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attraper le temps qui file…

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3 février 2019

Projet 52 de Virginie #5

Ce qui met de la couleur dans ma vie ? Les tissus, évidemment, les vêtements que je choisis colorés (je ne m'habille jamais en noir ou en gris), les fleurs (si ce n'est pas fait, allez donc signer pour le retour des coquelicots dans les champs, pétition garantie sans envoi de mails intempestifs par la suite !), les fruits d'été, mais en hiver ?

L'hiver, je prends plaisir à préparer des repas colorés et les courges me sont d'un grand secours. Pourtant, (la lecture de cette recette m'a fait m'interroger), je ne me souviens pas moi non plus en avoir mangé dans mon enfance : quelques rares gâteaux pomme-citrouille et c'est tout. Et puis, il y a 25 ans, j'ai cuisiné ma première soupe au potiron pour Halloween, et découvert les potimarrons. Puis enfin la butternut. Et aujourd'hui, pas de semaine chez moi sans un ou deux plats à base de courge, d'octobre à mars : soupes, gratins, clafoutis ou cubes simplement rôtis au four.

Une collègue de Marie, jeudi, lui a dit que ses repas étaient "parfaitement instagramables"; elle avait préparé ce jour-là des nouilles soba aux brocolis et petits pois, avec du poulet yakitori. Et vendredi, on a fait fort :

2 février - 1

Mélange sarrasin, lentilles corail, quinoa rouge, graines de courge (Carrefour bio, le meilleur produit de ce type à mon avis, et j'en ai essayé beaucoup !), courge butternut rôtie, canneberges séchées, fêta, avocat et hoummos à la betterave. C'est un peu de travail la veille au soir, mais nous alternons, chacune son tour prépare pour nous deux et nos midis sont une pause réconfortante.

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2 février 2019

Bonheurs de janvier

Un mois de janvier placé sous le signe du froid, du ciel gris, du mal de dos. Mais aussi la blancheur de la neige, mon épaule en voie de guérison, la famille de nouveau réunie et beaucoup d'activités diverses et variées (réunions, sorties, invitations, travaux…), un mois bien rempli finalement alors que nous aurions pu rester enfermés à attendre des jours meilleurs !

