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attraper le temps qui file…
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31 août 2020

À son tour

Et voilà, elle aussi quitte la maison ! Elle n'est pas partie très loin et rentrera chaque week-end, mais c'est avec un petit pincement au cœur que je l'ai laissée dans sa chambre, avec l'inquiétude de la charge de travail qui l'attend et la petite déception de ne pas avoir de chambre individuelle.

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Elle regrettait de quitter son beau lycée du XIXe, elle n'a pas perdu au change : une mansarde construite par Mansart lui-même, on ne fait pas plus authentique. !

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C'est assez naturel, quand on porte un prénom de princesse, d'aller étudier dans un château, non ?

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Et le calme du parc, au beau milieu de la grande ville, incroyable !

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30 août 2020

Défi de Virginie #35 : péchés capitaux

Si j'avais dû illustrer aujourd'hui l'un des 7 péchés capitaux, j'aurais choisi la gourmandise ou la paresse. Mais il m'est revenu en mémoire notre visite de la chapelle Notre-Dame-des-Grâces de Pamplinet, dans la vallée de la Clarée. À la fin du XVe siècle, l'évangilisation des populations se fait principalement au moyen de fresques, réalisées par des peintres itinérants, et les sujets sont choisis pour frapper les esprits. La représentation des vices et des vertus est assez répandue :

Le milieu du mur illustre les sept péchés capitaux : 

L'orgueil : un roi ou un seigneur campé sur un lion,
L'avarice : un homme qui tient une bourse, monté sur un blaireau,
La gourmandise : un homme qui mord dans un jambon, boit du vin, monté sur un loup,
La luxure: une femme qui tient un miroir et chevauche un bouc, dévoilant sa jambe,
La colère : un homme qui se poignarde, assis sur un léopard,
L'envie : homme qui montre du doigt ses voisins, assis sur un chien qui ronge un os.
La paresse : une femme échevelée qui s'affale sur un âne en fin de cortège

Ils sont enchaînés l'un à l'autre et tirés par un diable, qui les entraîne vers les flammes de l'enfer, à l'étage au-dessous (ici, la fresque a souffert des intempéries et crues de la Clarée)

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Au-dessus, pour contrebalancer ces mauvais sujets, sont représentées les sept Vertus : humilité, générosité, chasteté, tempérance, patience, charité, diligence (toutes des femmes !)

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Vous noterez que la paresse manque, sur la photo (le coin de la chapelle était vraiment sombre), mais en voici la parfaite illustration :

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29 août 2020

À la chaîne

Début août, j'ai cousu quelques pochettes pour ranger dans un sac les 2 ou 3 masques propres nécessaires pour une journée. Une fois portés pendant 4 heures, ils vont dans un sachet plastique en attendant la lessive.

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Et puis j'ai cousu quelques masques supplémentaires pour Marie, qui retourne lundi dans son entreprise et Aurore, qui fera sa rentrée mardi matin.

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Mais en début de semaine, j'ai commencé à paniquer en réalisant qu'elle aurait besoin, au lycée, de 3 ou 4 masques par jour, entre les cours, les récréations, la cantine matin, midi et soir, l'étude… et comme elle ne rentre que le samedi midi, qu'il est impossible de faire une lessive à 60°C, j'ai compté qu'il lui faudrait 23 masques par semaine ! (bon, au moins, je pourrai faire une machine pour tous les masques de la famille le samedi soir)

Donc, depuis mardi, c'est fabrication de masques en série !

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(plus les 4 que j'ai achetés tout faits, le compte y est presque, ce sera bon pour la première semaine, plus courte)

J'aurais préféré lui coudre un plaid

Merci à Rascol qui a expédié ma commande d'intissé en un temps record. J'avais commandé en mai un rouleau de 50 m d'élastique, je pense que j'en ai encore largement assez pour voir la fin de l'épidémie (croisons les doigts). 

Voici le modèle approuvé chez nous : deux couches de coton, une doublure en Vlieseline L11, deux plis plats, élastiques aux oreilles, dont la longueur est adaptée à chacun, et un fil de fer plastifié pour ajuster le masque sur le nez, amovible pour faciliter le lavage (et le repassage : la première fois, j'ai fait fondre le plastique)

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23 août 2020

Défi de Virginie #34 : paréidolie

Thème de ce dimanche : la paréidolie, ou le fait de reconnaître un visage ou un animal dans un objet, un végétal…

Je suis partie cet après-midi à la chasse aux illusions d'optique et je suis revenue bredouille. Mais j'ai trouvé dans mes archives un animal sauvage

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et un empilement de grenouilles

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17 août 2020

C'est le wax qu'elle préfère

Il est rare que je mette aussi peu de temps entre une idée et sa réalisation : Marie m'a demandé au début du mois de lui coudre un blouson en wax, je lui ai conseillé de feuilleter mes Ottobre et elle a trouvé un bomber qui lui convenait. Samedi dernier, nous sommes allées au Marché St Pierre, elle a eu un coup de cœur pour un wax. Le problème était le grand motif qu'il fallait impérativement centrer, imprimé à l'horizontale. J'ai calculé à vue de nez le métrage nécessaire. Avec 110 de laize, impossible de superposer deux hauteurs de manche ou de buste, surtout avec une coupe raglan, et le motif ne permet pas de positionner des pièces tête-bêche.

