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attraper le temps qui file…
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30 juin 2024

52/2024 : miam

Ce dimanche, Virginie nous propose de nous régaler. Mais avec quoi ?

Cette semaine, au cours de mon tour du monde, j'ai commencé une série de BD savoureuse et réjouissante. Et chaque tome se termine avec un glossaire, un petit tutoriel "nouage de pagne" et une recette illustrée, que je compte bien tester prochainement !

J'ai délégué les courses hebdomadaires à Aurore, qui s'est fort bien acquittée de sa mission, sauf pour les produits que j'achète toujours et qui ne sont donc pas marqués sur la liste. C'est ainsi que le paquet de biscuits hebdomadaire est passé à la trappe, mais Guillaume a dégainé sa meilleure recette de cookies :

Mais finalement, quoi de meilleur qu'une tranche de bon pain, juste sorti du four ?

 

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23 juin 2024

52/2024 : sportif

Aujourd'hui, Virginie propose un thème qui vient, pour moi, dans la lignée du précédent. Je n'ai jamais été sportive, au collège les séances de course d'endurance autour de la cour étaient une torture, les jeux de ballons me terrorisaient (après en avoir reçu un en pleine figure ou m'être fait mal au poignet au volley), je n'arrivais pas à sauter, à monter à la corde… seule la gymnastique aux agrès me plaisait, j'avais de bons résultats à la poutre, mais manquais nettement d'abdominaux pour les barres asymétriques. Et ne parlons pas de la natation, au bac nous avions une épreuve de sauvetage, je n'ai même pas réussi à soulever le mannequin de bois du fond de la piscine.

Pourtant, il y a 10 ans, j'ai trouvé une méthode pour commencer à courir (après avoir essayé maintes fois et m'être arrêtée, essoufflée, au bout de 5 minutes, terrassée par les points de côté). L'année suivant, je participais à la course des princesses. Pendant deux ans, j'ai persisté, avec quelques coups de mou pendant les canicules d'été ou l'hiver. Et puis une tendinite d'Achille, puis trois mois de surcharge de travail, puis une capsullite ont mis un coup d'arrêt à mes exploits sportifs. J'ai été opérée du pied et j'ai mis longtemps à m'en remettre. L'an dernier, j'ai fait quelques tentatives qui me laissaient épuisée, j'avais mal aux genoux, au dos…

Mais en mars, j'ai décidé de tenter une nouvelle fois, j'ai repris mes entraînement d'une minute de course, 1min30 de marche, j'ai progressé vite (probablement que mon corps n'avait pas tout oublié), j'ai eu la chance de pouvoir sortir 3 fois par semaine entre les averses, j'ai trouvé des parcours alternatifs quand mes chemins étaient trop boueux. Enfin, je cours entre 4 et 5 km tous les mardis, jeudis et dimanches, sans trop souffrir (même si je déteste toujours ça), sans point de côté et presque sans courbatures. C'est bon, je n'irai pas plus loin, je n'irai pas plus vite, je vais simplement essayer de garder le rythme. Je n'aime pas courir, mais c'est le meilleur rapport temps passé/gain de forme que j'ai trouvé. Mes chaussures commencent à montrer des signes d'usure, l'application (très utile pour ce genre de détails) me dit qu'elles m'ont portée pendant 463 km, il est temps de les changer !

Quant à mes abdos et mes bras, qui ont bien besoin de se remuscler aussi, Marie m'a laissé une partie de son équipement qui reste pour l'instant au placard. Les vidéos ne manquent pas, il me reste les lundis, mercredis et vendredis… disons que je m'y mets aux prochaines vacances ?

 

20 juin 2024

les ors de Byzance

Ma principale occupation de ce mois de juin est de coudre nos tenues pour un mariage fin juillet. J'avais choisi la robe Byzance, dans sa version dos fermé, suite à mes essais de blouse l'an dernier. Je suis partie en quête de tissu avec quelques impératifs : un tissu qui marque les plis, bien souple, avec du bleu ardoise (j'ai acheté à Florence un petit sac à main pour cette occasion). J'ai trouvé une viscose fleurie, mais en passant ensuite aux Coupons de Saint Pierre, une autre viscose m'a paru plus appropriée (et bien m'en a pris, car le métrage indiqué sur le patron ne suffit pas pour le dos fermé). 

