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7 mars 2014

P'tit défi du 7 : Moi, moche et méchant

Encore un défi sur un film que je n'ai pas vu… mais j'ai cherché des images pour trouver l'inspiration.

L'idée était de faire un minion, cousu ou crocheté…

et là, je découvre qu'à l'instar de Gloubichamalu et sa détestation du vert, je n'ai pas de jaune chez moi (bon, en fait j'ai plutôt découvert le problème le jour pas si lointain où Aurore devait s'habiller en jaune-rouge-noir pour la journée franco-allemande au collège et que nous n'avons déniché qu'un tee-shirt jaune de garçon (quelle horreur !) qu'elle a enfilé sous un tee-shirt rouge, comme ça on voyait un petit liséré jaune au col, ça faisait l'affaire — tee-shirt jaune destiné à la base à un déguisement de clown). Ou plutôt, pour rétablir la vérité, j'ai des restes de satin jaune (de la robe de Belle) et du jersey Hilco rayé jaune clair et jaune orangé, c'est tout. Je vais me soigner, je promets de coudre un peu de jaune cet été.

bellechemise nuit jaune

 Côté tricot … de laine jaune, point !

L'écharpe du méchant me tentait bien (nous en avons d'ailleurs discuté avec Brunehilde à l'AEF) mais allez donc caser une écharpe grise et anthracite auprès d'un lycéen qui n'en porte pas ou d'une collégienne de 11 ans !

Alors j'ai décidé de tricoter une écharpe à la petite Edith, celle qui porte un joli pull à rayures et un bonnet assorti.

Elle manque cruellement d'une écharpe, cette petite ! Ça tombe bien, figurez-vous, car ma petite à moi a perdu la sienne, d'écharpe (poilue et bleue, dans une matière synthétique qui me donnait des frissons d'horreur dès que je la touchais — non, non, je ne suis pour rien dans cette disparition, qu'allez-vous penser là, voyons ?) et j'avais justement de la laine poilue en stock (destinée à lui rallonger son pull à capuche chéri-adoré-taille 6 ans qu'elle a porté jusqu'à ce qu'il lui arrive au-dessus du nombril ;

P1070260et puis non, d'abord, la laine n'a pas du tout le même bain (5 ans plus tard, ça aurait tenu du miracle), mais en plus j'ai essayé de détricoter quelques rangs, impossible. Détricoter un pull poilu lavé et relavé est définitivement impossible. Je suis restée avec mes deux pelotes sur les bras.

 

Jusqu'à ce que je pense faire d'une pierre trois coups : le défi de Casa, l'écharpe de ma fille et l'utilisation de la laine. Trouver une laine rose clair dans la même taille d'aiguille n'a pas été facile mais j'aime beaucoup l'association des deux. Et puis, tricoter en 6, ça monte vite et ça peut se faire devant un film en VO (ce qui n'est pas le cas avec mes petites vareuses de taille 2,5 de la Wool War One, croyez-moi !)

 

7 mars27 mars1

Laine Beaugency et Harmony Phildar, aiguilles 6
Avec les températures que nous avons le matin, ces jours-ci (entre 0 et 2), ma Miss est bien contente.

Bon, à vrai dire, je ne suis pas satisfaite : cette écharpe n'est pas très longue (1m20), mais je la trouve déjà très lourde, je pense donc, dès l'arrivée du printemps, la détricoter (je n'ai pas encore coupé les fils entre les rayures) et la refaire un peu moins large… oui, vous pouvez parler d'abnégation : j'ai eu des démangeaisons tout le temps que j'ai tricoté, bien qu'il n'y ait pas le moindre pourcentage de mohair dans cette laine. 

Je vois que j'ai été sur la même longueur d'ondes que Casa, cette fois ! Allez vite voir les autres réalisations.

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24 février 2014

Déjà arrivée !

… mon enveloppe pour Anne. Alors voilà : c'est Anne qui avait été tirée au sort ; elle avait choisi des maniques, dans les tons de sa future cuisine : 