23 janvier08

1/ Ne rien faire : brunch avec les filles, lecture (j'ai commencé Le Docteur Jivago), sieste (j'entends la voix de Paul : il est rentré !), soupe, film. 2/ Passage à la sécu avec Marie : ça y est, elle est en règle ! (rien ne se fait tout seul) 3/ Enfin, l'infiltration a fait effet, je peux de nouveau m'habiller sans aide. 4/ Nous allons rejoindre une amie au rassemblement des coquelicots (rassemblement est un grand mot : nous sommes 14), une heure d'échanges intéressants avec les uns et les autres (et une soupe bien chaude pour se réchauffer ensuite). 5/ Aurore se lance à l'animation de messe : nous partageons le pupitre. 6/ Opération délicate pour notre ordinateur. Après quelques suées, nous réussissons à le remonter et il redémarre, ouf ! (avec ce nouveau disque dur, il a retrouvé une nouvelle jeunesse et durera quelques années de plus). 7/ Nous sommes au complet pour cette première répétition de l'année. 8/ Comme Adelles, je me réjouis de voir ma petite dernière se déplacer encore en pas chassés dès qu'elle est joyeuse. 9/ Mon cadeau de Noël est arrivé (j'ai hâte de l'essayer). 10/ Notre sapin a eu un franc succès auprès des membres de l'Amap. 11/ Un repas de fête réussi (pourtant, il y a eu quelques soucis en cuisine). 12/ Sortie au restaurant à trois, avant de récupérer une Aurore ravie de sa réunion. 13/ La rencontre avec le CCFD a donné lieu a plein de projets enthousiasmants. 14/ Je vais mieux de jour en jour, je commence à croire à ma guérison prochaine ! 15/ Une rencontre avec la toute petite Thaïs (bien cachée, blottie contre sa maman). 16/ Ce soleil dans la piscine encore vide, comme c'est beau. 17/ Un joli concert (mais il faudrait que je me motive pour assister à d'autres concerts que les hommages à mes collègues défunts). 18/ Dernière soirée de notre abonnement au théâtre, cet acteur qui restitue magnifiquement les mots d'Antoine Leiris, les larmes qui coulent doucement. 19/ Marie de retour pour longtemps et cette jeune animatrice débutante qui va apporter un peu d'air dans notre calendrier. 20/ Un bon plat alsacien pour résister au gris. 21/ Ce retour aurait pu être très pénible, mais pouvoir aider un voyageur en perdition m'a fait voir les choses sous un côté plus positif. 22/ La neige jolie… et Marie enchantée de son premier jour de stage. 23/ Un joyeux moment avec les Spuntini qui inaugurent leur expo photos. 24/ Le trajet à pied vers la gare, en compagnie d'Aurore et dans la neige, passe plus vite. 25/ De temps en temps, L. prend le même train que moi : 10 minutes pour nous raconter les dernières nouvelles de nos jeunes, autrefois scolarisés et catéchisés ensemble. 26/ Par un samedi pluvieux (et chargé), préparer un gâteau en buvant un thé est réconfortant. 27/ Nous avons tellement apprécié le repas de dimanche dernier que nous recommençons (avec d'autres amis) : Baeckeoffe, puis invisible aux pommes et coulis de caramel au beurre salé. 28/ Le planning que j'ai proposé pour cette publication convient à mon éditeur, il ne me reste qu'à le tenir (mais j'ai compté large). 29/ En découvrant l'ampleur des normalisations de la bibliographie, je me suis un peu affolée ce matin mais j'en ai fait 15 % dans la journée… et à la fin, je lirai le danois ! 30/ Et revoilà la neige, avec le soleil en prime. 31/ Le peintre commence notre chambre avec 12 jours d'avance, nous sommes partis en voyage dans le salon et regardons notre film sous la couette à côté du feu de cheminée.

1 février 2019

Le tour du monde des soupes #15

Direction Chypre, avec une soupe simple à préparer, qui nécessite peu d'ingrédients et malgré tout, a beaucoup de goût : la fasoláda. Comme ce nom signifie "fève", j'ai remplacé les haricots blancs de la recette par des fèves achetées en épicerie orientale, que j'ai fait tremper toute la journée avant de les cuire. Comme elles sont décortiquées, elle se sont un peu délitées à la cuisson, c'est moins photogénique mais ça rend la soupe plus onctueuse. Le goût des carottes et céleri de notre Amap est incomparable, beaucoup plus concentré que les légumes achetés aileurs (peut-être parce qu'ils ont poussé avec très peu d'eau). Les tomates sont en boîte, évidemment ! Et le jus de citron donne une touche originale.

31 janvier - 1

 

30 janvier 2019

Mon Everest à moi

Il me faisait peur, ce carré G6. J'avais commencé la petite étoile centrale l'année dernière, je ne l'avais pas trop mal réussie et… je m'étais trompée de couleur pour le centre ! J'avais décousu, sauvé deux des côtés (les autres n'avaient pas résisté à l'opération), j'avais recommencé mais eu quelques déboires. Finalement, je m'y suis remise, sur quelques jours, j'ai accumulé les erreurs (en inversant deux côtés à la fin, j'avais un hexagone déformé à la place d'un carré) mais j'ai fini par obtenir un résultat assez satisfaisant (je sais, il y a des décalages de la grande étoile).

