Un week-end décoiffant !
Profitant d'un bref séjour au Havre pour vider deux chambres avant l'arrivée des peintres, j'avais pris rendez-vous avec mon Papa, puisqu'il n'avait pu venir au repas de Noël pour cause de cas-contact (au final, sur les 10 convives du 25, lui seul aura été épargné par o-micron). J'ai rangé des centaines de livres dans des cartons, Guillaume a bricolé dans la cave, accroché quelques tableaux, déplacé des meubles, j'ai démonté les poignées de portes. Nous avons couru malgré le vent, nous sommes allés marcher, avons cherché en vain une boîte à livres en ville. Ça soufflait fort, il fallait lutter pour avancer. Dimanche soir, nous avons pu encore utiliser notre clic-clac côté cour… dans le canapé côté mer, nous n'aurions pas dormi !
Et lundi, nous avons pris la route de Fécamp. Malgré les prévisions météo, la tempête n'avait pas faibli et nous avons vite quitté le port pour les petites rues relativement abritées.
La folie architecturale du Palais Bénédictine !
Le beau temps nous a ramenés vers la mer, mais il était difficile de tenir debout.
Vers Étretat c'est bouché
Si mes photos sont penchées, c'est que j'avais peine à tenir mon appareil (la plupart sont floues car bougées)
L'écume vole comme des flocons de neige
Le restaurant nous a permis de reprendre des forces et de sécher
Puis nous sous sommes réfugiés au Musée des pêcheries : le belvédère (où l'on comprend bien le principe de "port")
l'histoire des grandes pêches (morue, puis hareng)
quelques vestiges archéologiques, des peintures, un étage sur la vie normande et…
le musée de l'enfance, en souvenir du Docteur Léon Dufour, fondateur de La Goutte de Lait, institution qui a ensuite essaimé dans le monde entier