Ce dimanche, c'est Mirovinben qui a suggéré le thème. Et je comptais sur l'ouverture de la saison des anniversaires, mais les bougies, mercredi dernier, n'ont pas du tout fumé
La cheminée s'est allumée sans problème (parfois, selon la météo, elle peut enfumer toute la maison et déclencher les deux détecteurs de fumée pendant un bon quart d'heure)
En revanche, il a suffi d'une distraction (un coup de fil) alors que je venais de lancer un caramel et que j'étais allée, dans la pièce voisine, déposer un objet… et comme notre hotte aspirante est très performante, il faut vraiment que ça brûle pour que l'on sente quelque chose à l'intérieur. Là, c'était vraiment calciné : comment 12 morceaux de sucre et une cuillère d'eau peuvent-ils produire un tel volume de charbon ?
Il fut un temps où j'offrais, en cadeau de naissance, une petite robe ou une salopette, plus rarement un vêtement tricoté. Je manquais de temps déjà pour coudre pour mes enfants. Mais désormais, je peux me faire plaisir (et, j'espère, faire plaisir aux parents du petit destinataire), mes filles cousent elles-mêmes leurs robes, voire contribuent aux cadeaux de naissance. Pour la petite Lou, j'ai pris plaisir à confectionner quelques petits vêtements.
Un tee-shirt et une salopette (Ottobre 2009), cette fois j'ai un peu diminué la largeur de la salopette que je trouvais vraiment grande, mais elle fait moins "fille" ainsi.
J'avais justement deux boutons blancs parfaits, car ce bleu est difficile à assortir
J'ai ressorti un patron Petit Faune que je pense avoir cousu dans toutes les tailles pour mes filles pour une petite robe croisée dans le dos
Avec un chintz fleuri dans lequel je m'étais cousu une jupe pour un mariage, un peu raide mais tellement bien assorti au vert du tee-shirt
Et, bien sûr, un ensemble bottes-bonnet pour aller se balader en bord de mer : dans le Cotentin, il peut faire un peu frisquet, même en été
Chaque année, Aurore me suggère une destination culinaire pour son repas d'anniversaire : après le Mexique, l'Italie, elle a choisi la Grèce pour cette année (en précisant bien qu'il fallait élargir le périmètre à La Crête et à Chypre car elle tenait à l'halloumi grillé !)
Ce n'était pas très facile, vu la saison, mais j'ai réussi à trouver des tomates et du concombre français (certes, les tomates avaient peu de goût), j'avais fait provision de feuilles de filo depuis quelques semaines (elles sont rarement en rayon). J'ai même poussé jusqu'à Belleville pour trouver, chez Profil grec, d'authentiques fèves de Santorin.
Au menu, et après une journée entière en cuisine, il y avait donc
de la Fava de Santorin
de la salade grecque
du tzatziki
du Ktipiti
de la pougia
de la melitzanosalata
de la tyropita
de la spanakopita
des dolmades
des olives
de l'halloumi
des sheftalia
des calamarakia tiganita
(je vous laisse chercher les recettes sur 196flavours)
Chaque plat était dûment étiquetté pour mon helléniste de fille
Pour l'occasion, j'ai sorti tout ce que j'avais de petits bols blancs ou bleus, ainsi que des verres hérité de ma Mamie, dont je ne m'étais jamais servi (ils sont extrêmement fragiles et très petits)
Et pour finir, le traditionnel fraisier, pas grec du tout
magnifiquement décoré par Marie, qui sortait du bureau
La demoiselle a reçu quelques cadeaux* (le mien, qui doit être cousu, va attendre un peu, nous venons tout juste de trouver le tissu), dont des chaussettes très originales :
Nous n'avons pas réalisé tout de suite, mais ce sont Lucette et Soizic !
* notamment 4 lettres de l'Urssaf et des impôts pour sa toute nouvelle auto-entreprise.
Pour la petite Lou, après le doudou baleine, j'aurais bien continué sur le même thème pour la trousse de naissance, mais il ne me reste qu'une mini-chute du tissu à motif de baleines utilisé pour Joachim et Léon. J'ai donc choisi quelque chose de plus coloré.
Je n'avais pas assez pour coudre toute une turbulette, mais j'ai trouvé un coton d'un bleu identique à celui des fleurs. Ma chute était étroite, j'ai donc ajouté une couture au milieu, en raccordant au mieux les motifs.
Pour une petite-cousine qui a tout juste un mois, une cape de bain dans un rose tout doux
Cette fois, j'ai une finition propre du biais, mais je ne suis pas encore tout à fait convaincue, ça gondole au bord de la capuche.
Et pour amuser la demoiselle, une baleine en jersey velours, d'après le patron que Chouette kit avait mis en ligne gracieusement pendant le confinement. Je l'ai imprimé à 90 % car je trouvais le doudou un peu grand pour un bébé, mais ça ne change pas grand-chose (ou bien je l'ai plus rembourrée).
