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attraper le temps qui file…
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26 mars 2015

#52xMerci—12 : Printemps ?

On y croit… quelques heures, un après-midi ensoleillé, les arbres qui se couvrent de fleurs, les jours qui rallongent. Mais qu'il fait froid cette année ! Avec le vent du nord, les températures négatives du matin, la pluie qui est revenue (après 15 jours de sécheresse, il fallait d'y attendre), je ne suis pas prête d'abandonner la parka, les pulls, les écharpes et gants…

Allez, on essaie d'y croire ! Le jardin y croit, en tout cas : forsythias, primevères, violettes sont déjà là, les tulipes ont sorti leurs feuilles, les bourgeons éclosent un peu partout.

25 mars1

Pour voir où en est le printemps sous d'autres latitudes, c'est chez Frenchlily

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22 mars 2015

Rosa, rosa, rosam, rosæ, rosæ, rosa…

Ouf, je me demandais quand j'allais me remettre à coudre ! (autre chose que des sacs de tente ; oui, Paul m'en a rapporté trois !)

Ces dernières semaines, j'ai copié des patrons et coupé du sweat, parce que le sweat, ça prend de la place, donc aussitôt reçu, aussitot lavé puis coupé et ensuite, le problème reste entier, vu qu'il y a des chutes… j'ai donc plusieurs vêtements coupés d'avance, reste à choisir les broderies (voire supplier convaincre la destinataire d'accepter une broderie), broder et enfin coudre et hop, le vêtement rejoint le placard, reste à caser les chutes.

Aurore voulait donc un sweat rose, avec des bordures roses, tout uni, tout triste. J'ai réussi à la convaincre que, pour partir explorer les sites gallo-romains de Provence avec son professeur de latin (un formidable voyage en perspective), il fallait absolument porter un peu de mythologie sur soi. Elle partira donc en compagnie d'Aphrodite, Apollon et Athéna (oui, ce sont des dieux grecs, désolée, que je n'avais que ça en stock, disons donc Vénus, Apollon et Minerve, mais en grec, c'est mieux, tous commencent par A comme Aurore). Madame la professeur de latin va-t-elle s'apercevoir de la chose ? Id est quaestio *

21 mars4

(Hooded sweater, Ottobre 4/2007)

21 mars8
21 mars921 mars2

J'ai un peu galéré pour comprendre comment monter le devant, la fente se termine sous la poche, OK, mais alors, on laisse un trou sous la poche ? Pour finir, j'ai posé un biais sur l'envers et appliqué la poche juste à l'endroit où les bordures se rejoignent (les surpiqûres laissent à désirer, mais le sweat a fait beaucoup de résistance pour avancer sous le pied de la machine).

21 mars3

Samedi, la demoiselle m'a informée qu'il lui fallait de toute urgence un bas de survêtement, vu que le sien était trop court (déjà !). Nous n'avons pas trouvé sa taille en magasin… j'ai donc repassé une commande chez Rijstextiles (ça tombait bien, Paul voulait un sweat lui aussi et je venais de recevoir un code de réduction). Molleton reçu hier midi, lavé aussitôt, enfourné dans le sèche-linge tout neuf (dont j'ai dû illico nettoyer le filtre, rempli de "moutons" gris), coupé ce midi.

21 mars1

Ce sera assez long, là ?

j'ai repris mon précedent patron et l'ai simplement rallongé de 15 cm. J'ai fait une petite couture au milieu du bord-côtes pour éviter que l'élastique de la ceinture ne roule car je n'avais pas d'élastique assez large. Poche contrastante et ourlet à l'aiguille double, rapide et efficace ! (mais ça n'arrange pas mon stock de chutes : il me reste de quoi faire une jambe de jogging)

21 mars521 mars6

21 mars7

 

 

* Merci Google translate, moi, j'avais fait du grec !

