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attraper le temps qui file…

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23 octobre 2015

Couture de saison

Ou presque ! En fin d'été, j'ai réalisé que je n'avais pas vaiment de haut léger pour aller avec mon pantalon de toile rose. En fait, j'avais cette blouse, portée une fois, raccourcie, mais vraiment ça ne m'allait pas. Je l'ai donc sortie du placard, décousue et vu ce que je pouvais tirer des morceaux… avec la belle chute qui me restait, j'avais largement de quoi faire une Datura ! Enfin largement… à condition de ne pas être trop fatiguée. J'ai magnifiquement coupé au milieu du devant… sur le pli ! J'avais de quoi le recouper, mais du coup, c'est l'empiècement du haut qui devait être en deux parties ; il m'a fallu faire preuve de créativité pour contourner le problème.

J'ai habilement masqué la couture centrale en y insérant une bande brodée de dentelle (et hop, encore une chute liquidée)

23 octobre 06

La doublure est une batiste France Duval-Stalla achetée pour cette blouse (je voulais faire des empiècements d'épaules contrastants). La couleur semblait parfaitement assortie au liberty à la lumière artificielle du magasin… une fois à la maison, ça jurait horriblement ! (encore une raison de ne pas fréquenter cette mercerie hors de prix) Là, ce n'est pas parfait non plus, mais c'est une doublure…

23 octobre 05

Pour le dos, de minuscules boutons nacrés roses récupérés d'un chemisier cousu dans une autre vie et usé jusqu'à la trame.

23 octobre 07

Pour le bas, j'ai suivi les instructions d'Éléonore à la lettre et remplacé l'ourlet par un biais rapporté ; à voir si ça réglera mon souci d'ourlet qui rebique.

23 octobre 08

Mais je verrai ça aux beaux jours, là, je file remettre mon pantalon de velours et mon col roulé ! En supposant que ma copine Annabelle en fait autant et ne retire ses pulls que le temps de la photo (ou sinon, il ne faut par chercher pourquoi elle a mal à la gorge !)

23 octobre 01

Et hop, au placard, la Datura, rendez-vous au printemps !

 

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21 octobre 2015

#52xmerci–42 : un auteur ou artiste

Je ne vais pas le prendre en photo… parce qu'il est mort depuis 224 ans. C'est mon artiste de la semaine ! Celui qui a su me motiver pour prendre le train en fin d'après-midi après une semaine fatigante, traverser Paris, retourner à l'opéra une semaine plus tard (mais en véritable spectatrice, cette fois), faire abstraction du vertige (heureusement que nous n'étions pas au bord du balcon). La musique de Mozart, que je peux écouter durant 3h40 sans ennui (ou juste un tout petit peu, dans le dernier acte, où chaque rôle à son aria da capo… suivi d'applaudissements que je trouve toujours superflus). Il fallait ce génie musical pour faire passer l'épreuve du retour nocturne (vite, vite, sortir dès le rideau baissé, dévaler les escaliers, sauter dans le métro, attraper le dernier train avant les bus de substitution) et la courte nuit qui a suivi (lever à 6h15, car Aurore partait ce samedi au Mont-Saint-Michel).

Alors, à défaut de la photo de l'artiste, je vous mets celle de mes échanges par SMS avec Marie pendant l'entracte (qui tombait, heureuse coincidence, pile à l'heure où Paul allait chercher ses sœurs à la zumba — mère inquiète, je suis, mère inquiète je resterai). Les fautes d'orthographe, c'est cadeau ! *

21 octobre1

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* je ne parle pas du "héros on", là c'est le correcteur automatique qui est responsable.

