Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
attraper le temps qui file…
Newsletter
Albums Photos
28 juillet 2024

52/2024 : Sieste !

Ah, le beau sujet que nous propose Virginie ! Il y a peu, un ami nous demandait quel était notre programme pour cette semaine de vacances bretonnes. Je lui ai répondu : du repos ! En détaillant : on se lève tard, on traverse la place pour aller au marché, on prépare le déjeuner, on fait la sieste (agrémentée de lecture), on boit un thé, on va à la plage (agrémentée de lecture, si le temps le permet), on prépare le dîner et on se couche tôt.

Bon, en vrai, il y a aussi de la course à pied sur le sentier littoral et de grandes balades, mais tout de même, en sortant de l'eau, s'adosser à un rocher pour lire ou somnoler au soleil, c'est bien agréable !

 

Publicité
Publicité
21 juillet 2024

52/2024 : Jaune

Ce dimanche, Virginie a choisi la couleur du soleil… bien absent en Bretagne, aujourd'hui !

Ce n'est pas grave, j'ai trouvé du jaune tout de même :

dans un petit-déjeuner breton 

mon meilleur copain, dans cette cuisine conçue pour des grands

les tournesols sont perdus et ne savent de quel côté se tourner

Un petit café ?

Je vais mettre ma robe de lumière pour faire venir le soleil !

 

19 juillet 2024

Duo de nœuds à quatre mains

Deux petites heures en tête à tête avec Aurore, pour un petit ouvrage pas si facile ! Nous avons coupé et cousu ensemble nos tissus fleuris.

Elle a appris à fermer un ouvrage à points (presque) invisibles…

… à retourner des cordons, à froncer un nœud et le bloquer d'une main en cousant une bande de tissu de l'autre

Les attaches (les crochets sont un peu trop petits) sont récupérées sur de vieux soutien-gorges

Et voilà, les coutures pour le mariage sont terminées !

18 juillet 2024

Le coussin en colère

Je me souviens d'un échange initié par Annabelle : nous étions invitées à confectionner un coussin à problèmes et à l'envoyer à une autre couturière tirée au sort. J'avais brodé un coussin en lin pour Maryse et j'en avais reçu un de Gris bonheurs (sur lequel je suis assise en ce moment-même, vu que ma chaise est un peu trop basse pour le bureau).

Cette fois, c'est Paul qui m'a commandé un coussin à colère : il est en train d'inventorier et de ficher tous les ateliers ou activités qu'il a mis en place durant ses premières années d'éducateur, et de fabriquer le matériel qui lui manque, afin de proposer des kits tout prêts à ses futurs collègues. Nous avons choisi ensemble les motifs de Vice-Versa sur Etsy.

J'en ai profité pour liquider les chutes du polo rouge, il m'a fallu assembler plusieurs bandes, surtout que j'ai malencontreusement éteint la brodeuse vers la fin d'un motif (de 50 minutes !) et comme j'avais changé l'échelle et la position, j'ai dû recommencer à zéro, puis découdre, minutieusement, les points déjà brodés pour récupérer suffisamment de tissu (ça m'a pris une bonne quinzaine de jours).

J'ai fermé la housse avec un zip afin qu'elle puisse être lavée souvent et j'ai cousu un coussin intérieur car les dimensions sont particulières (31 x 31 cm), je laisse à Paul le soin de le rembourrer et de le fermer, il sera plus à l'aise dans le train avec deux petits carrés de tissu plats.

 

15 juillet 2024

Joséphine se met au vert

Lorsque je suis partie en quête de tissu, j'avais choisi le patron Byzance et j'ai d'abord trouvé cette viscose toute douce. Et puis je suis tombée sur le coupon bleu dans le magasin d'en face et j'ai changé mes plans en décidant de coudre une robe Joséphine verte, en version longue. Ayant eu quelques déboires de taille avec ce patron, j'ai commencé par bâtir rapidement la ceinture, testé le tour de taille, puis bâti le corsage pour voir si je devais reprendre la hauteur de buste. Une fois les mesures validées, je me suis lancée, non sans anicroches !

Tout d'abord, je suis repassée sur mes coutures de bâti et je les ai surjetées, avant de m'apercevoir que je ne pouvais pas retourner le haut sans découdre les côtés. J'ai dû m'y reprendre à trois fois pour piquer l'arrondi de la ceinture car du tissu venait sans cesse se prendre dans la couture.