 

18 mars 2015

#52xMerci-11 : professionnel

Frenchlily nous demande aujourd'hui de remercier un professionnel dont nous ne saurions nous passer. J'ai cherché un moment… mon médecin, oui, évidemment, les professeurs de mes enfants, le pharmacien, ma dentiste… pour le reste, les professionnels auxquels j'ai affaire sont souvent anonymes, à distance, noyés dans un grand groupe. Certes, le réparateur d'électroménager qui va tenter de ranimer mon sèche-linge sera le héros de ma semaine *, mais j'espère ne plus le revoir avant de longues années.

Cependant une véritable professionnelle est entrée depuis peu dans ma vie ! Par "véritable professionnelle", je veux dire qu'elle fait bien son travail, consciencieusement et quelles que soient les circonstances, et cela nous change la vie.

Son prédécesseur, en poste depuis quelques années, n'était pas professionnel pour deux sous :

- Il s'économisait et ne passait que tous les deux ou trois jours

- Il ne descendait jamais de sa mobylette (sauf pour réclamer ses étrennes), poussant les lettres vers la fente de la boîte sans vérifier qu'elles y étaient entrées (super, les jours de pluie, de trouver tout son courrier mouillé, voire même tombé par terre)

- Il ne jetait jamais un coup d'œil sur les enveloppes, je recevais indifféremment mon courrier, celui de mes voisins, celui d'une autre rue (Ronsard et Bonnart, c'est pareil, n'est-ce pas ?)

- Il ne passait pas s'il y avait de la neige au sol (15 jours, ça a duré, en 2013)

Au bout d'un moment, j'en ai eu assez d'aller porter moi-même le courrier d'inconnus (pas mes voisins, hein) et me suis contentée de le remettre dans une boîte aux lettres de la Poste en espérant que ceux qui recevaient le mien agiraient ainsi, au lieu, excédés, de le jeter à la poubelle. En 6 ans, au moins deux courriers importants ne nous soient pas parvenus, à ma connaissance : une facture pour laquelle j'ai payé des indemnités de retard et une ordonnance vitale pour Marie (heureusement que le pharmacien n'est pas psychorigide !), sans compter bon nombre de magazines.

Depuis septembre, les tournées ont été remaniées, nous recevons notre courrier vers 15h au lieu de 11h (et en silence) parce que :

- la nouvelle factrice se déplace à vélo (électrique quand même, sa tournée couvre un bon nombre de kilomètres et comporte de bonnes côtes)

- la nouvelle factrice passe tous les jours, même si sa tournée est longue

- la nouvelle factrice jette un coup d'œil sur les enveloppes avant de les glisser dans la boîte

- elle descend à chaque fois de sa monture pour ce faire, alors forcément, ça lui prend plus de temps

- la nouvelle factrice ne plie jamais une enveloppe (ah oui, le diplôme, le faire-part ou le tirage photo marqués d'un pli au milieu, c'était très agréable)

- la nouvelle factrice est un peu très bavarde : la fois où j'avais un reçu à signer, j'ai su depuis combien de temps elle faisait ce quartier, qu'elle est arachnophobe — oui, j'ai une araignée qui vit dans mon seuil de porte —, qu'elle n'est payée que jusqu'à 14 heures mais finit sa tournée 1h30 plus tard, (du bénévolat, en quelque sorte)  et que tout le quartier se félicitait du changement… La fois suivante, j'ai su qu'elle venait de perdre sa mère, prenait 10 jours de vacances et ne passerait donc pas pour les étrennes.

… devinez qui est passé proposer ses calendriers ? L'ancien facteur, déplorant son changement de tournée… je lui ai donc dit tout le bien que je pensais de lui et mes regrets que notre nouvelle amie ne se présente pas à sa place ! Quel culot !

