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attraper le temps qui file…
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bleu
31 mars 2014

Oh, what a beautiful bag!

Après avoir vu ce sac, Aurore m'a demandé si elle pouvait avoir un sac Londres, elle aussi. C'était juste avant l'Aiguille en fête, j'ai donc pu m'approvisionner en conséquence. Elle a choisi le modèle Urshult de Farbenmix, un sac qui a la particularité d'avoir deux rabats différents, selon le sens qu'on choisit pour le porter. Il me restait tout juste assez de cette toile fabuleuse, utilisée ici et , rigide et imperméable, pour le confectionner (j'ai imprimé le patron à 80 % car il me semblait trop grand pour ma Miss)

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Du fait des tissus imprimés, je n'avais pas beaucoup de place pour caser des broderies, mais j'ai réussi à en placer quelques-unes :

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La fermeture du sac était en option (indispensable, à mon avis), je ne trouvais pas le montage très esthétique, j'ai donc cousu les deux bandes lors de l'assemblage du sac, puis piqué la fermeture à la fin… sans penser qu'elle n'était pas séparable, donc impossible à coudre à la machine jusqu'au bout ! J'ai cousu les derniers cm à la main, ce que je déteste…

 

 

J'ai ajouté des poches à l'intérieur, deux petites plaquées, une grande fermée par zip, ainsi qu'un mousqueton pour les clés.

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J'avais vu un peu juste pour le ruban (1 mètre, pour une bandoulière réglable, c'est à peine suffisant), j'ai donc utilisé un ruban Farbenmix.

C'est Aurore qui a tenu à la sangle bleu roi !

Maintenant, ce sac va attendre sagement le jour de l'anniversaire de l'heureuse destinataire… et je vais m'atteler au second (déjà coupé et brodé)

 

 

 

 

 

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28 février 2014

Pénélope…

… doit être mon troisième prénom ! Je peine, dans la Wool War One, mais j'apprends plein de nouvelles techniques, ça c'est chouette.

Bon, déjà, il fallait tricoter en aiguilles 2 avec une laine conseillée pour du 2,5-3, vu comme je tricote serré d'ordinaire, je le sentais moyen. Mais en bon petit soldat discipliné, je monte mes mailles et je fais une dizaine de rangs. Verdict : trop petit (d'un bon cm). Pas de problème, je vais recommencer avec des aiguilles de 2,5 (en plus, les aiguilles 2 en bambou sont tellement fines que j'ai peur de les casser, mais que voulez-vous, quand on a goûté au bambou et aux aiguilles circulaires, on ne peut plus revenir en arrière — et puis de toutes façons, sur les dizaines d'aiguilles héritées de mes grand-mères, il n'y avait pas de 2 non plus)

Je refais mon morceau de vareuse : trop petit, mais pas si loin du but ! Je détricote et j'ajoute 2 mailles, cette fois-ci, c'est bon. Pendant ce temps, sur Ravelry, je vois que certaines ont déjà fini leur pelote, mais ce n'est pas une course de vitesse, j'ai jusqu'à septembre.

Je finis mon dos, j'attaque le demi-devant avec les mêmes tâtonnements : j'avais ajouté une maille mais ce n'est pas nécessaire, je défais et refais, donc. Sur du tout-petit, le moindre écart prend des proportions énormes, il faut une précision presque millimétrique.

Je commence le deuxième demi-dos et j'étudie les étapes suivantes, inconnues pour moi : relever des mailles sur la lisière et rabattre à trois aiguilles (car je suis fâchée avec la couture de tricot, c'est toujours moche et serré, voilà pourquoi je me cantonne désormais aux mitaines, étoles et écharpes). Cette technique va m'ouvrir de nouvelles perspectives, je le sens ! Après voir bien regardé la vidéo, je me lance : je récupère les mailles du haut que j'avais rabattues, les mets en attente sur une aiguille à chaussettes et commence à assembler des deux morceaux. Hem… dans "rabattre à 3 aiguilles", j'ai oublié "rabattre", je m'en aperçois quand je me demande ce que je vais faire de toutes ces mailles sur mon aiguille droite ! Je défais, donc (ça devient compliqué, heureusement que cette laine ne perd pas trop sa torsion) et je recommence en rabattant soigneusement. Ouf, ça y est !

