Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

attraper le temps qui file…

Newsletter
Albums Photos
10 mars 2014

Les 10 du 10 : le printemps est là !

Comme chaque 10 du mois, dix photos du quotidien, pour se souvenir, un défi repris par French Lily. Après une semaine de beau temps mais de températures fraîches, nous voici au printemps avec un peu d'avance et ce beau soleil était là pour gommer les petites contrariétés du matin.

10 mars1J'aurais pu parier que l'escalator ne serait toujours pas réparé, malgré la dernière date annoncée : 10 mars… qui vient après 3 mars, 20 février, 10 février, 27 janvier, 13 janvier, 20 décembre, 6 décembre… Il manque une pièce, paraît-il, ce doit être un escalier bien extraordinaire pour qu'il soit impossible de commander une pièce en plus de 3 mois ! En attendant, il est condamné, ne laissant pour monter du quai (et y descendre) qu'un seul escalier fixe, imaginez la bousculade lorsque deux trains arrivent en même temps ! Celui qui arrive juste à temps en gare (ou change de train) et veut atteindre le quai loupera son train sans aucun doute, ne pouvant aller contre le flot.

 

Ce midi, j'ai décidé d'aller manger au parc, à 10 minutes de marche rapide du bureau. Jonquilles, forsythias, camélias sont fleuris. Les magnolias également, c'est incroyable en cette saison ! Dire qu'il y a un an, la neige avait bloqué tout le nord du pays…

10 mars210 mars3

10 mars4J'avais préparé une savoureuse salade (céréales, poulet, poivrons, frisée, carottes) que j'ai mangée au soleil sur un banc

 

10 mars7Nous avons passé un bon moment à tailler et nettoyer le jardin hier, mais il reste encore pas mal à faire.
En tout cas, mon petit coin printanier est bien fleuri.

 

Désolee pour ceux d'entre vous qui sont encore sous la neige, allez, encore une photo printanière :

10 mars6

Dans la boîte aux lettres en revanche, ce sont les prospectus qui ont fleuri !

10 mars8

10 mars9

Je trie le courrier en buvant un thé, puis me sers une deuxième tasse pour attaquer un autre tri plus conséquent : sortir du lutin les partitions du bal de samedi dernier, les ranger, puis sortir et mettre dans l'ordre celles de la Saint-Patrick que nous répétons ce soir.

 

Aurore est partie pour une heure de formation musicale sans orchestre ensuite (c'est “partielle vents” ce soir), mais découvre qu'elle aura ensuite une répétition d'alto (c'est la surprise du jour de l'école de musique, qui doit trouver que je ne marche pas assez). Je ressors donc lui apporter son instrument…

10 mars1110 mars12

… et je m'étonne au passage de voir des ouvriers s'activer encore sur ce chantier à 18h45 ; mais ils travaillent tout le samedi également, un peu de retard, sans doute ?

 

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
7 mars 2014

P'tit défi du 7 : Moi, moche et méchant

Encore un défi sur un film que je n'ai pas vu… mais j'ai cherché des images pour trouver l'inspiration.

L'idée était de faire un minion, cousu ou crocheté…

et là, je découvre qu'à l'instar de Gloubichamalu et sa détestation du vert, je n'ai pas de jaune chez moi (bon, en fait j'ai plutôt découvert le problème le jour pas si lointain où Aurore devait s'habiller en jaune-rouge-noir pour la journée franco-allemande au collège et que nous n'avons déniché qu'un tee-shirt jaune de garçon (quelle horreur !) qu'elle a enfilé sous un tee-shirt rouge, comme ça on voyait un petit liséré jaune au col, ça faisait l'affaire — tee-shirt jaune destiné à la base à un déguisement de clown). Ou plutôt, pour rétablir la vérité, j'ai des restes de satin jaune (de la robe de Belle) et du jersey Hilco rayé jaune clair et jaune orangé, c'est tout. Je vais me soigner, je promets de coudre un peu de jaune cet été.

bellechemise nuit jaune

 Côté tricot … de laine jaune, point !