Bref, j'aime ma factrice ! Je pense même que les cloches vont lui apporter des chocolats pour Pâques, accrochés à notre boîte aux lettres, pour la remercier de faire son travail, tout simplement…

18 mars1

* Heu, finalement, il est passé et le coût de la pièce est trop élevé pour un appareil qui vient d'avoir vingt ans. RIP donc, mon sèche-linge, le nouveau arrivera samedi et je vais prier les dieux de l'électroménager pour que la série s'arrête là (même si on me souffle dans l'oreillette qu'un lave-linge de 12 ans et un cumulus de 21 ans ont peut-être fait leur temps, eux aussi)

13 mars 2015

#52xMerci-10 : un objet

Frenchlily nous demande d'évoquer un outil du quotidien cette semaine. J'aurais pu vous parler de mon téléphone (qui est aussi mon agenda, mon appareil photo de secours, mon aide-mémoire, mon GPS…), de mon poste de radio, de mon couteau de cuisine préféré…

Mais finalement, les objets les plus simples sont aussi les plus pratiques parfois. Ce dont je ne peux me passer au quotidien, c'est d'un stylo ! Pour faire des listes (à faire, à acheter, à coudre…), noter chaque soir où j'en suis de mon travail (oui, il m'arrive, surtout le lundi matin, d'avoir de grands moments d'absence), copier rapidement une recette, calculer, laisser des consignes…

13 mars1

Alors, merci monsieur Bic !
(mais je ne dis pas merci aux lutins qui passent leur temps à cacher les stylos déposés près du téléphone, dans la cuisine, près de l'ordinateur, dans la lingerie ; parfois, tout un groupe réapparaît — curieusement suite au rangement d'une chambre ou d'un cartable — mais le plus souvent, je dois en racheter par dizaines)

10 mars 2015

10 du 10 : fibres

Pas facile, le sujet du jour, suggéré par J'habite à Waterford ! En plus,  je n'avais guère l'occasion de photographier durant ma journée, enfermée dans une salle informatique en sous-sol pour une formation.

Fibres alimentaires, nécessaires à notre santé ! Nous mangeons, je pense, largement plus que les 5 fruits et légumes préconisés. Ce matin, par exemple, vu que ma formation ne commence qu'à dix heures tout près de la gare Montparnasse, je peux prendre le temps d'un petit déjeuner coloré et savoureux !

10 mars01

Petit clin d'œil au thème, les panneaux d'affichage de ce café où nous déjeunons rapidement après une matinée de cours bien remplie

10 mars02

(dans notre quartier, la fibre optique, ça ne sera pas pour maintenant, visiblement…)

Au retour, j'ai cherché des fibres dans la maison. Fibres textiles, évidemment, naturelles pour la plupart car je ne supporte pas le synthétique sur la peau :

cotons colorés

10 mars06

laine toute douce

10 mars04

rayonne des fils de broderie

 10 mars03

nylon (un peu de synthétique est parfois nécessaire) acheté pour confectionner de nouveaux sacs de voyage bien solides.

10 mars05

Passons ensuite à la fibre artistique…

L'orientation des fibres du bois (érable) sur le fond du violon, n'a qu'une valeur décorative,

10 mars08

contrairement à celles de l'épicéa de la table qui propagent le son

10 mars11
(Marie devrait nottoyer son violoncelle plus souvent !)

Pas (pas encore?) d'archet en fibre de carbone chez nous : du pernambouc, de l'amourette, du bois du Brésil, des bois aux fibres denses qui leur donnent solidité et souplesse.

10 mars10

Et pour finir la journée, l'odeur du pain qui cuit : ce soir, c'est seigle-raisins-noix

10 mars07

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8 mars 2015

Scout toujours ! #3

La couture utilitaire en série, ce n'est pas ce que je préfère ! Mais le groupe avait un besoin urgent de sacs de tentes et les volontaires ne se sont pas bousculés. Il faut dire que les tissus employés sont très rigides, épais, les pièces sont grandes, ce qui complique considérablement la tache. Je pense que pas mal de machines basiques doivent caler sur les épaisseurs, la mienne a juste tordu une aiguille (mais j'ai pas mal tiré sur le tissu pour le faire avancer, mes épaules en gardent un douloureux souvenir). J'ai été obligée de mettre la brodeuse au coin pour faire de la place, j'espère qu'elle n'en sera pas fâchée…

8 mars18 mars3

Toile jean fine et serrée, chutes de toile de tente (là aussi, tissage hyper-serré que l'aiguille a du mal à perforer), grosse toile plastifiée (ils ont dû avoir ce rouleau taché à bon prix), sangles de récupération, explications… approximatives, pièces découpées très approximativement également, coutures doublées, voire triplées, j'en ai bavé, surtout pour le premier sac !