31 janvier - 1

Et puis j'ai terminé un carré commencé pendant l'été 2018 (vu de près il n'est pas très réussi…)

31 janvier - 2 

Celui-ci aussi a été cousu cet été

31 janvier - 7

Et j'en ai cousu quatre autres

31 janvier - 331 janvier - 6

31 janvier - 531 janvier - 4

J'avais dit 52 carrés par an… j'en ai cousu 31 en 2017 et 3 en 2018, si je veux voir la fin de ce plaid avant ma retraite, je vais devoir redresser la barre ! Comme je me perdais un peu dans mes tissus bleus, je les ai triés : dans le bac à chutes, ceux qui ont été cousus deux fois, puis d'un côté ceux qui ont servi à coudre un carré (à ré-utiliser donc) et de l'autre ceux qui n'ont pas encore servi. Un vrai gain de temps au moment de faire mon choix (faire correspondre la taille du motif ou l'épaisseur  du tissu aux découpes du carré et éviter que le tissu choisi jure ou ressemble trop à ses voisins est un véritable défi parfois).

Je me suis fixé comme priorité de remplir les lignes trop vides (M par exemple) :

Dear Jane

 

 

 

27 janvier 2019

Projet 52 de Virginie #4

Le mot de la semaine est "enfantin". Voyons, qu'est-ce que j'ai gardé de mon enfance ?

Mon humeur qui se met immédiatement au beau fixe dès qu'il commence à neiger.

La peur du noir (mais le plus souvent, j'arrive à la surmonter).

De la musique, des chansons dans ma tête, toujours.

Le goût pour les nounours en guimauve (je résiste, je dois en acheter une fois tous les deux ans)

L'habitude de lire plusieurs livres à la fois (Balzac dans le train et le soir au moment de m'endormir — ce n'est pas pour Balzac mais pour la practicité de la liseuse que je n'ai pas besoin de tenir à deux mains — les écrivains américains pour les siestes du week-end — en ce moment : zéro page — et les autres au rythme de quelques pages par jour, dès que je peux trouver un moment. Il fut un temps où je pouvais totalement m'abstraire de ce qui m'entourait : un jour, tout le camping m'a cherchée, appelée, pendant des dizaines de minutes… j'étais dans la minuscule salle de bains de la caravane, un livre sur les genoux, les oreilles sourdes à mon prénom crié au-dehors. Comme dans cette phrase de Boris Pasternack, décrivant Lara à la bibliothèque : « Il la voyait de trois quarts, presque tout à fait de dos, elle lisait avec passion, comme les enfants ». À présent, une conversation un peu forte dans le train suffit à me faire perdre le fil de ma lecture. Mais perdre le fil de l'histoire du livre abandonné depuis plusieurs jours, jamais !

27 janvier

 

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24 janvier 2019

Le tour du monde des soupes #14

Elle était bien adaptée à un jour de neige, cette soupe ! Notre amie slovaque a évoqué dimanche le menu de Noël de son enfance, avec notamment une soupe à base de choucroute et de saucisse (kapustnica), se désolant de ne pas trouver la fameuse saucisse au paprika qui colore la soupe en rouge. J'ai préparé la version tchèque de cette recette : la kyselica (qui signifie aigre) porte bien son nom, avec l'acidité de la choucroute et celle de la crème sûre. Pour remplacer cette dernière, j'ai versé un peu de jus de citron dans de la crème fleurette et laissé le mélange épaissir pendant quelques heures au frais. J'ai également ajouté du yaourt bulgare. Pour la saucisse, sur les conseils de mon amie, j'ai pris de la Montbéliard. Je n'avais pas de carvi, j'ai mis du cumin (c'est sensiblement la même plante, non ?) et je m'aperçois à la relecture de la recette que j'ai oublié le pain, mais comme tous avaient mangé des petits-fours 1 h avant, personne n'a réclamé.

