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attraper le temps qui file…
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3 juin 2023

Joli mois de mai

Qu'il était agréable, ce mois de mai, avec tous ces jours fériés retrouvés, et le beau temps, qui a permis de sortir les vêtements d'été ! Surtout que Marie a signé le bail d'un studio tout neuf fin avril, nous avons pu l'aider à s'installer, acheter des meubles, les monter… Il y a eu aussi pas mal de musique, deux petites escapades, en Normandie pour un bal, à Rennes pour récupérer Guillaume après son périple à vélo, le tout sous le soleil enfin revenu après un mois d'avril très pluvieux. Aurore a passé ses partiels avec soulagement (engranger des pages et des pages de connaissances qu'elle oubliera bien trop vite), puis a eu une petite semaine de vacances pour visiter quelques expos et préparer ses bagages, avant de partir en stage. Alphonsine et Bertille devenant de moins en moins farouches, j'ai trouvé une solution pour mettre un terme à leurs bêtises (manger toute la ciboulette, ou les feuilles de la rhubarbe - toxiques pour elles, éparpiller bouts de bois ou cailloux partout sur la pelouse, creuser dans les graviers, dans le potager…) et les empêcher d'entrer dans le garage ou la maison lorsque nous laissons les fenêtres ouvertes. Il faut juste que la livraison de matériaux arrive, nous n'avons pas beaucoup de chance avec nos commandes, ces temps-ci (le nouveau four est arrivé tout cabossé).


2 juin - 10 

1/ Le bon coin, c'est top pour se meubler à petit prix, à condition d'avoir du temps : pendant que Guillaume et Marie vont chercher un canapé presque neuf dans Paris (vive le jour férié), je fulmine contre la vendeuse de lave-linge qui m'a fixé un RV ce matin, mais ne m'a donné ni son téléphone, ni son adresse et ne répond plus.
2/ Je reçois un message fort désagréable de mon interlocutrice, qui finit par comprendre que je suis victime, comme elle, du blocage de nos messages de la veille. Après quelques coups de fil (tous nos voisins et nos amis sont partis), je trouve un diable et nous récupérons le lave-linge chez un jeune couple charmant pour un prix modique.

2 juin - 8

3/ Je teste un nouveau patron de pantalon et, à part reprendre la cambrure du dos, c'est parfait ! Et comme mon dernier pantalon de mi-saison vient de craquer, je n'ai plus qu'à me mettre en quête du tissu idéal.
4/ Encore une belle journée presque estivale, ça fait du bien ! Je commence à désherber devant la maison (à petites doses, sinon j'aurai mal au dos) et je trouve une idée pour aménager joliment le fond du jardin, afin de laisser un vaste espace de liberté aux poules sans qu'elles dévastent tout (elle ont mangé toutes les feuilles de rhubarbe, la ciboulette, creusent dans l'allée de graviers et Alphonsine est déjà entrée dans la maison)
5/ Et hop, une robe terminée et une deuxième commencée.
6/ Le magasin de bricolage de bon matin, pour ne pas attendre au service découpe. Puis le suédois, pour les objets qui manquaient. Puis une pause déjeuner devant le couronnement. Puis les premières courses alimentaires. C'est là que ça dérape : le tuyau de lave-linge acheté ce matin n'est pas le bon, je retourne au magasin, m'aperçois à mi-parcours que j'ai oublié mon sac, retour et re-départ, je fais l'échange, je reviens à l'appartement, nous découvrons que, même vissé à fond, le raccord fuit… Guillaume part vers une autre enseigne de bricolage, pendant que je fixe le meuble de cuisine avec Marie, puis nous posons le plan de travail (il faut se contorsionner derrière le lave-linge, derrière le frigo). Le nouveau tuyau est correct, ouf, nous remettons tout en place, je pose le joint silicone, parfait !