8 mars2

Il est possible cependant que j'en récupère une nouvelle fournée à coudre, vous croyez que j'ai toute ma tête ?

8 mars4

En attendant, je vais passer à de la miniature, pour changer : je vais commencer un premier bloc de Dear Jane, une autre sorte de projet déraisonnable.

6 mars 2015

Qu'est-ce qu'on mange ce soir ?#12

Ce soir, j'ai préparé la nouvelle recette de Sécotine, parce que bon, le soleil est là, il chauffe même, mais ce matin, il faisait encore -1 °C, l'hiver n'est pas terminé.

Bon, du coup, j'ai cherché ce que j'allais faire du reste de courge butternut. Et puis j'ai un nouvel ami en cuisine ! Notre bien-aimé four a pris une retraite méritée, après 19 ans de loyaux services ; il commençait à partir par tous les bouts, le fond était tombé depuis longtemps, je l'avais fixé à l'aide de rondelles métalliques. Puis c'est la porte qui s'est séparée en deux épaisseurs, la vitre extérieure ne tenait plus que grâce à la poignée, ses fixations étant décollées (et trouver une colle verre sur métal résistant à la chaleur, je ne sais pas). Enfin, dernièrement, j'ai loupé deux séries de cookies : le beurre est sorti en moussant de la pâte lors de la cuisson, avec un résultat désastreux… j'ai soupçonné le four de faire de fortes poussées de fièvre. L'inverse du fer à repasser, en quelque sorte. Nous nous sommes mis en quête d'un remplaçant et notre choix s'est porté sur… le même en mieux ! Même marque, modèle au-dessus : possibilité de cuisson sans chaleur tournante, températures plus élevées (225°C max, c'était trop juste pour de bonnes pizzas). Le livreur a emporté notre appareil au paradis des fours et là, problème… normal me direz-vous, comme 75 % de nos achats ! Le nouveau modèle était légèrement plus petit que l'ancien, laissant un vide disgracieux en haut de la niche. Un tour au magasin de bricolage plus tard, me voilà nantie d'une plaque de medium de 8 mm et d'un précieux conseil du menuisier (qui me demandait ce que j'allais préparer de bon, à quoi j'avais répondu qu'il fallait d'abord réussir à enlever l'odeur de neuf, résistante à 2h de chauffe à vide) : placer des écorces d'oranges sur une plaque et les "cuire" à basse température. Je vous le conseille, ça sent délicieusement bon ! Et l'avantage d'avoir "presque le même en mieux", c'est que grilles et lèchefrites sont identiques, à moi la cuisson simultanée sur 4 niveaux.

6 mars1

Bon, revenons donc à notre recette inaugurale du nouveau four !

Gratin de légumes au maroilles (ben oui, nous revenons de Lille, je vous rappelle, mais ça marche aussi avec du reblochon, du Saint-Nectaire ou votre fromage préféré)

6 mars2

Couper en tranches fines de la courge butternut, de la patate douce, des navets, des oignons. Ranger ces tranches dans un plat à gratin en salant et poivrant légèrement chaque couche. Humecter d'un peu de lait et de bouillon de légumes, saupoudrer de noix de muscade, puis déposer de fines tranches de fromage. Enfourner à 180 °C pendant 30 minutes, terminer la cuisson sous le grill (trop bien : notre four a un mode pour cela, qui passe en grill automatiquement 5 minutes avant la fin de la cuisson !)