.24 janvier1

23 janvier 2019

Une journée particulière

Il a neigé hier, quelques centimètres, assez pour tenir sur les routes. Et cette nuit, il a gelé. Après quelques hésitations, j'ai décidé de conduire Marie et Guillaume à la gare (trop tard pour y aller à pied et trop dangereux en vélo). Dans notre petite impasse, ça glissait un peu, normal. Dans la petite rue à côté, ça allait. Je suis sortie du quartier sans encombre, arrivé sur l'avenue bien salée. Mais ensuite, le centre-ville était une véritable patinoire : une couche de glace épaisse au sol ! En roulant tout doucement (personne ne jouait les Formule 1), nous sommes arrivés à bon port. Demi-tour vers la maison, tranquillement, puis un bon thé pour me remettre de mes émotions. Une heure plus tard, j'ai conduit Aurore, pensant que les saleuses seraient passées, eh bien non ! 8h30, sur l'avenue la plus fréquentée de l'agglomération, les piétons tombent comme des dominos, les voitures dérapent, il est difficile de s'arrêter au feu. Bon, je suis rentrée sans accrochage, mais j'en ai vu quelques-uns autour de moi.

Il fait beau, mais le ciel menace au loin, j'embarque Paul pour un tour des étangs.

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Les traces de l'averse de grêle qui m'a réveillée avant 6h sont bien visibles.

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Les daims se cachent dès que je m'approche, ce sont des jeunes, d'habitude ils adorent se faire photographier.

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Tout est calme, sauf les canards qui sont bien agités (pour se réchauffer ?)

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Bon, ça devient de plus en plus vivifiant…

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Pas la peine de me le dire !

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La cascade est à sec, c'est dommage

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Sur le chemin du retour, difficile de se dire que nous sommes en pleine ville

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Paul reçoit un appel, lui demandant d'effectuer un remplacement dans une école éloignée, le lendemain à 8h30. Il demande un délai, puis refuse : il ne connaît pas les enfants, ce n'est pas vraiment son boulot, notre voiture n'a pas de pneus neige, il va geler nette nuit et aucun transport en commun ne dessert le village.
Aucune nouvelle du cours d'aquagym, il doit donc être maintenu, je vais y aller à pied, c'est plus prudent. Nous ne sommes que 6, l'eau est un peu froide mais ça fait du bien. En revanche, dehors, il neige sans discontinuer, ce n'était pas du tout prévu par la météo ! L'après-midi se passe, entre aspirateur, cuisine et couture.

Puis nous remettons nos grosses chaussures en fin d'après-midi. Sous la passerelle enneigée, la route est enfin bien dégagée.

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Nous coupons par la forêt… enfin, un peu clairsemée la forêt depuis les coupes du mois dernier !

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Nous voilà au centre-ville, l'université est illuminée

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Et nous retrouvons Marie et une partie des Spuntini pour l'expo-photo à la mairie-annexe de la ville qui leur avait accordé une subvention (quatre autres groupes de jeunes ont été aidés à partir au Cambodge, Vietnam, Sénégal et Népal). Aurore puis Guillaume nous rejoignent.

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Quelques discours et petits-fours plus tard, nous rentrons tous les cinq dans la ville enneigée pour manger une soupe.

 

 

21 janvier 2019

C'était ma fête !

Avec, pour m'accueillir à Versailles une haie d'honneur de 25 cars de CRS entre la gare et mon bureau…

Avec les manifestants de la CGT qui, ne pouvant pas s'avancer vers le château, ont défilé en chantant (faux) sous nos fenêtres une bonne partie de la matinée…

Avec un ciel parfaitement bleu, avec les radiateurs enfin purgés (finis les glouglous à longueur de journée)

Avec une réponse de "mon" auteur danois et une collaboration qui s'annonce sous les meilleurs auspices

Avec des CRS (encore !) et des pompiers qui barraient l'accès vers la gare : fuite de gaz, veuillez faire un détour, un grand détour et une fois arrivés devant l'autre entrée : ah non, on ne passe pas, prenez le hall 2. Là, il y a eu révolte des voyageurs, il fallait marcher plus d'un kilomètre, sans certitude de ne pas être bloqués une fois de plus. Alors nous avons avancé, descendu un escalier, parcouru toute la longueur d'un quai, remonté l'escalier de l'autre côté, traversé toute la nouvelle gare.

