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attraper le temps qui file…

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11 mai 2023

Dernière de 2022, première de 2023

Je parle des trousses bébé ! La première m'a été demandée par une ancienne collègue, pour l'un de ses petits-neveux, mais je n'ai pas réussi à la remettre en main propre, j'étais absente à chaque fois qu'elle passait, l'échange s'est fait par un tiroir de mon bureau. Du coup, j'avais oublié de publier les photos ici.

11 mai - 111 mai - 3

 Je dois varier les tissus et les motifs, afin que les petits-cousins aient tous des trousses bien différentes. J'avais trouvé ces robots mignoons au salon CSF.

11 mai - 211 mai - 4

 Et c'est aussi à ce salon que j'avais acheté ce coton aux joyeuses baleines :

11 mai - 711 mai - 5

 J'ai brodé et cousu pour le petit Joachim, dont la maman est revenue mardi de congé maternité (comme elle est japonaise, j'ai un peu hésité pour les baleines, mais elles sont tellement mignonnes…)

11 mai - 611 mai - 8

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10 mai 2023

Le questionnaire de Dr Caso

Avec un peu de retard, avec ce lundi férié qui m'a désorientée, mes réponses au questionnaire de Dr CaSo.

  • Qu’est-ce qui vous a fait peur cette semaine ?

Le jeune conducteur qui s'est brutalement rabattu devant nous, sans clignotant ni regard dans son rétroviseur (c'est là que je vois que Marie, qui a abandonné son A depuis quelques mois, a de bons réflexes). 

10 mai - 2

contrairement à nos habitudes, les voitures ont beaucoup servi la semaine passée

 

  • Questions de Bleck : Cornage de la page du bouquin en cours ou utilisation d’une serviette hygiénique ou ticket de métro usagé ou carte postale ou liste des courses ou le livre reste ouvert sur la machine à laver la vaisselle ?

J'ai longtemps corné (je ne le fais plus puisque les livres ne sont pas à moi) ou mémorisé le numéro de la page en cours, j'ai quelques beaux marque-pages, que j'utilise quand je remets la main dessus, mais pour mes lectures autour du monde, j'utilise le papier de réservation de la médiathèque, sur lequel je note les passages que je souhaite citer.

10 mai - 3

  • Vous arrive-t-il de vous traiter de tous les noms, d’être vraiment fâché.e contre vous-même ?

Bien sûr ! Dernières fois : samedi, lorsque je me suis aperçue que j'avais acheté un "prolongateur d'alimentation" (dont je ne sais à quoi il sert, vu que les raccords n'avaient pas le bon diamètre) au lieu d'un tuyau d'alimentation de lave-linge. Et dimanche soir, quand je suis allée enfermer les poules dans le noir et que j'ai mis les pieds dans une auge remplie d'un fond de sable et de beaucoup d'eau de pluie, que j'ai moi-même laissée traîner dans le passage : je me suis aspergée d'eau sale jusqu'à la taille, mais j'aurais pu faire une mauvaise chute.

  • Question de Valvita: Avez-vous de bonnes relations avec vos voisins ?

Ah oui, quelle chance ! Nous avons été accueilis chaleureusement dans notre impasse, les soirées un peu bruyantes des jeunes adultes ne sont plus qu'un lointain souvenir et les quelques voisins acariâtres ont déménagé (leurs successeurs sont simplement discrets). Mais notre rue est aussi une petite communauté où, tout en gardant leur intimité, tous s'entraident si besoin : prêt d'outils, d'échelles, de voitures, de place dans le frigo ou le congélateur, hébergement occasionnel de famille, surveillance de maisons pendant les vacances, accompagnement aux urgences ou à l'aéroport, clés de secours (mes voisins de droite sont très étourdis). J'ai failli, lundi, aller faire cuire mes lasagnes chez mes voisins de gauche, mais mon four (dont le thermostat s'est mis en grève) a re-fonctionné pendant 20 minutes.

10 mai - 1

nos concerts du vendredi pendant le confinement

  • Comment lacez-vous vos chaussures ?

Comme elles sont lacées quand je les achète, le n° 2 le plus souvent il me semble. Je ne cherche pas d'effet de style dans ce domaine !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

9 mai 2023

Couture pour homme : coup double

C'est le jour du défi bimestriel de Coudre et découdre "Je coud ou je tricote pour un homme" et cette fois, je ne vais pas vous montrer un caleçon, une chemise ou un polo.
J'ai commencé par une demande de Guillaume, qui trouvait sa trousse de toilette trop grande (et puis ça fait bien 25 ans qu'il la traîne), notamment pour les randonnées à vélo. Il m'en a parlé à Séville, puisque nous avions dû réduire nos bagages au minimum, avion oblige. Je lui ai parlé d'un tissu enduit aux motifs d'azuleros, je pensais qu'il le trouverait trop coloré, mais finalement, lorsque je lui ai présenté tous les cotons enduits que j'avais, il a choisi celui-ci, qui porte justement le nom de "Séville" (collection Mondial tissus 2018).
Il voulait aussi une large ouverture, j'ai trouvé un patron parfait chez Huguette-Huguette : la trousse pipelette.

