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28 octobre 2019

Tour du monde des raviolis #6

Direction l'Irak, la Turquie, l'Ousbékistan, la Syrie, le pays Ouïgour… les manti à l'agneau sont très répandus au Moyen-Orient. J'avais repéré la recette depuis plusieurs semaine chez Beau à la louche et elle vient d'être publiée sur 196 flavors (d'abord sous le label Irak, puis corrigée par Turquie).

Comme bien souvent, les raviolis ne font pas un repas complet (enfin, selon mes principes) : des pâtes, de la viande et une sauce à base de beurrre ou de crème. J'ai donc cherché quelques recettes pour les accompagner et choisi cette fois du Timman bagilla irakien (parce que j'avais plein de fèves au congélateur, une grenade déjà épluchée et que la sauce au yaourt est très proche de celle des manti) et des épinards préparés selon la recette du Fatayer libanais.

Les deux recettes de manti m'ont laissée perplexe : agneau cru ou cuit ? J'ai choisi de cuire rapidement la viande hachée, craignant que la cuisson à l'eau des raviolis ne soit pas suffisante. J'avais préparé la pâte à l'avance pour qu'elle passer plus facilement au laminoir, c'est effectivement une bonne solution. Malgré tout, ça reste une longue préparation ! Nous n'avons pas réussi à obtenir un pliage régulier. Comme les recettes différaient vraiment (carrés de 3 cm, ronds de 8 cm), nous avons fait une moyenne (6 cm) et essayé le rond et le carré : le carré est plus facile (et laisse moins de chutes)

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Du riz avec des raviolis ? Je n'ai mis que 100g de riz pour 300g de fèves

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les épinards venaient assurer la partie "légumes verts"

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et les sauces (poivron, mélasse, épices - yaourt grec et menthe du jardin) étaient vraiment délicieuses

 

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27 octobre 2019

Projet 52 de Virginie #43 : noir et blanc

La pluie qui tombe à seaux nous décourage de continuer les travaux entrepris hier au jardin… peut-être cet après-midi ? Ou demain, puisque nous sommes tous en congé. Et puis aujourd'hui, la journée dure 25 heures ! Alors c'est le moment idéal pour monter le petit ras-du-cou que souhaitait Marie : à elle les pinces et minuscules anneaux, à moi la couture de dentelle (et même pas besoin de lunettes !)

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26 octobre 2019

Il feel pretty

Allez, je partage, il n'y a pas de raison que je sois la seule à avoir la chanson dans la tête ! 

Quand les premiers froids et pluies d'automne sont arrivés, j'étais vraiment fatiguée et déprimée par des nuits entrecoupées de douleurs à l'épaule, de maux de gorge, de coups de chaud et froid. J'ai eu envie de vêtements doux et confortables, une jupe en double gaze par exemple. Et un haut pour aller avec. Après avoir passé en revue mes patrons, dont aucun ne convenait (évidemment), j'ai cherché un peu un modèle compatible avec ce tissu et trouvé beaucoup de Bohème ou Zéphyr de l'Atelier Scämmit. Par esprit de contradiction, j'ai jeté mon dévolu sur la blouse Be Pretty, cherché un peu sur la toile si quelqu'un l'avait déjà cousue en double-gaze (Non), lu attentivement les explications et décidé que ça le ferait (j'avais déjà été fort satisfaite de la blouse Barcelona). Après mon chemisier de l'an dernier (le patron absolument pas adapté à un tissu lâche), je ne courais pas grand risque ! 

Je devais justement passer commande chez Perles and Co, j'y ai donc choisi une double-gaze pailletée. J'aurais mieux fait de lire attentivement le descriptif (un peu contradictoire) qui dit « Ce tissu a naturellement un aspect froissé, ne le repassez pas même à l'envers au risque de perdre les paillettes » et deux lignes plus bas « ce tissu est reçu plié en deux par le fournisseur. Vous aurez donc un pli marqué au milieu de la laize, pour l'enlever nous vous conseillons de toujours laver et repasser votre tissu avant de vous lancer dans la couture ». OK, j'ai lavé mon tissu, je l'ai séché sur un étendoir, il a pris quelques mauvais plis, je fais comment maintenant ?

J'ai testé sur un bord : à fer moyen, sur l'envers, avec un coton léger posé dessus, les paillettes fondent. J'ai passé le fer tiède, puis laissé le tissu étendu une nuit bien à plat sur une table, les plis ou déformations se sont atténués. Au pire ça me fera une excuse pour ne pas repasser ma tenue, mais la prochaine fois, je prendrai les pois dorés ou les éventails (ah non, c'est pareil). Mais je n'étais pas au bout de mes problèmes : outre le fait que mes ciseaux n'aiment pas trop les petites paillettes, celles-ci se prennent parfois dans le trou de la plaque à aiguilles, la machine fait alors du sur-place. Et le tissage était peut-être particulièrement lâche, le tissu se déformait vraiment beaucoup. J'ai pris le parti de faire des piqures de soutien un peu partout : les têtes de manche évidemment, mais aussi les emmanchures, les bords de l'empiècement, l'encolure et ça s'est très bien passé. 

