Défi de Virginie #30 - rose
Ce dimanche, chez Virginie, on voit la vie en rose. C'est un beau jour pour le jardin normand : il a (enfin) plu. J'espère que le vent aura poussé les nuages jusque chez nous !
Ce dimanche, chez Virginie, on voit la vie en rose. C'est un beau jour pour le jardin normand : il a (enfin) plu. J'espère que le vent aura poussé les nuages jusque chez nous !
Cette année, notre mini-potager se porte à merveille ! Effet de l'engrais vert que Marie avait semé à l'automne (de la moutarde blanche) ? Ou de l'engrais magique (et écologique) fourni par Vati ? Ou des plants magnifiques achetés à la jardinerie de Gally ?
Nous croulons sous les courgettes (d'autant que l'Amap nous en fournit aussi pas mal), elles sont au menu midi et soir (après les semaines "chou" et "épinards", ça change). Je n'ai pas acheté de concombre depuis le début de l'été, j'en cueille deux par semaine et ils sont délicieux. En revanche, si nous avons une quantité incroyable de tomates, elles sont là depuis plus d'un mois et restent obstinément vertes (elles grossissent lentement, tout de même) : je n'ai récolté que 4 tomates pour 6 plants qui avaient fleuri en mai ! C'est raté pour les bocaux de ratatouille…
La récolte de groseilles a été correcte, elle attendent au congélateur.
Ma déconvenue vient du côté des salades : les laitues ont manqué d'eau et ont été attaquées par les oiseaux, qui devaient avoir soif. Quant à la roquette… plus ça poussait, moins ça ressemblait à de la roquette. J'ai goûté quelques feuilles, décidément ce n'était pas de la roquette. Un ami horticulteur m'a donné la réponse : c'est de l'amaranthe qui a poussé ! Pourquoi juste dans ce bac et juste 8 jours après mes semis ? Mystère !
Autre expérience malheureuse : notre voisine a semé, sur une plate-bande devant sa maison, des graines "zone de bzzz" qu'un ami lui avait données. Comme le sachet était gros, elle m'a donné le reste, avec la pancarte, et j'ai donc installé un restaurant à proximité de l'hôtel à insectes.
Un soir de la semaine dernière, Marie m'a alertée : il y a de la renouée du Japon dans le bac ! Une plante hautement invasive. Vérification faite, aucune confusion possible, elle est bien reconnaissable, et aucune des plantes listées sur le sachet de graines ne peut lui ressembler. Nous arrachons les trois plants, puis allons aussitôt vérifier la plate-bande de la voisine : une dizaine de plants de renouée. Rien dans le reste de nos jardins.
J'ai donc alerté immédiatement le semencier et l'association qui avait diffusé ces sachets de graines, les deux m'ont répondu que ces mélanges sont certifiés et qu'il est impossible qu'ils aient contenu des graines de renouée, que ce devait être dans ma terre (la même que partout ailleurs dans mon jardin) ou apporté par les oiseaux. Mouais, des oiseaux qui apportent des graines juste dans deux petites zones éloignées de plusieurs dizaines de mètres, et qui visent bien au point de ne pas en laisser tomber ailleurs ? Je reste sur mon idée de contamination accidentelle chez le semencier, même s'il ne voudra jamais l'admettre. Et si jamais vous avez semé ce genre de mélange de graines, soyez attentif : des feuilles souples en forme de cœur, une tige creuse et rougeâtre, de toutes petites fleurs blanches : on arrache et on ne met surtout pas au compost !
Traditionnellement, vers la fin du printemps, nous retrouvons nos amis pour un pique-nique/balade. En général, nous nous décidons au dernier moment et trouvons miraculeusement un jour libre commun dans nos emplois du temps surchargés, et souvent, c'est le seul jour de beau temps dans une semaine pluvieuse (avec eux, nous avons toujours de la chance côté météo). Cette fois, le printemps était largement entamé par ce que vous savez, suivi de ce que vous ne savez pas : le très volumineux mémoire à rendre début juillet (une seconde thèse en quelque sorte) par mon amie d'enfance, auquel j'ai pu apporter ma modeste contribution en relisant quelques chapitres, avec l'aide d'Aurore. C'est donc dans un été bien avancé que nous nous sommes retrouvés.