15 octobre 2015

#52xmerci–41 : le temps des récoltes

Le thème qu'avait choisi Frenchlily pour cette semaine m'a laissée un peu perplexe… chez nous, on penserait plutôt à juillet-août pour les récoltes ! Mais finalement, j'ai trouvé :

Les tomates du jardin ne mûrissent plus sur pied, il fait trop froid, j'ai donc cueilli les plus grosses qui arrivent à rougir à peu près, à l'intérieur ; elles ne seront pas mangées en salade, mais cuites, en sauce. Pour leur tenir compagnie, Marie a récupéré quelques figues sur l'arbre qu'elle taillait hier, chez un client. Et j'ai ramassé les dernières noix de notre allée, les dernières noisettes dans la rue, les dernières châtaignes dans la forêt… encore quelques tiges de rhubarbe, peut-être une poignée de framboises si le soleil revient et c'en sera fini des récoltes pour 2015.

15 octobre1

14 octobre 2015

#52xmerci–40 : liberté ?

Pas tout à fait, non, on va juste dire que je me suis un peu échappée du quotidien. Après une journée de travail écourtée, ma collègue et moi avons pris le train de banlieue, le métro, puis le TGV, direction Lille. L'opération “on passe à l'hôtel déposer les bagages et se changer” a dû se faire au pas de course, vu que nous arrivions à Lille-Europe et pas à Flandres et que notre TGV avait un peu de retard, mais 5 minutes après l'heure prévue, nous étions à l'opéra. Pour ma part, j'aurais presque pu me dispenser d'enfiler mes chaussures neuves, vu que je suis restée derrière un guichet… j'ai répondu 112 fois à la question « où sont les toilettes ? »*, 59 fois à « j'ai acheté mon billet sur internet et je l'ai imprimé, est-ce que c'est bon ? », j'ai gardé les billets des retardataires confiés par leurs amis, j'ai indiqué le vestiaire, le foyer, l'entrée côté pair, j'ai surveillé les flûtes de champagne et les bouteilles de bières des fumeurs sortis quelques minutes… mais pendant la représentation, nous avons flâné dans les couloirs vides, nous sommes installées pour papoter sur un canapé plutôt confortable, en suivant l'opéra sur un écran (pour les costumes ou la mise en scène, j'aurais du mal à me prononcer, mais la musique est sublime et les chanteurs remarquables), j'ai échangé des SMS avec la maison « J'ai oublié de voter pour les élections de parents d'élèves ! Retrouve les enveloppes et demande à Marie de signer à ma place (oui, en 4e, elle a fait de remarquables imitations de ma signature…) ». Quant à la raison pour laquelle j'étais à l'opéra ce soir-là, son intérêt m'échappe quelque peu…

14 octobre 4

À 1h30, après un dîner tardif à la Chicorée, nous avons regagné l'hôtel et je me suis glissé dans un petit lit au confort relatif, libre de lire aussi longtemps que je le souhaiterais… bon, j'ai tenu 10 minutes avec La Reine Margot avant de plonger dans un sommeil entrecoupé par la soufflerie du chauffage qui s'est déclenchée toutes les 20 minutes. Réveillée par un SMS m'apportant une très bonne nouvelle, j'ai sauté sous la douche, déjeuné puis nous avons repris le train pour une nouvelle journée de travail — pas très productive, il faut l'avouer, nous aurions plutôt eu besoin d'une sieste !

14 octobre3

Bref, je suis partie en voyage professionnel, cela ne m'était pas arrivé depuis… 21 ans !

14 octobre1

* sachant que je venais à cet endroit pour la première fois et que je n'ai pas eu le temps de repérer les lieux, mais bon, personne n'est revenu pour se plaindre (ou alors, ils errent toujours dans les couloirs)

11 octobre 2015

10 du 10 : automne en couleurs

C'est le thème du mois, proposé par J'habite à Waterford. Comme nous sommes samedi, je commence ma journée par des allers-retours à l'école de musique.