Capture d’écran 2014-02-24 à 14

Un peu plus tard (oui, bon, presque 15 jours, je sais, mais le temps file trop vite, que voulez-vous…), je me suis mise à la broderie sur lin uni. Et puis je suis tombée sur un tissu en lin pile dans les tons recherchés, parfait pour l'autre face des maniques ! J'ai attendu l'Aiguille en fête pour les coudre car je savais que j'y trouverais du Thermolam. Enfin, j'ai décidé de broder un torchon assorti, j'ai choisi un beau motif de point de croix, le fil qui allait bien, et j'ai démarré la brodeuse. « Ah, 57 minutes quand même ! Bon, de toutes façons, je n'ai pas prévu de sortir, allons-y… »
Ce que je n'avais pas prévu en revanche, c'était de tomber en panne de fil en cours de route. Je surveille avec inquiétude ma bobine, avant de me rendre à l'évidence : elle n'ira pas jusqu'au bout. Je vais voir le site du fournisseur : coloris en rupture ! (et puis il aurait fallu quasiment laisser la brodeuse allumée le temps de recevoir le fil, pour retrouver l'endroit où redémarrer). Je réfléchis, je consulte mes ados, pas possible d'employer un autre rouge, la différence serait trop flagrante, alors allons-y carrément pour un changement de couleur !
On dira que c'est fait exprès, le bonheur n'est jamais tout d'une pièce, n'est-ce pas ?

23 février1

Enfin, alors que je n'avais plus qu'un ourlet à piquer, Anne a posté ce commentaire

Capture d’écran 2014-02-24 à 15

Comme mes tissus étaient sortis, que cette pochette est vraiment rapide à coudre (un peu plus de 2 heures), que je savais faire une heureuse de plus, j'ai joint une petite pochette pour Suzanne (t'ai-je dit, Anne, que c'était le prénom de ma Mamie adorée et le troisième prénom d'Aurore ?)

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PS : pour tes garçons, je te fais des photos dès que possible de la pochette à billets cousue pour Paul avant son départ pour l'Angleterre.

19 février 2014

Pour que cessent les larmes

Dernièrement, le bureau de la vie scolaire du collège a été le théâtre d'un drame, Aurore versait des torrents de larmes, les surveillants cherchaient frénétiquement sur les étagères et dans les tiroirs, allaient chercher des serpillères, ils ont été à deux doigts de m'appeler (je ne sais pas ce que j'aurais pu faire à distance) : Aurore avait perdu ses clés, celle de la maison et celle du casier où était enfermé son cartable. Je ne sais ce qui était le pire : se trouver à la porte pendant 20 minutes ou devoir aller aux cours de l'après-midi sans ses cahiers !

Le dénouement a été heureux (ce n'était donc pas un drame mais une comédie) : les clés, perdues dans la cour, avaient été ramassées par un élève, remises à un surveillant qui avait quitté le collège après avoir les avoir déposés dans le mauvais tiroir.

J'ai retrouvé ma fille un peu secouée en fin d'après-midi (c'est dur, la vie de petite fille !) et nous avons conclu qu'il lui fallait de toute urgence une pochette à clés. J'ai bien tenté de la convaincre que la sacoche de collégienne était parfaite, mais la demoiselle voulait un sac à main comme sa copine (et je vous assure que lorsqu'elle a une idée en tête, elle est difficile à convaincre, son quart breton prend le dessus dans ce cas-là). Nous avons fini par nous mettre d'accord sur la pochette de Merci Giroflée, avec quelques variantes : pas de passepoil pour le bas, fermeture par pressions, ajout d'une bandoulière. Je lui ai proposé quelques touches de flex pailleté, elle a sauté de joie « parce que tu m'avais dit que c'était pour moi et tu ne m'as jamais rien fait avec » (j'assume mon statut de mère indigne, mes enfants sont brimés quotidiennement, les malheureux). Ce patron de pochette est un pur bonheur, les explications sont claires, aucun difficulté !

Comme deux précautions valent mieux qu'une, j'y ai placé un mousqueton, tenu par un ruban. Avec cela, si elle réussit à perdre ses clés, je démissionne.

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Voici donc la pochette idéale pour le collège, tout juste assez grande pour deux clés, un paquet de mouchoirs, un stick à lèvres et une ou deux bricoles indispensables dans la vie d'une petite fille. Et bien sûr, elle est rooose, avec du qui brille, des fleurs, un gros grain étoilé (froufrou)… elle ne la quitte plus, je parie qu'elle dort avec cette nuit !

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J'avais dit une couture par jour cette semaine ? On dirait que je m'y tiens et encore, je ne compte pas les genoux de pantalons réparés, les boutons recousus, l'ourlet du pyjama défait et refait, les patrons rangés… allez, on garde le rythme !