Pour info, une couture de soutien, c'est comme un fil de fronce sans les fronces : on pique sur le bord à soutenir avec la longueur de point maximale, on épingle, on coud puis on enlève le fil de soutien. C'est un peu plus long peut-être, mais on ne s'énerve pas avec des repères qui ne coincident pas ou  un excès de tissus sur l'une des pièces à assembler.
En parlant de repères, avec ce patron, tout tombe impeccablement, sauf les trois crans sur le devant des manches, dont je ne sais pas à quoi ils correspondent (et j'ai eu un doute aussi sur le devant-dos des manches, qui n'est pas indiqué), j'espère une réponse de la créatrice qui, pour l'instant, doit être en vacances…

J'ai choisi de mettre un passepoil argenté sur les bords de l'empiècement, pour bien souligner cette découpe originale qui pourrait passer inaperçue, rappeler les paillettes et empêcher toute déformation des coutures. Comme j'avais zappé, en calculant le métrage nécessaire, l'empiècement doublé, j'ai coupé celui-ci dans du voile de coton, ça m'a permis d'entoiler les bords comme il est préconisé.

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Photos faites par Marie, vite vite avant la baisse de luminosité, après une séance de jardinage intense, d'où le jean tout pourri. Les manches sont un tout petit peu trop longues et j'hésite à faire un petit pli tenu par un bouton pour resserrer les poignets.

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21 octobre 2019

Gelée d'épluchures de pommes

Il n'y a pas très longtemps que j'ai découvert comment faire de la gelée de coings. Je procédais comme pour les fruits rouges, je cuisais les fruits (épluchés, ce qui était déjà un gros travail) puis je les passais à la centrifugeuse, j'obtenais donc plus une confiture qu'une gelée. Et puis un jour, en préparant une tarte tatin de coings, recette pour laquelle les fruits sont d'abord coupés en quatre puis cuits dans de l'eau, je me suis aperçue que l'eau de cuisson prenait en gelée ! J'ai donc totalement changé ma façon de faire : je frotte mes coings pour enlever le duvet puis je les coupe en 4 ou 6 selon leur taille, je les couvre juste d'eau et je les laisse cuire 20-30 minutes. Quand ils sont tendres, je les égoutte longuement sur un tamis, puis je fais la gelée avec le jus obtenu. Ensuite, je reprends mes coings refroidis, je les épluche et je les prépare en compote ou en confiture (dernièrement, j'avais mis toute la compote en bocaux et l'un d'eux s'est fendu quand je l'ai placé dans le stérilisateur, j'étais déconfite !). Le rendement est donc beaucoup plus intéressant, puisqu'on obtient deux produits différents.

Eh bien j'ai franchi une nouvelle étape dans le non-gaspillage alimentaire avec ma gelée de pommes : en épluchant des kilos de belles pommes non traitées pour en faire de la compote (elles étaient tombées des arbres et ne pouvaient pas se conserver), j'ai trouvé dommage de mettre au compost toutes les épluchures et les cœurs (la pectine se trouve principalement dans les pépins) et j'ai pensé à les transformer. La fois suivante, j'ai donc commencé par laver les pommes avant épluchage, puis j'ai mis toutes mes épluchures dans une casserole et les ai couvertes d'eau avec un trait de citron. Une fois la compote cuite et mise en bocaux, j'ai fait cuire les épluchures une vingtaine de minutes, puis les ai mises dans un tamis et les ai laissées s'égoutter le temps de stériliser les compotes. 

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 J'ai fait cela en plusieurs étapes : j'appuie un peu avec une spatule et lorsque je pense que les épluchures ont rendu tout leur jus, je les jette et je passe à la fournée suivante, en vaquant à mes occupations pendant qu'elle s'égoutte. L'opération s'est donc étalée sur une bonne demi-journée.

Ensuite, j'ai pesé le jus obtenu pour y ajouter environ 80 % de son poids en sucre. La  première fois, j'avais ajouté un peu de pectine (vitpris : 1/4 de sachet pour 700 g de jus), la deuxième fois non, mais du coup ma gelée n'a pas pris…

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Enfin, j'ai cuit la gelée. On peut y ajouter un peu de cannelle ou de vanille.

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Il n'y a plus qu'à remplir les pots avec la gelée bouillante, elle prendra (si la quantité de pectine est suffisante *) au bout de 24 h.