Pour éviter toute déconvenue, j'ai fait une toile assez avancée (et très moche), avec fermeture à glissière et bord-côtes, j'ai même cousu les parementures pour voir comment coudre les finitions du devant. Après essayage, il n'y avait rien à retoucher, si ce n'est resserrer un peu les bandes de taille et de poignets.

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Comme le métrage acheté (1 m 70) était un peu juste, j'ai mis du temps à caser toutes les pièces du patron en conservant la symétrie des motifs et de beaux raccords, mais j'y suis arrivé, en décentrant très légèrement le dos (la "tige" décalée de 2 cm par rapport au milieu). Impossible aussi de couper les pièces en double, j'ai donc dupliqué les devants et demi-manches et les ai coupés en simple épaisseur en veillant bien à conserver la symétrie (que celle qui n'a jamais coupé deux jambes gauches de pantalon lève la main…). Il n'y a que le dos que je devais couper au pli (mais sans pli : j'avais juste à retourner le demi-patron) et… j'ai donné un coup de ciseaux au milieu du dos ! Je m'en suis aperçue tout de suite, heureusement, j'ai pu camoufler mon erreur sous un petit appliqué.

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Ensuite, le montage s'est fait sans difficulté, mais j'ai eu du mal à bien comprendre les explications, qui sont denses et sans aucun schéma. Au moment de poser le bord-côtes de l'ourlet, l'idée de le fixer à plat, d'un côté à la doublure, de l'autre à l'extérieur, m'a parue étrange. Je l'ai donc cousu en double comme d'habitude. Et bien plus tard, je suis restée perplexe quand il m'a fallu poser la doublure sans prendre le bord-côtes ou la sous-patte de fermeture dans les coutures ! Finalement, j'ai cousu le blouson à la doublure, endroit contre endroit, en piquant les devants, l'encolure et le milieu du bas, en laissant 10 cm d'ouverture de chaque côté ; j'ai vérifié que ça se retournait correctement — ouf !

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Et puis j'ai essayé de comprendre le charabia qui expliquait comment doubler les manches : « Amener les bords inférieurs des manches de l'extérieur et de la doublure bout à bout, et les piquer ensemble, endroit contre endroit, avec les poignets pris entre les deux épaisseurs ». Quand on n'a jamais fait de « doublure en fourreau », c'est difficile à comprendre. Mais j'ai trouvé deux tutoriels suffisamment explicites :

Celui-ci, pour le montage complet du blouson (mais qui reste obscur au moment des manches) et un autre qui montre bien l'étape délicate des manches. Ce qui ne m'a pas empêchée, par deux fois, de coudre un poignet avec un demi-tour, puis un tour complet la deuxième fois, dans la doublure ! La troisième fois a été la bonne, il faut vraiment mettre la doulure en place et fixer quelques centimètres du poignet avec deux épingles avant de sortir la manche, sinon, c'est le tournicotis garanti.

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Et dans les chutes, j'ai largement de quoi coudre quelques masques ou trousses assortis !

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16 août 2020

Défi de Virginie #33 : Ombre

L'ombre, nous l'avons cherchée pendant ces 8 jours de canicule, vivant volets et fenêtres fermées et évitant, autant que possible, les rues ensoleillées lorsqu'il nous fallait sortir. Chaque soir, l'orage était annoncé, mais à part de grandes rafales de vent chaud et le tonnerre au loin, l'orage se faisait attendre. Enfin, la pluie est venue arroser un peu le jardin assoiffé.

Hier, nous sommes allées trouver l'ombre et une relative fraîcheur dans les allées du domaine de Courances.

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Et pour la leçon de photo, je suis sortie dans le jardin au premier rayon de soleil : illustration d'un été sec et chaud, l'herbe jaunie, les feuilles mortes du noyer, déjà, et celles du cerisier, recroquevillées par le manque d'eau ou grignotées par les chenilles de la Grande Tortue.