Je suis très en retard pour la photo du dimanche chez Virginie : je suis partie en Normandie samedi, en oubliant le lecteur de carte photo, alors que notre nouvel ordinateur portable n'en a plus. J'ai bien essayé de brancher directement mon téléphone, mais je n'avais visiblement pas le câble adapté, ou bien il faut installer un logiciel, je ne sais pas.
Quand nous partons en tournée avec notre ensemble folk et que le bal a lieu dans un village proche de notre ville natale, nous envoyons toujours un petit message à nos proches et cette fois, ce sont deux cousines qui sont venues danser. Et par chance nous ne jouions pas toutes les danses, donc nous avons pu danser un peu nous aussi !
Comme la scène est toute petite, nous étions serrés comme des sardines et nous nous sommes tenu chaud ! Surtout avec les déguisements dont le chef a tenu à nous affubler.
C'est un petit challenge lecture créé par Bidib. En mars, j'ai lu 6 livres (1276 pages) et visité 6 nouveaux pays, pour un total de 157 pays.
Trinité-et-Tobago V. S. Naipaul, Miguel Street.
Le narrateur, encore enfant, trace les portraits des habitants de sa rue, dans un quartier pauvre de Port of Spain. Tous ont des rêves, des ambitions, ils s'inventent des vies et des métiers pour oublier leur quotidien, la vie est dure mais la solidarité, l'entraide et l'amitié (et beaucoup de rhum) les aident à tenir le coup. Chaque chapitre se lit comme une courte nouvelle et l'on y sent la nostalgie d'une époque révolue. « Mais un simple coup d’œil nous suffit pour comprendre que Pleasure ne pouvait être la fille d'Eddoes. Boyce commença à siffler le calypso : Des petits Chinois m'appellent Papa ! J'suis noir comme du jais, Ma femme est comme un bébé nègre, Et pourtant... Des petits Chinois m'appellent Papa ! Ô Jésus, quelqu'un a mis du lait dans mon café ! » « À présent, dit B.Wordsworth, allongeons-nous dans l’herbe, levons les yeux vers le ciel et je veux que tu penses comme ces étoiles sont loin de nous. Je fis ce qu’il me dit et je compris ce qu’il voulait dire. Je me sentis moins que rien, et en même temps je n’avais jamais eu l’impression d’être aussi grand et aussi fort de toute ma vie. J’oubliai ma colère, mes larmes et les coups.»
Andorre
Michèle Gazier, Les passantes.
Madeleine, Lilas, Joseph et Evelyne sont infirmiers libéraux à Montpellier. Ils partagent les tournées, les patients, dont ils sont parfois le seul contact humain de la journée. Difficulté à garder la juste distance, fatigue de ces journées à rallonge, des escaliers, des soins qui s'enchaînent, peur de la porte qui reste fermée un matin, c'est un bel hommage rendu à ces soignants. Lorsque Léonor remplace sa nièce Evelyne pour un congé maternité et qu'une nouvelle patiente, désagréable et mystérieuse s'ajoute à leur tournée, c'est tout ce fragile équilibre qui est rompu, d'autant que Léonor pense l'avoir croisée autrefois et chercher à découvrir son lourd secret.
« Je connais tout de ces situations maintes fois rencontrées en trente ans de métier. Mais je n’ai jamais pu me faire à cette peur qui vous étreint lorsque vous sonnez à la porte d’un patient, que vous entendez dans le fond de son appartement des cris ou des râles ou, pire encore, le silence, et que vous n’avez aucun moyen de voler au secours de celle ou de celui qui a tant besoin de vous. Appeler les enfants, souvent occupés, loin, injoignables, tenter d’alerter un voisin qui a peut-être un double de la clef. En dernier recours : appeler les pompiers… »
« C'est étrange comme la nudité, les corps fatigués, meurtris, déformés, blessés de mes patients me semblent plus difficile à regarder, à toucher, ici dans les lieux de leur vie ordinaire, leurs appartements parfois vétustes, parfois opulents, meublés, décorés et qui sont les écrins plus ou moins plaisants de leur longue vie. »
Guinée Bissau
Abdulai Sila, L'ultime tragédie.
Vu le titre, je m'attendais encore à un récit de guerre ou de massacre, non, le livre dépeint les rapports entre la communauté portugaise et les Africains durant la période coloniale en Guinée-Bissau, à travers l'histoire de N'dani, dont le seul rêve était de devenir domestique dans une famille expatriée. Il y a des passages comiques (la vengeance du Regulo sur l'administrateur en chef), d'autres qui le ne le sont pas du tout, et l'histoire se termine tragiquement, injustement, par la puissance écrasante du colonisateur sur les colonisés.