9 mai - 6

J'ai imprimé simplement un quart du patron, puis j'ai élargé et allongé selon mes besoins (pour y loger la brosse à cheveux), j'ai également un peu aplati le dessus (la partie arrondie).

9 mai - 5

J'ai coupé la doublure en tissu enduit également et j'ai ajouté une petite poche à l'intérieur pour le coupe-ongles (pas sûr qu'il ne glisse pas, il faudrait trouver autre chose)

9 mai - 8

Enfin, j'ai pris un petit morceau de sangle étroite dans les coutures pour pouvoir suspendre la trousse quand il n'y a rien pour la poser.

9 mai - 7

Encombrement minimum dans le sac de voyage, je pense que je vais m'en coudre une, un peu plus haute peut-être, pour caser tous mes remèdes.

Deuxième couture : l'un de mes collègues a déménagé il y a presque deux ans et, malgré nos allusions régulières, n'a toujours pas fait de crémaillère. Mais quand il a su que Marie allait devenir sa voisine d'en face, il nous a invités à fêter la signature du bail. J'en ai donc profité pour réaliser le cadeau que j'avais imaginé. Après quelques recherches sur Etsy, j'ai trouvé une couronne proche de celle de Louis XIV.

9 mai - 29 mai - 3

Le voilà équipé pour cuisiner royalement !

9 mai - 99 mai - 1

 

 

 

 

 

 

 

 

 

8 mai 2023

La couleur de l'année

Depuis une vingtaine d'années, la marque Pantone choisit une couleur phare pour chaque nouvelle année et les créateurs de mode s'y plient. Les fabricants de tissus également et ça me fait râler, parce que l'un des avantages de coudre est justement de pouvoir s'affranchir de la mode… sauf que la couleur que je recherche, en général, est celle qui ne se fait pas, comme l'été dernier où j'avais désespérément cherché un tee-shirt ou un jersey rouge profond assorti à ma jupe (j'en ai trouvé un cet hiver dans une recyclerie).
Cette année, LA couleur est "Viva magenta" et pour une fois, Aurore est d'accord. Elle m'a demandé de lui coudre un pantalon, avec des critères précis, comme toujours en terme de coupe, de tissu et donc de couleur. Pour plus de sûreté, je lui ai demandé de m'accompagner pour choisir le tissu, je suis passée la chercher à la sortie des cours et nous avons pris la direction du Marché St Pierre (avec un petit détour par une boutique de chocolats).

Elle portait le pantalon qu'elle souhaitait que je copie, ce qui nous a permis de comparer la fluidité et l'épaisseur du tissu avec ce que nous trouvions. Ça n'a pas été facile, nous avons hésité entre plusieurs compromis pour nous fixer finalement vers un crêpe envers satin, assez lourd. Pour le patron, j'avais déjà une base : le Brooklyn de Maison Fauve (en supprimant les plis, en réduisant l'ampleur des jambes, en ajoutant des pinces sur le devant et en supprimant les poches…). J'ai cousu une toile rapide dans un crêpe fin, mais assez lourd lui aussi, reste d'une robe ratée. Il y avait quelques ajustements minimes, que j'ai reportés sur le patron, puis je me suis lancée.

4 mai - 64 mai - 7

La demoiselle souhaitant ce pantalon pour son anniversaire (10 jours après l'achat du tissu) j'avais peu de temps. J'ai coupé et cousu le bas, bâti la fermeture avant un nouvel essayage, à la suite duquel j'ai décousu la pince du devant pour la remplacer par deux pinces, repris les côtés et recoupé le devant pour ajouter une ceinture, alignée sur celle du dos. J'ai bien noté, au passage, que ça tirait un peu au niveau des coutures mais j'ai pensé que le repassage allait régler le problème. 

4 mai - 14 mai - 4

J'avais déjà, à ce stade, bien usé du découd-vite, enfin, vite… les coutures verticales sont très difficiles à défaire dans cette armure satin, elle s'enfoncent dans la matière, et je devais prendre garde à ne pas prendre les fils du tissu au lieu de ceux de la couture. En revanche, les coutures une fois défaites ne laissent pas de trace, c'est un bon point.

La demoiselle voulant des passants (pour faire joli), je les ai cousus en vitesse la veille du jour J, puis, comme les extrémités surjetées se voyaient trop à mon goût, j'ai décousu les passants (au point où j'en étais), défait les surjets que j'ai remplacés par un zig-zag plus discret. Dans la journée du 9 (le dimanche de Pâques, donc), entre deux séances de cuisine, j'ai épinglé et cousu les passants pour pouvoir lui offrir le pantalon le soir-même. J'ai donc remarqué l'erreur de positionnement d'un passant seulement lorsqu'elle a enfilé son pantalon.