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9 août 2020

Défi de Virginie #32 : le toucher

Comment illustrer un sens en photo ? Pas facile… 

Hier, Marie et moi sommes allées acheter quelques tissus au Marché St Pierre (avec un trajet retour éprouvant : nous avons laissé passer un métro bondé, sommes montées dans le suivant où les distances étaient impossibles à respecter — et certains voyageurs ne portent pas de masque ! — avant d'être débarquées au bout de 3 stations pour cause de problème matériel. Nous avons préféré marcher une demi-heure plutôt que de reprendre cette ligne). J'achète très rarement des tissus sue internet, sauf ceux que je connais bien, car il m'est indispensable de les toucher, estimer la souplesse, l'élasticité, la tenue, l'épaisseur… avec désinfection des mains entre chaque magasin, évidemment.

Et même pour mes tissus, ceux qui sont rangés dans mes caisses depuis des années, et que j'ai entièrement re-triés et re-catalogués au printemps: je ne peux m'empêcher de toucher chaque échantillon, apprécier la douceur du velours, le soyeux du taffetas, la finesse du voile et suivre du doigt les motifs des broderies.

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8 août 2020

Début de vacances

Après être tant et tant restés à la maison (nous sommes toujours tous les deux en télétravail), nous avions besoin de changer un peu d'horizon. Et après des heures coincés dans les bouchons vers Le Havre, nous nous sommes réjouis d'avoir choisi de partir à vélo ! Les prévisions météo, d'abord pluvieuses, se sont peu à peu orientées vers une semaine chaude, mais nos étapes n'étaient pas trop longues.

Lundi matin, nous avons donc tout rangé dans nos sacoches

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et nous sommes partis, direction Saint-Cyr, la forêt de Marly, puis Port-Marly, pour rejoindre la véloroute Paris-Londres qui longe la Seine.

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Dabord un beau chemin de hâlage tout neuf, puis une piste cyclable sur le trottoir (interrompue par des travaux) et un chemin dans un petit bois vers Montesson.

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Arrivés au Pecq nous traversons (la bande cyclable est impraticable en raison de travaux) vers le château de Maisons-Laffitte. Là, le fléchage est inexistant, nous avons un peu erré, d'abord à la recherche d'une boulangerie, puis cherché le chemin… la trace GPS nous a aidés, car il fallait passer une porte (?) avant de trouver un chemin forestier. Nous avons encore perdu la piste par manque de panneaux. Une fois à Achères, face à la nationale, nous avons dû rebrousser chemin et couper par la forêt, avec une pause pique-nique bienvenue.

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Un pont (réservé cycles et piétons) nous a menés à Conflans, puis nous avons suivi l'Oise jusqu'à Cergy, où se trouvait notre premier hôtel. Nos vélos et sacoches à l'abri, nous sommes partis à pied vers L'Axe Majeur, avons monté et descendu les marches et parcouru une bonne dizaine de kilomètres. 

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D'une ville nouvelle à l'autre, les similitudes sont nombreuses, le dépaysement n'était pas au programme de cette étape !

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Mardi, nous poursuivrons vers Londres, avec une étape prévue de 57 km. Il nous faut près d'une heure pour quitter Cergy et la ville, puis les petites routes de campagne alternent avec des chemins de terre… terre tellement desséchée et poussiéreuse que nous avons parfois la sensation de pédaler dans le sable. À un moment (avons-nous suivi le mauvais panneau ?), le chemin est tellement étroit que nous passons difficilement entre les ronces, il nous faut même passer sous un arbuste tombé au travers de la piste. Aussi, quand nous voyons peu après midi un panneau "Gisors 38 km", je perds courage. Encore une bonne montée sur des cailloux, entre deux champs, avant de trouver un petit coin ombragé, devant le château d'Arthies, pour nous restaurer. Heureusement, la suite du trajet est nettement plus facile : de petites routes goudronnées jusqu'au domaine de Villarceaux, puis 28 km de voie verte, ancienne voie ferrée le long de la vallée de l'Epte, qui nous amène rapidement jusqu'à Gisors et l'Hôtel Moderne, où nous sommes fort bien accueillis.

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Nous visitons un peu la ville, la collégiale monumentale et le château, installé sur sa butte médiévale. Puis nous cherchons un restaurant et ce n'est pas simple : entre les brasseries qui ne servent que le midi et tous les établissements fermés, il ne reste que la crêperie ou la pizzeria : ce sera donc la crêperie avec… des moules-frites et la bière locale.

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Mercredi, nous quittons la route de Londres pour amorcer le retour : direction Chaumont-en-Vexin, dont l'église mérite le détour. Après être descendus au centre-ville, puis avoir monté jusqu'à l'église, nous constatons qu'elle est fermée ! Nous faisons nos courses du jour, puis remontons la côte.