Hum, il va falloir un fer à repasser pour le jour J, surtout s'il fait chaud, car nous serons bien entassés dans la voiture

J'ai pris tout mon temps pour former les plis, qui font toute l'originalité de ce modèle (et aussi la principale difficulté, il faut vraiment de la précision). Ensuite, c'est allé presque tout seul : pas de fermeture invisible à poser, je n'ai mis qu'une seule poche et je n'ai pas surpiqué l'élastique. Je n'ai pas l'habitude des modèles blousants et je pensais raccourcir un peu le buste, mais mon entourage m'assure que c'est très bien ainsi.

Je ne sais pas encore si ce sera ma robe pour le jour J, car les petits traits dorés me piquent un peu (je me doutais que le lurex n'était pas compatible avec ma peau hypersensible), mais ces fils se retirent très facilement à la pince à épiler, c'est juste une question de patience, je les ai donc (presque tous) enlevés des parementures. Reste à trouver comment empêcher la parementure du dos de sortir (éternelle question).

C'était une robe rapide à coudre (ce n'est pas le cas de toutes celles prévues…) pour un résultat très satisfaisant (et grâce à la taille élastique, compatible avec un repas pantagruélique).

Je pensais pouvoir couper un top Déclic dans les chutes, puisque mon coupon mesurait 3 mètres, mais ce n'est pas le cas, le devant en biais et la jupe en quarts de cercle sont très gourmands en tissu, je cherche donc un modèle qui rentrerait dans ce qui me reste.

 

19 juin 2024

Polo coquelicot

Quand ma collègue m'a proposé une commande groupée aux Tissus du renard, j'ai regardé ce qu'ils avaient comme maille polo et, voyant plusieurs nuances de rouge, j'ai pensé à nos animations musicales d'été où la chemise à manches longues est bien inadaptée. Lors de ma dernière séance de coupe (je débarrasse la table du séjour et j'y ajoute une allonge, donc j'en profite pour couper plusieurs patrons d'affilée), j'ai coupé et rangé ce polo, pensant m'y mettre à la fin du mois. Puis j'ai vu se profiler la fête des pères, c'était l'occasion de m'y mettre, j'avais toute une semaine devant moi… sauf que…

Mercredi : l'intéressé propose qu'on aille lui acheter des chaussures à Paris pour le mariage de sa filleule, on en profitera pour trouver du tissu pour une chemise. Aurore, qui doit faire une petite recherche en bibliothèque pour une conservatrice qu'elle ne connaît même pas, se joint à nous, on décide de profiter de la sortie pour voir les œuvres d'Éva Jospin dans une galerie. Tiens, puisqu'on passe près de la Sorbonne, je ferai un léger détour par Rougier & Plé, mon marqueur à patrons n'écrit plus et je peine à en retrouver. Sur place, Guillaume demande si on est loin d'Aroma-zone, il n'a plus de savon d'Alep.
De saut de puce en saut de puce, nous avons bien marché 5 km en arrivant au magasin de chaussures. Le vendeur essaye à toute force de vendre sa paire trop petite en 45 (ça va se détendre), parce qu'il n'a pas de 46 (il tente aussi de nous refourguer des embauchoirs, une ceinture assortie "indispensable" et un spray "à l'huile de lin" – sauf que c'est de la lanoline). Une autre boutique a du 46 mais pas de 45, on achète donc les chaussures, un coup de RER, un peu de marche et nous voilà fixés : oui, le 45 était vraiment trop petit. Du coup, nous sommes pas loin de la rue Sainte-Anne, nous nous installons donc chez Aki pour un curry et un mochi. Quel métro, maintenant, pour le marché Saint-Pierre ? Oh, seulement 2 km, allons-y à pied, en plus c'est tout droit.

Nous avons trouvé le tissu à chemise blanche (la dernière fois, ils n'en avaient pas), nous avons repris le métro puis marché jusqu'à la Galleria Continua, admiré, puis re-marché jusqu'aux Halles, pris le métro, les longs couloirs et escaliers de Montparnasse et nous nous sommes presque endormis dans le train.

Alors forcément, ma séance de couture du mercredi a été très courte. Comme j'étais absente jeudi et vendredi soir et une bonne partie du samedi, j'ai pensé que c'était impossible, mais jeudi, je me suis levée tôt et j'ai eu une bonne heure devant moi avant de m'installer devant mon ordinateur. Je n'ai presque pas fait de bêtise (pour une fois) ; sitôt ma journée de travail terminée, j'ai fait les courses en vitesse et, comme mon co-voiturage était retardé, j'ai pu avancer à grand pas. J'ai fait au plus simple également : pas de fausse poche passepoilée, pas de fentes en bas (j'avais oublié de rallonger le dos). Je n'ai eu qu'à piquer les ourlets samedi matin, avant mon cours de viole, et broder les boutonnières dimanche.