 

 

17 février 2014

Un chouette pyjama

Lors du Stoffenspektakel de Reims, Aurore avait choisi ce jersey à petites chouettes, mais le coupon ne mesurait que 50 cm. Elle voulait un tee-shirt, je lui ai proposé plutôt un haut de pyjama, pas question de l'exposer aux moqueries en portant ce genre de motifs au collège…

Patron du tee-shirt croisé Ottobre 1/2005, bas maison, divers jerseys achetés à Reims. J'ai coupé deux manches gauches, n'ayant pas remarqué que le jersey avait un endroit et un envers, elle a donc une manche en jersey endroit, une manche en jersey envers, mais je dois être la seule  à le remarquer !

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À cause de la petite taille du coupon, j'ai fait un ourlet étroit et le bord a tendance à se retourner, je vais esssayer d'y remédier en faisant un faux-ourlet à l'aide d'une bande de jersey… si la Miss consent à me rendre le pyjama : voilà deux nuits qu'elle dort avec l'élastique de la taille fixé par une épingle-nourrice ; à peine essayé, aussitôt adopté !

 

23 janvier 2014

Défi Charlie… la suite

… avec le haut du jogging de Violette Beauregard. À l'origine, j'avais acheté le velours bleu canard à Courtrai pour en faire un bas (jusqu'ici, tout va bien). Je me rends à l'autre bout du hall pour prendre du bord-côtes pour la ceinture, je trouve ce magnifique bord-côtes Hilco rayé, j'en prends 20 cm, puis je me dis que je vais acheter du velours rose assorti pour faire le haut. C'est là que mon cerveau bloque (comme en cuisine, quand je réduis les proportions et que j'oublie en cours de route) : j'ai le velours, mais pas de bord-côtes supplémentaire !

En mai, un nouveau Stoffenspektakel a lieu à Reims, je charge les copines de me rapporter le bord-côtes qui manque, mais la marchande n'en a pas cette fois. Le temps passe… le 30 novembre, je retourne au Stoffen à Reims, Aurore me demande (devant témoins) quand je lui coudrai le survêtement promis, j'achète du bord-côtes fuschia qui complètera l'autre…

J'ai trouvé et copié les patrons, coupé le velours, je m'attaque au bas pour tenir les délais du P'tit défi, quelques jours passent, je commence à coudre le haut… flûte ! Mais où est passé mon bord-côtes rose ? Je n'aurai pas assez avec le rayé.

Je cherche, je range, je trie… rien à faire ! Je finis par me résoudre à réduire la largeur des poignets et de la bande en bas. Puis c'est le bas de survêtement qui disparaît, Aurore ne sait pas, elle ne l'a pas rangé dans sa chambre… il n'est pas dans la lingerie. Je commence à sentir l'angoisse monter, vraiment, je déteste ne pas me souvenir de ce que j'ai fait de telle ou telle chose (le plus souvent, des papiers importants). Je vais chercher dans la chambre des filles : erreur ! Ce que j'y trouve me met en rage (elles ne sont pas là, heureusement) mais point de jogging… et en descendant l'escalier, que vois-je sous un meuble ? Un petit carton reçu quelques jours plus tôt FERMÉ PAR DU SCOTCH, une lumière rouge s'allume dans mon esprit, c'est du pur Aurore, ça, elle adore mettre les objets dans des sacs, des cartons, des enveloppes… * je glisse la main à l'intérieur, c'est doux et moelleux !

Et là, voyez-vous ce qui est caché sous le velours bleu ?**

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Bon, je ne suis pas rancunière, j'ai quand même terminé le survêtement… le voici donc porté par une Aurore légèrement contrite (mais qui n'a pas retenu la leçon, ce matin, c'étaient ses clés qui avaient disparu, arrrgh !)

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Il m'a fallu raccourcir la fermeture-éclair séparable, voici comment j'ai procédé : j'ai tiré une maille à l'endroit voulu, puis l'ai coupée avec de petits ciseaux (non, non, le découd-vite ne suffit pas, de plus celui-ci est bien abîmé, il me sert juste de poinçon). J'ai ensuite tiré le fil maille après maille, en coupant à chaque étape, pour dégager une longueur de 3 cm afin de replier la fermeture proprement. J'ai ouvert la petite agrafe métallique situés en haut de la fermeture et l'ai remise sur ma dernière maille tant bien que mal (ça n'aime pas être déplié et replié, ces petites choses). Si quelqu'un sait où acheter des arrêts de fermeture au détail (pas avec des curseurs), je suis intéressée !

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* seulement, elle est comme les écureuils, elle ne se souvient pas de ses cachettes, ce qui peut donner lieu à des crises de larmes épiques certains matins où le livre de bibliothèque à rendre à disparu “mais je l'avais posé sur la table !” ou les clés, la partition, les chaussures…

** oui, oui, c'est bien le bord-côtes !

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19 janvier 2014

Quand une princesse cuisine…

… elle doit prendre garde à ne pas tacher sa belle robe. Il lui faut un tablier de princesse, évidemment !