L'écharpe du méchant me tentait bien (nous en avons d'ailleurs discuté avec Brunehilde à l'AEF) mais allez donc caser une écharpe grise et anthracite auprès d'un lycéen qui n'en porte pas ou d'une collégienne de 11 ans !

Alors j'ai décidé de tricoter une écharpe à la petite Edith, celle qui porte un joli pull à rayures et un bonnet assorti.

Elle manque cruellement d'une écharpe, cette petite ! Ça tombe bien, figurez-vous, car ma petite à moi a perdu la sienne, d'écharpe (poilue et bleue, dans une matière synthétique qui me donnait des frissons d'horreur dès que je la touchais — non, non, je ne suis pour rien dans cette disparition, qu'allez-vous penser là, voyons ?) et j'avais justement de la laine poilue en stock (destinée à lui rallonger son pull à capuche chéri-adoré-taille 6 ans qu'elle a porté jusqu'à ce qu'il lui arrive au-dessus du nombril ;

P1070260et puis non, d'abord, la laine n'a pas du tout le même bain (5 ans plus tard, ça aurait tenu du miracle), mais en plus j'ai essayé de détricoter quelques rangs, impossible. Détricoter un pull poilu lavé et relavé est définitivement impossible. Je suis restée avec mes deux pelotes sur les bras.

 

Jusqu'à ce que je pense faire d'une pierre trois coups : le défi de Casa, l'écharpe de ma fille et l'utilisation de la laine. Trouver une laine rose clair dans la même taille d'aiguille n'a pas été facile mais j'aime beaucoup l'association des deux. Et puis, tricoter en 6, ça monte vite et ça peut se faire devant un film en VO (ce qui n'est pas le cas avec mes petites vareuses de taille 2,5 de la Wool War One, croyez-moi !)

 

7 mars27 mars1

Laine Beaugency et Harmony Phildar, aiguilles 6
Avec les températures que nous avons le matin, ces jours-ci (entre 0 et 2), ma Miss est bien contente.

Bon, à vrai dire, je ne suis pas satisfaite : cette écharpe n'est pas très longue (1m20), mais je la trouve déjà très lourde, je pense donc, dès l'arrivée du printemps, la détricoter (je n'ai pas encore coupé les fils entre les rayures) et la refaire un peu moins large… oui, vous pouvez parler d'abnégation : j'ai eu des démangeaisons tout le temps que j'ai tricoté, bien qu'il n'y ait pas le moindre pourcentage de mohair dans cette laine. 

Je vois que j'ai été sur la même longueur d'ondes que Casa, cette fois ! Allez vite voir les autres réalisations.

4 mars 2014

C'est la reprise…

… avec le froid, la pluie, les trains en retard, les vélos à plat (ah non, pas encore mais nous arrivons à un record de 8 crevaisons (sur 4 vélos) depuis début janvier ! Je HAIS ceux qui s'amusent à briser des bouteilles sur la piste cyclable — quoique nous ayons aussi trouvé deux vis et un morceau de silex lors des réparations)

Mais on ne se laisse pas abattre, non, non !

Menu traditionnel de mardi gras :

4 mars44 mars24 mars34 mars1

fondue au chocolat, pain perdu, moelleux chocolat-caramel, tartelettes au citron ou à la confiture de framboises

 

 

 

3 mars 2014

Activités essentielles de vacances

Se reposer, régler le réveil 10 minutes plus tard, déjeuner tranquillement sans un "Maman, est-ce que…" toutes les 2 minutes, prendre le temps d'une pause à mon retour, parce qu'il n'y a pas de cours de musique, pas de répétition, pas de réunion.

Se régaler, approfondir sa connaissance de la cuisine vietnamienne/thaï (salade de papaye, soupe aux crevettes, bobun)

28 février128 février228 février428 février5

Trouver l'art d'accommoder les restes (pain perdu façon pizza) ou tester un nouveau façonnage de brioche

25 février125 février225 février3

Flâner dans les rues de Paris

27 février127 février227 février3

ou savourer le soleil en bord de mer

26 février126 février326 février2

Profiter les uns des autres, revoir des êtres chers (après 4 ans… que le temps passe vite !), faire tirer des photos pour les envoyer, prendre le temps de donner des nouvelles…

Voilà, les vacances sont finies mais j'en ai bien profité !