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* sinon, elle peut aller dans des yaourts, être utilisée comme du miel liquide ou être recuite avec un peu de pectine.

 

20 octobre 2019

Projet 52 de Virginie #42 : automne

Bon… la semaine dernière, il fallait de la pluie et nous n'en avons pas eu. Ce week-end, nous campions à Jambville *, je m'étais dit que le parc allait être superbe dans ses couleurs d'automne et… les arbres sont encore bien verts, en revanche, côté pluie nous avons été copieusement arrosés. Je m'étais préparée au froid : matelas en mousse + auto-gonflant, duvet de soie, duvet chaud, plaid, grosses chaussettes de laine et polaire, de ce côté-là ça allait. Nous nous sommes incrustés dans la tente des AC d'Aurore, à 4 dans une canadienne de 6 places, c'était plutôt confortable, à part un bas de duvet et des chaussures mouillées ça l'a fait. Les chouettes qui se répondent tout au long de la nuit, c'était magique. Les 84 compas pleins d'enthousiasme et pas du tout décidés à dormir à 2h, après la veillée et le cinquième, c'était moins bien ; la grosse averse tambourinant sur la toile de tente dès le milieu de la nuit encore moins, sans parler du café soluble dans de l'eau à peine tiède, dans un gobelet qui sentait encore la soupe aux poireaux, avalé vite-fait en pataugeant dans la boue vers la grande tente, mais ça fait partie du jeu.

Du coup, ma photo d'automne, je l'ai faite au retour à la maison, où Paul et Marie avaient allumé le premier feu de la saison, préparé du thé chaud et nettoyé la cuisine. L'érable du Japon, juste devant la fenêtre du salon,  est à son apogée ces jours-ci !

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* sans nos compas, aucun n'ayant voulu se libérer : on nous a trouvés héroïques !

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18 octobre 2019

La part du colibri #2

Les sacs à vrac

Là, c'est vraiment la goutte d'eau, car le vrac en est encore à ses balbutiements. Le magasin de vrac le plus proche est à 14 km, s'il était ouvert le midi, je pourrais y faire un tour sur ma pause déjeuner (20 min de marche aller, 20 min retour…), mais non. Alors tant pis !

Les magasins bio autour de moi ont quelques produits en vrac, mais je suis perplexe : il s'agit essentiellement de légumes secs, riz, graines que l'on peut acheter habituellement dans des emballages en carton (le but serait d'éliminer le plastique, non ?). Et les mêmes produits, dans le même magasin, sont souvent moins chers au kilo en sachets plutôt qu'en vrac, ce n'est pas très logique. Depuis quelque temps (et depuis que j'ai réorganisé mon placard, rempli de sachets en papier qui se perçaient régulièrement et que je devais ouvrir les uns après les autres pour trouver ce que je cherchais), je refais mes réserves au fur et à mesure de l'utilisation en cuisine, surtout depuis qu'un magasin bio a ouvert près de la gare où je passe chaque jour. Pour optimiser le rangement, j'ai opté pour des boîtes en carton contenant à peu près 500 g de lentilles, boulgour, sarrasin (soit une quantité suffisante pour deux repas) et des bocaux hauts et étroits pour les légumes secs plus volumineux, avec des étiquettes maisons mentionnant juste l'essentiel : le contenu et le temps de cuisson.

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En revanche, aller chez le fromager de la même rue… impensable : ses prix sont trois fois ceux de mon hypermarché (en prenant uniquement des fromages AOC). Je pourrais aller sur le marché mardi, en revanche, mais il me faut alors conserver mes achats toute la journée (cadeau pour mes collègues !)

Le marché ? Ici, celui du mercredi ou du samedi matin, tout petit, ne rassemble que quelques revendeurs de fruits et légumes de la même provenance que ceux du supermarché, alors à quoi bon ? Sur ce plan-là, nous regrettons d'avoir quitté Versailles, heureusement que l'Amap est venue remplacer nos petits maraîchers. Je continue de me fournir chez eux, en complément, les mardis et vendredis midi, en essayant de ne pas trop me laisser tenter car il faut ensuite porter les sacs !

Tout de même, pour éviter les sacs plastique à usage unique ou les sachets papier qui se déchirent, j'ai cousu quelques sacs, d'abord avec de l'organza, puis avec de la moustiquaire : ils sont légers, solides, lavables et translucides. Le seul bémol est que les étiquettes n'y collent pas, mais je les mets à l'intérieur et ça va très bien. Et que je les oublie une fois sur deux, il faut juste que l'habitude s'installe.

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Après quelques déboires, j'ai équipé certains de mes sachets de stoppe-cordons (surtout pour l'organza, qui glisse), récupérés depuis des années sur des vêtements ou sacs partis à la benne.

