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attraper le temps qui file…
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13 avril 2020

Corona-couture #3 - sur mesure

Elle voulait que je copie un haut qu'elle avait acheté. Comme toujours elle avait une idée bien précise en tête : blanc à pois, avec des manches transparentes. Le problème est que ce haut est dans une matière que je ne saurais identifier : un jersey avec beaucoup de lycra, épais presque comme une gabardine, mat. Coupé sans pinces ni découpes, tout est dans l'élasticité du tissu.

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J'ai donc proposé d'emblée de reprendre le patron de ma robe de mariée, qui avait ce type de manches froncées cousues sur un bustier. Et, confinement oblige, je lui ai proposé du satin de coton blanc, à elle de broder des pois si elle le souhaitait (elle a décliné, finalement). Une fois retrouvé le patron, copié la bonne taille, j'ai cousu une première toile dans les chutes de la robe hippie, fait pas mal de retouches, rectifié le patron et cousu une seconde toile.

Une fois le patron validé, j'ai cousu le bustier avec application et, au moment de monter la fermeture invisible, je me suis rendu compte de mon erreur : comment allait-elle pouvoir passer le vêtement, puisque la fermeture ne s'ouvrait pas au niveau de la taille ? J'ai cherché des fermetures séparables blanches (elles étaient trop grosses), regardé à tout hasard s'il en existait des fines, mais non, elles sont toujours prévues pour des blousons. J'ai donc réfléchi : il fallait probablement inverser le sens de la fermeture. Je l'ai simplement bâtie avant l'essayage et effectivement, ça passe quand la partie fixe se situe en haut du dos. J'ai ensuite posé une parementure sur le haut des encolures.

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Pour les manches, Aurore avait sorti un morceau d'organza, mais mes expériences avec cette matière sont toujours pénibles et décevantes : ça glisse, ça s'effiloche, ça se déforme et pour finir, ça se déchire toujours après quelques lavages. J'avais pensé à du crêpe, restant de cette tunique, mais mes chutes étaient beaucoup trop petites. Je l'ai donc convaincue de choisir un voile plumetis, un mélange coton polyester, je pense, acheté sur le marché de Reims pour doubler cette robe. J'ai coupé mes deux manches et remarqué une toute petite tache jaune clair au beau milieu de l'une d'elles. J'ai pensé l'effacer avec un peu de savon et une fois mouillée, la toute petite tache est devenue une grande auréole jaune vif indélébile (j'ai déjà eu ce genre de déboires avec un peu d'éosine séchée dans la bas de l'armoire à pharmacie, qui s'était transformée en une redoutable poudre colorante). Heureusement que j'avais assez de voile pour couper une troisième manche !

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J'ai également coupé deux "parementures" de têtes de manches, afin de réaliser des coulisses pour les élastiques, avant de coudre les manches au bustier. Et pour finir, des coulisses au bas des manches pour les resserrer légèrement, à la demande de la demoiselle.

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Et voilà comment on réalise un cadeau d'anniversaire en confinement, en liquidant quelques chutes !

13 avril - 5

 

 

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12 avril 2020

Défi de Virginie : 15/52 - l'odorat

Après la vue, Virginie nous propose d'illustrer l'odorat ce dimanche. Voilà un sens qui devient essentiel : chaque matin, je m'assure qu'il est toujours là, puisque l'un des premiers symptômes du virus est, paraît-il, la perte de l'odorat et du goût. 

Ce matin, je n'ai pas eu à vérifier, en effet, le cuisinier a, comme d'habitude, programmé le four hier pour le traditionnel gigot de sept heures. Mais, cette année, nous ne prenons pas la route pour la Normandie avec notre gigot, pour le manger en famille. Il a donc cuisiné une épaule de cinq heures, mais s'est trompé dans sa programmation, de sorte que la cuisson s'est faite de une à six heures… porte de la cuisine ouverte. Je me suis donc réveillée à de nombreuses reprises avec la bonne odeur du gigot qui se répandait dans toute la maison !