4 mai - 5

À ce stade, les coutures tiraient effectivement, mais ça pouvait passer. Mais lorsque nous avons fait les photos, l'effet repassage avait cessé d'agir et je trouvais le résultat épouvantable (même si ma charmante fille m'assurait que ça allait). Alors, en plus de découdre le passant mal placé, j'ai décousu le côté d'une jambe, et j'ai fait des essais sur une chute.

4 mai - 24 mai - 3

Ma machine a toujours eu une tension de fil trop forte, j'avais déjà réglé le boîtier de canette à deux reprises. L'an dernier, elle s'est mise à débloquer complètement, je l'ai envoyée chez Stecker pour une grosse révision, mais à son retour, je n'étais toujours pas satisfaite des coutures, je devais régler la tension supérieure au-delà du maximum préconisé. J'ai donc de nouveau démonté le bloc-canette (j'en ai profité pour faire mon grand nettoyage mensuel) et j'ai desserré la vis d'un quart de tour, ce qui m'a permis de retouver une tension à peu près normale. La tension du fil n'était pas seule en cause, puisque les surjets étaient également trop serrés. J'ai réglé le différentiel au minimum, baissé les tensions de tous les fils et obtenu enfin un bord droit.
Une fois les jambes décousues puis recousues, j'avais un décalage de presque 1 cm au niveau de l'ourlet, ce qui veut dire que j'avais un peu tiré sur le tissu lors du premier épinglage et que les jambes devaient légèrement vriller. Maintenant, il y a tujours une légère tension au niveau de l'ourlet, mais j'ai remarqué cela également sur des vêtements du commerce. Je suis preneuse de conseils pour avoir un ourlet bien droit sur toute la circonférence des jambes, mais le résultat est, à mon goût, bien plus satisfaisant.

 

8 mai - 28 mai - 3

 

Et les passants du dos ont retrouvé leur symétrie

8 mai - 4

Maintenant, je vais décalquer le patron pour Marie, car c'est elle qui l'a acheté, à la base (ainsi qu'un beau tissu au coloris automnal)

8 mai - 1

 

 

 

 

 

 

 

7 mai 2023

52/2023 : Souvenirs de leur enfance

Ce dimanche, chez Virginie, ce sont les souvenirs qui reviennent : cette fois, c'est le souvenir des enfants quand ils étaient petits qui est à l'honneur.
Alors que je suis fourbue, courbaturée, d'avoir aidé ma grande à déménager, à se meubler, à aménager son studio, je me souviens de ces samedis de fin avril-debut mai où nous prenions quelques minutes de repos, sur le banc, devant la maison,  après un goûter d'anniversaire (voire entre un après-midi avec les petits et une soirée pizza avec les "un peu plus grands", parce que jamais je n'ai voulu grouper leurs fêtes d'anniversaires). 
Tant de jeux, de gâteaux décorés, d'animations, de piñatas maison, de déguisements !

7 mai - 17 mai - 4

7 mai - 57 mai - 6

7 mai - 27 mai - 3

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3 mai 2023

Tour du monde en 80 livres #14

C'est un petit challenge lecture créé par Bidib. En avril, j'ai lu 3 livres, j'ai exploré 3 nouveaux pays sur 3 continents.

le-tour-du-monede-en-80-livres-1-201x300 Source: Externe

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Afrique du Sud

Yewande Omotoso, La Voisine

Marion et Hortensia sont voisines, mais sont aussi deux vieilles femmes qui se détestent, depuis qu'elles se connaissent. Leurs affrontements verbaux, au comité de quartier, sont légendaires : « Marion n'était pas du genre à concéder des points avec autant de facilité, mais, puisqu'elle se montrait généreuse, Hortensia se devait de les ramasser. Leur rivalité était bien assez tristement célèbre pour que les autres participantes du comité se tiennent en retrait afin d'assister au spectacle. Il était de notoriété publique que les deux femmes partageaient une haine et une haie, qu'elles élaguaient l'une comme l'autre avec une ardeur qui démentait leur âge. » « Au fil des ans, les deux femmes s'étaient querellées sur bien des sujets, chaque nouvel affrontement chargé d'hostilité. En vérité, elles ne pouvaient pas être plus opposées. Hortensia, Noire, menue, Marion, Blanche, corpulente. Le mari de Marion, décédé; celui d'Hortensia, pas encore. Marion et ses quatre enfants, Hortensia sans progéniture. »
Il y a toutefois une raison pas ordinaire à leur détestation : Marion, architecte, a dessiné la maison du n°10, c'était même son premer projet d'envergure et elle y a mis tout son talent. Par la suite, elle et son mari ont acheté le n°12. Et la maison voisine a changé plusieurs fois de propriétaires sans qu'elle n'en soit avertie à l'avance. Lorque arrive Hortensia, dont les créations sont célèbres jusqu'au Danemark, c'est la goutte qui fait déborder le vase : « Quel hasard, tout de même. Avoir conçu la maison de quelqu'un d'autre comme si c'était la sienne propre, habiter juste à côté, mais jamais dedans, en devenir obsédée. Et maintenant, laisser une fois de plus échapper l'insaisissable trophée entre les mains d'une personne qui dessinait des gribouillis et appelle ça design. » 
Pourtant, à cause d'un accident, les deux femmes vont devoir se cotoyer quotidiennement et, peu à peu, découvrir d'autres aspects de leurs personnalités, de leurs passés : l'apartheid qui indispose de plus en plus Marion, elle dont les parents ont fui les persécutions contre les juifs en Europe, l'infidélité du mari d'Hortensia et cette fille cachée qu'elle doit contacter, l'histoire de leur quartier aussi, qui va bouleverser leurs certitudes. 