2 juin - 7

7/ Un agréable déjeuner chez des amis, nous en profitons pour récupérer le mini-four de Marie (toujours via le bon coin)
8/ Le four, qui nous a refait une panne de thermostat samedi, avec surchauffe, fumée dans la cuisine et fissurage du plat, a consenti à fonctionner 20 minutes, je termine la cuisson de mes lasagnes en "thermostat manuel " (j'allume 5 minutes, j'éteins 5 minutes…) et nous amis trouvent que "ça sent drôlement bon" en arrivant pour déjeuner.
9/ Je trouve mon retour une quantité de mails paniqués avec de grosses urgences à la clé, mais également une gentille carte postale de l'un de mes auteurs préférés et des loukoums, rapportés de ses vacances en Grèce par mon adorable collègue.
10/ Le (presque dernier) concert de Marie, avec un joli solo qu'elle a bien réussi.

2 juin - 1

11/ Quelques petits fruitiers rapportés par Marie (surplus de chantier) vont trouver place au jardin.
12/ Un très beau concert flûte et marimba, merci à notre amie flûtiste de nous avoir prévenus.
13/ Sous un beau soleil, je m'attaque aux ronces du fond du jardin, avec l'aide des poules (non !)
14/ Un déjeuner chez Marie, puis un peu de jardinage.
15/ Aurore est rentrée contente de ses trois partiels du jour (mais bien lessivée), ses conventions de stages sont enfin signées par tous et déposées à la fac, cette difficile année universitaire touche à sa fin.
16/ Je suis allée chercher mon filleul à l'arrivée de son TGV, pour passer une heure avec lui, j'en ai si rarement l'occasion !
17/ Après le départ de nos cyclistes vers la Bretagne, je vais faire soigner mes pieds (deuxième fois de ma vie), puis profite du soleil pour une longue marche (peut-être pas la meilleure idée, après le soin du matin…). Lorsque je vais chercher le panier de l'Amap, j'en ai plein les jambes.
18/ Une nouvelle virée chez le suédois pour équiper Marie, un montage de table et d'étagère, puis nous allons chercher des plants pour le potager, puis faire les courses, enfin je bêche notre carré, avec "l'aide" d'Alphonsine et Bertille, que je finis par enfermer pour ne pas les blesser d'un coup de fourche et pour préserve un peu notre cheptel de vers de terre dont la survie, avec ces deux volatiles est limitée à 3 secondes. J'installe un vague filet autour de mes plants de tomates et courgettes, en espérant ne pas les trouver piétinés dans une heure…

2 juin - 6

19/ Je retrouve Marie dans le train, direction le Marché St Pierre (dont nous revenons presque bredouilles), un burger vegan (pas terrible), le petit sprint habituel à Montparnasse (mais comment faisons-nous pour arriver toujours juste à temps pour le prochain train ?), j'accorde à mes pieds un quart d'heure de repas avant de reprendre le travail au jardin. En début de soirée, framboisiers et cassissiers sont en terre et protégés, ainsi que le potager, par un grillage des poules, notre voisine va pouvoir les laisser sortir un peu ce week-end (bon, 1/2 h plus tard, elles avaient trouvé la faille de notre clôture improvisée, mais j'ai remis un bout de grillage).
20/ La nuit a été un peu courte, mais nous sommes attendues près de Rennes avant midi, Marie prend le volant à mi-parcours et nous arrivons chez ma nièce 20 minutes avant nos cyclistes préférés, contents d'avoir parcouru ces 380 km (presque) sans pépin technique et sans une goutte de pluie.

2 juin - 4

21/ Comme nos hôtes sont invités ailleurs, nous allons nous balader à Vitré, charmante petite ville. Nous repartons de bonne heure, espérant échapper aux bouchons, mais tout le monde semble avoir eu la même idée…

2 juin - 5

22/ Le four neuf est arrivé cabossé (donc reparti), mais l'ancien a décidé de refonctionner normalement, je peux donc préparer ma tarte aux pommes pour la répétition de ce soir.
23/ Un peu de champagne ce midi, apporté par un stagiaire qui va nous quitter, pour une petite pause très sympathique.
24/ J'accompagne Aurore pour visiter une exposition puis nous profitons du beau temps pour flâner un peu dans Paris.