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Et puis un livre de recettes (je doute qu'il y ait des cours d'éducation ménagère en École de princesses), un moule rooooose pour faire des gâteaux en forme de château, des vermicelles, billes nacrées, petits cœurs rooooses pour décorer tout ça !

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 Tissu fleuri du marché de Reims, offert par Rachel, uni récupéré sur un drap, petite broderie gourmande Emblibrary

J'ai des petites filles à gâter dans mon entourage et j'en profite à fond… mais ça m'a donné envie de me coudre un tablier chic, les notres sont en triste état (à rajouter à ma très très longue liste de projets)

En attendant, je n'avance guère et je perds la tête : après avoir cherché durant une semaine un morceau de bord-côtes (j'ai déplié et replié toutes mes chutes de jersey, je désespère, d'autant que ce n'est pas bien gros), voilà que j'ai égaré… le bas de survêtement cousu pour le défi Charlie ! Inquiétant, non ? *

* J'ai noté aussi la disparition de toutes mes aiguilles à canevas — celles qui me servent à rentrer les fils de surjeteuse — d'une petite paire de ciseaux pointus, de 15 pinces spéciales quilting, d'une bobine de fil rose pâle. Mais pour tout cela, j'ai des suspects (qui nient, évidemment)

 

19 novembre 2013

Pour des bébés tout neufs

… le cadeau qui satisfait tout le monde (avec une incertitude du côté du bébé, trop petit pour donner son avis, peut-être aurai-je des retours d'ici 2-3 ans ?). De mon côté, je perfectionne la méthode peu à peu, je suis arrivée à un modèle sans aucun couture apparente, je ne me trompe plus dans l'ordre de montage, je pense (presque toujours) à coudre l'étiquette avant d'assembler, à changer d'aiguille pour piquer les bouts de la fermeture. Je rencontre toujours quelques difficultés : choisir les tissus et les broderies au départ (j'ai toujours des doutes) et trouver une fermeture-éclair adéquate (malgré une dizaine d'exemplaires en stock, je n'ai jamais la couleur souhaitée).

Pour Lilyrose, une trousse rose et taupe, coton et lin

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Tissu Butinnette, lin Ikea, passepoil maison

Pour Robert, les consignes étaient "bleu, chats ou poissons", eh bien croyez moi, ça n'a pas été facile. Les tissus pour enfants, en ce moment, sont multicolores et représentent essentiellement des hiboux ou des éléphants ! Heureusement que ma copine Gloubi m'a sauvée, avec des chutes de la robe de Mathilde *

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 Tissus poissons Hilco, chambray d'une de mes robes de grossesse (ça fait donc 18 ans)

Rose pour une fille, bleu pour un garçon, on tombe dans les clichés, là ! Je vais devoir me reprendre…

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Ah… et puis j'ai réussi à faire baisser le nombre des chaussettes orphelines, on frisait la catastrophe ces derniers temps, la caisse débordait. « Les filles et Paul, venez, j'ai un jeu pour vous ! » Ils s'y sont mis avec un certain enthousiasme, la caisse n'est plus tout à fait pleine, mais le résultat reste décevant et le mystère reste entier : où sont parties toutes ces chaussettes ?

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* Évidemment, j'ai vu quantité de tissus bleus à poissons ou chats rigolos au salon Créations et Savoir-faire, mais c'était trop tard !

7 septembre 2013

P'tit défi du 7 : triple !

Nous revoilà le 7, avec le petit défi de Casa, pour découvrir chaque mois une nouvelle technique de couture.

Triple défi : d'abord, un défi biais (OK, ça n'est pas vraiment un défi pour moi, quoique j'ai toujours du mal à avoir la même valeur de biais sur l'endroit et l'envers, il faut toujours qu'il glisse d'un côté ou de l'autre. J'ai beau replier le biais au fer, m'appliquer, je n'arrive jamais à avoir une surpiqure bien alignée sur l'envers, que je le pose en une ou deux étapes. Un pied pose-biais résoudrait peut-être le problème, mais ce n'est pas dans la listes des priorités).

Et puis l'objet du défi était imposé : une trousse à couture de voyage, avec quelques contraintes (dimensions, forme… et mettre un "7" quelque part).

Enfin, cette fois, il s'agissait d'un échange, ce qui ajoute beaucoup de pression (coudre pour une couturière, ça place la barre assez haut).

