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attraper le temps qui file…
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28 novembre 2013

Vide-poches

À l'instigation d'Anne, j'ai inventorié les trois nids à bazar vide-poches de la maison.

Sur le meuble de l'entrée (placé près du miroir et dont le tiroir contient la brosse-à-cheveux-du-matin) :

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Un petit panier destiné aux barrettes et élastiques. Nous avons : barrettes, épingles à cheveux, filet à chignon (qui n'a pas servi depuis des années), point d'élastique (les élastiques à cheveux disparaissent à vitesse Grand V dans cette maison avec 3 filles à cheveux longs) ; mais aussi… un ruban-bracelet de Pentecôte ensemble , une dragonne d'appareil-photo, deux pastilles d'aquarelle, un porte-clés cassé, une pile, une cartouche d'encre, des épingles nourrice, la moitié d'un casse-tête, des boucles d'oreilles dépareillées, une pièce du projecteur de diapositives, un anneau porte-ciseaux, un morceau de sous-verre, un jeton à caddie, un embout de stylo cassé, une botte de Polly-pocket, deux vis de provenance mystérieuse (mais que j'espère toujours retrouver un jour), un bloque-cordon de parka, un bouton, deux perles.

Dans la cuisine :

28 novembre5

Deux aimants-légumes en plâtre trop lourds pour leur aimant (cadeau de fiançailles), deux piles usagées, un crochet à ustensiles, une noix, une attache métallique dont j'ai oublié l'usage, une vis, deux élastiques (pour fermer les sacs de surgelés entamés), une barrette, une pièce d'un jeu de société, un bouton, la pale cassée de mon saucier (snif !)

Dans la lingerie, le résultat entre autres de quelques vidages de poches in-extremis avant lavage :

28 novembre128 novembre2

Deux barrettes, des perles, une cartouche d'encre (ouf !), des pions du jeu de go (définitivement inutilisable par manque de pions), du Master mind, du Brain trainer, une attache de rails de train électrique, la clé d'un journal intime, une gomme, un tube d'homéopathie, l'outil d'ouverture d'urgence du sèche-linge, une boucle de réglage de bretelle, l'autre moitié du demi-cube bleu de la cuisine (youpi !)

Je vous laisse, je vais ranger 2-3 trucs… Les enfants, venez ici im-mé-dia-te-ment !

Et chez vous, qu'est-ce qu'il y a dans le vide-poches de l'entrée (en plus de la pièce Ikea dont vous ne savez que faire) ?

 

 

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27 novembre 2013

Qu'est-ce qu'on mange ce soir ? (7)

La soupe de poissons des veilles de courses

Attention, recette très difficile ! (apprise au collège du temps où nous avions des cours d'EMT)

Il vous faut :

2 grosses pommes de terre à soupe
1 oignon
1 gousse d'ail
1 boîte de sardines à l'huile
1 boîte de tomates (petit modèle)
du pain sec et du gruyère râpé

Épluchez l'oignon, l'ail et les pommes de terre, faites-les cuire à l'eau.

Mettez dans le bol du mixer les tomates avec leur jus, les sardines avec leur huile, mixez finement, ajoutez les pommes de terre et oignons égouttés, mixez rapidement (sinon, ça devient de la colle), salez, poivrez, ajoutez un peu d'eau de cuisson des pommes de terre si nécessaire (mais la soupe doit être bien épaisse). Faites griller le pain sec, coupez-le en petits morceaux. Servez la soupe bien chaude avec les croûtons et du gruyère râpé. Régalez-vous !