2 juin - 9

25/ Je reçois un paquet dont j'avais complètement oublié la commande (financement participatif du Super mâtin de l'été).
26/ Un agréable déjeuner à la crêperie avec deux collègues (mais j'ai oublié de reprendre les restes que j'avais prévu de manger). 
27/ Le lave-vaisselle, cassé de partout (j'avais réussi à remettre en place le bouton marche-arrêt la semaine dernière), qui accepte de démarrer après une demi-heure de clignotements divers. Espérons qu'il dure encore un peu, il faudrait juste trouver un moyen de l'ouvrir sans tirer sur la poignée, elle-même intégrée au bandeau de commande qui ne tient plus à rien.
28/ Comme je dois récupérer mon plat de vendredi, nous allons au marché de Versailles à vélo, prenons un café en terrasse, avant un couscous-barbecue en famille.
29/ Nous accompagnons Aurore et ses lourds bagages jusqu'à la gare de l'Est, avec suffisamment d'avance pour boire un panaché. Les trains de banlieue étant ce qu'ils sont, nous rentrons à la maison seulement quelques minutes avant son arrivée à Metz ! Elle a été bien accueillie par ses hôtes AirBnB, a trouvé des tickets de bus et réglé le problème de ses valises pour son "déménagement" de fin de semaine.

2 juin - 3

30/ Aurore m'appelle pour me raconter sa première journée au musée, mais elle a très mal à la gorge, des frissons et mal à la tête. Je récupère quelques plants surnuméraires à l'Amap voisine, les installe laborieusement au potager (la terre est dure comme du béton) et je suis tellement épuisée que je me demande si un virus n'a pas frappé. Mais en fait, j'avais seulement très faim. Aurore rappelle, me raconte une anecdote et semble mieux, elle aussi, après avoir mangé.
31/ Réparation de fortune du lave-vaisselle, réparation d'une pression sur un vêtement neuf, retouches sur une jupe et il me reste un peu de temps pour coudre "pour de vrai", je m'occupe surtout les mains pour ne pas trop penser à ma malade, qui, ce matin, n'était vraiment pas en forme. Mais quand elle me raconte sa journée, je suis rassurée (même si la fièvre est encore grimpée).

 

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2 juin 2023

Le tour du monde en 80 livres #15

C'est un petit challenge lecture créé par Bidib. En mai, j'ai lu 3 livres, j'ai exploré 1 nouveau pays.

le-tour-du-monede-en-80-livres-1-201x300 Source: Externe

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Roumanie
J'ai lu deux romans roumains ce mois-ci ! En fait, j'avais commencé en mars La vie et les agissements d'Ilie Cazane de Razvan Radulescu, mais le style, la construction du roman m'ont déroutée et vite perdue. Ce roman satirique met en évidence l'absurdité des règles établies par le régime communiste. L'interrogatoire du prévenu (accusé de faire pousser des tomates géantes sans vouloir révéler son secret) et les deux discours simultanés présentés sur deux colonnes ont achevé de me décourager, d'autant que je ne saisissais pas le comique du texte. J'ai donc rendu le livre, j'en ai réservé un autre (Codine), puis je suis tombée par hasard sur celui-ci :

Ioana Pârvulescu, La vie commence vendredi

Vendredi 19 décembre 1897, un inconnu est retrouvé évanoui dans la neige. Il est vêtu bizarrement, s'exprime d'étrange manière, son bagage intrigue également. Il dit s'appeler Dan Crețu, être âgé de 43 ans (mais semble plus jeune). Lui-même est désorienté, ne reconnaît pas Bucarest, ni ses habitants. Peu à peu, il noue des liens avec les autres personnages du roman : Nicu, le petit commissionnaire, Iulia, la fille du docteur Margulis, et son jeune frère Jacques, l'inspecteur Costache, Alexandru, le jeune séducteur dont Iulia est tombée amoureuse… au mystère de cet homme, tombé de nulle part, se mêlent une histoire de porte-monnaie perdu, de coffre-fort disparu, d'icône volée. Et les émois d'une jeune fille qui voudrait rester encore un peu dans son enfance, tout en souhaitant passer du côté des adultes. La fin m'a laissée un peu perplexe, cependant, je n'attendais pas ce tour de passe-passe.