Pour la finition du col, j'ai utilisé une mini-chute de mes propres tenues, comme ça nous sommes assortis, même si je suis la seule à le savoir ! 

Petit bémol : cette maille polo a plus de relief que celles que je trouve habituellement et j'ai déjà tiré des fils avec des épingles, j'espère que ça n'arrivera pas trop souvent. Et je me demande si j'ai bien lavé le tissu avant de couper, en principe je le fais toujours mais là, j'ai un doute. 

Après essayage, c'est juste la bonne taille, j'espère donc qu'il ne rétrécira pas.

 

 

16 juin 2024

52/2024 : quotidien

Aujourd'hui, Virginie nous demande de parler du quotidien. En février, je me suis décidée à consulter une diététicienne. Je savais bien ce qui n'allait pas dans mon alimentation, mais j'avais besoin de devoir rendre compte à quelqu'un d'autre que moi-même. Et de quelques conseils aussi, pour ne pas me priver d'éléments essentiels. Nous avons ensemble établi un programme quotidien, ajouté un produit laitier et deux fruits par jour. Depuis 4 mois, donc, je varie les goûts et les couleurs, et je photographie mes assiettes pour les partager dans l'application. Et j'essaye d'avoir toujours suffisamment de fruits à la maison, même si je dois régulièrement faire appel à mon congélateur pour tenir la semaine (car un petit lutin vient souvent piller mes réserves).

 

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10 juin 2024

Nouveau bermuda

Lorsque j'ai cousu le polo bleu canard, l'été dernier, j'ai trouvé qu'il allait particulièrement bien avec un bermuda voilet-aubergine, surtout grâce aux petites touches de Liberty. Le problème, c'est que ce bermuda a quelques années et que sa couleur est bien passée au soleil.

J'avais donc pour projet d'en coudre un nouveau, j'ai acheté en chez Ma petite mercerie une "gabardine élasthanne mat" en septembre, puis j'ai rangé, selon mon habitude, le tissu, le patron et la fermeture dans  une enveloppe kraft. Un jour de mars où j'avais un peu de temps, j'ai ouvert l'enveloppe, pensant que le bermuda était coupé et… non (grâce à ma mémoire vieillissante, je me fais des blagues à moi-même). Ce n'est donc qu'en mai que j'ai coupé mes pièces et que j'ai attaqué l'assemblage.

Contrairement à la description, ce tissu très léger s'apparente plutôt à du satin de coton, légèrement brillant, mais pour l'été, il sera parfait. J'avais pris 70 cm et c'était tout juste, je n'ai pas pu couper la ceinture intérieure. J'ai très peu de chutes, j'y ai tout de même coupé de fausses poches passepoilées qui finissent bien le vêtement, je trouve.

Pour ne pas changer une équipe qui gagne, j'ai cousu, comme toujours, une version raccourcie et modifiée de l'excellent Out-of-the-Middle de Biquette. J'ai ajouté 1 cm de tour de taille et c'est parfait.

Ce bermuda est terminé depuis 8 jours, mais la météo a retardé la séance photo.

 

9 juin 2024

52/2024 : Noyée

Cette semaine, je suis en plein dans le thème proposé par Virginie ! Je n'ai pas trouvé le temps de faire ma photo avant  ce soir, j'ai plongé dans la rivière tourmentée du mois de juin et je vais essayer de ne pas m'y noyer. Hier, je travaillais, aujourd'hui la fête paroissiale nous a mobilisés depuis 9 h ce matin et le marathon des soirées de fin d'année/fêtes/concerts/assemblées générales est lancé.

L'état de la maison est donc à l'image de mon agenda : encombrée (c'est souvent le cas et c'est ainsi que j'avais fait la connaissance d'Anne et Loulou)

Mais pour illustrer plus littéralement le thème : la moustiquaire que j'avais tendue autour de la réserve d'eau s'est noyée (trop de pluies)

et les larves de moustiques pullulent

je vais devoir m'attaquer au problème (une tâche de plus sur ma liste trop pleine…)

2 juin 2024

52/2024 : réfléchi

Ce dimanche, Virginie nous propose de réfléchir. Parfait, me suis-je dit : demain, j'irai courir de bon matin, j'emporterai mon appareil et je photographierai l'étang. Oui… sauf que l'étang, ce matin, n'avait rien à voir avec un miroir : entre les plantes qui l'envahissent de plus en plus, le vent qui ridait la surface et le ciel plombé (mais où est le soleil promis ?), j'ai eu bien du mal à trouver une surface réfléchissante.

