52/2022 : sous un chêne
Cette année, parmi les thèmes concoctés par Virginie, il y a des phrases tirées de ses lectures (ou de celles de Mirovinben).
« N’oublie jamais que le meilleur moyen de combattre le mal de mer, c’est de s’assoir sous un chêne », Gilles Legardinier, Une Chance sur un Milliard.
Bon, cette semaine, ce n'est pas le mal de mer que j'ai décidé de combattre, mais la déchance physique bien réelle depuis plus d'un an, entre les confinements qui ont mis fin à mes courses plus ou moins régulières, l'arthrose du pied, puis cette opération (ratée ?) depuis laquelle je ne fais pas un pas sans souffrir… de nouveau, je m'essouffle en montant un étage, en grimpant une petite côte à vélo, et les kilos perdus en 2020 se sont réinstallés. Je fais un peu de gym avec Marie mais beaucoup d'exercices sont compliqués quand on ne peut pas prendre appui sur les orteils. Alors ce matin, j'ai chaussé mes baskets (qui ne me font pas mal au pied, au moins) et j'ai repris le programme à la base (1 min de course, 1 min 30 de marche) dans la forêt, à la recherche d'un chêne.
Et j'en ai trouvé quelques-uns, même s'il y a une forte majorité de châtaigniers (la maladie de l'encre fait des ravages) et de hêtres.