Vert, allant vers le jaune et le brun : le tilleul

10 octobre01

Noir et blanc : une courante de Johann Schenck

10 octobre10

Bordeaux : les feuilles du Je-ne-connais-pas-son-nom plantés en haie près de la passerelle, qui est si beau en fleurs au printemps, et en automne

10 octobre02

Rouge et bleu : le vandalisme me révolte, bac à fleurs renversés et brisés, canapés déposés pour les encombrants et transportés dans les bois, tailles de végétaux répandues en forêt (passible de 2000 euros d'amende, il est facile de suivre à la trace le responsable jusqu'à son jardin, mais jamais rien n'est fait, je suis parfois tentée de prendre les branches de thuyas ou palmiers et les balancer par-dessus la clôture du propriétaire !), nous vivons dans un cadre idylique que certains ne cessent de dégrader

10 octobre03

Jaune: le tulipier de Virginie qui illumine (pour longtemps) le quartier

10 octobre06

Bleu lavande : après la taille, quelques fleurs sont réapparues, croyant l'été toujours là

10 octobre04

Orange : les sumacs (de Virginie, encore !) plantés devant l'école de musique

10 octobre07

Violet : ces baies que je remarque seulement aujourd'hui, alors que je passe devant presque quotidiennement depuis 12 ans !

10 octobre09

Moins bleu : le ciel qui se charge de quelques nuages dans l'après-midi

10 octobre08

Rose : la lavatère qui n'a pas fleuri de l'été et se réveille un peu tard…

10 octobre05

 

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9 octobre 2015

mercredi, c'est (pas raviolis) cuisine asiatique !

Il y a eu ce mercredi où j'ai acheté, par erreur*, des travers de porc, que j'ai préparés laqués aux cinq parfums avec du riz et un wok de légumes.

J'ai eu immédiatement une demande collective pour un Bò Bún. le mercredi suivant, donc (car ça prend du temps), je m'y suis attelée, avec mes aides-cuisiniers : l'un épluche et râpe les carottes, l'autre ébouillante les pousses de soja, un troisième coupe la salade… et après une certaine bousculade en cuisine, nous avons pu nous régaler.

Le mercredi suivant, j'ai opté pour un bibimbap coréen ; j'ai mixé cette recette avec celle au bœuf : riz brûlant, épinards, carottes, tomates, germes de soja, aubergines, saumon (cuit), salade. C'était absolument délicieux ! Je rêve d'essayer la version au saumon cru… seulement, à part Paul, ça ne tente personne, alors nous la ferons un midi, aux prochaines vacances (ah, je viens de réaliser que je ne prends pas de vacances à cette période… bon, on verra).

7 octobre1

Après ces voyages culinaires en Chine, au Viernam et en Corée, j'aurais bien fait un tour au Japon, mais une fois de plus, c'est le contenu de mes placards et de mon congélateur qui décidera du menu : retour au Vietnam, donc, avec le Phở bò, toujours une recette de Miss Tâm, une valeur sûre ! J'avoue que j'ai simplifié la préparation du bouillon de bœuf, n'ayant trouvé que du jarret ; mais il mijotait depuis la veille et était vraiment très parfumé (et sans glutamate, ni sel en excès)

7 octobre3

Forcément, il manque toujours l'un ou l'autre des ingrédients mais j'ai une petite boutique extraordinaire à portée de vélo, un magasin nommé Cinq continents où je trouve à coup sûr le produit chinois, japonais, vietnamien, thaï, africain, créole, turc… dont j'ai besoin. Incroyable, je vous dis ! Et pour un prix dérisoire, le plus souvent, avec les conseils et le sourire des vendeurs en prime.

Nos grands bols (20cm) viennent de cette boutique. Et la destination de la semaine prochaine ? Thaïlande ou Japon, je pense…

 

 

 

 

 

 

 * comment peut-on acheter des travers de porc par erreur ? Eh bien, quand mon hyper brade les barquettes de viande deux jours avant la date de péremption, que j'achète deux côtes de porc pour les manger le midi-même, pensant que la barquette au-dessous (la gratuite, donc), contient la même chose et que non, en fait (c'est la première fois que ça m'arrive)

 

3 octobre 2015

Pour la jolie Mila…

… qui vient de fêter ses quatre semaines, quelques petits cadeaux de bienvenue.