Nous avions, de notre côté, besoin de nous changer les idées après quelques semaines éprouvantes, à chercher une banque qui accepte de nous prêter de l'argent pour un achat "en indivision, hors de notre région" (jamais je n'aurais pensé que ça pose un problème quelconque), à prendre des RV, y aller, présenter le projet, reprendre espoir avant d'être douchés par un refus quelques jours plus tard. S'y est ajouté : l'inscription d'Aurore en prépa, le 8 juillet, avec une quinzaine de documents à remplir ou rassembler, y compris ses notes au bac (que son lycée n'envoyait que par la poste… le 7) — ouf, c'est passé et terminé ! Et puis, un test PCR pour moi, dans le cadre d'un dépistage massif et sans RV devant la mairie, parce que j'avais mal à la gorge depuis 8 jours : 1h45 plus tard, le prélèvement si redouté s'est passé rapidement et sans douleur, et le résultat, sans vraiment de surprise, était négatif (sauvant notre week-end du 14 juillet au Havre). Et puis, la nécessité d'un test PCR pour Paul, 72h avant une petite intervention. Qui s'y est pris 8 jours avant (on ne le changera pas). Le labo ouvert le samedi à 8h et sans RV (selon leur site et leur message sur répondeur)… n'était pas ouvert le samedi (horaires d'été, que l'affichette disait), mais il y avait tout de même une petite trentaine de personnes qui attendaient sur le trottoir depuis 7h30, dont certains envoyés par leur médecin ou un autre labo. Ce mépris pour les usagers me met hors de moi — sans parler du problème critique des test PCR en Ile-de-France : comment se faire tester dès les premiers symptômes quand il faut 2 à 3 semaines pour un RV ?
Bref, samedi midi, il a fallu la joie de retrouver nos amis pour me redonner un peu d'énergie. Nous avons commencé par le pique-nique (pour ne pas avoir de sacs à porter), suivi d'une petite sieste sous les arbres du parc de la mairie. La mise en route a été un peu laborieuse ensuite !
Un petit sentier entre deux maisons nous a conduits au milieu des champs
Nous apercevions le hameau de la Recette et le clocher de Levis-Saint-Nom, perdu dans les arbres.
Un charmant petit cimetière entoure l'église ( nous nous sommes demandé qui était saint Nom ?)
La petite grimpette qui a suivi se faisait heureusement dans la forêt (on avait dit : une balade à plat !)
… jusqu'à la carrière
Ensuite, nous nous sommes légèrement écartés de l'itinéraire pour emprunter les platelages (merci Marie) à travers le marais
Ayant loupé la maison du garde, nous avons erré quelques minutes dans le hameau de Maincourt, avant de retrouver la mairie-église, exemple unique de ces deux édifices réunis sous un même toit.
Nous avons remonté, le long du cimetière, vers le hameau du Mousseau, puis cheminé, sous un soleil de plomb, entre deux champs bien traités aux pesticides dorés !
Enfin, le bois de l'Étrille nous a apporté sa fraîcheur et le sentier nous a ramenés vers la mairie-école de Levis-Saint-Nom.
Le Parc Naturel de la Haute Vallée de Chevreuse propose de nombreuses balades ou randonnées que nous ne prenons jamais le temps d'explorer, alors qu'il y a tant de jolis villages, charmantes forêts ou belles vallées à découvrir à quelques kilomètres de chez nous. Dépêchons-nous d'aller marcher avant le prochain confinement !
C'est malin ! Je propose un thème et le jour J, je n'ai plus d'idée… la semaine a été rude et fatigante, mon cerveau a besoin de repos.
Alors j'ai plongé dans mes archives et trouvé ces photos de l'été 2006 : sur la scène de l'opéra royal, menuisiers et peintres s'activent pour construire un décor immense, soignant les détails, la perspective.
Quelques mois plus tard, le jour du spectacle, le public poussait des oh ! et des ah ! d'admiration, devant les changements de décor à vue, spectaculaires et fluides !