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La moustiquaire me semble plus durable car elle ne s'effiloche pas. J'ai juste protégé l'ouverture de la coulisse par une petite chute de coton.

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Et pour ranger tous ces sacs, une petite bourse qui avait servi à emballer un ballotin de chocolats, le tout étant placé dans un beau sac en papier assorti (on en parle, du suremballage des confiseries ?). Je conserve beaucoup de choses au cas-où : le carton doré du ballotin pour mes calissons de Noël, les jolis sacs en papier pour ranger mes en-cours pour pour offrir un cadeau maison.

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15 octobre 2019

26 heures

C'est court, un week-end en Normandie quand il y a classe le samedi matin. Alors…

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- un pique-nique sur une aire d'autoroute

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- un passage dans notre magasin de porcelaine favori (35 ans au moins que le choix et la gentillesse de Viviane ont fait de nous de fidèles clients) pour récupérer nos six assiettes à dessert, commandées cet été

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- quelques photos de la maison plate (comment avons-nous fait pour ne pas la remarquer plus tôt ?)

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- beaucoup de poussière soulevée, des tables et chaises déplacées, des serviettes pliées…

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- cinq cousins réunis

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- du champagne

- une quarantaine d'invités

- un mini-concert, une chanson et un rond cauchois dansé

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- trois magnifiques gâteaux

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- un mini-cours de tricot et une pelote démélée à quatre mains

- un autre sac commandé

- des kilos de pommes rapportées

Tous ces bons moments valent bien un peu de fatigue… on se reposera quand on sera vieux !

 

 

 

13 octobre 2019

Projet 52 de Virginie #41 : pluie

Facile, me disais-je, de le pluie, on n'a que ça depuis des jours et des jours… c'était sans compter sans l'accalmie prévue ce week-end. Oui, mais au moins, on doit pouvoir compter sur la météo normande ?

Même pas !

Quand on voit « de l'autre côté de l'eau » (= Deauville, ou même parfois le CHU de Caen), c'est qu'il va pleuvoir. Les mauvaises langues ajoutent « et quand on ne voit pas, c'est qu'il pleut ».

Je peux donc intituler ma photo « avant la pluie »

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 (et soupirer de devoir quitter la mer ce soir)

 

12 octobre 2019

Un sac pour Marceau

Je réponds au téléphone : une petite voix me demande quelque chose, mais quoi ? La liaison est tellement mauvaise que j'entends un mot sur trois. C'est un SMS qui me donnera la clé de l'énigme : Marceau voudrait que je lui couse un sac de Mary Poppins, rouge et bleu nuit. Je me suis donc exécutée, après avoir bien cogité pour couper dans mon tout petit morceau de toile bleu nuit (évidemment, un coloris introuvable chez Mondial tissus cette année). La solution était de faire les deux faces du sac en opposition, comme pour le sac d'Adrien. Par précaution, j'avais préparé les broderies des poches en même temps que la trousse pour Clarys, si bien que je ne sais toujours pas si la clé, introduite dans la brodeuse, est toujours lue par l'ordinateur (en attendant, mes adorables collègues continuent à explorer leurs fonds de tiroirs pour me fournir de vieilles clés USB de toute petite capacité — moins de 40 Mo)

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Le tissu intérieur vient de La clé des champs, qui m'avait cédé le reste du métrage après y avoir coupé la doublure d'un sac.

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Malgré la fermeture à mailles moulées (je désespère de trouver des grosses fermetures à ressort nylon), je n'ai cassé aucune aiguille et n'ai eu  déplorer qu'un doigt piqué par une épingle. Je crois bien que je n'ai même pas dégainé le découd-vite, cette fois, je m'améliore !

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11 octobre 2019

Tour du monde des soupes #22

Après une journée de douche écossaise : vents violents, pluies dilluviennes, suivies quelques minutes plus tard d'un soleil encore bien chaud, j'ai pensé qu'une bonne soupe serait appréciée par tous.

J'ai donc préparé une cock-a-leekie soup.

Comme je n'avais plus de bouillon de poulet au congélateur, je me suis mise en quête d'une carcasse chez les volaillers de la place du marché, mais tous m'ont dit qu'il faudrait revenir samedi (ils ne découpent leurs volailles que le samedi ? Bizarre !). J'ai donc acheté deux cuisses de poulet fermier que j'ai faites mijoter longuement avec une carotte, un oignon et du laurier.
Pendant ce temps, j'ai épluché des kilos de pommes pour préparer des bocaux de compote que j'ai stérilisés, et récupéré les épluchures et cœurs de pommes pour en faire de la gelée. On ne mourra pas de faim tout de suite ! 

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