« Parfois, le problème n’est pas de ne pas réfléchir, mais de réfléchir trop vite. Réfléchir est quelque chose qui ne peut pas faire à toute vitesse. C’est comme courir en se grattant le genou, on ́e va pas loin. Penser est avant tout un exercice de patience, de calme. Si une personne ne pense pas calmement, ou si elle n’a pas de patience, elle n’arrivera jamais là où elle veut. »
« La majeure partie des Blancs qui viennent en Guinée sont de pauvres Blancs. Ils viennent pour améliorer leur sort car là-bas, dans la métropole, ils n'ont rien. S'ils viennent du nord, ce sont des pêcheurs. S'ils viennent du sud, ce sont aussi des pêcheurs. S'ils viennent du centre, ce sont des paysans, ils cultivent les pommes de terre ou ramassent le raisin pour faire du vin. Quand ils arrivent ici, ils oublient tout et pensent que personne n'est au courant. »
Hong-Kong Justin Wong, Je préférerais ne pas.
J'ai été attirée par le titre, inspiré de Bartleby le scribe. Et puis une BD, ça me changerait un peu des romans de 400 pages lus en janvier. Mais c'est un étrange objet que j'ai eu entre les mains : un "journal d'inactivité", sous forme de succession d'icônes, de petits croquis numériques. Licencié de son entreprise, Butt, trentenaire, décide de s'accorder quelques mois de pause professionnelle et chercher à occuper son temps libre avec toutes les activités dont il rêvait quand ses journées étaient trop courtes : voyager, dessiner, réorganiser son appartement, voir des amis… jusqu'aux idées les plus farfelues. Certaines pages sont drôlissimes (notamment l'attaché de conservation du rocher, à Là-bas-Ville…), d'autres plus anecdotiques, mais je suppose que chaque lecteur trouvera des questions qui l'interpellent plus particulièrement.
République Dominicaine
Junot Díaz, La brève et merveilleuse vie d'Oscar Wao.
J'ai été attirée par la couverture colorée de ce livre, suggérant l'éventualité d'un roman Feel good et j'ai failli l'abandonner au milieu du premier chapitre, tant la langue en est déroutante : argot des jeunes New-Yorkais, truffé de références aux jeux de rôles, à la science-fiction, aux super-héros — culture geek qui ne me parle pas du tout — et de mots d'espagnol ou d'expression dominicaines, sans parler des notes de bas de pages pour lesquelles on pourrait plutôt parler de pages de notes, qui renseignent le lecteur en détail sur l'histoire de la République Dominicaine sous la dictature de Trujillo — auprès duquel de nombreux autres dictateurs passeraient pour des enfants de chœur.
Quelques sondages parmi les 346 pages m'ont rassurée : le style n'était pas identique dans tout le roman, puisque outre l'adolescence d'Oscar, il relate aussi la vie de sa sœur Lola, de sa mère Belicia, de ses grand-parents, avec des allers-retours dans le temps et dans l'espace, entre New York et leur île d'origine. Une saga familiale qui fait froid dans le dos, on ne peut dire que les personnages ont une vie semée de roses, mais qui semble illustrer parfaitement l'histoire du pays et de ses ressortissants.
«Notre héros, c'était pas un de ces lascars dominicains dont tout le monde tchatche - c'était pas un as de la batte ou un bachatero choucard, ni un bogosse avec un milliard de bombax scotchées au slibard. »
« Mais qu'importe la vérité, souvenez vous : les dominicains sont antillais et, en cela, capables d'une extrême tolérance aux phénomènes extrêmes. Comment aurions-nous fait, autrement, pour survivre à ce que nous avons enduré ? »
« Ils sont comme ça, les Blancs. Ils perdent leur chat, et ils transmettent un avis de recherche à toutes les polices du pays, tandis que nous, les Dominicains, on perd notre fille et il est plus que probable qu'on n'annule même pas notre rendez-vous chez le coiffeur. »
Koweit Taleb Alrefai, Ici-même.
L'auteur mêle fiction et réalité, en racontant l'histoire de Kawthar, la fille préférée de son meilleur ami, qui est sur le point d'épouser un homme, malgré l'opposition de toute sa famille. Malgré une situation financière et professionnelle enviable (elle occupe un poste à responsabilité dans une banque), elle devrait se soumettre à la volonté de sa famille, or elle est tombée amoureuse de l'un de ses clients qui a tout contre lui : marié, père de famille et, surtout, chiite alors que sa famille est sunnite. Pour couronner le tout, elle a acheté un appartement avecl'héritage de son père et part vivre seule, ce qui est impensablepour une jeune femme de bonne famille ! Son "oncle" de cœur accueille ses confidences avecbienveillance, mais refuse de lui donner sa bénédiction tant que le futur marié n'a pas divorcé. Ce court roman se concentre sur le petit matin avant le mariage, alors que Kawthar hésite : est-elle prête à tout abandonner et ce mariage lui apportera-t-il le bonheur espéré ?