Serbie
Filip Grbic, Errance

Ce roman porte bien son nom : Maksim Tumanov est en souffrance psychologique depuis de longues années. Son épouse, Nina, qui n'arrive pas à être enceinte, est sur le point de le quitter, lasse de cette situation.
« 1. Je constate que je ne vais pas bien. 2. Je cherche ce qui ne va pas. 3. Je demande des conseils et des ordonnances. 4. J'ignore les conseils et les ordonnances. 5. Je bois. 6. Mon état empire. 7. J'accepte les conseils et les ordonnances de Vera. 8. Au bout de quelques semaines, je redeviens un malheureux promoteur de la pharmacothérapie. »
Le suicide de son ami de jeunesse, Viktor, vient ajouter à son mal-être. Maksim sombre de plus en plus dans l'alcool et se livre à tous les excès, tombant toujours plus bas. Lorsqu'il apprend qu'il est père d'une fille de douze ans, il tente toutefois de reprendre une vie saine, mais ce sont les effets secondaires des traitements qui vont alors lui compliquer la vie, le plongeant dans un délire mystique.
« Grâce à l'alcool, je croyais que les problèmes insolubles de ma vie étaient en fait faciles à résoudre. Alors l'alcool lui-même est devenu un de ces problèmes insolubles. »
« Il suffisait d'un verre pour me transformer en déchet sur pattes et pour me faire oublier toutes mes obligations et responsabilités. Je ne me souviens pas si ça a toujours été le cas, mais je sais que ça faisait déjà un moment et ça n'allait jamais, au grand jamais changer. »
Malgré tous ses défauts, je me suis prise d'amitié pour ce personnage, espérant à chaque fois, comme son entourage, qu'il allait enfin s'en sortir. Ma lecture a été toutefois gênée par la mauvaise qualité de la traduction (le traducteur n'est pas français) et les nombreuses coquilles de l'ouvrage. Et, à en croire les annotations au crayon du lecteur qui m'a précédée, ce n'est pas une déformation professionnelle de ma part. Non, un éditeur ne peut pas faire l'économie d'une relecture !

Arabie Saoudite
Athîr Abdallah Al-Nashmî, Une perte

Yasmine ne s'est jamais remise de la mort de son père très aimant, lorsqu'elle était enfant. Lorsqu'elle rencontre Malik, elle pense qu'il peut lui rendre un bonheur perdu et elle l'épouse malgré les mises en garde de sa mère, ue mère qui les a élevées seule, ses sœurs et elle, refusant de se placer sous le joug d'un frère, comme la tradition l'exigeait après son veuvage. Trois ans plus tard, Yasmine n'en peut plus, son mari la trompe sans cesse et lui ment, il s'absente souvent et ils ne peuvent avoir d'enfant. Mais au moment où elle décide de le quitter, elle découvre qu'elle est enceinte ! Elle choisit alors de préserver sa famille, mais ne cesse de s'interroger : doit-elle rester pour conserver un père à son fils, ne pas lui faire subir le manque dont elle a tant souffert, ou se préserver elle-même en le quittant ? Elle pense que la plus grande douleur possible est de perdre un père, elle va pourtant découvrir qu'il y a bien pire.
« Je m'assieds, je le regarde traîner sa valise jusque dans la pièce et je me demande ce qui peut bien soudain le pousser à m'amadouer, pourquoi il me gratifie d'un “Bonjour”, déploie autant d'efforts. Je me dis que les disputes entre époux sont éprouvantes, et les réconciliations bien simples ! C'est peut-être cela, le mariage ! »
« C'est vrai, ma vie, je l'ai passée sans père, j'ai mené à bout de nombreux projets sans père ; mais ma vie a été  une vie sans lui, elle m'a privée de tous les moments heureux que j'aurais pu connaître du fait qu'il soit là, tout simplement. Nahar pourra-t-il vivre cete vie-là ? … Serai-je capable, moi, de le rendre véritablement heureux s'il n'a pas de père pour le protéger ? »
« Il est épuisé, mon cœur ; lourd à cause de la mort, à cause de l'amour, du mensonge ; il est épuisé à cause d'un homme que la mort m'a ravi, et d'un homme que je perds parce qu'il me trahit. »

 

 lectures avril

 

Afrique

Algérie 
Kamel Daoud, La préface du nègre : le Minotaure 504 et autres nouvelles

Burkina Faso 
Roukiata Ouédraogo, Du miel sous les galettes.