28 novembre1

26 novembre 2013

Le premier jour du reste de ma vie

Trois semaines à retenir mon souffle… le 5, j'avais rendez-vous chez le cardiologue pour une visite de routine, je voulais faire le point avec lui sur les extra-systoles qui m'ont un peu gâché la vie cet été et sur le traitement de subsitution de la thyroïde qui peut poser problème dans ce cas (et là, n'ayant plus de thyroïde, je serais bien embêtée). Le temps de trouver mon chemin dans un hôpital en travaux, j'arrive un peu juste au rendez-vous, j'ai 14 de tension, rien d'inquiétant donc. Je pose mes questions, il répond, me fait des petits dessins, l'électrocardiogramme est parfait (du jamais-vu, je pourrais l'encadrer !), et puis il décide, comme ça, de refaire une échographie, puisque je ne l'avais pas revu depuis plus d'un an. J'ai un petit souffle, rien d'inquiétant, juste à contrôler de temps en temps. Il me plaisante sur mon émotivité, je lui dis que ça empire, que je réagis aux contrariétés ou aux émotions de façon surprenante (maux d'estomac, rougeurs subites, gorge serrée, hausses de tension) et que les petites contrariétés deviennent de plus en plus grandes avec les enfants qui grandissent. Il me confirme que les petits soucis de maternelle ou de nuits entrecoupées nous semblent bien dérisoires à mesure que le temps passe. Et puis… il ne dit plus rien, il passe et repasse la sonde, et je sais ce qu'il observe : mon oreillette droite et ce qu'il avait qualifié de "curiosité" l'année précédente, peut-être un petit kyste, avait-il dit.

Je demande « Il y a quelque chose ? », il me répond « J'ai l'impression que ça a grossi ». Je me rhabille, je suis glacée. de retour à son bureau, il compare avec le bilan de 2012, dit que non, finalement, ça lui semble même un peu plus petit, mais bon, il aimerait bien pouvoir mesurer "ça" de façon plus précise, il me rappellera s'il a une idée, que je ne m'inquiète pas. J'insiste sur le fait que je suis un peu très inquiète, quand même, et qu'est-ce que "ça" pourrait être ? — Je ne sais pas, un polype peut-être… — Mais on peut faire quelque chose ? — Non, rien.

Le mercredi passe, avec son animation habituelle, en prime un cours de conduite pour Paul auquel j'assiste (il y a du mieux par rapport à la dernière fois, il touche au but, là, mais encore quelques heures pour consolider tout ça). Ce n'est que jeudi, vers 11h, que je rallume mon téléphone et trouve un message de l'assistante du cardiologue « Vous avez rendez-vous le 20 novembre à 11h30 à l'hôpital Beaujon avec le Dr X, je vous rappellerai quand vous pourrez passer chercher la lettre » Là, je tremble carrément : pourquoi un RV si rapide ? Est-ce qu'il craint quelque chose de grave ?

J'essaie de ne pas y penser, mais je mesure jour après jour, geste après geste, tout ce que je fais pour ma famille : m'occuper du linge, des papiers, des courses, des repas quotidiens, faire le taxi, l'infirmière, la coiffeuse, être là au retour du collège, du lycée, relancer des ados qui se contentent du strict minimum en termes de travail scolaire, rappeler les rendez-vous…  et si je n'étais plus là pendant une longue période ? Et si je n'étais plus là du tout ?

Le temps passe vite : répétitions de musique, problèmes avec la banque (qui me prendront pas mal d'énergie), un bal folk, le salon MCI avec une copine, mais le 15, je suis sans nouvelles, j'appelle l'hôpital : l'assistante est en vacances, elle reviendra lundi. Lundi, elle est injoignable, mardi matin aussi (j'ai appelé toutes les demi-heures, génial pour un RV qu'on veut "oublier"). J'appelle l'hôpital Beaujon, la secrétaire me dit que je n'ai pas RV ce jour-là, d'ailleurs le Dr X n'y est pas présent le mercredi matin. Comme elle sent ma panique monter, elle prend les choses en main et me rappelle 15 minutes plus tard : j'ai RV avec le Dr X à 11H à l'hôpital Bichat, en fait ! Pas besoin de lettre, il est au courant.

Mercredi 20, j'ai pas mal erré dans l'hôpital (évidemment, je ne savais pas pourquoi j'avais RV… on m'apprend que je vais passer une échographie), la secrétaire, charmante et gaie, qui m'accueille (et ne me demande pas mon nom, elle sait que c'est moi, c'est affolant, tout le monde semble au courant sauf moi) m'avertit qu'il y a deux heures de retard. Je sors mon petit en-cas, je n'ai rien pu avaler le matin, et je m'installe avec une lecture (Jane Austen). Peu avant 14h, un interne commence l'examen, puis le termine en disant « il n'y a rien ». Comment ça, rien ? Et le kyste ? Ah mais ça n'est pas un kyste, c'est une petite anomalie embryonnaire assez courante, pas grave du tout. Là-dessus arrive le Dr X, qui reprend tout depuis le début et m'assène « Je comprends pourquoi on vous a fait venir, je ne sais pas, il y a quelque chose de bizarre, regardez, la forme n'est pas du tout habituelle. Vous êtes à jeun, là ? » Heu, non, on ne m'a pas dit… « Bon, vous pouvez revenir dans la semaine ? On fera une échographie par voie interne »