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Autre odeur fort agréable, lors de notre promenade matinale (avec attestation) : les pins, qui peuvent nous donner pendant quelques minutes l'illusion d'être en vacances au bord de la mer.

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11 avril 2020

10 du 10 : joies

Nous voici déjà au 10 ! Avec un nouveau thème proposé par J'habite à Waterford :

« Et nous revenons avec la situation actuelle, à la source même du 10/10, qui était de photographier des moments de bonheur dans un quotidien difficile. Cette année plus que jamais nous devons nous efforcer de trouver du beau dans notre quotidien qui est devenu si étrange. » 

Et oui, nos journées sont pleines de joie :

Il fait beau et chaud, je peux mettre mes sandales et ma nouvelle robe sans risquer un rhume.

10 avril - 4

Après un mois sans avoir démarré une voiture, Marie et moi partons pour une grande aventure : aller chercher une lettre recommandée au centre de tri, à 4 km ! Elle m'a demandé de l'accompagner car elle n'était pas sûre de savoir toujours conduire ; si, elle sait !

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Nous pouvons passer des heures à lire dans le jardin, quelle chance !

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À une période où, habituellement, nous ne faisons que courir, dans un printemps pluvieux, cette année, nous profitons à fond de notre jardin fleuri.

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Les jacinthes sont fleuries, pendant une dizaine de jours les sous-bois deviennent bleus. Il est interdit de s'y promener, mais cette année, les jacinthes ont envahi aussi le bord du chemin.

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Après une première version, j'ai trouvé un modèle de masque plus rapide à coudre et je vais pouvoir en faire plusieurs pour chacun, assortis à nos tenues (à l'hypermarché une dame portait une veste, un bandeau et un masque en wax — ou comment montrer que l'on coud soi-même ses vêtements). Et j'avais gardé des alèzes jetables fournies lors d'une de nos locations : les élastiques cousus aux angles sont très souples et l'intissé peut servir de filtre.

10 avril - 10 

Le pilea de ma collègue, dont j'ai la responsabilité, semble se plaire à la maison puisqu'il fait une nouvelle petite feuille tous les deux jours.

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Nous pouvons manger dehors midi et soir

10 avril - 7 

Notre petit rendez-vous du vendredi soir a du succès et nos voisins constituent un public indulgent et enthousiaste ! Le bonheur d'hier a été, pendant que nous sortions nos pupitres, le retour de l'hôpital de notre voisine anesthésiste, plus détendue que les jours précédents : des lits se libèrent, son équipe respire un peu.

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Notre Semaine Sainte vécue en famille, moins animée que d'habitude, mais tellement moins épuisante aussi.

10 avril - 9

 

 

10 avril 2020

Anniversaire confiné - #1

C'est Aurore qui ouvre le bal, heureusement que nous n'avons pas attendu ses 18 ans pour faire une grande fête !

9 avril - 1

Il a fallu un peu d'ingéniosité pour illuminer sa journée. Marie a eu l'idée d'un petit cadeau tout simple acheté au supermarché (oublions nos résolutions zéro-déchet, pour une fois) : des masques pour le visage, les mains et les pieds.

Elle m'avait demandé de lui coudre un haut, nous avions trouvé les tissus nécessaires dans les chutes, mais le temps de faire un patron, deux toiles et de soigner un peu les fititions, je n'ai terminé qu'en tout fin d'après-midi (les masques sont passés en priorité, puisque je devais les livrer le matin)

Et pour l'apéritif, nous avons "invité" Paul et Alice

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Paul et Marie ont été bien inspirés d'acheter leur cadeau fin février (la vendeuse de la bijouterie leur avait dit qu'elle en avait très peu  d'exemplaires et que ça partait vite.

9 avril - 3

Nous avons trinqué par skype, en nous réjouissant que cette crise ne soit pas survenue cinq ans plus tôt, quand la connection internet était souvent défaillante et que tout ceci fonctionnait de façon bien aléatoire.