Cameroun
Calixte Beyala, Le Christ selon l'Afrique.

Congo Brazzaville
Alain Mabanckou, Le commerce des Allongés.

Égypte
Alaa El Aswany, L'Immeuble Yacoubian.

Ghana 
Yaa Gyasi, No home.

Guinée
Camara Laye, L'enfant noir.

Mali
Aya Cissoko, N'ba.

Maroc 
Mohamed Leftah, L'enfant de marbre

Nigeria  
Chigozie Obioma, Les pêcheurs

Rwanda 
Gaël Faye, Petit pays.
Scholastique Mukasonga, L'iguifou, nouvelles rwandaises. 
Beata Umubyeyi Mairesse, Tous tes enfants dispersés.  

Sénégal
Birago Diop, Les contes d'Amadou Koumba
Fatou Diome, Celles qui attendent

Togo 
Kossi Ejoui, L'ombre des choses à venir.

 

Amérique

Argentine
Gabriela Cabezón Cámara, Pleines de grâce

Brésil 
Paulo Coelho, L'Alchimiste.

Canada :
Jean-Paul Dubois, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon (prix Goncourt 2019).
Nancy Huston, Le club des miracles relatifs.

Chili 
Luis Sepúlveda, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler et Histoire du chat et de la souris qui devinrent amis.

Colombie 
Gabriel Garciá Márquez, La Mala Hora.

États-unis  
Jack London, Martin Eden
Harper Lee, Va et poste une sentinelle.

Groenland
Mo Malø, Qaanaaq.
Mo Malø, Diskø.

Haïti
Jacques-Stephen Alexis, L'étoile absinthe.

Mexique 
Laura Esquivel, Chocolat amer. 
Carlos Fuentes, Une certaine parenté

Pérou 
Mario Vargas Llosa,  La Tante Julia et le scribouillard.

Venezuela
Karina Sainz Borgo, La fille de l'Espagnole.

Asie

Afghanistan
Spôjmaï Zariâb, La plaine de Caïn.

Cambodge 
Tian, L'année du lièvre (BD) : 1. Au revoir Phnom Penh. 2. Ne vous inquiétez pas. 3. Un nouveau départ.

Chine 
Qiu Xiaolong, La danseuse de Mao.

Inde 
Rohinton Mistry, L'équilibre du monde.

Iran 
Fariba Vafi, Un secret de rue

Israël
Amos Oz, Vie et mort en quatre rimes

Japon 
Haruki Murakami, Le passage de la nuit. 
Durian Sukegawa, Les délices de Tokyo.

Syrie
Niroz Malek, Le promeneur d'Alep.

Sri Lanka 
Antonythasan Jesuthasan, Friday et friday.

Taïwan
Xiaole Wu, Les enfants des riches.

Thaïlande
Rattawut Lapcharoensap, Café Lovely.

Vietnam 
Kim Thúy, Man. 

 

Europe

Albanie
Ornela Vorpsi, Buvez du cacao Van Houten !  

Allemagne 
Eduard von Keyserling, Altesses.
Marlen Haushoffer, Le mur invisible.


Autriche
Daniel Glattauer, Quand souffle le vent du nord. 
Daniel Glattauer, La septième vague. 

Belgique 
Amélie Nothomb, Antéchrista.
Michel Van Zeveren, Le plat du loup plat.
Nadine Monfils, Les folles enquêtes de Magritte et Georgette. 1. Nom d'une pipe !

Bosnie Herzégovine 
Miljenko Jergović, Volga, Volga.

Croatie
Ante Tomic, Miracle à la Combe aux aspics.

Danemark
Jens Christian Grøndahl, Quelle n'est pas ma joie

Espagne 
Carlos Ruiz Zafón, Marina

Estonie
Andrus Kivirähk, Les secrets. 

Finlande
Sofi Oksanen, Baby Jane.
Arto Paasilinna, La douce empoisonneuse.

France 
Maurice Leblanc, Arsène Lupin
Riad Satouff, Le jeune acteur
Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art
Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi et Les racines du ciel)
Delphine Horvilleur, Vivre avec nos morts. Petit traité de consolation. 
Jean Giono, Regain.
Daniel Pennac, Le cas Malaussène. 1. Ils m'ont menti.

Grèce
Vassilis Alexakis, Ap. J. C.