Je rentre découragée, voilà 15 jours que je n'arrive plus à faire aucun projet, prendre aucune décision, et c'est reparti pour une semaine, avec une perspective peu réjouissante en plus (la sonde doit passer par l'œsophage et l'estomac).

C'était donc ce matin. Je suis partie en avance, bien m'en a pris, le train avait de retard (normal…) et le métro est resté bloqué un bon moment, j'étais tout juste à l'heure. Une infirmière m'installe, me fait avaler un anesthésiant, me rassure — ça ne va pas durer longtemps —, le médecin arrive, j'avale la sonde (un long serpent d'1 cm de diamètre !), je la sens bouger dans mon estomac, je réprime ma toux, mes hauts-le-cœur, essaie de respirer calmement malgré la sentation que l'air ne passe plus. Voilà, 5 à 10 minutes, je ne sais pas, ça m'a paru interminable. Il n'y a rien du tout, une petite bosse dans la paroi du muscle, défaut de fabrication qui n'influe en rien sur le fonctionnement.

J'ai repris ma respiration. Le point de côté à gauche, apparu 1h après l'écoute du message, le 7, que j'avais traité par le mépris, a disparu lors de mes déambulations dans Paris en fin de matinée. Je suis allée chez Matière première, Mille créations, Muji, Tout à loisirs (fermé jusqu'en février, dommage), Fil 2000 — il fallait bien que je m'occupe pour tromper ma soif, je n'avais rien avalé depuis hier 23 h et je devais attendre 3 heures encore. Et puis j'ai mangé mon premier bagel dans le train et il m'a semblé délicieux.

Je vais reprendre une activité normale… heu, non, en fait, une activité frénétique, parce que Noël c'est dans 4 semaines, que nous n'avons pas fait la moindre liste de cadeaux, que je dois revoir mes plans pour le fait-main (sans brodeuse), habiller mes filles… et refaire des projets !

24 novembre 2013

De tout et de rien… en vrac

En mode « fée du logis » :

Lorsque nous sommes arrivés dans cette maison, bénéficiant à la fois des tarifs heures creuses EDF et de la non-mitoyenneté du mur de la lingerie, j'ai changé mes procédures de lessive. Le lave-linge tourne la nuit, ce qui me permet d'embrayer sur le sèche-linge avant 7h, de plier la plus grande partie du linge (tee-shirts, pantalons, pyjamas) avant de partir travailler et d'économiser quelques heures de repassage. Comme l'adoucisseur d'eau régénère entre 3 et 5h, je programme la fin du lavage pour 2h30 au plus tard. Peu à peu, j'ai remarqué une odeur désagréable d'eau croupie qui s'incrustait dans le linge mouillé. J'ai mis cela sur le compte de ma tournée de laine bouillie, mais un cyle au vinaigre blanc, un autre avec un nettoyant spécial n'y ont quasiment rien changé. Je commençais à désespérer, à envisager de changer de lave-linge, lorsque je me suis trouvée à cours d'assouplissant un samedi soir. Je me rends sur le site de Marthe et Marie (une mine !) et prépare un assouplissant maison (bicarbonate et vinaigre), je lance ma lessive… tiens, ça ne sent pas mauvais, cette fois ! Comme j'aime avoir du linge parfumé, j'ai donc préparé une mixture moitié-assouplissant maison, moitié-assouplissant du commerce (en attendant de trouver le mélange d'huiles essentielles qui me convienne), le linge est doux, il sent bon et ma machine a gagné le droit de rester parmi nous de nombreuses années encore (à dix ans, c'est encore une jeunette, non ?)