 « Et si tout ce qui fut et sera existait aussi maintenant, au présent ? Peut-être que ce ui fut est ce qui sera. Avant de me poser des questions, essayez de vous habituer à ma voix, la voix d'un homme coupé d'un monde qu'il avait réussi à connaître assez bien, tombé dans un autre monde inconnu et incompréhensible. Peut-être vivons-nous, sans le savoir, dans plusieurs mondes à la fois, en cet instant infini. »
« Ma vie ressemble à une gamme dans laquelle il manquerait une note […] vous représentez pour moi ce sol qui remplirait ma vie de joie. Je voudrais… — S'il vous plaît, non. Après, nous serez fâché contre moi et je ne le veux pas, à aucu prix, je veux que tout reste ainsi jusqu'au bout, lui dis-je avec désespoir. »
« Il a pris mon visage entre ses mains. Et alors, au lieu de me parler de ses ennuis, il m'a préparé, à moi, des ennuis, une quantité d'ennuis futurs. L'unique lampe a pu être éteinte facilement. Les flammes de la cheminée palpitaient doucement et l'absence de corset a contribué à ce que les choses se passent donc là, sur le canapé. »

Panaït Istrati, Codine

Adrien est un enfant sage et sérieux, il ne se mêle pas aux garçons de son âge, bagarreurs et grossiers, mais observe le monde et les adultes qui l'entourent. Après une enfance passée à la campagne, près de son oncle Dimi, il revient près de sa mère, blanchisseuse à Braïla, une ville portuaire. C'est là qu'il va entendre parler de Codine, un ancine forçat à la force herculéenne redouté de tous. L'enfant et le colosse se lient alors d'une amitié peu commune et Adrien essaiera de toutes ses forces de lutter contre la fatalité qui s'acharne sur son ami. Un peu plus tard, c'est auprès d'un autre homme rejeté de la société, le boulanger Kir Nicolas, qu'il apprendra son métier, avec toujours ce refus de se conformer aux usages, qui veulent que le pauvre, l'étranger, l'illétré soit relégué au plus bas et maltraité par tous. C'est qu'Adrien sait voir au-delà des apparences, de la réputation, même à l'insu des personnes qui l'entourent, ce qu'elles ont de meilleur au fond d'elles-mêmes.

« Voilà où est mon mal. Pour mes amis, je suis, le plus souvent, une bonne poire. Pour ceux de la caserne, une brebis à tondre. Pour le quartier, un sale albanais. Pour ma pauvre Zincoutza, une sale nation. Et je voudrais être un frère pour tout le monde, mais personne ne le veut. Persone ne veut aider un homme né bon à rester bon, et moins encore, aider à le devenir, celui qui n'a pas eu de chance de naître bon. »

Angleterre

William Makepeace Thackeray, La foire aux vanités (Vanity Fair)

C'est le problème de ce défi : une lecture me pousse vers une autre. Vanity Fair est le roman que lit Iulia dans La vie commence vendredi et je me suis dit que ce classique manquait à ma culture. Ce roman a été publié en Angleterre en 1895, mais l'histoire se déroule vers 1815. Je l'ai réservé à la médiathèque et j'ai eu la surprise de trouver un énorme pavé de 1200 pages en anglais ! Après une petite discussion avec la bibliothécaire, elle est allée me chercher dans les réserves la version française en me prévenant que c'était un véritable pensum « comme du Jane Austen » et m'a conseillé, en récompense, de regarder ensuite la série. Mais moi, j'aime bien Jane Austen ! En outre, Thackeray est beaucoup plus caustique et drôle, les noms des personnages sont truffés de jeux de mots. Mais bon, 1050 pages quand même, et un livre de poche si épais que je l'ai rarement emporté avec moi pour les trajets ferroviaires. Maintenant, je vais regarder la série !

Rebecca (Becky) et Amélia (Emmy) quittent le même jour le pensionnat. La première est orpheline, pauvre et s'apprête à entrer comme gouvernante à Crawley-la-Reine. La seconde retrouve ses parents, de riches bourgeois, avant d'épouser Georges, le filleul de son père, à qui elle est promise depuis l'enfance et qu'elle aime de toute son âme. L'une est ambitieuse et prête à tout pour arriver à ses fins, l'autre douce, modeste, résignée. Pourtant, toutes deux vont se marier à deux jeunes hommes contre l'avis de leurs familles, qui leur couperont les vivres. Les voilà presque réduites à la misère, mais leurs trains de vie seront toutefois bien différents. Bien évidemment, c'est un roman anglais, donc la fin est tout à fait morale !