Hongrie 
Magda Szabó, La porte et Abigaël.

Irlande
Maggie O'Farell, Assez de bleu dans le ciel

Islande :
Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande

Italie 
Alessandro Baricco, Novecento : pianiste. Un monologue.

Moldavie
Vladimir Lortchenkov, Des Mille et une façons de quitter la Moldavie.

Norvège
Gunnar Staalesen, Le loup dans la bergerie

Pays-Bas
Toine Heijmans, En mer

Portugal
Gonçalo M. Tavares, Une jeune fille perdue dans le siècle à la recherche de son père.

République Tchèque 
Kafka, Le procès et La métamorphose

Royaume-uni 
Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno
Mhairi McFarlane, Et ne t'avise pas de m'embrasser.

Russie
Léon Tolstoï, La sonate à Kreutzer. Le bonheur conjugal. Le diable.

Slovaquie
Pavol Rankov, C'est arrivé un premier septembre

Suède 
Camilla Läckberg, Femmes sans merci. 
Katarina Mazetti, Le mec de la tombe d'à côté
Jonas Jonasson, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.
Vilhelm Moberg, La saga des émigrants (7 tomes)
Stieg Larsson puis David Lagercrantz, Millenium (6 tomes) 

Suisse 
Joël Dicker, L’Affaire Alaska Sanders. 

Ukraine :
Andreï Kourkov, Le jardinier d'Otchakov.

 

Océanie

Australie 
Joan Lindsa, Pique-nique à Hanging Rock

Nouvelle Zélande 
Eleanor Catton, La répétition.

Polynésie française
Célestine Hitiura Vaïte, L'Arbre à pain (Chroniques de Tahiti 1).

2 mai 2023

Avril joli

On commence par un bal, on termine par un bal, voilà la tonalité du mois d'avril : festive ! Trois anniversaires et Pâques ont bien rempli les estomacs. La fin du semestre a porutant été éprouvante pour Aurore (et pour moi, par contrecoup), entre la plate-forme MonMaster et l'énorme travail que demande chaque candidature, les devoirs de fin de semestre sans cesse repoussés ou tranformés à cause des grèves, les problèmes de transport (alternance de grèves, manques de conducteurs ou pannes électriques). Le vent du nord a soufflé sans interruption tout le mois, la pluie a été très présente aussi, si bien que je n'ai pas vu venir le printemps. Il a fallu prendre des décisions importantes très rapidement, la recherche de studio de Marie a été brève et je réalise à peine qu'à la fin du mois, nous ne serons plus que deux à la maison, jusqu'à mi-août. 

2 mai - 6

1/ Direction la Normandie, un déjeuner chez Papa, puis le stage et le bal de la Trinité (où les musiciens ont demandé grâce à 1 heure du matin, les danseurs auraient bien continué, eux)
2/ Après une très, très courte nuit, un grand tour en bord de mer, un bon déjeuner et une micro-sieste pour recharger les batteries avant de reprendre la route.
3/ Je me suis offert une jolie paire de chaussures, c'est un petit plaisir rare pour moi.
4/ Mes filles savent me faire sortir de ma zone de confort : patron délicat, tissu qui glisse et se déforme et délai très court, le tout c'est d'avoir confiance en soi !
5/ Après des jours de recherches infructueuses, Aurore trouve enfin de quoi étayer solidement l'un de ses sujets de master.
6/ Et le gros problème de son stage est résolu.
7/ Une belle célébration, calme et dépouillée, chez les Diaconesses, puis une répétition de la Vigile entre mes trois musiciens (Aurore sait encore jouer de l'alto !)
8/ Un déjeuner un peu speed entre mes répétitions, mais avec Paul, juste arrivé de Lyon, puis notre belle et très longue Vigile : l'église bondée éclairée juste par les cierges, les chants, les baptêmes par immersion, la chorale qui prolonge encore un peu la fête (Aurore a même eu son "joyeux anniversaire", puisqu'il était plus de minuit).
9/ Paul (l'autre) qui nous rejoint pour le déjeuner pascal (l'agneau de la ferme locale était délicieux), une petite sieste, l'arrivée de Paul et Alice, un petit tour d'étang pour se donner de l'appétit, puis le dîner d'anniversaire de notre Aurore.
10/ La maison pleine, une chasse aux œufs avant la pluie (une poule a réussi à en attraper un, mais ne l'a pas mangé, ouf !) et encore du temps pour profiter de mes "petits" dans l'après-midi.