Avec ce jeune homme que j'ai récupéré au passage, qui voulait prendre un train pour Trappes mais ne savait pas où aller. Je l'ai guidé dans ce labyrinthe, pendant 20 minutes, puis l'ai laissé dans le train avec toutes les indications pour rentrer chez lui plus tard.

Avec le Navigo de Marie qui ne fonctionnait plus très bien (forcément, au bout de 9 ans 1/2), l'agence encore ouverte mais pleine de monde et le logiciel qui a fait des siennes juste quand nous sommes arrivées… et les automates de la gare qui ne voulaient pas de sa carte bancaire. Enfin, la voilà avec une carte toute neuve chargée pour la semaine.

Avec un mari en télétravail imprévu, qui en a profité pour préparer un bon dîner (et nous avons séché notre répétition pour être tous ensemble, pour une fois)

Heureusement quand même que ce n'est pas ma fête tous les jours !

 

20 janvier 2019

Projet 52 de Virginie #3

Le thème de cette semaine est "gris", je n'ai pas besoin de chercher : gris, c'est la couleur de ce début d'année. À peine quelques heures d'ensoleillement (comme par hasard, le mercredi en début d'après-midi, quand je suis là pour voir à quel point ces quelques rayons rendent visible la poussière dans la maison, ce qui fait que les quelques heures de soleil ont été synonymes pour moi d'aspirateur et de nettoyage de vitres — très bonne idée quand il re-pleut juste après !). Même si ce gris a été remplacé par un peu de ciel bleu vendredi et un peu de neige blanche samedi matin, j'aimerais un peu plus de lumière. 

Mais aussi le gris de la fatigue, toujours présente (ces vacances n'ont pas été reposantes), de ces petits soucis de santé qui se succèdent (quand je parlais de routine médicale dans mon bilan, ça n'était pas à prendre au pied de la lettre ! Une angine dès le 2 janvier, suivie d'un mal de dos — merci à Paul pour sa ceinture lombaire) et la gastro qui nous cerne (pour l'instant, nous résistons)

Le gris des mauvaises nouvelles de début d'année, graves maladies ou décès, pourquoi y en a-t-il toujours plus en janvier ? 

Le gris du cœur de l'hiver, alors que l'élan des fêtes est passé, que le printemps semble encore si loin et qu'il faut résister aux virus en tous genres, aux jours si courts, à la routine d'une période où les nouveaux projets se font rares.

Alors résistons au gris, avec un repas entre amis, autour d'un plat qui réchauffe, dans notre beau Baeckeoffe rapporté de Nancy, que nous étrennons ce dimanche !

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(et à côté, un mini baeckeoffe végétarien au tofu, pour Paul)

 

 

17 janvier 2019

Le tour du monde des soupes #13

Il me faut revenir en Europe pour trouver des recettes utilisant les légumes d'hiver. Et encore, celle-ci demandait des tomates. C'est au Portugal que nous avons dîné, avec cette sopa de grão de bico.

Les légumes sont finement râpés, mais se tiennent bien à la cuisson, j'en étais un peu surprise. Sous cette forme, les oignons n'ont pas voulu dorer (mais j'avais pas mal réduit la quantité d'huile). J'étais à court de cumin en poudre, alors j'ai moulu des graines de cumin avec mon petit moulin à café et le parfum était incomparable ! Je pense que je vais arrêter d'acheter les épices en poudre désormais.

C'était délicieux ! Pour en faire un repas complet, j'ai ajouté une belle tranche de pain au levain (comme dans l'autre soupe portugaise du site) et je l'ai terminée ce midi avec quelques tranches de chorizo et un peu plus de pois chiches.

15 janvier1

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