9 avril - 49 avril - 5

 

Mon fraisier, cette année, a été le plus réussi de tous (une génoise fine et de la ricotta dans la crème fouettée), mais les talents de Paul nous ont manqué pour la déco (et aussi, de la pâte d'amandes, parce que faite maison, elle est certainement meilleure mais beaucoup moins facile à travailler)

9 avril - 6

Et j'avais tout de même réussi à lui commander un livre (le choix de cadeaux est très limité…)

9 avril 2020

J-24

Une nouvelle semaine passée, on s'habitue… ou pas. Je rêve que je suis sortie sans mon attestation (ça va forcément arriver un jour) et que je suis contrôlée, que nous sommes contrôlés à domicile par la police, Marie a même rêvé qu'elle gagnait un ticket pour sortir sans limites pendant 24h… mais que la date était périmée !

8 avril - 5

Lundi, histoire de bien commencer la semaine, j'ai renversé de l'eau sur mon clavier. Quelques heures de séchage près du radiateur n'ont donné aucun résultat, il m'a fallu sacrifier quelques centaines de grammes de précieux riz (denrée introuvable ces jours-ci) pour le placer en soins intensifs. Le clavier de notre ordinateur familial est identique, heureusement, je peux continuer à télétravailler.

8 avril - 1 (1) 
le riz a été cuisiné, ensuite, il ne faut pas gâcher

Mardi, nous frôlons de près la catastrophe : Aurore, de service de cuisine, était en train de râper du fromage et n'a pas vu, derrière elle, le couvercle en plastique posé trop près du brûleur, qui a fondu, puis s'est enflammé. Elle s'est retournée à temps pour éviter l'incendie, trop tard pour le plan de travail qui a de profondes cicatrices.

8 avril - 4 
Après opération de chirurgie esthétique : ponçage et vernis

Mercredi, Marie s'étonne de me trouver encore en pyjama à midi : je finalisais les propositions spirituelles du territoire jusqu'à Pâques et j'envoyais les mails. J'espère que j'aurai un retour !

(en attendant, l'envoi de plusieurs mails avec pièce jointe à près de 300 adresses nous a valu un blocage de notre messagerie. Il faut que je crée une adresse spécifique et que j'apprenne à créer des groupes)

Jeudi, mon clavier sort du coma et peut reprendre le travail, ouf ! Et celui de la maison, dont une touche ne fonctionnait plus depuis des mois, a bien profité de sa petite gymnastique d'une ordinateur à l'autre : il est comme neuf ! Je tente un ravitaillement à l'hypermarché, il manque dans les rayons un bon quart de ma liste. J'envoie des SMS aux filles, parties à l'autre bout de la ville : « Vous voyez des pois-chiches ? Et de la farine ? Des tomates en boître ? Du fromage blanc ? ». Nous ne mourrons pas de faim, mais il va falloir revoir les menus. Heureusement qu'un producteur livre les œufs tout fais pondus dans notre quartier tous les 15 jours et que nous avons les légumes de l'Amap.

8 avril - 1 (2) 
ceci n'est qu'un demi-panier ! 

Vendredi, c'est opération #eurobalcon: interpréter, à 19 heures, l'ouverture du Te Deum de Charpentier (interprétation, à mon avis, un tout petit peu prématurée quand on sait que l'œuvre en question a été composée pour fêter la guérision de Louis XIV après une opération risquée). La partition est à 5 parties, nous sommes 4. Je préviens mes voisins par mail, au choix d'ouvrir leurs fenêtres ou de préparer leurs boules Quiès, selon leur tolérance aux notes aproximatives. À l'heure dite, ils sont tous là, sur la placette, bien éloignés les uns des autres, leurs téléphones en main, prêts à filmer ! Nos deux voisines cornistes ont répété également et nous font écouter leur enregistrement. La semaine prochaine, on essayer de jouer tous ensemble. Des nouvelles sont échangées, des œufs contre du lait également.