« Comment fait-on pour rencontrer ceux que l'on aime, pour qu'ils soient comme on les désire ? Les comportements de nos amoureux laissent derrière eux des blessures profondes à nos cœurs et nous abandonnent, terre ravagée par la tristesse. Qu'est-ce qui me contraint à rester avec quelqu'un, malgré les désillusions, malgré sa cruauté, parfois même sa fadeur ? Si ce n'est que l'amour est aveugle et nous prend par la main pour nous conduire sur les chemins de la souffrance ? » « La phrase horrible de ma mère me revient, “Il n'y a pas d'autre homme au Koweit ?”, et ta question continue de m'agiter : “ Comment pourrais-je vivre avec toi ?” »
Afrique
Afrique du Sud
Yewande Omotoso, La Voisine.
Algérie
Kamel Daoud, La préface du nègre : le Minotaure 504 et autres nouvelles.
Angola Ondjaki, GrandMèreDixNeuf et le secret du Soviétique.
Bénin
Florent Couao-Zotti, La traque de la musaraigne.
Botswana Trinity Dow, Les cris de l'innocente.
Burkina Faso
Roukiata Ouédraogo, Du miel sous les galettes.
Burundi
Gaël Faye, Petit pays.
Cameroun
Calixte Beyala, Le Christ selon l'Afrique.
Cap Vert
Germano Almeida, Le testament de Monsieur Napumoceno.
Comores Ali Zamir, Dérangé que je suis.
Congo Brazzaville
Alain Mabanckou, Le commerce des Allongés.
Côte d'Ivoire Marguerite Abouet, Aya de Yopougon, tomes 1, 2, 3.
Djibouti
Abdourahman A. Waberi, Aux États-Unis d'Afrique.
Égypte
Alaa El Aswany, L'Immeuble Yacoubian.
Érythrée
Sulaiman Addonai, Le silence est ma langue natale.
Éthiopie Maaza Mengiste, Le roi fantôme.
Gabon
Janis Otsiemi, La vie est un sale boulot.
Ghana
Yaa Gyasi, No home.
Nii Ayikwei Parkes, Notre quelque part.
Guinée
Camara Laye, L'enfant noir.
Kenya
Ngugi wa Thiong'o, La rivière de vie.
Libéria Leymah Gbowee, Notre force est infinie.
Lybie
Hisham Matar, Une disparition.
Madagascar Johary Ravaloson, La fabuleuse parcelle de Monsieur Isidore.
Malawi William Kamkwamba, Le garçon qui dompta le vent.
Mali
Aya Cissoko, N'ba.
Maroc
Mohamed Leftah, L'enfant de marbre.
Maurice
Mariam Sheik Fareed, Le syndrôme de l'accent étranger.
Nathacha Appanah-Mouriquand, Blue Bay Palace.
Mayotte
Nassuf Djailani, À tous ceux qui accusent le poète de traîtrise à la langue française, poème.
Yazidou Maandhui, Mirage, poème.
Mozambique
Mia Couto, Le chasseur d'éléphants invisibles.
Niger Fatima, Esclave à 11 ans.
Nigeria
Chigozie Obioma, Les pêcheurs.
Ouganda Jennifer Nansubuga Makumbi, Kintu.
République Centrafricaine
Didier Kassaï, Tempête sur Bangui 1 et 2.
République démocratique du Congo
Denis Mukwege, La force des femmes.
Réunion
Aimé Césaire, Calendrier lagunaire, poème.
Myriam Cazalou, Convois vers l'usine sucrière, poème.
Agnès Gueneau, Cause à ou, poème.
Rosemay Nivard, Un quart de pomme, poème.
Patrice Treuthardt, Retour au port natal, poème.
Sénégal
Birago Diop, Les contes d'Amadou Koumba.
Fatou Diome, Celles qui attendent. Karine Silla, L'absente de Noël.
Sierra Leone
Ishmael Beah, La petite famille.
Somalie
Farah Nuruddin, Du lait aigre-doux.
Soudan
Abdelaziz Baraka Sakin, Le Messie du Darfour.
Tayeb Salih, Saison de la migration vers le Nord.
Tanzanie
Abdulrazak Gurnah, Près de la mer.
Tchad
Adjim Danngar, Djarabane. 1. Au petit marché des amours perdues.
Togo
Kossi Ejoui, L'ombre des choses à venir.
Tunisie
Habib Selmi, La voisine du cinquième.
Zimbabwe
Petina Gappah, Le livre de Memory.
Amérique
Antigua-et-Barbada Jamaïca Kincaid, Voyons voir.
Argentine
Gabriela Cabezón Cámara, Pleines de grâce.
Bolivie
Edmundo Paz Soldán, Norte.
Brésil
Paulo Coelho, L'Alchimiste.
Canada :
Jean-Paul Dubois, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon (prix Goncourt 2019).
Nancy Huston, Le club des miracles relatifs.
Chili
Luis Sepúlveda, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler et Histoire du chat et de la souris qui devinrent amis.