6 mars3

Je peux vous assurer que l'odeur de neuf est totalement partie, là ! (en revanche, l'odeur de Maroilles dans toute la maison, hum… ça sera sympa demain au réveil) ; j'avais déjà employé la méthode en transportant des sacs de fumier dans une voiture neuve, tout pareil !

6 mars4

(je vous laisse, je vais éplucher des oranges…)

 

 

et là, je réalise que Paul a emporté son plat pour le réchauffer et le manger tranquillement pendant son baby-sitting chez des amis  de futurs-ex-amis

 

 

3 mars 2015

#52Merci-9 : un livre

Frenchlily nous demande, cette semaine, de nous pencher sur un passage ou un titre de livre inspirant.

« Il faut ajouter de la vie aux jours, lorsqu'on ne peut plus ajouter de jours à la vie »  : une magnifique citation, par Anne-Dauphine Julliand *, d'une phrase du professeur Jean Bernard, phrase à laquelle elle a donné une réalité concrète en faisant de la courte existence de sa petite fille une vie pleine et heureuse. C'est une phrase que l'on devrait garder en soi, pour se la redire lorsque l'on a l'impression que les jours se succèdent, monotones, éreintants, vides… trouver chaque jour de petits bonheurs, essayer de donner chaque jour quelque chose à quelqu'un, un sourire, une parole réconfortante ou une oreille attentive, faire de chaque repas en famille une petite fête, un temps d'échange et de partage, profiter d'accompagner l'un ou l'autre au lycée/chez le dentiste/au magasin/pour une démarche/au sport ** pour un moment privilégié à deux, sans les frère ou sœurs qui accaparent parfois la parole, ne pas toujours râler contre le froid/ la pluie/le manque de temps/les courriers qui n'arrivent pas/les livreurs en retard/les démarcheurs téléphoniques/les objets qui se cachent ***, lâcher prise et chercher le côté positif des choses…

Le second livre d'Anne-Dauphine Julliand est sorti en poche en novembre, je viens tout juste de l'acheter et attends de finir mes lectures en cours pour l'ouvrir, car je sais que je ne le lâcherai pas avant la fin !

3 mars1

* Deux petits pas sur le sable mouillé
** ne rayer aucune mention inutile !
*** rien à rayer non plus

2 mars 2015

Lille-Roubaix, le retour !

1mars3

En famille, cette fois… il fallait absolument que je rende visite aux petits poilus de la Wool War One ! Après un vendredi passé à arpenter Paris (et le Musée Picasso), nous avons pris la route de Lille samedi matin.

Comme d'habitude lors de nos séjours nordiques, il faisait beau ! Dire qu'il pleut souvent dans le Nord est de la pure calomnie, je ne vois que ça… (je n'en dirais pas tant du sud). Bon, le vent était glacial sensible samedi mais nous avons marché, fait de petites incursions dans les magasins pour nous réchauffer, mangé des plats roboratifs (nous étions venus pour ça aussi, ça faisait rêver les enfants de manger des frites à tous les repas, surtout que ce n'est pas notre ordinaire).

1mars11mars2

Et puis dimanche, je les ai donc vus en vrai avec une certaine émotion… (et même qu'Anna était là, mais très entourée, je n'ai pas osé l'aborder). Ils marchent, si semblables et si différents, ils portent tant d'histoires en eux (certaines petites mains ont, paraît-il, glissé des lettres, des récits, des messages dans les besaces et sacs à dos) (non, je n'ai pas reconnu mes vareuses).

1mars41 mars2

L'un d'eux s'est même laissé pousser les cheveux… pas très réglementaire, cette coiffure !

1mars5

Et puis nous sommes rentrés pour reprendre notre vie quotidienne, avec ses aléas, en savourant la chance de vivre en paix (pour le moment…), à nous de la préserver pour les générations futures !

1 mars1

« Si vous voulez savoir pourquoi nous sommes morts, dites-leur : Parce que nos pères ont menti », Rudyard Kipling.

 

 

 

 

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