« Le meilleur moyen pour vivre au sein de l'opulence, c'est d’être criblé de dettes; on n'a rien alors à se refuser, et, dans cette situation, l'esprit se trouve toujours allègre et dispos. »
« Ces deux jeunes gens s'étaient rendus chez Slaughter, où, après avoir ordonné un dîner splendide, ils se mirent à écrire des lettres pour consoler leurs excellents parents. Dans ces lettres, il y avait beaucoup de sentiment, beaucoup de tendresse, de cran et de fautes d'orthographe. »
« Mistress Firkin et miss Briggs s'étaient trouvées par hasard à la porte du salon, comme le baronnet et Rebecca entraient dans cette pièce, et par hasard aussi elles avaient vu, à travers le trou de la serrure, le vieux bonhomme aux pieds de la gouvernante, et entendu ses offres généreuses. »
« C'est un sot que celui qui a dit que les belles paroles ne sauraient remplacer le beurre dans les épinards. La moitié du temps, les épinards de la société ne seraient pas mangeables si on les accommodaient pas avec cette sauce oratoire. Une douce parole, adroitement placée, aura plus de grands résultats que des espèces sonnantes offertes par un imbécile. »
« Becky ne tenait pas absolument à mener une vie honnête et irréprochable ; mais ce à quoi elle tenait, c'était à jouir de la considération qui en est la suite et qui ne s'obtient, comme on le sait, dans le grand monde qu'à la condition de s'être fait présenter à la cour en robe à traîne avec plumes. »

 

Mai

Afrique

Afrique du Sud
Yewande Omotoso, La Voisine

Algérie 
Kamel Daoud, La préface du nègre : le Minotaure 504 et autres nouvelles

Burkina Faso 
Roukiata Ouédraogo, Du miel sous les galettes.

Cameroun
Calixte Beyala, Le Christ selon l'Afrique.

Congo Brazzaville
Alain Mabanckou, Le commerce des Allongés.

Égypte
Alaa El Aswany, L'Immeuble Yacoubian.

Ghana 
Yaa Gyasi, No home.

Guinée
Camara Laye, L'enfant noir.

Mali
Aya Cissoko, N'ba.

Maroc 
Mohamed Leftah, L'enfant de marbre

Nigeria  
Chigozie Obioma, Les pêcheurs

Rwanda 
Gaël Faye, Petit pays.
Scholastique Mukasonga, L'iguifou, nouvelles rwandaises. 
Beata Umubyeyi Mairesse, Tous tes enfants dispersés.  

Sénégal
Birago Diop, Les contes d'Amadou Koumba
Fatou Diome, Celles qui attendent

Togo
Kossi Ejoui, L'ombre des choses à venir.

 

Amérique

Argentine
Gabriela Cabezón Cámara, Pleines de grâce

Brésil 
Paulo Coelho, L'Alchimiste.

Canada :
Jean-Paul Dubois, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon (prix Goncourt 2019).
Nancy Huston, Le club des miracles relatifs.

Chili 
Luis Sepúlveda, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler et Histoire du chat et de la souris qui devinrent amis.

Colombie 
Gabriel Garciá Márquez, La Mala Hora.

États-unis  
Jack London, Martin Eden
Harper Lee, Va et poste une sentinelle.

Groenland
Mo Malø, Qaanaaq.
Mo Malø, Diskø.

Haïti
Jacques-Stephen Alexis, L'étoile absinthe.

Mexique 
Laura Esquivel, Chocolat amer. 
Carlos Fuentes, Une certaine parenté

Pérou 
Mario Vargas Llosa,  La Tante Julia et le scribouillard.

Venezuela
Karina Sainz Borgo, La fille de l'Espagnole.

Asie

Afghanistan
Spôjmaï Zariâb, La plaine de Caïn.