Colombie
Gabriel Garciá Márquez, La Mala Hora.
Costa Rica
Edo Brenes, Bons baisers de Limon.
Cuba
Leonardo Padura, Adios Hemingway.
États-unis
Jack London, Martin Eden.
Harper Lee, Va et poste une sentinelle.
Toni Morrison, Beloved.
Équateur
Alfredo Noriega, Mourir, la belle affaire !
Guadeloupe
Jenny Archimède, Dans mon île, poème.
Daniel Maximin, Natale, poème
Max Rippon, Cataplasme, poème.
Guy Tirolien, Prière d'un petit enfant nègre, poème.
Guatémala
Miguel Angel Asturias, Le Pape vert.
Guyane française
Léon-Gontran Damas, Solde, poème.
Serge Patient, Cayenne est désolée…, poème.
Groenland
Mo Malø, Qaanaaq.
Mo Malø, Diskø.
Mo Malø, Nuunk.
Mo Malø, Summit.
Haïti
Jacques-Stephen Alexis, L'étoile absinthe.
René Depestre, Lettre au poète Léon Damas, poème.
Honduras
Horacio Castellanos Moya, Effondrement.
Jamaïque
Kei Miller, By the Rivers of Babylon.
Martinique Nicole Cage-Florentiny, Dans mon île ne poussent pas les saules, poème.
George Desportes, À la crinière du cyclone, poème.
Éric Pézo, On avance la peur…, poème.
Joseph Polius, Petits mots…, poème.
Julienne Salvat, Dire d'enfance rosée…, poème.
Mexique
Laura Esquivel, Chocolat amer.
Carlos Fuentes, Une certaine parenté.
Paraguay
Augusto Roa Bastos, Fils d'homme.
Pérou
Mario Vargas Llosa, La Tante Julia et le scribouillard.
Porto-Rico
Mayra Santos-Febres, La maîtresse de Carlos Gardel.
Salvador
Horacio Castellanos Moya, Effondrement.
Uruguay
Juan Carlos Onetti, Les adieux.
Venezuela
Karina Sainz Borgo, La fille de l'Espagnole.
Asie
Afghanistan
Spôjmaï Zariâb, La plaine de Caïn.
Mahmud Nasimi, Un Afghan à Paris.
Arabie Saoudite
Athîr Abdallah Al-Nashmî, Une perte.
Bangladesh
Shirshendu Mukhopadhyay, La tante qui ne voulait pas mourir.
Bhoutan
Kunzang Choden, Le cercle du karma.
Birmanie Aung San Suu Kyi, Se libérer de la peur.
Cambodge
Tian, L'année du lièvre (BD) : 1. Au revoir Phnom Penh. 2. Ne vous inquiétez pas. 3. Un nouveau départ.
Chine
Qiu Xiaolong, La danseuse de Mao.
Corée du Nord
Hyeonseo Lee, La fille aux sept noms.
Corée du Sud
Ch'oe Yun, Là-bas, sans bruit, tombe un pétale.
Inde
Rohinton Mistry, L'équilibre du monde.
Indonésie
Pramoedya Ananta Toer, Le monde des hommes. (Buru Quartet tome 1)
Iran
Fariba Vafi, Un secret de rue.
Zoyâ Pirzâd, On s'y fera.
Irak
Abbas Khider, Lettre à la république des aubergines.
Israël
Amos Oz, Vie et mort en quatre rimes.
Japon
Haruki Murakami, Le passage de la nuit.
Durian Sukegawa,Les délices de Tokyo. Toshikazu Kawaguchi, Tant que le café est encore chaud.
Jordanie Nadia Shammas (autrice), Sara Alfageeh (illustratrice), Écuyère.
Laos
Loo Hui Phang, L'imprudence.
Liban
Jabbour Douaihy, Il y avait du poison dans l'air.
Malaisie Tash Aw, La carte du monde invisible.
Mongolie
Galsan Tschinag, Belek, une chasse dans le Haut-Altaï, suivi de Une histoire Touva.
Népal
Mahjusshree Thapa, Les saisons de l'envol.
Sultanat d'Oman Jokha Alharthi, Les corps célestes.
Ouzbékistan
Hamid Ismaïlov, Dans les eaux du lac interdit.
Pakistan
Daniyal Mueenuddin, La saison des mangues introuvables.
Palestine Sahar Khalifa, Chronique du figuier barbare. Nadia Shammas (autrice), Sara Alfageeh (illustratrice), Écuyère.
Singapour
Balli Kaur Jaswal, Le club des veuves qui aimaient la littérature érotique.
Syrie
Niroz Malek, Le promeneur d'Alep.
Sri Lanka
Antonythasan Jesuthasan, Friday et friday.
Taïwan
Xiaole Wu, Les enfants des riches.
Thaïlande
Rattawut Lapcharoensap, Café Lovely.
Turquie
Orhan Pamuk, La femme aux cheveux roux.