27 février1

Enfin, je croyais… allez, on défait encore un coup, on remet endroit contre endroit et cette fois sera la bonne !

 

18 février 2014

Nuits de Chine, nuits câlines…

Frileuse comme je suis, j'avais besoin d'un nouveau pyjama de toute urgence et pourtant… coupé le 2 janvier, cousu aujourd'hui seulement ! Mais pour une fois, rien n'est venu me perturber. Patron Ottobre 1/2005, comme le précédent, version femme, cette fois. Bas maison également (montant bien haut à la taille, comme j'aime). J'ai dû tricher pour les manches, n'ayant qu'un mètre de jersey (Stenzo) mais le bleu uni (coton-lycra) acheté à Reims est un plaisir à coudre, bien épais et ne se déformant pas. Je sens que je vais passer une commande bien vite ! Pour les finitions de l'encolure, j'ai opté pour la version « élastique dentelle » trouvé chez Fil 2000, très doux et souple.

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Et pour le même prix, la version portée (devant le miroir de salle de bains nettoyé par mes filles, hum…)

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2 février 2014

Jupe-puzzle, troisième !

J'ai du mal à tester un autre patron, tant celui-ci me va bien. Changer de modèle signifierait couper, assembler, essayer, retoucher, découdre, retailler, ré-essayer et retoucher encore et encore tant ma morphologie est éloignée des standards actuels *… alors j'ai refait une jupe-puzzle dans ce si beau velours milleraies. Je n'ai qu'un regret : savoir que ce tissu si fin ne durera que quelques années et s'usera vite (y'a plus la qualité d'avant, ma bonne dame !)

10 panneaux pour la jupe elle-même, donnant un effet de godets en bas, deux poches parce que c'est indispensable pour moi, une ceinture doublée par une parementure, rien de difficile, juste de la patience et de la précision pour assembler et surpiquer chaque morceau.

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  Et voilà, j'ai une tenue complète pour l'aiguille en fête !

  J'y serai vendredi, et vous ?

 

 

 

 

 

 

 

 

* et pour les pantalons, c'est pire encore, si je pouvais me retoucher moi-même, ce serait plus simple !

31 janvier 2014

Mon plantain est bleu

Il y a quelques semaines, mes copinautes SewLN, Laclédeschamps  et Lamarie se lancent dans une série de tee-shirts plantain, patron gentiment offert par Deer and Doe. Je promets de les suivre, mais vous connaissez maintenant ma lenteur au démarrage… une fois le jersey trouvé, le patron imprimé (c'est long), collé (encore plus long), copié, coupé, je suis allée assez vite.

J'avais depuis longtemps ce tissu oiseaux acheté pour me faire une jupe. J'ai attendu que ma jupe-puzzle rouge soit usée jusqu'à la trame (c'est le cas de le dire, le tissu en est devenu transparent, un gros défaut du velours milleraies) pour me décider à m'y mettre. J'avais un coupon de jersey parfaitement assorti (acheté pour tout autre chose) mais un peu petit : 1m06 en 125 de large et une broderie Emblibrary pas du tout prévue pour aller avec, mais dont le motif concorde de façon surprenante.

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Il m'a fallu ruser, réduire un peu la longueur (c'est un peu court pour porter avec un pantalon, mais avec la jupe ce sera parfait) et faire des manches 7/8e (je n'aime pas les manches 3/4, ça remonte sous les manches de gilet)

J'ai beaucoup apprécié les conseils donnés avec le patron, notamment la mention de l'élasticité du jersey. J'ai eu quelques déboires avec des jerseys pas assez extensibles et des tee-shirts trop serrés au final. La méthode donnée pour vérifier le coefficient d'élasticité est bien pratique !

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Je galère toujours à me prendre en photo, pas d'appareil à retardateur à ma connaissance, quoique je pourrais peut-être potasser la notice, pour une fois ?

