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attraper le temps qui file…
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27 mars 2022

52/2022 : embellir la nature ?

C'est une citation d'Auguste Rodin que nous propose ce dimanche Virginie :

« Il n'y a pas de recette pour embellir la nature. Il ne s'agit que de voir. »

Hier, en rentrant de ma répétition, j'ai admiré le talus abondamment fleuri par la nature

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Et puis j'ai enfilé des gants de travail et je suis allée mener ma guerre (perdue d'avance) contre le roncier, toujours plus envahissant au fond du jardin !

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20 mars 2022

52/2022 : tout petit et pourtant…

« Tout petit et pourtant tellement grand », c'est la phrase que Virginie nous propose d'illustrer ce dimanche.

J'ai repensé à cette sculpture de l'exposition en plein-air à Dinard, l'été dernier

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où je me suis demandé : pourquoi ont-ils mis le coronavirus au milieu d'un massif ?

(en vrai, le titre était "galactic invasion")

Mais la véritable question est plutôt
« Comment un organisme microscopique a-t-il pu tout bouleverser sur terre depuis plus de deux ans ? »

15 mars 2022

Un basique

Parfois, il faut revenir aux fondamentaux :

- Je n'avais plus de haut blanc, celui qui va avec tout et qui peut être exigé comme tenue de concert.

- J'ai un patron de blouse parfaite que je dois rentabiliser, après tant d'efforts.

- Je cherche à réduire mon stock de tissus, or il me restait un beau morceau de ce coton ajouré.

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Une couture rapide et facile, qui a attendu quelques semaines pour être photographiée et une blouse qui n'entrave aucun de mes mouvements, la preuve :

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14 mars 2022

Une goutte d'eau pour l'Ukraine

Les dons en nature me posent toujours problème : transporter des objets, vêtements, nourriture sur de si longues distances est coûteux (surtout pour le climat) et beaucoup de dons ne correspondent pas forcément aux besoins sur place, ou arrivent trop tard. Sans parler des personnes qui profitent de l'occasion pour désencombrer leurs placards en se donnant bonne conscience.

Mais là, il s'agissait d'une demande précise de la part d'amis ukrainiens d'une voisine : manteaux, anoraks, polaires, tapis de sol, couvertures et vêtements chauds  pour enfants, qui seraient envoyés sous 8 jours aux sinistrés dormant dans les caves ou le métro, alors que c'est encore le plein hiver. Malgré des tris réguliers, mes penderies abritaient encore quelques vêtements inutilisés. Avant de les laver, j'ai vérifié rapidement le contenu des poches et Marie a eu une idée : « Tu as froid, tu es fatigué, tu as peur ; tu mets les mains dans tes poches et tu y trouves un chocolat oublié ! » Évidemment que j'ai pensé à l'histoire de Francine Christophe et Yvonne Salamon. Alors, après un rapide passage des manteaux en machine, j'ai glissé quelques miettes de réconfort dans les poches (merci les traducteurs en ligne !)

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Pour le reste… je suis bien impuissante. 

 

 

 

13 mars 2022

52/2022 : marcher vers un puits

« Ce qui embellit le désert, dit le petit prince, c'est qu'il cache un puits quelque part » Antoine de Saint-Exupéry

C'est la phrase que Virginie nous propose d'illustrer ce dimanche.

J'ai longtemps admiré cette maison de notre quartier, elle n'est pas bien grande, entourée d'un beau jardin, avec des poiriers en espaliers. Les hasards de la vie font que nous connaissons désormais bien les nouveaux propriétaires (accompagnateurs scouts) et la fille des anciens, qui est d'ailleurs née dans cette maison. 
Quelle chance, par les temps qui courent, d'avoir un puits !

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12 mars 2022

Jardin anglais

En achetant du jean, j'ai demandé à tout hasard à la vendeuse s'il y avait du twill de viscose. Oui : quelques unis, un rouille à pois et celui-ci ; j'hésitais un peu, le trouvant un peu "trop fleuri" mais j'ai laissé choisir mon mari.

Ce twill est encore plus souple que le précédent, j'ai eu du mal à le couper correctement (depuis, j'ai racheté une bombe d'amidon), à tracer les pinces, épingler les manches. La robe ne se tient pas du tout, je dois régulièrement remettre la patte de boutonnage d'aplomb et le tissu s'est un peu détendu après l'avoir portée une journée. Mais comme la précédente semble retrécir légèrement au fil des lavages, je pense qu'elle aura meilleur aspect dans quelques semaines.

