52/2025 : ailleurs
Ce dimanche ce n'est pas Virginie mais Anne qui a proposé le thème du jour : ailleurs… mais je dois encore attendre quelques jours pour mes vacances tant espérées.
Je ne suis pas une grande voyageuse, prendre l'avion me rebute. Réserver des billets sans se tromper dans les dates et les horaires, organiser le transfert vers l'aéroport, arriver des heures avant, attendre et puis, être prise de vertiges du décollage jusqu'à l'atterrissage, accentués à la moindre seoucsse (et le réchauffement climatique fait que les turbulences sont de plus en plus fréquentes et fortes). J'ai donc décidé que 2h d'avion, tous les 2 ans, sont le maximum que le puisse supporter — pas besoin de passeport donc !
Mais j'ai trouvé un moyen de me dépayser sans sortir de chez moi (ou presque), gratuitement(ou presque) et sans alourdir mon bilan carbone : cette semaine, j'atteins les 150 pays visités, de l'intérieur, grâce aux mots d'un auteur autochtone. Je ne lis qu'en français, mais les tournures de phrases, les récits, les descriptions de paysages, les traditions, la gastronomie*, les rapports humains me font voyager, incontestablement. Et la plupart des livres ont été trouvés dans mon réseau de médiathèque, où je me rends à pied ou à vélo.
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Jouons un peu : saurez-vous énumérer toutes les nationalités (de naissance) de ces auteurs ?
Et trouver quel est l'intrus ?
D'autres m'ont été offerts, ou j'en ai acheté d'occasion car je ne les trouvais nulle part. J'essaye, autant que possible, ne de pas surcharger mes bibliothèques, mais c'est difficile pour moi de me séparer d'un livre que j'ai aimé, alors l'emprunt est la solution la plus raisonnable.
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*Ah, la cuisine, une autre façon de voyager, grâce à ce site et aux ressources inépuisables de la petite épicerie des cinq continents de ma ville.
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