terre, au pesto-mozzarella. Les parts sont vendues au poids. Nous prenons en général 7 parts différentes, que le vendeur recoupe en deux et réchauffe avant de les déposer dans une boîte. Et comme boisson, l'eau des fontaines, toutes potables. Le plus difficile est de trouver où s'installer ensuite, les bancs sont rares dans les rues de Rome !

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5 mars 2016

Voyage en Chine

C'est une expédition que nous voulions faire depuis longtemps. En général, nous y allons en métro, à la fin d'une journée de balade à Paris quand nous en avons déjà plein les jambes ; et puis il va falloir porter tout ça, reprendre deux métros, le train, nos vélos pour finir… alors nous nous limitons à l'indispensable. Et notre magasin des Cinq continents est fort sympathique, mais le choix y est parfois un peu limité ; pour continuer nos explorations culinaires du mercredi soir, il nous faut un peu plus d'ingrédients.

Donc ce matin, nous avons pris la voiture et l'autoroute, nous sommes partis de bonne heure pour éviter la cohue… et voici notre butin !

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Quelques repas chinois, vietnamiens, japonais, coréens en perspective : udon, chirashis ou bibimbaps, nouilles sautées, gyozas, bobuns… des produits dont j'ignorais totalement l'existence il y a quelques années et qui me semblent indispensables aujourd'hui (vinaigre de riz, huile de sésame, purée de piments, oignons frits, ciboule, mélange cinq-parfums, vermicelles de riz, sauce soja sucrée, pak choï…), quelques nouveautés pour des recettes que j'ai repérées : de la pâte miso, du kimschi coréen, de la pâte de crevettes, des haricots mungo. Je cherche encore parfois ces produits dans les rayons, mais je suis moins perdue devant de scentaines de produits inconnus (je n'ai pas encore franchi l'étape de la boucherie ou de la poissonnerie, quoique je trouve que la propreté du magasin a beaucoup gagné au fil des années ;  et je ne suis pas encore prête non plus à goûter les oreilles de porc grillées ou les œufs de cent ans)

Et mercredi prochain, c'est Paul qui cuisine, il a commandé du tofu et des champignons noirs…

4 mars 2016

Vacances romaines #2

Après une nuit de 11 heures, nous sommes frais et dispos…  bien frais, surtout, après la douche froide ! Le propriétaire ayant promis de passer dans la matinée, nous partons pour le Forum impérial. Avec le Mont Palatin, c'est une visite qui peut durer plusieurs heures, nous avons donc renoncé à tout voir. Les jardins Farnèse, avec leurs allées d'orangers ou citronniers, apportent une petite diversion bienvenue au milieu de ces ruines. Grâce à ses cours de latin et son voyage, l'an dernier, en Provence, Aurore a joué les guides : elle est incollable sur l'histoire de Rome, de Romus et Romulus jusqu'à la chute de l'empire, en passant par la monarchie et la République, sans parler de la mythologie ou de la symbolique des sculptures.

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Deux bonnes heures plus tard, après un peu de marche, nous trouvons de quoi reprendre des forces.

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Et puis… le Colisée, Saint-Jean de Latran, sa Porte Sainte et sa particularité acoustisque (deux interlocuteurs placés au pied de deux colonnes opposées des bas-côtés peuvent tenir une conversation murmurée à plusieurs mètres de distance), le baptistère situé juste derrière, la traversée du Parc del Celio (un peu de calme), des glaces, évidemment, et la Bocca della Verita (même pas peur !)

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Pour finir, l'église del Gesù qui fait pousser des cris d'admiration à nos jeunes (les jésuites voulaient en mettre plein la vue, c'est réussi) et une flânerie au fil des rues malgré la fatigue et nos pieds endoloris (en essayant d'ignorer les vendeurs à la sauvette qui veulent obstinément nous refourguer des perches à selfies).

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Cerise sur le gâteau, un supermarché à deux pas de là nous épargne une fastidieuse recherche et… de l'eau chaude à notre arrivée dans l'appartement (et le chauffage à fond, ce qui n'était pas vraiment nécessaire) !

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L'astuce du jour : pour visiter le Colisée, prenez vos billets au Forum (les billets sont couplés), vous éviterez la file d'attente interminable. Ce billet est valable deux jours (et je regrette de ne pas avoir pensé, le lendemain, à retourner voir le temple de Castor et Pollux que nous avions manqué). Pareil pour les tickets d'entrée au Museo Mazionale Romano qui sont valables trois jours de suite dans les quatre musées (Palazzo Mazzimo, Crypte Balbi, Thermes de Dioclétien et Palazzo Altemps) .