J'ai allongé les manches, la longueur 3/4 n'est pas pratique, surtout au moment d'enfiler un gilet ! Au départ, j'avais simplement rallongé les manches tout droit, mais j'ai dû pas mal les rétrécir à partir du coude et je pourrais peut-être retirer encore 2 ou 3 cm.

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Je me demande toujours comment coudre une fermeture invisible sous le bras. Faut-il couper le bout supérieur de la fermeture ? (sur ma robe bleue, les extrémités rigides me gênent), faut-il fermer le côté avant ou après la pose ? Les tutoriels ou vidéos s'arrêtent toujours avant les étapes les plus difficiles. Sur une robe du commerce, le bout inférieur était recouvert d'un biais, ce qui évite les irritations, j'ai donc adopté cette finition. Mais sous le bras, ça fait une épaisseur non négligeable… ou bien je dois poser ma fermeture plus bas ? Là non plus, je ne trouve pas de précisions.

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En tout cas, elle est bien invisible et depuis que je bâtis (à la machine) le deuxième côté, je n'ai plus de décalage à la taille (là encore, le tissu se détend au point d'avoir presque 1 cm de jeu !)

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Place aux photos :

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Mon un gilet rose fait ressortir les fleurs. 

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Encore un tissu qui n'aura pas dormi dans une caisse : acheté le 22, robe terminée le 27 ! Mais les photos, c'est une autre histoire…

Samedi dernier, avec un beau soleil hivernal (dans les yeux)

 

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Et donc, ce midi, entre un cours de viole et la répétition d'orchestre baroque, sans recadrage :

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Parce qu'il pleut, il fait froid, la jupe n'a pas assez d'ampleur pour jouer de la viole décemment et je n'avais pas le temps de me changer complètement !

9 mars 2022

Un nouveau jean

Guillaume avait besoin d'un jean noir avant le bal de la Saint Patrick, car le sien est terriblement usé et vu le peu de durabilité des pantalons du commerce (chers, en plus, et pas très bien coupés), il m'a demandé de lui en coudre un nouveau. Comme nous  passions près de Mondial Tissus au retour de Fécamp, je l'ai emmené choisir son tissu… en fait, il n'y avait rien à choisir : la même référence de jean que celui que j'ai déjà cousu, sur lequel j'avais quelques réserves (assez fin, s'effiloche énormément), mais qui ne donne encore aucun signe d'usure, bien que régulièrement porté ; un noir pas très noir, puisque le fil de trame est beige, mais validé par Monsieur.

Le tissu n'aura pas attendu longtemps, lavé dès notre retour, repassé, coupé et cousu en 15 jours. Pour le patron, c'est toujours le Out of the Middle gracieusement offert par Mme Vicomte du Boisjoli alias Biquette, dans sa version simplifiée.

Je peux donc participer au défi de Nabel "je couds pour un homme". Je voulais y ajouter un autre vêtement mais j'ai multiplié les bêtises, surpiqûres (au point triple) qui gondolent, bord d'une poche pris dans une couture, sous-pont qui se replie sur lui-même, ceinture montée à l'envers, puis ceinture intérieure mal repliée dans la surpiqûre bref, le découd-vite a bien travaillé et les demi-heures supplémentaires se sont accumulées. Voilà ce que c'est que de vouloir à tout prix terminer le dimanche soir pour ranger la machine avant de reprendre le travail ! C'est aussi pour cette raison qu'il n'y aura pas de photo portée, vu que le destinataire n'est pas encore rentré du travail et que les photos d'un jean noir de nuit…

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Pour plus de solidité, j'ai renforcé l'ouverture de poches par un petit point de bourdon et cousu de petits carrés de tissu en renfort des coutures de passants (c'est toujours là que se déchirent mes pantalons du commerce) 

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La belle ceinture surpiquée trois fois (penser à installer un éclairage rasant pour mieux voir le bord du tissu)

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Les poches surpiquées deux fois (et pas à l'aiguille double !)

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J'en profite, puisque je ne l'ai pas encore fait, pour vous parler de ma "copine de surpiqûres" : j'ai souvent atteint les limites de ma Brother (NV 350) au niveau des épaisseurs. Des points qui sautent, le tissu qui n'avance plus… et puis j'ai lu les retours de plusieurs couturières sur la Toyota Power Fabric 17 et décidé de me laisser tenter. Problème : cette machine n'était plus en vente nulle part.