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Pas de doute, ce patron me va parfaitement, rien à retoucher (peut-être réduire un peu le décolleté pour une version plus hivernale ?)
Maintenant, évidemment, la robe Belladone me fait de l'œil ! Je verrai à l'aiguille en fête si je cède…

Et pendant que ma petite malade récupère de sa folle nuit passée dans la salle de bains, je vais m'attaquer à la jupe (eh oui, la gastro annuelle est de retour ! Pourvu que son frère passe à travers cette fois…)

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23 janvier 2014

Défi Charlie… la suite

… avec le haut du jogging de Violette Beauregard. À l'origine, j'avais acheté le velours bleu canard à Courtrai pour en faire un bas (jusqu'ici, tout va bien). Je me rends à l'autre bout du hall pour prendre du bord-côtes pour la ceinture, je trouve ce magnifique bord-côtes Hilco rayé, j'en prends 20 cm, puis je me dis que je vais acheter du velours rose assorti pour faire le haut. C'est là que mon cerveau bloque (comme en cuisine, quand je réduis les proportions et que j'oublie en cours de route) : j'ai le velours, mais pas de bord-côtes supplémentaire !

En mai, un nouveau Stoffenspektakel a lieu à Reims, je charge les copines de me rapporter le bord-côtes qui manque, mais la marchande n'en a pas cette fois. Le temps passe… le 30 novembre, je retourne au Stoffen à Reims, Aurore me demande (devant témoins) quand je lui coudrai le survêtement promis, j'achète du bord-côtes fuschia qui complètera l'autre…

J'ai trouvé et copié les patrons, coupé le velours, je m'attaque au bas pour tenir les délais du P'tit défi, quelques jours passent, je commence à coudre le haut… flûte ! Mais où est passé mon bord-côtes rose ? Je n'aurai pas assez avec le rayé.

Je cherche, je range, je trie… rien à faire ! Je finis par me résoudre à réduire la largeur des poignets et de la bande en bas. Puis c'est le bas de survêtement qui disparaît, Aurore ne sait pas, elle ne l'a pas rangé dans sa chambre… il n'est pas dans la lingerie. Je commence à sentir l'angoisse monter, vraiment, je déteste ne pas me souvenir de ce que j'ai fait de telle ou telle chose (le plus souvent, des papiers importants). Je vais chercher dans la chambre des filles : erreur ! Ce que j'y trouve me met en rage (elles ne sont pas là, heureusement) mais point de jogging… et en descendant l'escalier, que vois-je sous un meuble ? Un petit carton reçu quelques jours plus tôt FERMÉ PAR DU SCOTCH, une lumière rouge s'allume dans mon esprit, c'est du pur Aurore, ça, elle adore mettre les objets dans des sacs, des cartons, des enveloppes… * je glisse la main à l'intérieur, c'est doux et moelleux !

Et là, voyez-vous ce qui est caché sous le velours bleu ?**

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Bon, je ne suis pas rancunière, j'ai quand même terminé le survêtement… le voici donc porté par une Aurore légèrement contrite (mais qui n'a pas retenu la leçon, ce matin, c'étaient ses clés qui avaient disparu, arrrgh !)

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Il m'a fallu raccourcir la fermeture-éclair séparable, voici comment j'ai procédé : j'ai tiré une maille à l'endroit voulu, puis l'ai coupée avec de petits ciseaux (non, non, le découd-vite ne suffit pas, de plus celui-ci est bien abîmé, il me sert juste de poinçon). J'ai ensuite tiré le fil maille après maille, en coupant à chaque étape, pour dégager une longueur de 3 cm afin de replier la fermeture proprement. J'ai ouvert la petite agrafe métallique situés en haut de la fermeture et l'ai remise sur ma dernière maille tant bien que mal (ça n'aime pas être déplié et replié, ces petites choses). Si quelqu'un sait où acheter des arrêts de fermeture au détail (pas avec des curseurs), je suis intéressée !

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* seulement, elle est comme les écureuils, elle ne se souvient pas de ses cachettes, ce qui peut donner lieu à des crises de larmes épiques certains matins où le livre de bibliothèque à rendre à disparu “mais je l'avais posé sur la table !” ou les clés, la partition, les chaussures…

** oui, oui, c'est bien le bord-côtes !

7 janvier 2014

P'tit défi : Charlie et la chocolaterie

Voici une nouvelle année de petits défis chez Casa, avec comme idée directrice, pour cette année 2014, de s'inspirer de films, séries et dessins animés. Permier défi, donc, avec ce film de Tim Burton. Je ne me voyais pas tricoter le superbe pull jacquart de Charlie (il m'aurait fallu 6 mois) ni coudre la veste de Willy Wonka (que personne ne porterait)… j'ai commencé par aller au plus simple avec cette tablette de chocolat en feutrine, ajoutée au dernier moment dans la dînette pour Maxime.