Vietnam
Kim Thúy, Man.
Yémen
Ali al-Muqri, Le beau Juif.
Europe
Albanie
Ornela Vorpsi, Buvez du cacao Van Houten !
Allemagne
Eduard von Keyserling, Altesses.
Marlen Haushoffer, Le mur invisible.
Autriche
Daniel Glattauer, Quand souffle le vent du nord.
Daniel Glattauer, La septième vague.
Azerbaïdjan
Tchinguiz Abdoullaïev, Le fardeau des idoles.
Belgique
Amélie Nothomb, Antéchrista.
Michel Van Zeveren, Le plat du loup plat.
Nadine Monfils, Les folles enquêtes de Magritte et Georgette. 1. Nom d'une pipe !
Bulgarie
Elitza Gueorguieva, Les cosmonautes ne font que passer.
Chypre
Tefcros Michaelides, Petits meurtres entre mathématiciens.
Croatie
Ante Tomic, Miracle à la Combe aux aspics.
Danemark
Jens Christian Grøndahl, Quelle n'est pas ma joie.
Espagne
Carlos Ruiz Zafón, Marina.
Estonie
Andrus Kivirähk, Les secrets.
Finlande
Sofi Oksanen, Baby Jane.
Arto Paasilinna, La douce empoisonneuse.
France
Maurice Leblanc, Arsène Lupin.
Riad Satouff, Le jeune acteur.
Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art.
Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi et Les racines du ciel)
Delphine Horvilleur, Vivre avec nos morts. Petit traité de consolation.
Jean Giono, Regain.
Daniel Pennac, Le cas Malaussène : 1. Ils m'ont menti. 2. Terminus Malaussène.
Isabelle Guézan, La Nouvelle Organisation du Travail (uniquement sur Kindle).
Romain Gary, Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable.
Daniel Pennac, Mon frère.
Anne Bihan, Craquement nègre…, poème.
Alexis Gloaguen,Rien n'est plus paradoxal que la mort, poème.
Catherine C. Laurent,Regarder le pays, poème.
Sophie Hénaff, Poulets grillés,Rester groupés, Art et décès. Clémentine Mélois, Alors c'est bien.
Georgie Boris Akounine, Pélagie et le bouledogue blanc.
Grèce
Vassilis Alexakis, Ap. J. C.
Hongrie
Magda Szabó, La porte etAbigaël.
Irlande
Maggie O'Farell, Assez de bleu dans le ciel.
Islande
Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande.
Gunnar Gunnarsson, Le berger de l'Avent.
Italie
Alessandro Baricco, Novecento : pianiste. Un monologue.
Goliarda Sapienza, L'Art de la joie. Giosuè Calaciura, Le tram de Noël.
Lettonie Sandra Kalniete, En escarpins dans les neiges de Sibérie.
Lituanie GiédRé (Holly R., illustratrice), La boîte de petits-pois.
Macédoine
Rumena Bužarovska, Mon cher mari.
Moldavie
Vladimir Lortchenkov, Des Mille et une façons de quitter la Moldavie.
Monaco
Prince Albert II, L'homme et l'océan.
Norvège
Gunnar Staalesen, Le loup dans la bergerie.
Pays-Bas
Toine Heijmans, En mer.
Pologne
Maryla Szymiczkowa, Madame Mohr a disparu.
Portugal
Gonçalo M. Tavares, Une jeune fille perdue dans le siècle à la recherche de son père.
République Tchèque
Kafka, Le procès et La métamorphose.
Roumanie
Ioana Pârvulescu, La vie commence vendredi.
Panaït Istrati, Codine.
Royaume-uni
Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno.
Mhairi McFarlane, Et ne t'avise pas de m'embrasser. William Makepeace Thackeray, La Foire aux vanités (Vanity Fair).
Alan Bennett, La Reine des lectrices.
Herman Melville, Bartleby le scribe. Annie Darling, Noël à la librairie des cœurs brisés.
Russie
Léon Tolstoï, La sonate à Kreutzer. Le bonheur conjugal. Le diable. Andreï Kourkov, Surprises de Noël.
Serbie
Filip Grbic, Errance.
Slovaquie
Pavol Rankov, C'est arrivé un premier septembre.
Slovénie
Drago Jankar, Cette nuit, je l'ai vue.
Suède
Camilla Läckberg, Femmes sans merci. Katarina Mazetti, Le mec de la tombe d'à côté
Jonas Jonasson, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.
Vilhelm Moberg, La saga des émigrants (7 tomes)
Stieg Larsson puis David Lagercrantz, Millenium (6 tomes) Selma Lagerlöf, Le livre de Noël.
Ukraine :
Andreï Kourkov, Le jardinier d'Otchakov.
Vatican
Pape François, Laudato si, encyclique sur la sauvegarde de la maison commune.
Océanie
Australie
Joan Lindsa, Pique-nique à Hanging Rock.