 24 février 09

 

 

3 mars 2016

Défi 52 carrés #9

Hier matin, je n'étais pas certaine de tenir mon défi… est-ce sur le tarmac que j'ai pris froid ? Dans l'avion ? Sur les quais de gare, samedi matin, en allant acheter des tissus ? Depuis dimanche, j'avais mal à la gorge ; mardi, j'ai senti venir le rhume ; hier matin, j'avais mal aux côtes à force d'éternuer, la tête lourde, les yeux larmoyants. Pourtant, c'était le seul jour possible pour faire quelques achats indispensables, nous sommes donc partis, Paul au volant… et alors qu'il était arrêté à l'entrée d'un rond-point, une voiture nous a percutés. Le remplissage de constat en plein vent dans le froid ne m'a pas arrangée…

Les giboulées de l'après-midi (vent, neige, pluie, grêle) m'ont peut-être influencée quand, ayant trouvé un carré pas trop long à coudre, j'ai sorti des chutes de velours milleraies. Avec l'aide de ma petite règle graduée en inches et de mon stylo friction (merci Mitzi, pour le conseil, c'est vraiment génial !), j'ai tracé au fur et à mesure les lignes de couture et n'ai eu qu'une seule couture à défaire.

3 mars1

Ça avance doucement, donc, je progresse un peu, mais les carrés les plus compliqués (ceux que je devrai coudre dans deux ans) m'effrayent encore au plus haut point !

2 mars 2016

Vacances romaines #1

Histoire de ne pas faire comme tout le monde, au lieu d'aller au ski, nous sommes partis prendre un peu d'avance sur le printemps… à Rome (en fait, nous n'étions pas les seuls et c'est drôle de retrouver dans les rues des familles qui étaient dans l'avion du départ).

 23 février 123 février 2

Partis au petit matin sous la pluie, nous avons enlevé blousons, puis pulls une fois sur place. Nous avions choisi le train pour venir de l'aéroport, c'est donc à la gare de Trastevere que nous avons débarqué et là… l'accueil n'est pas très reluisant. Mais c'est cela aussi Rome : les façades miteuses, les trottoirs sales, le bruit, les voitures et scooters qui forcent le passage. Il faut un temps d'adaptation pour que le charme agisse (surtout après une si courte nuit) mais soudain, au bout d'une rue : pas de doute, nous sommes en Italie !

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Traînant notre sac à roulettes sur les pavés disjoints, nous avons parcouru le quartier, visité une première église. Tiens, la crèche est toujours là (quelques décorations de Noël également, dans les rues ou les vitrines), mangé nos premières parts de pizza, sommairement assir sur des murets (les bancs sont rares), les enfants ont découvert le secret pour boire aux fontaines (avec arrosage intempestif)

23 février 5

Nous avons gagné la Piazza Navona, visité l'église Ste Agnès (en travaux lors de notre dernier voyage), puis avons rejoint notre appartement, dans la maison de Rossini, à deux pas de tout !

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Une courte pause et un thé plus tard, nous repartions vers Saint-Louis-des-Français (ah, le Caravage !) la fontaine de Trévi (Aurore, légèrement échaudée à Bruxelles, nous a demandé si c'était aussi décevent que le Manneken-pis… heu, comment dire ? Non, tu ne vas pas être déçue par les dimensions, c'est grandiose !), non sans nous arrêter tous les 100 mètres pour admirer une maison, une fontaine, un bas-relief, une obélisque (il faudrait les compter)

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… et bien sûr, un passage par la petite église, juste derrière,  qui ne paie pas de mine, mais où se trouve un autel qui nous rappelle notre service de mariage.

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En fin de journée, après la recherche laborieuse d'un supermarché (les adresses notées avant le départ étaient assez fantaisistes), les klomètres parcourus et le réveil matinal se faisaient sentir. Une fois nos pâtes avalées, nous nous sommes couchés tôt, après avoir envoyé un SMS au propriétaire pour lui signaler l'absence d'eau chaude…

 

L'astuce du jour : si vous ne voulez pas payer une fortune pour votre petit café du midi (vécu : 2 cafés allongés et 2 biscuits en terrasse = 15 euros en 2006 !), prenez un expresso au comptoir ! 1 euro maximum pour un fond de café bien serré (et un verre d'eau à la demande), le double si vous vous asseyez…

23 février 10

24 février 2016

Défi 52 carrés #8

Cette fois, je suis contente de moi ! J'ai corrigé les petits décalages au fur et à mesure de la couture, en n'hésitant pas à découdre 1 cm par-ci, par-là.

24 février1

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