8 avril - 7

Samedi, la lassitude se fait sentir… il faut réagir ! Je sors le cahier de recettes de Mamie pour un traitement de choc : son fameux gâteau marbré. Les souvenirs qui me viennent, en battant le beurre et le sucre, me font du bien. Aurore suit son dernier cours de philo, à midi elle est en vacances (et a son bac !). La table et les chaises de jardin sont sorties, premier déjeuner dehors de l'année sous le cerisier débordant de fleurs.

8 avril - 2

Dimanche, c'est vraiment le printemps. En cherchant au fond de nos réserves un paquet de thé à l'orange, je retrouve un sachet de farine de notre boulanger-meunier, nous n'aurons pas à nous rationner. En fin d'après-midi, une amie nous apprend un décès, le premier dans notre entourage, il avait à peu près notre âge, trois enfants… tout à coup, ce virus n'est plus une menace invisible. J'ai une demande de masques en tissu, pour les distributions de l'Amap. Je lis attentivement les derniers conseils, télécharge les normes Afnor. Marie avait conservé le masque donné lors d'une de ses visitées dminicales à la clinique, au temps, pas si lointain, où l'on s'inquétait juste pour la grippe hivernale… il me servira de patron. Le problème, ce sont les élastiques : ceux du modèle sont très doux et souples, je trouve très inconfortable l'option "derrière les oreilles", surtout pour un long usage, mais l'option "derrière la tête" consomme beaucoup plus d'élastique et les liens à nouer sont peu pratiques, je cherche un compromis.

8 avril - 6 

Lorsqu'il n'y a pas de vent, nous avons la chance de pouvoir faire un peu d'activité physique devant la maison
(je ne parlerai pas de sport, à ce niveau)

8 avril - 3

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5 avril 2020

Défi de Virginie : 14/52 - profondeur de champ

Ce dimanche, c'est à une leçon de photo que nous convie Virginie. Et si, pour certains participants à ce défi, cette notion n'a plus aucun secret, pour moi qui suis totalement ignorante de la technique photo, j'ai appris quelque chose ! 

J'ai donc osé sortir du mode "automatique" de mon appareil (celui dont la notice est incompréhensible), j'ai choisi le mode "priorité à l'ouverture" et j'ai fait des essais. Enfin, plus exactement, ça s'est passé comme ça :

Je suis sortie, dûment munie de mon attestation, essayer de courir dans le quartier. À 800 m de la maison, j'ai trouvé plein de sujets à photographier, mais je n'avais évidemment pas pris mon appareil. Je suis rentrée, je l'ai récupéré avec l'idée de ressortir mais… la batterie était à plat. Je l'ai donc chargé pendant 2 heures, puis je me suis contentée du jardin.

J'ai mitraillé un peu au hasard, en maudissant la petite brise qui faisait bouger la branche, et retenu deux clichés :

Je lis ce que me dit mon appareil 

1/100 F10 iso 125

5 avril - 2

1/500 F5 iso 125 : je la trouve plus intéressante, le bouquet de fleurs est mieux mis en valeur

5 avril - 1

Une chose est sûre : nous ne manquerons pas de cerises, cette année encore ! Et les abeilles sont en pleine activité, heureuses qu'elles sont d'être libres de leurs déplacements (une abeille récolte dans un rayon de 3 km autour de sa ruche)

 

 