Nouvelle Calédonie
Déwé Gorodé, Les mots sont des innocents, poème.
Nicolas Kurtovitch, Le sens des marées, poème.
Raymond Lacroix, Le nouveau sorcier de la grue aux requins, poème.
Frédéric Ohlen, Ils m'ont dit…, poème.
Denis Pourawa, Névarèna, poème.
Paul Wamo, L'épithète, poème.
Nouvelle Zélande
Eleanor Catton, La répétition.
Polynésie française
Célestine Hitiura Vaïte, L'Arbre à pain (Chroniques de Tahiti 1).
Flora Aurima Devatine, Pas d'i…, pas d'o…, poème.
Henri Hiro, Si seulement…, poème.
Samoa
Sia Figiel, Freelove.
Wallis-et-Futuna
Virginie Tafilagi, Mes yeux-paroles, poème.
Mars n'a pas été de tout repos : scoutisme, musique, paroisse ont rempli nos week-ends et nos soirées, avec toutefois quelques pauses bienvenues. Nous nous sommes parfois couchés très tard, des excès que nous mettons plusieurs jours à récupérer, mais le soleil est venu apporter un peu d'énergie : ce mois a été nettement plus favorable côté météo, malgré un froid encore vif le matin. Il m'a fallu tout ce mois pour me remettre de ma laryngite, j'ai encore pas mal toussé et le "trou" de ma tessiture s'est comblé peu à peu, note après note, avec des phénomènes curieux (impossible d'enchaîner sol-la alors que je pouvais chanter les deux notes séparément, par exemple). Je tente aussi de tenir les objectifs que je me suis fixés (marcher 9000 pas par jour, passer plus d'une heure dehors, lire, coudre, ranger) mais je me fatigue moi-même…
1/ Les filles m'entraînent au-dehors à l'heure de la sieste pour quelques achats et la sortie se prolonge, je suis fatiguée, mais marcher au soleil m'a fait du bien.
2/ J'aime tellement entendre le hululement de la chouette le soir, avant de m'endormir !
3/ Dur, dur la reprise malade, mais le petit-déjeuner de départ d'une doctorante permet de couper agréablement la matinée.
4/ Nous fêtons dignement Mardi-gras. Et une petite-cousine est née cet après-midi !
5/ Pour l'anniversaire de mon filleul, j'achète un livre dans une petite librairie qui doit être dans sa rue, ou la rue voisine. J'appelle pour trouver une solution de paiement et une demi-heure plus tard, un mail m'informe que le livre est emballé et attend sa visite.
6/ Grâce à la météo de ces derniers jours, je peux retourner courir en forêt sans maculer de boue mes nouvelles chaussures rose pâle (c'était la seule couleur soldée).
7/ Deux déguisements bricolés en dernière minute qui ne rendent pas si mal.
8/ Une journée scoute avec une AT ludique le matin (et plein de jeunes participants) et une rencontre des chefs (très peu nombreux hélas) tout l'après-midi à l'extérieur.
9/ J'ai découvert le fonds de livres audio en ligne de la médiathèque : idéal pour les journées de travail répétitif (ça arrive), et pas besoin de noter où j'en suis, quel que soit l'ordinateur, le livre reste "ouvert" à la bonne page.
10/ J'ai raté mon train, mais il fait beau et je profite des 20 minutes d'attente pour lire, sur un banc, au soleil.
11/ Deuxième visite chez notre nouvelle dentiste. Pour détendre les patients, il y a un écran au plafond, mais je ne sais pas si la chaîne est bien choisie : la dernière fois, j'ai eu un reportage sur les mygales et tarentules, cette fois ce sont des lions qui dépècent des antilopes et des gazelles (en gros plan…)
12/ En sortant d'un magasin, je m'aperçois de la disparition d'un gant, que je retrouve 30 min plus tard, après avoir refait tous mes déplacements à l'envers, heureusement que j'avais du temps devant moi !
13/ Le jardin commence à prendre un aspect printanier.
14/ Voilà une couture dont je me faisais une montagne, finalement assez facile et sans avoir à modifier le patron, c'est rare.
15/ Notre soirée de la St Patrick a du succès, une fois de plus, et l'intermède chanté a été fort apprécié.
16/ Après une bonne nuit et un brunch, nous partons en mini-pèlerinage avec un groupe de paroissiens, sous le soleil.
17/ Le beau temps me motive pour lancer un grand ménage de printemps… une ou deux choses par jour, pour ne pas me lasser trop vite.
18/ Ma salade de ce midi était vraiment délicieuse, à refaire !
19/ La technologie a parfois du bon : alors que notre voiture est sur le pont, le mécanicien nous envoie une petite vidéo où il commente point par point chacun des éléments contrôlés en nous montrant les feins, la suspension, les pneus, l'échappement…
20/ Je cours toujours beaucoup plus vite et plus loin le jeudi midi que le dimanche matin, étrange non ?
21/ Le panier de l'Amap sent le printemps : épinards et radis.