2 mai - 2 (1)

11/ Une annonce pour un studio qui semble parfait en tous points, Marie a envoyé tout le dossier, on espère…
12/ Avec toutes ces pluies, les réserves d'eau vont peut-être un peu se reconstituer.
13/ Notre petite escapade estivale se précise…
14/ Grosse panne de trains, impossible de monter dans le bus, heureusement j'ai mon ordinateur. Je n'avais pas très envie de faire 10 km de vélo chargée comme une mule, avec le vent de face et sous la pluie. Aurore, qui a pu prendre le bus, a passé 5h en transports/attente pour 1h30 de cours, quelle galère !
15/ Marie est très contente de sa coupe de cheveux, de son repas d'anniversaire, de ses cadeaux.
16/ Nous visitons, avec Marie, un studio parfait (mais en compagnie de 4 autres locataires potentiels) avant d'aller au concert d'un ami et de passer un agréable moment.

2 mai - 5

17/ Après une journée un peu morose, deux très bonnes nouvelles viennent illuminer la soirée : l'attribution du studio à Marie et l'assurance pour Aurore de rester à Paris l'an prochain pour ses études.
18/ J'avais préparé un plat d'avance pour ce soir, tant mieux car je suis bannie de la cuisine : de bonnes choses se préparent pour demain.
19/ Une jolie journée d'anniversaire, avec du soleil (et un tout petit peu moins de vent du Nord), un bon dîner, de chouettes cadeaux.
20/ Le jeudi soir avant les vacances est toujours très chargé, cette fois je rejoins les danseurs et musiciens de notre groupe pour le traditionnel repas/mini-bal en petit comité, pendant que Guillaume anime sa réunion.

2 mai - 4

21/ Dernière soirée théâtrale de l'année : nous réussissons enfin à tester la toute petite pizzeria repérée depuis des mois, histoire de prendre des forces avant les 3h30 de Richard III, dans une mise en scène inventive et énergique.
22/ Les sous-bois couverts de jacinthes sont splendides, c'est un bonheur de prendre par la forêt (quand la pluie n'a pas rendu les chemins trop boueux)

2 mai - 3

23/ Un nouveau patron à tester pour une trousse bien pratique.
24/ Je m'attaque au logement d'Aurore pour son stage : quelques coups de fil, un dossier en ligne, un gros virement et la voilà assurée de ne pas dormir dans la rue pendant 2 mois.
25/ Retour de Marie, partie pour quatre jours de vacances (et sans problème de TGV, un exploit !)
26/ Nouveau travail pour ma brodeuse et un coupon de moins dans mes caisses (j'ai beau déstocker, j'ai l'impression que le niveau ne baisse pas !)
27/ J'ai eu l'impression de passer la journée chez Ikea (c'est le cas : nous y avons déjeuné) mais voilà Marie à moitié meublée.

2 mai - 1 (1)

28/ Après la signature du bail, nous déchargeons nos achats (dont le matelas de 45 kg), puis allons prendre l'apéritif chez son futur voisin  (qui gardera une clé, au cas où elle claque sa porte)
29/ Départ vers la Normandie, avec nos amis musiciens. Nous sommes très bien accueillis, la salle des fêtes est charmante, nous avons du temps pour prendre l'air (et des panachés) entre les balances et le stage et malgré la fatigue générale, nous tenons jusqu'à minuit.
30/ Après une bonne nuit, un rangement rapide, une promenade sur la voie verte et un déjeuner sympathique dans une ancienne forge, nous repartons, bien contents de ne pas travailler le lendemain.

2 mai - 7

1 mai 2023

Le questionnaire de Dr Caso

 C'est mardi, le jour de mes réponses au questionnaire du dimanche de Dr Caso

  • Qu’avez-vous fait pour le plaisir la semaine dernière ?

J'ai offert un cadeau à un collègue, sans vraiment de raison ; j'ai bu un panaché (le dernier devait dater de 10 ans !)

  • Question de Bleck : Lorsque vous jouez, vous êtes là pour gagner absolument ou principalement pour jouer, peu importe le résultat ?

 J'essaye de gagner, évidemment, mais je n'y mets pas l'acharnement de certain. Et je perds souvent aux jeux de hasard (j'ai toujours fini ruinée et endettée au Monopoly)

1er mai - 1

  • Qu’avez-vous fait de plus illégal dans votre vie ? (je ne vous dénoncerai pas !)

La plus illégale de mes actions, je pense, est d'avoir déclaré que j'avais perdu ma carte d'identité pour pouvoir en refaire une autre. Mais j'avais une bonne raison : en France, la validité d'une carte d'identité est de 10 ans. Mais en 2014, les autorités ont trouvé que c'était une bonne idée de porter cette validité à 15 ans (simplification administrative qu'ils ont dit), sauf que la date de péremption inscrite sur la carte n'a évidemment pas changé. Un ami en a fait les frais en se voyant refuser l'embarquement dans un avion pour Rome. Nous devions partie en Italie nous aussi. Impossible de demander une nouvelle carte, puisque l'ancienne était encore valable 4 ans ! (notre préfecture refuse encore aujourd'hui de renouveler une carte moins de 6 mois avant la fin de sa validité, alors même qu'il faut parfois 5 mois pour avoir un RV en mairie) J'aurais dû faire un passeport… couteux et inutile, vu ma phobie de l'avion. Alors j'ai "perdu" ma carte, ce qui m'a permis d'en demander une nouvelle pour 3 fois moins cher que le passeport. 