Je me suis quand même amusée à regarder les cygnes dessiner des formes étranges.

 

1 juin 2024

Mai comme il me plaît

Contrasté, ce mois de mai : on a cru un moment à l'arrivée du printemps, avec quelques journées chaudes et ensoleillées, pour replonger dans le froid et la pluie depuis une semaine. Les jours fériés et quelques jours de congé ont été bienvenus pour avancer un peu dans le jardin, démarrer quelques bricolages, liquider des coutures qui traînaient depuis des mois, mais la to-do-list reste longue et juin arrive, avec son cortège de concerts, réunions  et soirées de fin d'année. La fatigue reste présente, mes nuits sont agitées, mais je continue à progresser en course et la forme physique revient peu à peu. Côté boulot, j'ai une longue liste de projets entamés ou à venir, dont aucun n'est très urgent, j'aime avoir de la visibilité à plusieurs mois (voire années) sans pression.

1/ Un jour férié bienvenu pour se retrouver en famille, ajuster des patrons et répéter le grand projet de l'été.
2/ Une soirée "rattrapage" avec Aurore : le film qu'on devait voir en décembre et le menu qu'elle avait prévu jeudi dernier (raté pour cause de cul de poule en plastique de Mamie qui a fondu dans le four, avec le pain qui levait dedans…). Le film a effectivement mal vieilli mais les frites de patate douce étaient parfaites (le secret : les enrober de blanc d'œuf)
3/ Après le coup de stress mis par l'infirmière du labo ce matin (si on vous appelle dans la matinée, vous filez aux urgences), je reçois des résultats tout à fait normaux et peux profiter du spectacle en famille offert pour mon anniversaire, c'était une surprise : La cantatrice chauve, dans le théâtre où la pièce est jouée sans interruption depuis sa création.

4/ Mes deux colis sont arrivés plus tôt que prévu, Guillaume se charge du matériel de cuisine pendant que je vais chercher les plantes… dans un énorme carton que je dois poser sur mon vélo avant de rentrer à pied. 
5/ Aurore et Guillaume vont au départ de leur course, je pars courir plus modestement, je croise les premiers concurrents tandis que je monte une longue côte, puis arrive dans le virage juste à temps pour attendre les deux sportifs. Ils ont explosé leur record avec 54 minutes (ils prévoyaient 1h ou un peu plus).

6/ Nous allons, entre filles, profiter du nouvel espace aquatique près de chez Marie : deux heures de bains, jacuzzi, jets d'eau, hammam, sauna, grotte de glace et douches variées… nous en sortons bien détendues.
7/  Retour du rat, mais cette fois, Gribouille décide de prendre les choses en mains pattes : il réussit à l'attraper dans le poulailler (mais la bestiole s'est échappée), puis un peu plus tard dans le garage. Malheureusement, le chat vieillissant n'a pas eu le dessus sur le jeune rat, mais je lui promets une récompense faramineuse s'il nous en débarrasse !
8/ Petite sortie shopping avec les filles, pour quelques objets indispensables, avant de continuer mon programme de couture/ rangement /réparations.
9/ À l'entrée de la cueillette, un panneau nous informe qu'il n'y a pas de fraises aujourd'hui… nous passons à la suite du programme (des plants pour le potager), puis Marie m'offre un café.
10/ J'ai invité des amis au pied levé. Leur fille, de passage, se joint à eux, je prépare un repas libanais et, comme nous ne nous étions pas vus depuis janvier, les discussions se prolongent jusqu'à plus de minuit.
11/ Premier petit-déjeuner et premier dîner dehors (premiers moustiques aussi).
12/ Un pique-nique entre amis dans un charmant jardin médiéval, suivi d'une jolie balade, que nous terminons juste au moment où l'orage éclate.