 

 

 

28 février 2014

Pénélope…

… doit être mon troisième prénom ! Je peine, dans la Wool War One, mais j'apprends plein de nouvelles techniques, ça c'est chouette.

Bon, déjà, il fallait tricoter en aiguilles 2 avec une laine conseillée pour du 2,5-3, vu comme je tricote serré d'ordinaire, je le sentais moyen. Mais en bon petit soldat discipliné, je monte mes mailles et je fais une dizaine de rangs. Verdict : trop petit (d'un bon cm). Pas de problème, je vais recommencer avec des aiguilles de 2,5 (en plus, les aiguilles 2 en bambou sont tellement fines que j'ai peur de les casser, mais que voulez-vous, quand on a goûté au bambou et aux aiguilles circulaires, on ne peut plus revenir en arrière — et puis de toutes façons, sur les dizaines d'aiguilles héritées de mes grand-mères, il n'y avait pas de 2 non plus)

Je refais mon morceau de vareuse : trop petit, mais pas si loin du but ! Je détricote et j'ajoute 2 mailles, cette fois-ci, c'est bon. Pendant ce temps, sur Ravelry, je vois que certaines ont déjà fini leur pelote, mais ce n'est pas une course de vitesse, j'ai jusqu'à septembre.

Je finis mon dos, j'attaque le demi-devant avec les mêmes tâtonnements : j'avais ajouté une maille mais ce n'est pas nécessaire, je défais et refais, donc. Sur du tout-petit, le moindre écart prend des proportions énormes, il faut une précision presque millimétrique.

Je commence le deuxième demi-dos et j'étudie les étapes suivantes, inconnues pour moi : relever des mailles sur la lisière et rabattre à trois aiguilles (car je suis fâchée avec la couture de tricot, c'est toujours moche et serré, voilà pourquoi je me cantonne désormais aux mitaines, étoles et écharpes). Cette technique va m'ouvrir de nouvelles perspectives, je le sens ! Après voir bien regardé la vidéo, je me lance : je récupère les mailles du haut que j'avais rabattues, les mets en attente sur une aiguille à chaussettes et commence à assembler des deux morceaux. Hem… dans "rabattre à 3 aiguilles", j'ai oublié "rabattre", je m'en aperçois quand je me demande ce que je vais faire de toutes ces mailles sur mon aiguille droite ! Je défais, donc (ça devient compliqué, heureusement que cette laine ne perd pas trop sa torsion) et je recommence en rabattant soigneusement. Ouf, ça y est !

27 février1

Enfin, je croyais… allez, on défait encore un coup, on remet endroit contre endroit et cette fois sera la bonne !

 

Publicité
Publicité
24 février 2014

Déjà arrivée !

… mon enveloppe pour Anne. Alors voilà : c'est Anne qui avait été tirée au sort ; elle avait choisi des maniques, dans les tons de sa future cuisine : 

Capture d’écran 2014-02-24 à 14

Un peu plus tard (oui, bon, presque 15 jours, je sais, mais le temps file trop vite, que voulez-vous…), je me suis mise à la broderie sur lin uni. Et puis je suis tombée sur un tissu en lin pile dans les tons recherchés, parfait pour l'autre face des maniques ! J'ai attendu l'Aiguille en fête pour les coudre car je savais que j'y trouverais du Thermolam. Enfin, j'ai décidé de broder un torchon assorti, j'ai choisi un beau motif de point de croix, le fil qui allait bien, et j'ai démarré la brodeuse. « Ah, 57 minutes quand même ! Bon, de toutes façons, je n'ai pas prévu de sortir, allons-y… »
Ce que je n'avais pas prévu en revanche, c'était de tomber en panne de fil en cours de route. Je surveille avec inquiétude ma bobine, avant de me rendre à l'évidence : elle n'ira pas jusqu'au bout. Je vais voir le site du fournisseur : coloris en rupture ! (et puis il aurait fallu quasiment laisser la brodeuse allumée le temps de recevoir le fil, pour retrouver l'endroit où redémarrer). Je réfléchis, je consulte mes ados, pas possible d'employer un autre rouge, la différence serait trop flagrante, alors allons-y carrément pour un changement de couleur !
On dira que c'est fait exprès, le bonheur n'est jamais tout d'une pièce, n'est-ce pas ?