Le fermeture a été cousue quatre fois : la première fois, j'avais fait un tour dans celle-ci. La deuxième, ma couture était toute bouclée. J'ai changé l'aiguille et recommencé, puis soigneusement coupé tous les petits fils et… donné un coup de ciseaux malencontreux dans le tissu de la jupe. Le trou étant à 1 cm de la fermeture, je l'ai donc décousue en partie, ainsi que les 3 cm de taille (je couds seulement le tout début des panneaux du dos pour poser la fermeture, afin de pouvoir retourner mes parementures), puis j'ai recoupé le panneau endommagé sur 1 cm (la jupe est froncée, heureusement). Au moment de refaire une couture, j'ai oublié de régler le point adéquat sur ma machine et cassé l'aiguille sur le pied à fermeture. La quatrième fois a été la bonne, mais c'est au moment de coudre la parementure que j'ai encore dû défaire une couture qui m'empêchait de la retourner (j'ai vraiment du mal à concevoir l'ordre des étapes).

Bien entendu, avec une telle série, je ne pouvais pas passer à côté de l'assemblage de la jupe froncée sur la ceinture sans fil de canette ! Bon, on respire, on épingle une nouvelle fois et on recommence.

À ce stade, j'avais hâte de terminer et je me suis dépêchée de fixer le bas de la ceinture intérieure à la main. Je constate sur les photos que ça tiraille un peu du côté droit, mais j'aurai une semaine de vacances pour rectifier cela.

Le tissu est extrêmement doux, c'est un vrai bonheur à porter et, alors que je pensais que cette robe serait peut-être trop longue pour tous les jours, je trouve que ça passe (à part pour le vélo, peut-être).

 

Publicité
Publicité
14 juillet 2024

52/2024 : arbre

Ce dimanche, Virginie nous demande de photographier un arbre. Des arbres, j'en ai plein autour de chez moi, puis notre hameau est situé entre une forêt et un bois. Mais je trouve qu'ils sont difficiles à photographier ainsi, en groupe. Et puis j'ai pensé à une tradition des églises allemandes que j'ai découverte l'an dernier : l'arbre de vie, symbole du lien entre la terre et le ciel. J'en ai notamment remarqué deux, très stylisés, très modernes, à Lübeck et à Hambourg.

 

Alors que dans l'art sacré du XIIe au XIVe, on trouvera fréquemment l'arbre de Jessé, qui s'apparente à un arbre généalogique et vient illustrer un verset du prophète Isaïe : « Un rameau sortira de la souche de Jessé, père de David », qui retrace la filiation entre le roi David et Jésus (avec la contradiction que c'est Joseph qui descend de David et non pas Marie…)

 

13 juillet 2024

La chemise blanche

La chemisette blanche du commerce ayant fait son temps (et perdu sa blancheur), j'ai décidé de la remplacer, surtout qu'elle était nécessaire pour compléter la tenue du mariage à venir. Trouver un coton blanc adapté, étrangement, n'a pas été facile ! C'est lors de notre deuxième visite chez Sacrés Coupons que nous avons déniché le coupon parfait, assez léger pour l'été mais assez épais pour éviter la transparence, avec un tissage sergé sur l'endroit. Ce tissu n'était pas donné, j'espère que la qualité sera à la hauteur. Après lavage, il était très froissé et je n'ai pas réussi à le repasser correctement, mais je pense qu'un second lavage le débarrassera définitivement de son apprêt.

Le patron ayant été maintes fois cousu, je n'ai pas rencontré de difficulté et j'ai quasiment cousu cette chemise dans la journée (ne manquaient que les boutons). Au départ, j'ai eu du mal à distinguer l'envers de l'endroit au soleil du matin, alors que ça m'a semblé évident plus tard dans la journée.

J'ai agrémenté le modèle d'une fausse patte de boutonnage rapportée en créant un pli plat, c'est ce qui m'a peut-être pris le plus de temps : fatiguée, je n'arrivais pas à calculer son emplacement, alors qu'il m'a suffi de coudre la patte de boutonnage du pan gauche pour avoir mes repères sur le pan droit ! 

Le plus long, finalement, a été de coudre en alternance avec Marie et de ré-enfiler la machine en blanc à chaque étape (pendant que j'épinglais, elle cousait du rose).

Les boutons sont récupérés d'une ancienne chemise et les boutonnières sont passées comme une lettre à la poste (pour une fois).

Avec ce bon basique, on pourra se lâcher sur le nœud papillon ! 