Il y a un an, Rascol m'a informée d'une promotion sur la Necchi Q 132, qui semblait très similaire à la Toyota en termes de performances (et de prix). Je n'avais jamais entendu parler de cete marque italienne. J'ai cherché des avis un peu partout, ils étaient plutôt positifs. Mais… elle n'était plus en stock ! Bon, de toutes façons, j'hésitais encore à m'encombrer d'une machine de plus, mais je me suis inscrite pour une alerte disponibilité.

Et puis le jour de mon anniversaire, la machine est revenue en stock ! C'était un signe, non ? Éternelle indécise, je me suis dit que j'allais attendre un peu… et là, Guillaume m'a ordonné de la commander tout de suite. Je l'ai testée sur des surpiqûres de jean, en duo avec ma Brother, je n'avais pas à changer de fil, c'était très pratique (et ça me fait faire un peu de sport, puisque les deux machines ne sont pas au même étage). Elle m'a servi une ou deux fois pour recoudre un sac, une sangle, mais je ne l'avais jamais vraiment testée. Je n'ai jamais utilisé non plus la table d'extension, mais je me dis que pour recoudre des tentes, ça sera pratique.

Machine à coudre Necchi Q132A

Et puis ma Brother est tombée malade : je n'ai jamais eu le fin mot de l'histoire, le problème devait se situer au niveau des blocs de tension, auxquels je n'ai pas accès. Je réglais la tension, je pouvais coudre normalement pendant quelques dizaines de centimètres et tout à coup, de grosses boucles se formaient au-dessous, je pouvais défaire une couture en tirant légèrement sur le fil de canette.

Comme j'avais des coutures urgentes pour Noël, j'ai sorti la Necchi, j'ai terminé le sac de voyage, cousu ma robe (pourtant, je n'aurais pas parié sur ses performances avec un tissu fin), les tabliers (donc, fait des boutonnières), les rubans sur les foulards (la machine est bruyante, c'était un peu pénible) Il n'y a que pour les finitions de mon tee-shirt que j'ai dû attendre le retour de ma Brother de chez Stecker (elle m'est revenue à peu près guérie, pas aussi parfaitement réglée que je l'aurais souhaité, mais j'ai réglé les derniers détails moi-même). 

Je n'ai pas essayé tous les points fantaisie, pas encore testé la couture du cuir (la machine est fournie avec un pied téflon !), elle n'accepte pas le fil 30 dans la canette (la Toyota oui, paraît-il), mais je suis vraiment satisfaite de mon achat (en plus, les canettes sont les mêmes que pour la Brother). 

6 mars 2022

52/2022 : lumineux

C'est le thème de la semaine pour le défi photo de Virginie.

Et c'est la définition idéale de ce dimanche ! 

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3 mars 2022

Le tour du monde en 80 livres #1

C'est un petit challenge lecture créé par Bidib, que j'ai vu chez certaines participantes du "9 fois Noël" : lire des auteurs étrangers et sortir de ses habitudes. Vu que j'ai recommencé à aller régulièrement à la médiathèque, j'ai décidé de me lancer moi aussi et de colorier au fur et à mesure les pays "visités" au fil de mes lectures. Pour ne pas partir de zéro, j'ai inclus dans la liste mes lectures de décembre. Je ne lis pas suffisament pour boucler ce tour du monde en un an, mais en deux ans, peut-être ?

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États-unis : il faudrait ajouter un défi dans le défi en choisissant un auteur par état !

Tracy Chevalier, La brodeuse de Winchester. C'est en Angleterre que se déroule cette histoire et comme toujours, l'auteure mêle un art (ici la broderie au petit point des coussins de la cathédrale de Winchester — j'avais remarqué et admiré ce type de coussins dans la chapelle royale de St-Pierre-aux-liens) et le destin particulier d'une femme, Violet, célibataire forcée après l'hécatombe de la première guerre mondiale, qui refuse une vie étriquée auprès de sa mère vieillissante.

Jack London, Martin Eden. Je n'avais jamais lu ce grand classique, quelques passages entendus dans une chronique littéraire m'ont donné envie de m'y attaquer. On résiste au sommeil avec Martin, on l'encourage ou, au contraire, on souhaiterait lui dire de lâcher prise de temps en temps… la fin m'a attristée.

France :

Maurice Leblanc, Arsène Lupin. Je ne l'avais jamais lu !

Riad Satouff, Le jeune acteur. Un régal, surtout lorsqu'on a vu le film Les beaux gosses : les débuts de Vincent Lacoste au cinéma, racontés des deux côtés de la caméra.

Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art. Une petite merveille de délicatesse racontant l'enfance de Béatrix potter.

Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi. Le quotidien de Momo, petit garçon placé chez Madame Rosa, l'amour qui les lie malgré la déchéance due à la maladie et la vieillesse. « La première chose que je peux vous dire c’est qu’on habitait au sixième à pied et que pour Madame Rosa, avec tous ses kilos qu’elle portait sur elle et seulement deux jambes, c’était une vraie source de vie quotidienne, avec tous les soucis et les peines ». À lire absolument ! (et puis ensuite, Les racines du ciel)

Hongrie :

Magda Szabó, La porte. Un livre reçu en cadeau pour mon anniversaire l'an dernier, qui m'a accompagnée au fil des quelques minutes passées chaque semaine dans la salle d'attente du kiné. Une belle histoire de confiance difficilement gagnée et perdue soudainement par l'une des deux héroines, alors qu'elle pensait avoir agi au mieux. Cet été, j'ai également lu Abigaël (existe-t-il des anges gardiens ?).

Kafka, Le procès et La métamorphose. Je ne m'attendais pas à trouver le procès aussi drôle. J'ai moins aimé la métamorphose, la première histoire, absurde et déprimante, laisse place à des nouvelles de plus en plus courtes (un paragraphe !) et sans queue ni tête. J'aime avoir le temps de m'attacher aux personnages, et surtout, j'aime avoir le fin mot de l'histoire.

Islande :

Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande. J'avais déjà lu Rosa candida. Helka, jeune fille au nom de volcan, prend son envol, dans l'Islande des années 60 où les stéréotypes sont encore très présents.

Japon :

Haruki Murakami, Le passage de la nuit. J'avais déjà lu Kafka sur la plage et Autoportrait de l'auteur en coureur de fond. On suit Eri, une jeune étudiante qui passe une nuit blanche, rencontre quelques personnes et se définit par rapport à sa sœur Mari, la belle endormie. Les personnages se croisent, se parlent parfois ou s'ignorent et certains vont voir leur vie changer. J'ai lu ce livre en deux jours (notamment grâce à 2h30 de train cumulées en une journée).

Maroc : 

Mohamed Leftah, L'enfant de marbre. Un homme perdu dans ses souvenirs, ses regrets, entre son enfance marocaine et sa vie d'adulte à Paris, jusqu'à cette visite au cimetière qui lui fait croire au surnaturel. Le style est assez complexe et la lecture gênée par les coquilles (ponctuation anarchique, mots manquants…), c'est dommage. Coincidence amusante : l'auteur débute en parlant d'un livre de Carlos Fuentes qu'il a lu et ce récit se déroule à la même période (début novembre), même lieu (Paris) et même météo (été de la Saint Martin) qu'Une certaine parenté, que je venais de terminer !

Mexique :

Laura Esquivel, Chocolat amer. L'histoire de Tita, jeune fille éperduement amoureuse de Pedro qu'elle ne peut épouser, et qui possède le don de cuisiner des plats aux effets extraordinaires (et de noyer la maison dans ses larmes, aussi). Chaque chapitre, en plus du récit, détaille une recette qui fait saliver.

Carlos Fuentes, Une certaine parenté. Passée la première partie de l'histoire, je me suis vite perdue dans les pensées confuses du comte de Branly et ses rapports avec les Heredia, mais je me suis accrochée, sans plus chercher à comprendre. Le dénouement reste obscur, je ne sais pas si je tenterai un autre livre de cet auteur… 

Royaume-uni :

Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno. Au début du XXe siècle, Lucy rencontre en Italie deux jeunes hommes que tout oppose. Les convenances lui dictent d'épouser le très convenable, très riche et très ennuyeux Cecil auquel elle s'est fiancée, mais elle est bien plus attirée par George, bohème et non-conformiste. Que faire ? Un roman très moderne pour l'époque.

Rwanda : 

Deux très beaux livres écrits par des survivants, où transparaît l'amour de leur pays perdu. Je pense aussi évidemment à Petit pays de Gaël Faye, lu, relu et plusieurs fois prêté.