J'ai donc retouché le patron comme prévu et coupé dans une microfibre mate assez épaisse que j'avais achetée dans une autre vie, je ne sais plus où, pour je ne sais plus quoi (le rangement de mes tissus a eu du bon). Pour donner un peu de fantaisie dans ce bleu marine sombre, Marie a suggéré d'ajouter un croquet. La couture s'est étalée sur plusieurs semaines.
Au niveau de la taille, j'ai choisi de coudre une bande de tissu léger, prise dans la couture de taille puis rabattue 1 cm plus haut. Devant, elle n'est piquée que sur le panneau intérieur. Ainsi, il est facile d'insérer un élastique réglable et cela n'ajoute pas de surépaisseur. Commes mes ourlets de manche avaient tendance à tourner (pourquoi ?), je les ai remplacés par un biais rabattu, néanmoins ils forment toujours un petit bec au niveau de la couture d'épaule.
Les revers de jambes doivent juste être repliés, repassés puis fixés au niveau des coutures… alors là, je ne sais pas avec quel tissu c'est censé fonctionner, parce qu'avec le tissu fluide préconisé, le pli restera en place maximum à 10 cm de la couture ! Sur la première version, j'avais triché en insérant une bande thermocollant double-face entre la jambe et le revers (qui n'a évidemment pas résisté au lavage). Cette fois, j'ai cousu à la main l'intérieur du revers contre la jambe, un peu façon ourlet invisible. On voit que parfois, j'ai pris un ou deux fils de l'extérieur au passage.
Enfin, je suis bien récompensée de tous mes efforts et ajustements, puisque la combinaison portée est parfaite ! (et le décolleté reste décent en toutes circonstances)
J'y vais ou pas ? Il y a du vent, il ne fait pas très chaud et l'eau… est indiquée à 18. Brrr ! D'un autre côté, si je ne me baigne pas en été… 10 minutes à hésiter avant de me mettre en maillot, 10 minutes à tremper les pieds, puis les genoux, le ventre, doucement, jusqu'aux épaules. Enfant, adolescente, jamais je n'allais me baigner ici, en pleine ville. La plage, c'était la Bretagne. Maintenant, ce sont les galets du Havre.
Et puisque j'ai l'honneur de choisir le thème de dimanche prochain : ce sera « L'envers du décor ».
Une fois de plus, J'habite à Waterford nous a trouvé un thème inspirant :
« Une amie me parlait récemment de l'art du Kintsugi, que je ne connaissais pas. Sans aller jusqu'à y mettre de l'or, qu'y a-t-il autour de nous comme réparations, visibles ou invisibles, que nous pouvons partager ? Repeints, rafistolés, recousus, ces objets que nous voulons garder pour quelques années encore ? »
Ça tombe bien, j'étais en pleine phase de réparations, cette semaine !
Tout d'abord, pour les scouts, puisque les normes sanitaires obligent à espacer les jeunes dans les tentes (5 dans une tente de 8 places, en se couchant tête-bêche, pour que leurs têtes soient distantes d'un mètre… comment dire que j'y crois moyennement ?). Il fallait donc que toutes les tentes du groupe soient en parfait état. L'équipe de couturières, que j'avais lâchement abandonnée durant ma capsullite, a travaillé activement tout au long de l'année. Il ne restait que trois tentes à réparer et les quelques trous à recouvrir, les quelques attaches de tendeurs à remplacer n'étaient rien, à côté des déchirures de 30 cm, des fermetures à changer ou des trous faits à l'opinel pour fixer un tendeur (désormais, tous les jeunes, ou presque, savent qu'on procède autrement dans ce cas : on noue le tendeur autour d'un petit caillou enfermé dans le coin de la toile). Mais l'opération reste sportive malgré tout, avec tout le poids de la toile de tente qui ne demande qu'à glisser de la table et la quantité de tissu à passer sous le pied de la machine, sans parler du fil qui casse et des coutures à tripler.