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Puis j'ai cogité, envisagé un moment de réaliser une robe tout en chocolat à l'aide du coffret Harumika de mes filles, ça aurait été chouette, non ? Mais bon, il faudrait un peu de temps pour cela, je viens tout juste de trouver du chocolat de couverture, alors demain peut-être…

Je me suis donc contentée de coudre, pour Aurore, le bas de survêtement de Violette Beauregard (pour le haut, j'en suis au relevé de patron)

(J'avoue à ma grande honte que le velours est acheté depuis l'automne 2012 dans ce but et que je promets chaque mois de m'y mettre… mais au moins, elle le portera plus que quelques mois, ce qui n'aurait pas été le cas si je l'avais cousu tout de suite : la Miss a pris 12 cm en un an ! Et puis j'avais un problème d'approvisionnement en bord-côtes)

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(pas facile à photographier, quand elle est en forme !
vous avez vu les belles chaussettes qu'elle a reçues à Noël ?)

Velours Stoffenspektakel, patron maison d'après son bas de survêtement trop petit, bord-côtes Hilco (que je désespère de retrouver un jour)

 Allez, tous en chœur

Willy Wonka, Willy Wonka, the amazing chocolatier.
Willy Wonka, Willy Wonka, everybody give a cheer!

He's modest, clever, and so smart, he barely can restrain it
With so much generosity, there is no way to cantain it
To contain it, to contain, to contain, to contain

Willy Wonka, Willy Wonka, He's the one that you're about to meet
Willy Wonka, Willy Wonka, He's a genius who just cant be beat

The magician and the chocolate wiz
He's the best darn guy who ever lived
Willy Wonka here he is!


21 décembre 2013

Les lutins sont sur les genoux…

… mais soulagés ! Tous les cadeaux sont achetés et le plaid pour Adrien est terminé.

Pour le matelassage, j'ai d'abord tenté d'épingler au bord des carrés, le résultat a été désastreux, avec la doublure qui plissait et se prenait dans les coutures, sans parler des nombreuses attaques sauvages d'épingles sur mes mains…

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Je suis donc allée acheter une boîte d'épingles-nourrices courbes ; elle m'a semblé bien trop grande : 144 pièces ; j'en ai utilisé 96 !

Une fois chaque carré fixé au molleton et à la doublure par 4 épingles, j'ai pu rouler les bords du plaid et le tourner dans tous les sens sous le pied de ma machine, mais je dois avouer qu'une fois les coutures terminées, j'avais bien mal aux poignets et aux épaules… et encore, je n'ai fait que coudre en ligne droite entre chaque carré !

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J'ai quasiment brodé tout ce que j'avais comme chouettes :

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19 décembre 1219 décembre 1319 décembre 08 avec un petit message-souvenir, comme chez Rachel.

Comme je n'avais pas tellement de tissus imprimés en stock dans les bons coloris, j'ai fait quelques petits carrés de patchwork

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Et le plaid terminé

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16 décembre 2013

Les lutins s'affolent !

Après avoir chômé tout le mois de novembre pour cause de manque d'inspiration et de panne de brodeuse, forcément, les lutins sont en retard. Surtout que j'ai eu mercredi dernier l'idée géniale (j'espère) pour le cadeau d'Adrien et commandé les tissus dans la foulée (merci au passage à Butinette pour leur réactivité : 15 minutes après ma commande, j'ai appris que les coloris choisis n'étaient pas les bons pour aller avec la déco de sa chambre ; j'ai appelé Strasbourg et effectué un changement de coloris de tissus ; commande passée mercredi après-midi, reçue aujourd'hui)

J'ai donc passé ce lundi debout sur la pédale de ma machine à coudre, une main changeant les fils sur ma brodeuse, l'autre coupant et repassant. Bilan de ce week-end prolongé (en raison d'une coupure de courant toute la journée dans le quartier où je travaille, bienvenue pour moi, beaucoup moins pour mon employeur, sachant que c'est la deuxième en deux mois) : mes rideaux sont terminés, la jupe de Marie également :