En mode « couturière modèle » :

Mes filles ont réclamé des jupes en Liberty pour Noël. Voilà un tissu dans lequel je ne coupe pas sans être sûre à 100 % du patron. Pour corser un peu l'affaire, Aurore voulait une jupe "comme un tailleur", Marie une jupe "pas droite, sans fronces et qui tombe naturellement". J'ai donc sorti mes "toiles à matelas" (la housse de l'ancien lit d'Aurore, une vieille nappe, conservées à cet usage), copié 3 patrons Ottobre et cousu des prototypes. Modèles validés : une jupe On-trend (automne 2013)  en 34 recoupée en… 32 ? pour Aurore, jupe Plaid skirt, Automne 2008 raccourcie pour Marie. Je retarde encore le moment fatidique de la coupe définitive, trop peur de rater quelque chose.

24 novembre6

En mode « j'ai de la chance dans mon malheur » :

24 novembre5Mercredi, en pleine broderie, ma Janome déraille et fait du sur-place. Occupée à surjeter à côté, je n'entends pas tout de suite ce grincement peu ordinaire. J'essaie de la redémarrer, au cas où, mais rien n'y fait, le bras ne se déplace plus latéralement (engrenage décroché, courroie cassée ?), je m'affole un peu : elle était garantie 5 ans, je l'ai achetée vers la fin novembre 2008, j'ouvre le tiroir aux factures (rangé impeccablement il y a quelques mois)… 29 novembre, ouf ! Je n'ai plus qu'à revoir mes projets de cadeaux de Noël, car c'est certain que je n'aurai pas le temps de faire tout ce que j'avais prévu… le "docteur des machines" m'a parlé de 3 semaines de délai.

 

 

En mode « je n'aime pas la couture utilitaire » :

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Y a-t-il un rapport entre la panne de brodeuse et le fait que j'avais coupé mes double-rideaux dans l'après-midi ? 32 mètres d'ourlets à surjeter, puis à coudre, ça laisse peu de temps pour broder ! Mais là, je n'ai plus aucune excuse pour laisser cette fastidieuse tâche de côté.

 

 

En mode « mon mari bricole » :

Notre sapin en sapin est terminé : des tasseaux coupés, percés, poncés, teintés et un sapin facile à ranger (une fois remis à plat), qui ne perdra pas ses épines et prendra moins de place qu'un "vrai". Modèle tiré du magazine Près de chez vous (Leroy lerlin), novembre-décembre 2012. Un seul bémol : il est très lourd !

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19 novembre 2013

Pour des bébés tout neufs

… le cadeau qui satisfait tout le monde (avec une incertitude du côté du bébé, trop petit pour donner son avis, peut-être aurai-je des retours d'ici 2-3 ans ?). De mon côté, je perfectionne la méthode peu à peu, je suis arrivée à un modèle sans aucun couture apparente, je ne me trompe plus dans l'ordre de montage, je pense (presque toujours) à coudre l'étiquette avant d'assembler, à changer d'aiguille pour piquer les bouts de la fermeture. Je rencontre toujours quelques difficultés : choisir les tissus et les broderies au départ (j'ai toujours des doutes) et trouver une fermeture-éclair adéquate (malgré une dizaine d'exemplaires en stock, je n'ai jamais la couleur souhaitée).

Pour Lilyrose, une trousse rose et taupe, coton et lin

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Tissu Butinnette, lin Ikea, passepoil maison

Pour Robert, les consignes étaient "bleu, chats ou poissons", eh bien croyez moi, ça n'a pas été facile. Les tissus pour enfants, en ce moment, sont multicolores et représentent essentiellement des hiboux ou des éléphants ! Heureusement que ma copine Gloubi m'a sauvée, avec des chutes de la robe de Mathilde *

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 Tissus poissons Hilco, chambray d'une de mes robes de grossesse (ça fait donc 18 ans)

Rose pour une fille, bleu pour un garçon, on tombe dans les clichés, là ! Je vais devoir me reprendre…

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Ah… et puis j'ai réussi à faire baisser le nombre des chaussettes orphelines, on frisait la catastrophe ces derniers temps, la caisse débordait. « Les filles et Paul, venez, j'ai un jeu pour vous ! » Ils s'y sont mis avec un certain enthousiasme, la caisse n'est plus tout à fait pleine, mais le résultat reste décevant et le mystère reste entier : où sont parties toutes ces chaussettes ?

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* Évidemment, j'ai vu quantité de tissus bleus à poissons ou chats rigolos au salon Créations et Savoir-faire, mais c'était trop tard !