Une autre réparation nécessaire, c'est ce pull, en parfait état à part les manches. Bizarrement, si le plus gros trou se situait pile au niveau du coude, l'autre manche avait un trou plus bas et un autre sur le devant ! Une chute de jersey, un coup de surjeteuse et voici des renforts de coude du plus bel effet.
J'aurais peut-être dû tenter le Kintsugi pour cette assiette, mais la poudre dorée n'irait pas bien avec la faïence de Quimper : l'une de nos assiettes à crêpes avait eu un petit accident et le recollage n'est pas des plus heureux… mais il résiste au lave-vaisselle depuis des années.
Pour cette lampe, en revanche, c'est presque invisible puisque la cassure s'est faite à l'endroit idéal. Vous la voyez, cette fine ligne blanche ?
Pour le pied central de notre table, qui ne cessait de tomber malgré les recollages, la solution nous a été suggérée par un jeune menuisier : de la colle expansive, pas discrète du tout, mais qui ira regarder sous la table ?
Ici, on parlera plutôt de rénovation : le vernis de nos chaises était devenu blanc et opaque avec le temps et, l'an dernier, un ébéniste nous avait proposé de les refaire pour… 250 euros par chaise ! Après avoir tenté le décapant écologique puis chimique, Guillaume a utilisé sa ponceuse delta (avec du papier de verre suisse, qualité incomparable !) et plusieurs couches de vernis de qualité. La première chaise lui avait pris plusieurs week-ends et il pensait arriver au bout du travail en six mois… c'était avant le confinement. Maintenant, nos chaises sont comme neuves (il faudra les faire rempailler, tout de même).
Et puis ce midi, alors que je coupais du pain dur pour en faire de la chapelure, j'ai dérapé… rien de grave, deux petites entailles vite réparées (vive le stéri-strip, indispensable dans cette maison de maladroits)
Une tige de misère cassée ? Placée dans de l'eau pendant une vingtaine de jours, des racines apparaissent et c'est une future petite plante qui se prépare.
Une réparation du confinement qui a été efficace et tient le coup, malgré un usage intensif ! En plus, il paraît que la matière choisie (un crêpe de polyester) est très agréable au contact et ne tient pas trop chaud aux oreilles.
Moins réussie, cette réparation de cordon du fouet électrique, dont les fils étaient presque à nu. J'ai utilisé le "plastique magique" que l'on place quelques minutes dans l'eau bouillante, pour en faire une pâte malléable. Pour réparer un plastique dur (lunettes, angle d'un appareil), ce doit être parfait. Là, il aurait fallu une matière un peu souple, mais c'est mieux que rien.
Et pour finir, deux réparations en projet :
À vrai dire j'espérais inscrire celle-ci programme "je couds pour un homme" mais je n'en suis qu'à l'étape "découdre" : je vais essayer de changer juste la pièce "centrale" des boxers, soumis à rude épreuve par la selle de vélo. Double avantage : liquider mes petites chutes de jersey et faire des économies (et un geste pour l'environnement) en ne jetant pas ces boxers presque comme neufs (à part cet endroit).
Et ce beau moulin à café (qui sert encore de temps en temps), qui aurait besoin de quelques recollages (notamment la poignée, fendue)
Pleine d'optimisme, je me suis inscrite le mois dernier à la 25e édition du défi de Nabel "Je couds pour un homme", avec l'idée de coudre la chemise coupée en mars dernier. Mais depuis… il y a un un petit épisode caniculaire qui m'a peu motivée pour coudre une chemise à manches longues, quelques "sorties de déconfinement" qui nous ont occupés, notre fabuleuse récolte de courgettes et la cueillette des groseilles à gérer, sans compter une grosse source de stress (pour ne pas dire d'angoisse) qui m'a bien accaparée. Bref, la chemise est restée en l'état de puzzle et j'ai cru que j'allais manquer le RV.