Pour ajouter à mon trac, j'avais à peine coupé les diverses pièces que j'ai reçu cette merveille de la part de Mon amie Koumori

Une splendeur, toute cousue et brodée à la main ! Et des points d'une régularité… à faire pâlir bien des brodeuses.

 7 septembre67 septembre8

 Alors, voici la trousse que Céline a failli recevoir

7 septembre47 septembre5

À première vue, pas de problème, sauf que… j'ai eu l'idée de la garnir pour la photo, et bien m'en a pris. Au moment d'enfiler les bobines sur le ruban, j'ai réalisé que ma pression ne passerait jamais *. Ahem, j'ai dû laisser quelques neurones en vacances, moi ! (Et si je vous dis que la veille, j'ai confondu une poule avec un poulet, et fait rôtir la brave bête au four, m'apercevant de ma bourde 1h plus tard… ceci dit, la poule rôtie/bouillie, c'est très bon finalement)

J'ai donc décousu un bout de biais, retiré les pressions, et, pour montrer à ma destinataire que les boutonnières automatiques ne me font pas peur, brodé une boutonnière sur le ruban (il faut bien viser… ça s'effiloche un peu, évidemment, mais ça devrait bien tenir dans le temps quand même)

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7 septembre3

Pour le reste, après avoir douté, comme toujours, de mes premiers choix de tissus, elle me plaisait de plus en plus à chaque petite poche ajoutée. J'espère qu'il en est de même pour Céline !

 


* Tiens, ça me rappelle un autre échange de rentrée où j'avais eu la géniale idée, pour faire des appliqués, de dessiner les formes sur du papier de soie et de piquer en suivant les contours… ce qui m'avait valu de longues heures passées à retirer munitieusement à la pince à épiler les petits bouts de papier coincés dans le point de bourdon.

3 juin 2013

2013, année des filles ?

Bon, c'est bien joli de coudre les cadeaux de naissance offerts par mes collègues, mais il faudrait aussi que je m'occupe des miens ! J'ai l'impression qu'il n'y a que des petites filles qui naissent en ce moment (et je sais déjà qu'il y en a au moins une à venir…)

Je ne peux pas encore tout dévoiler, il faut que la Poste fasse son travail d'abord, mais voici déjà deux petites cousettes : un doudou en forme d'étoile (je ne sais pas comment je me suis débrouillée, mais j'ai bien raté le centrage du patron autour du cœur) et une petite corbeille en tissu (c'est la photo qui est de travers, pas la bordure souris), pour la jeune Célestine, dont la maman coud et brode, mais a peut-être autre chose à faire en ce moment… (en tout cas, je suis certaine qu'elle ne viendra pas voir ce qui se passe ici avant d'avoir reçu mon enveloppe)

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C'est un vrai plaisir, de coudre pour des bébés ! (et de pouvoir faire les photos à l'extérieur, mais là, c'est une autre histoire)

25 mai 2013

Et une trousse gourmande

Cette fois, ce n'est pas le prénom qui a servi de thème, mais, je suppose, les activités de la maman (ou du papa ?)… j'en saurai plus lundi.

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Tissu du Stoffenspektakel, broderies Emioli, rien de compliqué, si ce n'est que je commence à venir à bout des draps anciens qui me servent de support à broder. Je vais devoir en chercher un nouveau ; je pourrais évidemment acheter un métrage de coton blanc, mais j'aime bien l'idée d'utiliser un objet du passé pour un bébé tout neuf.

 

Ici, Miss Aurore n'est pas rentrée à 17h comme prévu mais à 23h30 ! Des bouchons monstres dans la banlieue de Lausanne (!!) leur ont fait manquer leur train (ils avaient prévu 1h30 de battement pourtant), le car les a conduits à Besançon, où ils ont manqué un train de nouveau, puis attendu quelques heures pour en avoir un autre. Les repas qui devaient leur être fournis dans le train ont manqué à l'appel, le service "livraison de bagages" prévu n'a pu être asssuré non plus en raison du changement de gare, ce qui a bien prolongé le transfert train-car à Paris (60 bagages à charger, ça prend du temps)…
Nous avons donc récupéré une fille affamée et très excitée par cette dernière aventure, mais en pleine forme (je n'en dirais pas autant de moi-même, levée aux aurores pour conduire Paul à son bac blanc de français ce matin). Et pas le temps de s'ennuyer :  les filles partent camper (franchement en novembre, est-ce bien judicieux ?)

 

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