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7 novembre 2013

P'tit défi du 7 : l'impression

Oups, j'ai oublié de faire la photo pour le défi ! Voilà ce que je me suis dit ce matin en pédalant vers la gare… c'est donc avec quelques heures de retard que je vous présente ma version. J'avais projeté d'essayer les tampons pour textile ; mais j'avais projeté aussi de les acheter au salon Création et Savoir-faire, or ce salon ne débute que mercredi prochain (trouverai-je l'idée pour le prochain défi ? peut-être…)

Mais nous avions acheté à Londres une carte postale rappelant le tee-shirt que Marie s'était acheté lors de son séjour linguistique. J'ai donc entrepris de reproduire cette photo sur papier transfert en grande taille et choisi comme support un tee-shirt blanc avec quelques petites taches indélébiles.

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Premier bilan : ce n'est que mon deuxième essai de papier transfert, cette fois j'ai pensé tout de suite à régler l'imprimante en couleur et à vérifier que l'inversion de l'image se faisait toute seule.

Deuxième bilan : il faut laisser le transfert refroidir complètement avant de décoller le papier de protection… j'ai été un peu trop pressée et j'ai un petit pli sur le côté.

Troisième bilan : une feuille A4 pour un tee-shirt en 12 ans, bien extensible, c'est trop ! Le transfert a craqué lorsqu'Aurore a enlevé le tee-shirt. À réserver pour un tissu non extensible ou de petits motifs, donc…

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D'autres réalisations (pochoirs, tampons, flex, transferts) chez Casa.

 

2 novembre 2013

Jeu concours !

C'est chez Gloewen que ça se passe. À notre retour de Londres, j'ai vu qu'elle était elle aussi partie pour l'Angleterre mais c'est une toute autre aventure car elle s'y est installée pour un bon moment !

Elle fête son premier anniblog avec un petit concours

Invitation sur notre blog : jeu concours (gratuit) inside pour l'anniversaire des un an du blog le coffre de Gloewen et Scrat tentez votre chance pour gagner le cadeau surprise

Chez elle, vous trouverez aussi des commentaires de livres, des idées de bricolage, des tests d'activités (salsa, marche nordique) des comparatifs (des sites de covoiturage, entre autres, très bien fait), des récits de voyages…

1 novembre 2013

Même pas peur !

C'est une évidence, la fête d'Halloween a été une mode de courte durée dans notre quartier… à notre arrivée en 2003, la majorité des jeunes avaient entre 12 et 18 ans (les maisons ont toutes été construites entre 1993 et 1996 et toutes les familles du début étaient encore présentes), nous avions donc pléthore de baby-sitters potentiels pour nos petits (j'avais établi un roulement pour ne pas faire de jaloux). Comme nous sommes bien ici, personne ne déménage, ou presque, si bien que les jeunes ont fêté leurs 18 ans, leurs 20 ans (il y a eu quelques années assez bruyantes en été), puis sont partis voler de leurs propres ailes. Les 31 octobre où la sonnette de la porte d'entrée ne cessait de retentir sont révolus, une seule petite sorcière est venue frapper cette année (eh oui, la sonnette, démontée pour les travaux, attend une remplaçante). Pour les bonbons, ne vous inquiétez pas, ils ont été mangés quand même…

Nous continuons néanmoins à décorer la salle et mettre au menu quelques mets noir et orange (vous devez savoir qu'on ne rate pas une occasion de faire la fête, ici). Cette année, c'était trop facile : nous avons ressorti le carton "Harry Potter" et préparé un buffet à la hauteur :

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Oups, je m'égare, là ! Ce buffet était servi dans la Grande salle de Poudlard ; chez nous, c'était tout simplement cocktails aux couleurs inquiétantes avec chips fantômes, tarte au potimarron, fondants du chaudron, chocogrenouilles et cookies aux M&Ms aux coloris choisis spécialement dans la boutique. Vous noterez que Paul a accepté de porter autre chose que du noir : il a enfilé sa chemise de chef louveteaux toute neuve dont il venait de coudre lui-même les insignes !

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Et ce que j'apprécie toujours autant, le jour de la Toussaint, c'est le café gourmand avec les douceurs qui restent !

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