(Je vous fait grâce de la photo des ourlets de rideaux, vous me croirez sur parole)

Liberty Laura and Alfie bleu ciel, modèle Ottobre (Plaid skirt, hiver 2008)

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à ma demande de l'intéressée, j'ai remplaçé la ceinture par une parementure à la tai!lle, sans surpiqure (parementure surpiquée sur les valeurs de couture), il va falloir quelques points pour la tenir en place.

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 et deux petits tabliers pour petites filles

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(j'ai bien fait de les photographier, je me suis aperçue que j'avais cousu un bouton à l'envers !)

Le reste a bien avancé, j'ai eu le temps d'aller rencontrer quelques professeurs de miss Aurore samedi matin, ça fait toujours du bien d'entendre des compliments (surtout que je ne suis pas habituée). La demoiselle, en plus de ses brillants résultats dus entièrement à son mérite et son travail (jamais je n'ai mis le nez dans ses devoirs, sauf à sa demande espresse), a paraît-il une attitude exemplaire en classe, sage, posant des questions pertinentes, participant (et les deux professeurs rencontrés ont bien remarqué qu'elle devait lutter contre sa timidité pour cela), curieuse de tout (ça, je l'ai remarqué aussi, elle ne cesse de nous questionner ou d'ouvrir le dictionnaire). J'ajouterai à tout cela une grande autonomie (et je sais que ça lui demande des efforts, notamment partir au collège le matin quand il fait encore nuit). Bref, je me demande de qui elle tient…

 

 

7 décembre 2013

P'tit défi du 7 : la fermeture !

Avant de refermer une année de p'tit défis "techniques de couture" et de passer à tout autre chose, Casa nous a proposé de nous attaquer à un point qui terrifie les couturières débutantes : la pose de fermetures à crémaillère (nom officiel, puisque fermeture-éclair est une marque). De mon côté, je me suis fixé un défi personnel : poser une fermeture invisible. Je suis donc allée, pleine d'espoir, chez mon fournisseur préféré (Fil 2000) pour refaire un peu mon stock de fermetures de toutes les couleurs. Alors que j'étais accroupie, à chercher du rose, une dame a trébuché et se serait cogné la tête sur les étagères en bois si je n'avais été là pour amortir sa chute. Quelques minutes plus tard, je saisis une fermeture invisible et demande au patron si je peux la poser sans pied spécial.

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« Non, me dit-il, mais je peux vous vendre un pied ». Après quelques hésitations sur le fait que ce pied risque de ne pas s'adapter sur ma machine (mais le prix me convainc bien vite), je le prends et la dame qui m'est tombée dessus s'avère être une couturière aguerrie qui m'explique dans les moindres détails comment poser la fermeture.

 

Un essai plus tard, me voilà coupant en tremblant un précieux coupon de liberty pour la jupe de Marie (en tremblant doublement lorsque je m'aperçois que ce motif a un haut et un bas, que je ne peux donc pas mettre les morceaux de la jupe tête-bêche comme d'habitude. Heureusement qu'elle la veut assez courte, j'ai tout juste assez de tissu pas 1 mm de trop !)

Voici donc ma fermeture invisible :

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Vous ne la voyez pas, c'est normal, c'est que j'ai réussi la pose ! Et là, ça va mieux ?

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Bon, je n'ai plus qu'à faire les pinces, les plis, coudre la jupe, la doublure, assembler le tout et faire les ourlets… puis refaire la même chose pour celle d'Aurore (qui veut une fermeture invisible, elle aussi).

J'avais également en tête le défi inverse, puisque j'ai acheté au salon MCI cette fermeture tout-à-fait-visible, mais je n'ai pas eu encore d'idée pour l'utiliser. Auriez-vous des suggestions ? (le principe étant de cacher les bouts, quand même)

7 décembre4

 

 

 

 

 

 

Pour voir les autres fermetures-éclair (et la folle réalisation de Casa qui a pris le risque de se fâcher définitivement avec sa machine à coudre), c'est.

 

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