Mais le défi laisse toute lattitude quant à l'âge de "l'homme" (chaque fois, je m'attendris devant les petits vêtements cousus ou tricotés) et j'ai justement deux petits garçons à gâter ! Ma brodeuse, délaissée depuis des mois, a repris du service pour les deux petits frères de Pablo. Lorsque les motifs de lamas ont été à la mode l'été dernier, j'avais acheté un petit coupon en prévision d'une prochaine naissance dans la famille, un clin d'œil à leur périple à vélo dans la Cordillère des Andes. Ce que je n'avais pas prévu (et les jeunes parents non plus), c'est qu'ils auraient des jumeaux ! Mais j'ai vite trouvé un autre tissu dans mon stock.
Je n'avais pas de broderie "lama", j'ai donc choisi de conserver le thème de la trousse de Pablo : sport et moyens de transport, avec ces petits cochons tout mignons. Ainsi les trois frères auront des trousses similaires, mais bien identifiables par leurs tissus et coloris.
Ce qui me contrarie un peu, c'est que je ne peux plus utiliser le logiciel de ma brodeuse depuis le changement de système de l'ordinateur. J'avais une piste pour récupérer un vieux PC portable mais le confinement est venu tout bouleverser… je n'ai plus que les 3 polices de caractère intégrées dans la brodeuse, sans fantaisie possible, alors je m'adapte.
La lumière rasante du matin n'est guère flatteuse, pourtant j'avais bien repassé mes tissus !
Un nouveau dimanche consacré à un aspect technique de la photographie, avec l'autoportrait. Bon. Je n'arrive pas à régler correctement cet appareil en mode retardateur, vu qu'il effectue la mise au point quand j'appuie sur le déclencheur (donc, lorsque je ne suis pas devant l'objectif) et que la photo obtenue est toujours floue, quel que soit le stratagème employé (notamment faire la mise au point sur mon mannequin de couture, puis prendre rapidement sa place). Curieusement, je n'avais pas ce problème avec mon Canon, mais là, il n'a plus de batterie ni de carte-mémoire.
Le selfie, on oublie : j'ai de très petits bras. J'avais bien cru voir une perche à selfie quelque part, abandonnée par l'un de mes ados, mais je ne sais plus où…
J'ai donc choisi la photographie dans un miroir. Difficulté n° 1: si l'appareil est de face, il est devant mon visage. Difficulté n° 2 : la fenêtre est derrière moi. J'ai tâtonné pour trouver où fixer mon regard : pas sur l'appareil, pas devant moi non plus. J'ai cherché (sans succès) un point entre les deux : l'optique a toujours été mon point faible en terminale (avec l'électricité).
Verdict : j'ai une énorme marge de progrès devant moi !
Note à moi-même : il serait temps de dépoussiérer le miroir !
J'aime bien avoir les mains occupées lorsque je regarde un film (s'il n'y a pas trop de sous-titres à lire !) ou lors d'un long trajet en voiture. Une copine couturière m'avait fait don d'un joli stock de pelotes, l'hiver précédent, alors je cherche des tricots qui peuvent convenir, même si je n'ai jamais la laine préconisée pour le modèle.
Cette fois, j'ai employé un mélange lin-viscose pour tricoter le châle Nurmilintu que j'avais vu chez Temps qui file (oui, le nom m'avait intriguée en passant sur le forum canalblog lors d'un énième problème technique… et je découvre que nous ne sommes qu'à quelques kilomètres l'une de l'autre !). Je suis allée voir les explications, j'ai calculé comment diminuer la proportion de point mousse et je me suis lancée. J'ai terminé la bordure en picots pendant une réunion zoom (chut), ma collègue m'ayant discrètement signalé (les réunions en visio ont cet avantage) qu'elle était en train de tricoter, hors-champ, j'ai pris moi aussi mes aiguilles. Mais nous sommes bien décidées à instaurer le tricot-réunion, à la rentrée : parfois, cela aide à se concentrer !
J'aurais peut-être dû prendre 1/2 taille d'aiguille supérieure pour un résultat plus ajouré.
Ce petit châle a déjà trouvé son utilité certains soirs, lorsqu'il faisait un peu frais pour dîner dehors.
J'aurais préféré, peut-être, faire les rangs de retour de la dentelle en jersey, voire remplacer le point mousse par du jersey, pour un rendu plus "net". Je vais voir si je détricote celui-ci ou si j'en tricote un autre.
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