Arabie Saoudite
Athîr Abdallah Al-Nashmî, Une perte.

Cambodge 
Tian, L'année du lièvre (BD) : 1. Au revoir Phnom Penh. 2. Ne vous inquiétez pas. 3. Un nouveau départ.

Chine 
Qiu Xiaolong, La danseuse de Mao.

Inde 
Rohinton Mistry, L'équilibre du monde.

Iran 
Fariba Vafi, Un secret de rue

Israël
Amos Oz, Vie et mort en quatre rimes

Japon 
Haruki Murakami, Le passage de la nuit. 
Durian Sukegawa, Les délices de Tokyo.

Syrie
Niroz Malek, Le promeneur d'Alep.

Sri Lanka 
Antonythasan Jesuthasan, Friday et friday.

Taïwan
Xiaole Wu, Les enfants des riches.

Thaïlande
Rattawut Lapcharoensap, Café Lovely.

Vietnam 
Kim Thúy, Man.  

Europe

Albanie
Ornela Vorpsi, Buvez du cacao Van Houten !  

Allemagne 
Eduard von Keyserling, Altesses.
Marlen Haushoffer, Le mur invisible.

Autriche
Daniel Glattauer, Quand souffle le vent du nord. 
Daniel Glattauer, La septième vague. 

Belgique 
Amélie Nothomb, Antéchrista.
Michel Van Zeveren, Le plat du loup plat.
Nadine Monfils, Les folles enquêtes de Magritte et Georgette. 1. Nom d'une pipe !

Bosnie Herzégovine 
Miljenko Jergović, Volga, Volga.

Croatie
Ante Tomic, Miracle à la Combe aux aspics.

Danemark
Jens Christian Grøndahl, Quelle n'est pas ma joie

Espagne 
Carlos Ruiz Zafón, Marina

Estonie
Andrus Kivirähk, Les secrets. 

Finlande
Sofi Oksanen, Baby Jane.
Arto Paasilinna, La douce empoisonneuse.

France 
Maurice Leblanc, Arsène Lupin
Riad Satouff, Le jeune acteur
Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art
Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi et Les racines du ciel)
Delphine Horvilleur, Vivre avec nos morts. Petit traité de consolation. 
Jean Giono, Regain.
Daniel Pennac, Le cas Malaussène. 1. Ils m'ont menti.

Grèce
Vassilis Alexakis, Ap. J. C.

Hongrie 
Magda Szabó, La porte et Abigaël.

Irlande
Maggie O'Farell, Assez de bleu dans le ciel

Islande :
Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande

Italie 
Alessandro Baricco, Novecento : pianiste. Un monologue.

Moldavie
Vladimir Lortchenkov, Des Mille et une façons de quitter la Moldavie.

Norvège
Gunnar Staalesen, Le loup dans la bergerie

Pays-Bas
Toine Heijmans, En mer

Portugal
Gonçalo M. Tavares, Une jeune fille perdue dans le siècle à la recherche de son père.

République Tchèque 
Kafka, Le procès et La métamorphose

Royaume-uni 
Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno
Mhairi McFarlane, Et ne t'avise pas de m'embrasser.

Russie
Léon Tolstoï, La sonate à Kreutzer. Le bonheur conjugal. Le diable.

Serbie
Filip Grbic, Errance.

Slovaquie
Pavol Rankov, C'est arrivé un premier septembre.

Suède 
Camilla Läckberg, Femmes sans merci. 
Katarina Mazetti, Le mec de la tombe d'à côté
Jonas Jonasson, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.
Vilhelm Moberg, La saga des émigrants (7 tomes)
Stieg Larsson puis David Lagercrantz, Millenium (6 tomes) 

Suisse 
Joël Dicker, L’Affaire Alaska Sanders. 

Ukraine :
Andreï Kourkov, Le jardinier d'Otchakov.

 

Océanie 

Australie 
Joan Lindsa, Pique-nique à Hanging Rock

Nouvelle Zélande 
Eleanor Catton, La répétition.

Polynésie française
Célestine Hitiura Vaïte, L'Arbre à pain (Chroniques de Tahiti 1).

 

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