22/ Nous passons la soirée chez les parents de Paul avec un couple d'amis communs, nous rentrons fort tard après un très agréable moment.
23/ La conversation d'hier soir m'a motivée à choisir, enfin, les photos du mariage (prises par la photographe) que je souhaitais — jusque-là, les prix m'avaient fait hésiter : j'opte pour des tirages papier, 3 fois moins coûteux que les photos numériques et, bonne surprise, les fichiers sont offerts ! J'ai bien fait d'attendre.
24/ Encore un mignon tee-shirt pour bébé cousu.
25/ Parfois, un auteur est invité à la radio et je me remémore aussitôt quel roman j'ai lu et comment était la couverture. Ce petit défi lecture semble bon pour la mémoire !
26/ Je suis presque venue à bout du repassage accumulé depuis début janvier, il était plus que temps.
27/ Mes résultats d'analyse sont meilleurs que l'an dernier et lorsque je regarde les taux des 10 dernières années, j'y trouve une grande stabilité, ce qui est plutôt rassurant.
28/ En route pour une soirée scoute, je traverse la Plaine de Versailles dans un coucher de soleil somptueux (avec un bel arc-en-ciel sur le côté).
29/ Un mois et demi après ma laryngite, j'ai enfin récupéré toutes les notes de ma voix (samedi dernier, il me manquait encore do# et ré), même si leur émission me demande encore des efforts.
30/ Nous allons goûter chez des voisins, pour pouvoir discuter plus longuement qu'entre deux portes.
31/ Le verdict du jour nous réjouit, évidemment !
Ce dimanche, le sujet proposé par Virginie est difficile, dans tous les sens du terme : difficile à aborder, on a plutôt tendance à chasser loin de nos pensées ce qui nous fait vraiment peur, l'avenir de nos enfants, les accidents, la maladie, la détérioration du climat et de la planète, sans parler de quelques chefs d'état qui font tout ce qui leur passe par la tête sans aucun contrôle ni limite de pouvoir… et difficile aussi à mettre en image. Je suis donc restée terre à terre et ancrée dans mon quotidien.
Cette semaine, j'ai fait mon bilan annuel et j'ai toujours une petite inquiétude en découvrant les résultats : ma santé se serait-elle brutalement détériorée ? Sans surprise, je suis parfois en dehors de la fourchette "normale", mais lorsque je compare avec les 10 dernières années, je me rassure en voyant que les chiffres restent globalement stables, même mon taux de cholestérol a baissé.
Sinon, dans notre quartier, certains ont vraiment peur, se font installer des alarmes et des serrures supplémentaires, écrivent au préfet, voire prévoient de se présenter aux prochaines élections : sur le chantier abandonné depuis 7 ans, après la démolition du siège d'un grand labo pharmaceutique, au milieu des tas de gravats, des dizaines de "maisons" se sont construites en quelques jours, en toute discrétion, jusqu'à ce que la fumée ne les fasse remarquer. Pour ma part, mes sentiments sont mitigés : je ne crains pas les vols, ces personnes ont plutôt avantage à se faire oublier, ils ont une forêt à deux pas, donc ne brûlent pas de matières toxiques (ce qui est le cas aux lisières de la ville voisine) et j'ai pu voir que le campement était très organisé, avec un stockage des déchets dans un coin du terrain. Le propriétaire du terrain a déjà demandé leur expulsion, cela ne durera probablement pas plus de quelques mois, en espérant qu'ensuite, les travaux débuteront enfin (le permis de construire venait d'être transféré). Mais je suis surtout triste pour ces familles, qui vont de lieu en lieu sans aucune amélioration, et qui payent probablement un loyer élevé à ceux qui ont installé ce village, trop vite construit et trop bien organisé pour que ce soit le fruit du hasard, à mon avis.
« Je me disais encore hier soir qu'il me manquait quelque chose pour descendre les poubelles »
C'est le dilemme devant lequel se trouve tout locataire d'un 4e étage sans ascenseur devant son bac à recycler : je descends avec mon bac, puis je remonte ? Ou je mets vite fait les emballages dans mon sac de cours, en courant le risque de me retrouver avec du jus de tomates ou du yaourt sur mon classeur ?
Aurore m'avait fait part de son problème, j'ai mis un peu de temps à passer à la réalisation, mais c'est chose faite et voici la solution idéale : un sachet léger pour doubler le bac, avec un cordon élastique pour qu'il reste bien en place, des poignées pour descendre au local poubelle et une poche intégrée pour le replier et le ranger dans le sac à main.
Le tout hyper léger puisque cousu en chute de montgolfière (tissu déperlant mais pas 100% imperméable).
Hop, c'est dans la poche
Je n'avais pas le bac pour prendre les mesures, j'ai donc utilisé les dimensions extérieures indiquées sur la site, c'est un peu grand mais, ainsi, c'est facile à installer et à retirer.