Comme sa maman fait partie de notre petit cercle de couturières, j'ai commencé par regarder sur Pinterest ce qu'elle avait mis dans sa liste “ à coudre”, histoire de lui laisser le plaisir de réaliser tout cela elle-même (si, si, Rachel, tu vas retrouver très vite tes machines, ne t'inquiète pas !) et je me suis brièvement concertée avec les copines afin de ne pas faire de doublons.

Tout d'abord, ce qui est devenu (malgré moi) ma grande spécialité : une trousse pour emporter quelques petites affaires.

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Un indice : la maman aime les matriochkas… on continue donc avec un doudou

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Et puis un bavoir avec les broderie et tissu que j'aime tant

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Cette petite est née dans une famille formidable, elle va être aimée, entourée, choyée autant que possible, avec deux grandes sœurs aux petits soins pour elle. Je lui souhaite une longue vie heureuse et créative !

 

 

2 octobre 2015

#52xmerci–39 : plaisir simple

Profiter des petits plaisirs offerts, c'est le moyen de tenir la tête hors de l'eau quand les journées sont bien remplies, les réveils trop matinaux, que les jours raccourcissent et que le froid se fait chaque matin plus vif !

Mercredi, mon plaisir a été d'enfourcher mon vélo pour faire un plein de légumes frais dans le magasin qui a ouvert en mai, pas loin de chez nous * (et qui a enfin installé des accroche-vélos dignes de ce nom), en profitant de ce radieux soleil d'automne.

2 octobre1

* cerise sur le gâteau : un grand Picard s'est installé juste à côté, plus besoin de prendre la voiture !

 

28 septembre 2015

L'horloge maternelle

Celle qui me réveillait exactement toutes les trois heures la nuit suivant un choc sur la tête subi par l'un de mes enfants, au point que j'ai très vite cessé de programmer le réveil…

Celle qui m'a fait passer une bien pénible nuit il y a deux ans…

Celle qui me fait ouvrir un œil les soirs de baby-sitting, à l'heure prévue du retour, pour vérifier que la lumière de l'entrée est bien éteinte…

Eh bien, j'aimerais savoir si elle s'arrête de fonctionner, un jour ! Parce qu'être réveillée à 0h30 par un SMS “on prend le train de 0h45 et je rentre à pied”, se rendormir, se réveiller à 1h40 parce que le cerveau a calculé que le train de 0h45 arrive en gare à 1h20, plus 20 minutes maximum de marche, constater que la lumière est toujours allumée, tenter d'appeler le jeune homme dont le téléphone est éteint, aller vérifier qu'il n'est pas dans son lit, des fois qu'il aurait oublié d'éteindre, et passer les 30 minutes suivantes à imaginer toutes les catastrophes possibles (faut dire qu'il s'est aperçu le matin-même de la disparition de sa carte bancaire, ça n'aide pas à la sérénité), ça commence à être pénible !

Je lui ai sauté dessus dès son retour pour savoir si tout allait bien ; eh oui, le train était remplacé par un bus en raison des travaux de nuit. La prochaine fois, il a pour consigne de m'envoyer un message pour tout changement de programme.

Je pense qu'il n'aura pas trop à lire d'ouvrages sur l'angoisse maternelle de la séparation, il a tout ce qu'il faut pour étudier un cas concret à la maison !

 

 

24 septembre 2015

Septembre a encore frappé !