  • Quel est votre dessert préféré?

J'hésite, entre la mousse au chocolat, la tarte au citron, le gâteau alsacien au fromage blanc, le riz au lait bien frais… ou peut-être un éclair au café.

1er mai - 2 

  • Question de Cinabre : Quand on vous demande votre avis sur un sujet qui vous embarrasse, quelle attitude adoptez vous ?

Si je ne crains pas de me fâcher avec mon interlocuteur, je donne mon avis (à des opinions bien tranchées sur l'immigration ou l'islam, par exemple), sinon j'essaye une réponse neutre, ou je fais "oui, oui" sans répondre … (j'ai découvert des opinions bien complotistes chez des amis que je souhaite conserver)

 

 

 

30 avril 2023

52/2023 : au vert

Ce dimanche, Virginie nous propose de nous mettre au vert. C'est ce que nous avons fait : avec notre groupe, nous sommes allés animer un bal folk en Normandie, mais comme c'était à deux heures de route, nous avons prolongé les réjouissances, avec un déjeuner samedi chez notre hôte-organisatrice du bal. Après le branchement des micros et les balances, nous avons eu le temps de faire un petit tour du jardin aquatique, destiné à recueillir les crues de la Charentonne (elle est bien basse, la Charentonne, pour la saison)

30 avril - 330 avril - 5

et dans le village

30 avril - 4

nous avons découvert la bézette normande

30 avril - 1

 Le stage a eu du succès, le bal a duré jusqu'à minuit passé, malgré la fatigue des musiciens. Nous avons dormi comme des loirs dans un internat à quelques kilomètres, pour découvrir un joli paysage vallonné à notre réveil.

30 avril - 1 (1)

 

Au matin, nous avons casé tout le matériel façon Tetris dans deux voitures (le chef était rentré dans la nuit),
puis refait une promenade, cette fois sur la voie verte.

30 avril - 1 (2)

Et il n'a même pas plu ! 

 

25 avril 2023

Le questionnaire de DrCaSo

 C'est mardi, le jour de mes réponses au questionnaire du dimanche de Dr Caso, avec les photos de ma soirée de « Plus que 10 ans avant la retraite »

22 avril - 1

  • Quel est votre meilleur souvenir de la semaine dernière ?

Lundi, mes filles ont reçu de bonnes nouvelles, mercredi, on a fêté mon annniversaire, vendredi nous sommes allés au théâtre, dimanche au cinéma, je veux me souvenir à peu près de toute la semaine ! 

22 avril - 4

  • Question de Bleck: Quand vous mangez un burger, c’est à pleine mains ou couteau/fourchette ?

Je commence avec fourchette et couteau et, souvent, je termine avec les doigts.

22 avril - 2

(l'axoa, ça se mange à la fourchette en revanche)

  • Quand vous dormez, vous préférez avoir les pieds sous les couvertures ou en dehors ?

Ah, ah, quelle question ! Alors, pendant très longtemps, j'ai été hyper frileuse (et je le suis toujours), alors que Guillaume a toujours trop chaud. Le soir, il a donc les pieds au-dehors (ça tombe bien, il est grand), alors que les miens sont bien au chaud, souvent avec une bouillotte et une couverture supplémentaire de mon côté. Mais depuis quelques années et le dérèglement de mon thermomètre interne, j'alterne entre chaud et froid, grelottant sous les couvertures ou transpirant bien que complètement découverte, c'est pénible ! 

  • Question d’Adrienne (par Loulou):  Si vous pouviez donner votre nom à quelque chose, à quoi le donneriez-vous ?

 Je doute de reprendre un jour ma thèse abandonnée, je ne me vois pas écrire un roman, alors… une recette de cuisine ? J'avais remarqué, un jour, que mon pseudo était le nom d'une marque de canapés marocains plutôt moches, ça m'avait contrariée (mais c'est aussi un quartier de Rabat, ce que j'ignorais).

22 avril - 3

  • Question de Valvita: Avez-vous besoin d’un café avant de pouvoir dire que vous être réveillé.e ?

 Non, j'ai simplement besoin d'avoir bien dormi ! Le matin, je bois du thé, le café vient plus tard.

  • Souffrez-vous d’allergies ou d’intolérances ? Si oui, lesquelles ?

Heureusement presque pas ! Je ne supporte pas les matières synthétiques à même la peau et je réagis très fort aux piqûres de simulies et de moustiques, c'est à peu près tout, pas d'asthme, pas d'intolérance alimentaires, pas d'allergie aux plumes.

22 avril - 5

Trop classe, l'assiette que Marie m'a commandée !

 

 

 

 

 

 

 

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