13/ Mes deux dernières séances de course s'étaient soldées par de fortes douleurs à la hanche au repos. Je décide de tenter une troisième sortie avant de consulter, sans forcer, et tout va bien, ouf ! (si mon corps peut arrêter d'inventer de nouveaux maux chaque mois, ça m'arrangerait)
14/ Je rafistole encore une fois le lave-vaisselle (une partie du panneau de commande était tombée dans la porte), ça devient de l'acharnement thérapeutique mais il va encore tenir quelques mois.
15/ Après plusieurs visites des boutiques du marché St Pierre, comparaisons, hésitations, déconvenue (il ne restait qu'un tout petit bout du coup de cœur n°1) et croque-monsieur délicieux, Aurore trouve le tissu de sa future robe. Je termine l'après-midi en parcourant d'autres quartiers parisiens pour compléter mes emplettes, voir une mini-expo et profiter d'une très belle journée chaude et ensoleillée.

16/ J'ai pris mon vélo et je suis allée à Versailles (mon jour de télétravail) pour assister au concert du jeudi, qui était vraiment très beau.
17/ Aurore ressort quelques déguisements pour un "Qui est-ce ?" grandeur nature et remarque leur qualité par rapport à ceux fournis par ailleurs (Statue de la Liberté, Lucky Luke, Barbapapa, Dumbledore).
18/ Je suis seule pour déjeuner, j'en profite pour sortir du congélateur quelques mets que je suis seule à aimer (3 escargots, 3 huîtres, des crevettes…)
19/ Je raye quelques lignes de ma to-do-list, avec l'aide de Marie : acheter de quoi lui fabriquer des moustiquaires de fenêtre, planter le potager, terminer sa jupe, je finis par liquider mon repassage devant le film du soir.
20/ Encore raté pour les fraises : il y a eu trop de cueilleurs samedi et dimanche ! Je vais marcher une heure, puis je m'attaque à ma pile d'en-cours de couture, que j'avance bien.

21/ Les difficultés se profilent : Marie a eu son RV un mardi plutôt qu'un jeudi (jour où je télétravaille), 1/4 d'heure plus tôt que d'ordinaire, l'autoroute A13 est toujours fermée (la circulation sur les routes alentours peut-être apocalyptique), il y a grève de trains et il pleut ! Malgré tout, nous arrivons largement à l'heure et rentrons sans problème, c'était bien la peine de stresser…
22/ Je réussis enfin à cueillir mes fraises (et il y en a des tonnes, fallait-il vraiment fermer la cueillette lundi ?), la confiture est en pots, le coulis est au congélateur et nous nous régalons de celles que j'ai mises de côté.

23/ Mon colis musical est arrivé : ma nouvelle boîte à violon est top, légère et bien agencée, ça va me changer la vie (du moins mes trajets). Le support à micro, en revanche, ne convient pas du tout à nos micros, dommage !
24/ Ma nouvelle dentiste, en plus d'être aussi gentille que l'ancienne, est rapide et efficace et maîtrise très bien l'anesthésie (toujours compliqué chez moi).
25/ Bertille semble près de la fin (mêmes symptômes qu'Alphonsine : diarrhée, grosse fatigue, crête qui se ramollit), elle ne mange plus et reste couchée presque toute la journée. Lucette, très mignonne, vient fréquemment se coucher près d'elle et lui "parle". Je décide de la laisser tranquille, je réussis quand même à lui faire avaler un peu de riz cuit et d'argile, mais nous prévoyons d'aller à la prochaine livraison de poulettes.

26/ Marie et Guillaume me préparent un délicieux déjeuner, Aurore est en week-end scout et il fait beau.
27/ De l'avis général, c'est la meilleure chakchouka que  j'aie préparée — mais comme je dose les ingrédients à bonne vue, j'ai peu de chance de reproduire exactement la recette !
28/ Contre toute attente, Bertille, qui a passé deux jours à ne manger que de l'herbe, reprend du poil de la plume de la bête : elle court de nouveau, mange, boit et ne va plus se coucher à 19 heures. Pour les œufs, je pense quand même que c'est terminé.
29/ J'emmène Aurore, qui a besoin de sortir la tête de son mémoire, faire deux courses et un tour à la médiathèque. Nous rentrons plus tard que prévu et trempées, mais elle a pris l'air.
30/ Je tente l'aller-retour à Versailles à vélo malgré la météo, pour assister au concert, et je réussis à passer entre les gouttes (sur la fin, j'ai accéléré pour arriver 2 minutes avant le 3e gros orage de la journée).
31/ Aurore partant en WE scout (le troisième consécutif), c'est Marie qui nous accompagne au théâtre pour une pièce réjouissante.

 

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