 

11 juillet 2024

Déclic fleurie

J'avais prévu cette viscose pour ma robe Byzance et finalement, c'est un autre patron que j'ai utilisé, moins gourmand en tissu. Lors de ma séance de coupe, je portais mon pantalon bleu avec ma blouse Déclic (dont j'ai recoupé la parementure à 3 cm et c'est très bien ainsi) et j'ai pensé que j'aurais largement assez de tissu dans les chutes pour en couper une nouvelle. Hélas, il me manquait quelques centimètres (et dire que j'ai coupé une robe longue alors que je vais probablement la raccourcir…) !


Bon, mais pour la robe Byzance, j'avais un coupon de 3 mètres, là ça devrait passer. Trois fois hélas, c'était trop juste aussi (le devant dans le biais et les panneaux de la jupe laissent des chutes biscornues). Déçue, j'ai rangé mes tissus en attendant de penser à un autre patron. Mais je voulais ma Déclic, alors j'ai réfléchi et imaginé de créer un empiècement dans le haut du dos, en dégainant l'astuce favorite de la couturière en manque de tissu (ou de l'étourdie qui a coupé sur la ligne de pli, ça arrive aussi) : cacher cette couture en la rendant bien visible pour dire que "c'est fait exprès". Bon, je n'ai pas tout à fait mis mon plan à exécution, vu que même l'empiècement a été coupé en deux parties, pour respecter le droit-fil. Mais j'ai trouvé, dans les chutes d'une jupe cousue par Marie, la viscose idéale pour confectionner un passepoil. J'avais du cordon spécial, mais je le trouvais un peu gros, alors j'ai trouvé, toujours dans les fournitures de Marie, un coton à tricoter parfait pour cet usage.

Comme je ne voyais pas comment ourler les emmanchures, avec ce passepoil, j'ai cousu un biais retourné, que j'ai tout juste réussi à couper dans mes chutes : voilà un coupon utilisé presque jusqu'à la dernière miette !

L'encolure baille un peu, je vais peut-être la découdre et insérer une fine bande d'entoilage, si j'en ai le courage (c'est ce que j'ai fait pour la robe que j'ai commencé à coudre dans la foulée).

 

10 juillet 2024

Le basique de l'été

Cette semaine, nous participons à deux prestations musicales, dans le cadre des animations estivales proposées par la ville. 

Alors que nous parlions du dress-code, j'ai suggéré de reprendre les rayures du logo de l'opération et de porter des marinières, ou tee-shirts dans le même style, dans des coloris différents. J'en ai bien un exemplaire dans mon placard, mais dans un jersey plutôt épais. Or, je me suis dit que l'été pourrait arriver d'un jour à l'autre et que j'aurais bien chaud avec mes manches longues, surtout à 18h.

Alors, malgré le planning couture chargé, j'ai sorti le jersey déjà utilisé pour une chemise de nuit, dont il restait une très grande chute, mon patron fétiche de tee-shirt et, tout en discutant avec Marie qui cousait sa jupe, j'ai coupé, non sans avoir soigneusement repéré l'alignement des rayures avant de le plier… enfin, je croyais, mais j'ai dû louper un truc, parce qu'au moment d'épingler les côtés, les raccords sont parfaits d'un côté et parfaitement décalés de l'autre.

À part ça, j'ai un tee-shirt très doux, léger, juste long comme il faut.

J'ai un peu élargi l'encolure par rapport à ceux cousus pour l'hiver.

Oui, je sais, ce ne sont pas des rayures de marinière, mais ça va le faire quand même. D'ailleurs, je n'ai pas de jupe noire d'été non plus et d'ici demain, je doute de trouver le temps d'y remédier.

 

7 juillet 2024

52/2024 : Souvenirs

Ce dimanche, Virginie nous propose de nous souvenir de quelque chose. J'ai cherché une photo du 7 juillet des 10 dernières années (ou 6 ou 8 si je n'avais pas la date exacte), et essayé de me souvenir de ces instants.

Alors, il y a 10 ans, des scouts campaient dans notre petit jardin

Il y a 9 ans, j'emmenais Marie à son stage, de très bon matin

Il y a 8 ans, nous revenions de notre petite randonnée à Saint Malo

Il y a 7 ans, la réfection de la salle de bains débutait

Il y a 6 ans, je m'essayais aux tutoriels d'instagram avec un succès mitigé

Il y a 5 ans, nous arrivions à Dinard

Il y a 4 ans, résultat du bac en poche, Aurore s'inscrivait en prépa

Il y a 3 ans, nous préparions l'hiver

Il y a 2 ans, je cousais des pochons pour Annabelle

Et il y a 1 an, nous arrivions à Lübeck après 10h d'autoroutes allemandes en travaux

 

Publicité
Publicité
1 2 > >>
attraper le temps qui file…
Publicité
Archives
Publicité