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Mais, en changeant de vitesse, je bloque ma chaîne entre deux plateaux et nos tentatives pour la décoincer aggravent le problème. Je redescends 30 mètres plus bas vers un petit garage automobile, je suis accueillie par la patronnne, qui appelle son mari. Un quart d'heure plus tard, alors qu'il envisage un démontage du pédalier, il reussit à débloquer délicatement la chaîne, nous donne de quoi nous laver les mains et refuse de nous faire payer ! Nous le remercions chaleureusement et repartons. Je déraille une nouvelle fois après quelques kilomètres et n'ose plus changer de vitesse… mais le Vexin n'est pas du tout plat ! Je dois monter à pied la côte (qui est raide) vers la petite église de Marquemont, indiquée comme remarquable. Elle est fermée elle aussi, mais nous trouvons un pré avec de l'ombre pour pique-niquer et de l'eau dans le cimetière pour nous laver les mains, noircies par la graisse de chaîne.

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Nous avons rencontré plein de petits châteaux bien entretenus, la plupart à louer pour des réceptions.

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Nous n'avons plus qu'une quinzaine de kilomètres à parcourir, entre des champs de blés (moissonnés) ou de betteraves, et le soleil commence à taper fort. Nous arrivons avec soulagement à Méru et nous réfugions dans le joli Musée de la Nacre et de la Tabletterie. Deux heures de visite fort instructive (et climatisée) après lesquelles nous sommes incollables sur la fabrication des boutons et des éventails.

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Notre chambre d'hôtes n'est qu'à deux petits kilomètres de là.

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Jeudi, la matinée est éprouvante : nous devons gagner un premier villages par de petites routes, mais nous ne quittons pas la rocade de Méru au bon endroit, notre GPS nous conduit sur des sentiers qui seraient difficiles même en VTT. Après avoir un peu erré dans la forêt, nous arrivons près d'une exploitation agricole consacrée au cassis (impressionnants, ces champs !), puis devant un charmant petit château au milieu de nulle part. Nous optons alors pour la guidage "automobile" plutôt que vélo et alternons chemins de terre et routes forestières barrées (et faire passer les vélos sous les barrières n'est pas commode).

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Nous sommes soulagées de revenir, en fin de matinée, sur des routes "normales" qui nous conduisent rapidement à Auvers-sur-Oise.

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En fin de journée, il nous reste à gagner Cergy, ce n'est plus très loin mais la chaleur, les montées et descentes incessantes et le comportement de certains automobilistes ou piétons qui jugent qu'une piste cyclable peut servir à tout sauf à pédaler mettent notre moral à rude épreuve. En arrivant à l'hôtel, je suis presque décidée à rentrer en train le lendemain. 

Vendredi, la canicule s'accentuant, nous partons de très bon matin. Comme nous connaissons le chemin, il ne nous faut que deux heures pour regagner Port-Marly, sur un itinéraire presque toujours ombragé. C'est alors que les choses sérieuses commencent : la montée vers Marly, puis dans Marly, puis dans Saint-Cyr, mais je réussis à ne jamais mettre pied à terre malgré mon problème de dérailleur. Nous sommes bien contents de retrouver une maison "fraîche" juste avant midi.

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(la grande allée avec plein de statues)

2 août 2020

Défi de Virginie #31 : vitesse lente

Aujourd'hui, c'est la leçon de photo. Nous avions eu la vitesse rapide, pour figer le mouvement, maintenant c'est au tour de la vitesse d'obturation lente : le temps de pose, plus long, permet de suivre le mouvement. J'avais déjà plus ou moins utilisé cette technique pour photographier mon moulin à vent.

J'ai cherché longtemps mon sujet, tout en préparant les bagages (une activité que je déteste). Et c'est Paul qui est venu à mon secours, avec le light painting. Mais ça n'a pas été facile : enfermés dans la minuscule salle de douche (pour avoir le noir complet), nous avons d'abord été confrontés à un manque de distance qui surexposait la lumière. Nous sommes passés dans la chambre d'amis, volets et rideaux fermés. Et là, c'est l'appareil qui s'est mis en grève, refusant de déclencher. Il a fallu réduire la durée, de 5 à 4 secondes, et donc accélérer le mouvement. Finalement, il a réussi à le dessiner, son bateau !

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1 août 2020

Restons dans le rose

… avec une nouvelle trousse, pour Bertille. Il y avait longtemps que je n'avais pas utilisé ce tissu gourmand, que j'ai associé à deux broderies de petites filles aux tenues vitaminées et à du lin rose pour le dos. 

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Comme Bertille a deux grands frères, j'ai misé sur le rose, je pense que sa maman appréciera !

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