Scholastique Mukasonga, L'iguifou, nouvelles rwandaises. L'Iguifou, c'est la faim, qui tenaille les déplacés tutsi de Nyamata, mais ces nouvelles parlent aussi de la peur, des bergers regrettant leurs vaches, du deuil…

Beata Umubyeyi Mairesse, Tous tes enfants dispersés. Blanche a grandi à Bordeaux après avoir fui le génocide de 1994. Un jour, elle revient au Rwanda, à Butare, pour retrouver sa mère, Immaculata. L'amour et le pardon les réuniront-elles ?   

2 mars 2022

Beaux souvenirs de février

Il commençait bien, ce mois de février : un jour sur deux de soleil, pour changer de la pluie continue des semaines précédentes, une reprise, en douceur et sans courbatures, de la course, quelques sorties, des vacances à venir et l'espoir d'en finir avec l'épidémie, du moins jusqu'à l'automne prochain. Mais depuis janvier 2020, il est dit que les catastrophes se succèderont sans répit, telles les sept plaies  d'Égypte *

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 Rien à voir avec ce qui précède mais… c'est grand un cerf ! 
Visite de l'exposition Galleria d'Eva Jospin au Musée de la Chasse et de la Nature,
l'occasion de réviser d'un coup les deux thèmes au programme du concours : 
l'animal dans l'art et la sculpture monumentale 

1/ Me voilà prise en OTAJ !
2/ J'ai eu du succès, avec mes crêpes, ils avaient tous oublié que c'étalt la Chandeleur.
3/ Après de multiples embûches, les billets d'avion sont pris, grâce au formidable AC de l'équipe d'Aurore.
4/ L'anthurium divisé au printemps dernier et mis au régime sec depuis un mois dans l'escalier se décide enfin à fleurir ! Si j'avais su, je l'aurais moins dorloté depuis cet été…
5/ Une journée où je peux prendre mon temps et du soleil en bonus.
6/ Conseil territorial, avec crêpes pour le goûter : vu le temps, c'est la journée idéale pour rester enfermés en bonne compagnie.
7/ Un nouveau livre pour démarrer la semaine (en américain, je ne sens que je n'ai pas fini de me plonger dans le Manuel Chicago of Style).
8/ Petit entraînement sportif avant le déjeuner (et avant la pluie).
9/ Un petit tour à la médiathèque pour commencer mon Tour du monde en 80 livres.
10/ Mon filleul a enfin récupéré son cadeau d'anniversaire (prisonnier de la technique moderne).
11/ Une matinée à Paris, l'après-midi à Versailles, la soirée à Massy, une journée bien remplie.
12/ L'animation de messe, c'est mieux quand de (bons) musiciens se joignent à nous (quand je prends le temps de me chauffer la voix aussi)
13/ Mes efforts commencent à payer : j'ai eu moins de mal à courir ce matin.
14/ Avant-dernière répétition, plus que quelques détails et nous serons fins prêts pour nos deux bals à venir.
15/ Ce qui me manquera du tout-télétravail : la possibilité de faire ma séance sportive pendant la pause du midi, au soleil !
16/ Encore des échanges très riches de notre petite équipe synodale (dernière réunion, déjà)
17/ J'ai repris mon Dear Jane, espérons que je m'y tiendrai !
18/ Journée au bureau, en tout petit comité (grèves RATP)
19/ Départ pour la Normandie, entre deux tempêtes, et vidage de bibliothèques.
20/ Ça souffle ! Nous allons quand même courir le matin (sans pluie) et marcher l'après-midi, mais il faut lutter pour avancer contre le vent.
21/ Une balade/resto/musée à Fécamp, où je n'étais pas retournée depuis mon enfance. C'était… ébouriffant !
22/ Aurore nous accueille avec un chili con carne et nous retrouvons le soleil.
23/ Une agréable soirée avec des amis, j'avais perdu l'habitude de dresser une grande tablée.
24/ Les premiers arbustes en fleurs sur le chemin où je vais courir.
25/ Deux vêtements coupés, deux autres en projet, mon manque d'inspiration couturesque n'aura pas trop duré.
26/ Une petite virée tissus avec Marie, un self que nous voulions essayer depuis longtemps, une expo avec Aurore (Galleria).
27/ Le ciel bleu, une journée tranquille, de bons repas, pour oublier un peu ce qui se passe en Ukraine.
28/ Rentrée au bureau (sans masque, youpi !) pour une journée en bonne compagnie.

 

* Rappelez-vous : 2020 avait débuté avec les incendies autraliens, une invasion de sauterelles en Afrique, un déluge en Indonésie, un tremblement de terre en Turquie et un étrange virus chinois qui aurait sûrement disparu avant d'arriver jusqu'à nous…

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