Et voilà la chute de mon activité couturesque… (en vrai, quand même, je prépare quelques coutures secrètes)

Les livres sont couverts, les fiches sont remplies, les réunions ont eu lieu (enfin, presque toutes), nous avons joué sous la pluie au forum des associations, rencontré de nouveaux parents scouts, les pêches des voisins ont été transformées en chutney, confiture et bocaux au sirop, les jus de groseilles, cassis et framboises du congélateur sont à présent dans leurs pots. Je passe une partie de mes mercredis à cuisiner pour les repas de midi : les miens, ceux d'Aurore qui déjeune donc à la maison, de Paul qui apprécie d'emporter un ou deux fois par semaine un petit plat maison, pour changer des sandwiches (enfin, il va désormais avoir droit au resto U puisqu'il vient de recevoir sa carte d'étudiant) et pour Marie qui emporte son repas chaud (et fait envie à ses collègues, qui pour une fois ne sont pas consternés de voir qu'elle mange si peu — en vrai, elle a plutôt bon appétit mais avaler deux kebabs et une grosse part de gâteau n'est pas dans ses habitudes !).

Une semaine après la rentrée, sur le site du collège, le principal avait dressé un état des lieux :

Capture d’écran 2015-09-10 à 15

Sur les 7 enseignants cités dans cette liste, 6 concernaient la classe d'Aurore (histoire, EPS, musique, anglais, allemand, espagnol). Aujourd'hui, seule la prof d'allemand persiste à ne pas assurer ses cours en attendant de régler sa situation, rendant impossible son remplacement et les quatrièmes n'ont pas leurs 3 heures de latin, vu qu'ils ont été groupés pour cette option avec les cinquièmes, pour faire des économies… restons zen !

Paul est sorti plusieurs fois seul ou avec ses sœurs en voiture, je ne suis pas totalement détendue dans ces occasions (me revoilà à guetter son retour de baby-sitting dans la nuit) mais j'avoue que ça me rend bien service !

Marie a été lâchée par l'entreprise dans laquelle elle devait retourner en stage : le jour de la rentrée, on leur a dit de ne surtout pas changer d'entreprise, sous peine de devoir rédiger deux rapports. très bien, le patron lui avait dit en juillet « Tu reviens quand tu veux », Marie essaie donc de l'appeler à plusieurs reprises, laisse des messages… au bout de 12 jours, le jeudi, son professeur appelle lui-même et apprend que l'entreprise ne reprend pas Marie ! Mais s'il n'osait pas le lui dire de vive voix, il aurait au moins pu lui envoyer un SMS ! Attendait-il que Marie se présente une semaine plus tard ?

Quelques larmes plus tard, nous établissons une liste d'entreprises proches grâce aux pages jaunes, le lendemain, Marie appelle. À la dixième réponse négative, Aurore s'instale à côté d'elle et commence à chanter « 1, 2, 3, il décroche, et tu as ton stage »*

Il décroche… c'est oui ! Puis un autre “Oui” peu après. Lundi, après les cours, visites sur place, discussion au retour : le second entrepreneur a un planning bien vide (forcément, il ne fait que des terrasses en bois), mieux vaut réserver cette piste pour un stage au printemps ou en été. Mercredi midi, les conventions sont établies, signées par l'entreprise, les parents, l'école. Du beau boulot ! Et je reprends les conduites au petit matin…

Le week-end en Normandie a été un vrai bonheur après une semaine déprimante : le soleil, la mer, un dîner entre amis, un déjeuner en famille dimanche, le plaisir de tenir un nouveau-né entre mes bras (ça faisait si longtemps), la complicité entre Paul et Adrien et me dire que vraiment, il n'a pas loupé sa vocation…

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(on oubliera un trajet en voiture traumatisant pour les pauvres parents que nous sommes, assis à l'arrière, tandis que Marie suggérait à son frère de mettre des bouchons d'oreilles, tant nous poussions de cris en croyant à chaque instant heurter les rétroviseurs des voitures en stationnement — une fois que j'ai repris ma place à l'avant, j'ai trouvé que Paul conduisait plutôt bien, finalement)

EDIT : alléluia ! Une nouvelle prof d'allemand a été nommée. On oubliera l'heure de latin qui manque et on espérera que tout ce petit monde tiendra le coup toute l'année.

* J'ai adoré cet instant de solidarité sororale, tout comme de les voir partir tous les trois, vendredi, chercher un cadeau pour Vati.

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