1 avril 2020

Bonheurs de mars

Oui, ce mois a été plein de bonheurs ! Trois fois plus que les autres, d'ailleurs, puisque j'ai continué, jour après jour, à prendre mes notes pour le parcours Gratitude. J'avais hésité à m'inscrire mais ce thème me parlait plus que ceux proposés les autres années et les exercices sont exactement ce qu'il nous faut en cette période particulière : se réjouir de petits bonheurs, relativiser les contrariétés en se disant que ce n'est pas grave, ne pas s'adresser de paroles négatives, faire face aux épreuves. 
J'ai beau me dire que tout va bien pour nous, je dois avoir beaucoup d'inquiétude en arrière-plan car mes insomnies de fin d'hiver (dues en partie aux bouffées de chaleur qui ont redoublé, après une accalmie au printemps) ont pris des proportions énormes : je me réveille parfois  dès minuit et je peux rester éveillée plus d'une heure, cela plusieurs fois par nuit. Le manque de plein-air doit jouer, les douleurs aux bras et épaules aussi (je ne suis pas très bien installée pour travailler, malgré tous mes efforts, ma table est un peu haute et trop petite, la souris glisse mal).
Pourtant, j'ai conscience qu'un jour, je regretterai cette période, ces journées passées près de nos filles sans conflit, ni ennui, cette impression que, dans la maison, tout est facile et que tout (ou presque) peut être remis au lendemain sans conséquence fâcheuse.

1 avril - 1

1/ Embarquer notre aumônier territorial pour aller célébrer une messe en plein air, alors qu'il pleut et qu'il fait terriblement froid (nous terminons sous la neige). Profiter de ces 2x 45 min de trajet pour mieux faire connaissance. 2/ La panne d'éclairage public nous permet d'admirer un magnifique ciel étoilé. 3/ J'apprends avec soulagement que l'Aiguille en fête est décalé en juin. 4/ Portes-ouvertes à Nanterre avec Aurore (pas très instructives), après des heures de marche et de cohue, nous apprécions de prendre un café au calme. 5/ Un échange de mails avec mon éditeur, où je sens qu'il me fait enfin pleinement confiance (ça prend du temps quand on ne se rencontre pas "en direct"). 6/ La soirée de retraite où nous retrouvons notre petit groupe de partage. 7/ Nous décidons d'aller à pied à l'église, du temps que l'on prend rarement pour parler. 8/ Le délicieux cake de Guillaume, ça faisait si longtemps. 9/ La joie d'Aurore, qui obtient les félicitations alors qu'elle n'y croyait pas. 10/ L'arrivée d'une nouvelle collègue (qui ne nous était pas inconnue), son sourire radieux tout au long de la journée. 11/ Un tour au marché aux tissus avec Marie et la pluie qui s'est arrêtée, enfin. 12/ Une journée mouvementée sur le plan immobilier qui s'achève sur l'acceptation de notre offre… avant que la vie ne s'arrête subitement et que nous basculions dans l'inconnu. 13/ La réunion générale au boulot, qui remet un peu de normalité et d'optimisme dans les esprits. 14/ Nos soirées subitement libres et la famille qui se prépare à faire front. 15/ L'installation de nos espaces de travail et une grande balade au soleil. 16/ Première journée de co-working, dans la bonne humeur, avec Paul au soutien logistique. 17/ Un tour des étangs, si calmes et une petite réunion téléphonique de notre équipe spi au territoire. 18/ Le printemps qui s'est installé, nous pouvons travailler les fenêtres ouvertes. 19/ Le coup de fil de Paul, arrivé sans encombre à Asnières. 20/ Un temps de louange chantée à 4 voix, avec les filles et la guitare d'Aurore. 21/ Un délicieux gâteau aux pommes irlandais et la satisfaction d'avoir enfin installé l'hôtel à insectes. 22/ Les premières fleurs du mirabellier,une belle promesse. 23/ Un coup de fil à Rennes, où toute la famille s'est réunie. 24/ Le repas indien préparé par les filles qui embaumait quand nous sommes descendus. 25/ Première partie de l'Assemblée territoriale en ligne, sérieux et drôle à la fois. 26/ Téléphone avec Cherbourg, tout le monde va bien. 27/ Une journée de travail particulièrement efficace. 28/ Une partie de badminton devant la maison (interrompue pour cause de vent qui se lève) 29/ Profiter de ce temps "sans contraintes" pour organiser une journée anglaise et sortir un jeu de société très chronophage (5 à 7h pour une partie !) 30/ Des amis passent nous déposer un DVD dans le jardin (puisque la médiathèque est fermée, partageons nos films et nos livres !)

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