23 février1

Enfin, alors que je n'avais plus qu'un ourlet à piquer, Anne a posté ce commentaire

Capture d’écran 2014-02-24 à 15

Comme mes tissus étaient sortis, que cette pochette est vraiment rapide à coudre (un peu plus de 2 heures), que je savais faire une heureuse de plus, j'ai joint une petite pochette pour Suzanne (t'ai-je dit, Anne, que c'était le prénom de ma Mamie adorée et le troisième prénom d'Aurore ?)

23 février223 février3

PS : pour tes garçons, je te fais des photos dès que possible de la pochette à billets cousue pour Paul avant son départ pour l'Angleterre.

23 février 2014

Les drames de la vie…

Il y a des drames dans la vie de collégienne, mais ma lycéenne n'est pas épargnée ! Depuis la rentrée de janvier, la cantine du lycée est en travaux. Comme il s'agit entre autres d'un lycée hôtelier, la cuisine était faite sur place, en partie par les élèves, avec une qualité fort appréciée. Pendant la durée des travaux (8 mois), la restauration scolaire a été confiée à une grande société spécialisée dans ce domaine. Le premier soir, Marie est rentrée fort abattue : « C'était mauvais, je ne sais même pas ce que j'ai mangé, dans une barquette mal réchauffée. » Deux jours plus tard, elle pleurait à l'idée de devoir y manger de nouveau, prête à se contenter de sandwiches chaque midi. Cela ne lui ressemble pas du tout !* De nombreux parents se sont mobilisés (sans trop d'effet, à part quelques promesses), un micro-ondes a été installé, permettant aux élèves d'apporter des plats à réchauffer, puis retiré car cela ne faisait pas l'affaire du prestataire… les trois quarts des élèves apportent désormais leur repas ou sortent déjeuner à l'extérieur (une boulangerie, une superette, pas très varié !)

Nous avons transigé : Marie rentre déjeuner dès que possible à la maison (une à deux fois par semaine), se prépare une salade les autres jours et mange à la cantine le jour des TP, je tiens à ce qu'elle ait un repas complet avec un plat chaud avant de passer quatre heures dehors à bêcher, tailler, charrier des pavés…

Désormais, elle pourra manger chaud tous les midis (on ne sait jamais, l'hiver va peut-être finir par arriver) : une visite au Vieux Campeur (ne laissons rien au hasard) pour trouver une boîte isotherme et bien étanche, suffisamment grande et légère à la fois, compartimentée si nécessaire, selon les besoins du jour.

22 février1

Et une journée de couture plus tard (enfin, j'ai aussi avancé sur mes coutures "secrètes" et l'éternel racommodage), une housse pour le transport, doublée d'un revêtement isotherme (j'ai découpé un sac à surgelés et j'en ai bien bavé pour coudre cette matière, pire que le tissu enduit, je crois) ; une poche pour les couverts et la serviette ; tissu "feuillages" rapporté du salon Créations et savoir-faire en vue de coudre quelque chose pour Marie (ça tombe bien !).

22 février222 février322 février4

* Une jeune fille capable de gagner le concours cuisine d'un camp scout avec des saucisses feuilletées cuites à la poêle (?), qui prennent feu en cours de cuisson, sont arrosées d'eau pour éteindre les flammes… en somme des saucisses-feuilletées-pas-feuilletées-grillées-bouillies ne peut pas être qualifiée de "difficile"

 

 

 

20 février 2014

Retour sur l'Aiguille en fête

J'ai cousu, mais ce sont des coutures secrètes (du moins, jusqu'à ce qu'elles arrivent à leurs destinataires). Alors je vais vous raconter mon Aiguille en fête.

Pour moi, le principal intérêt de ce salon est de retrouver les copines, je ne m'y rendrais pas seule.

Trop brièvement, j'ai rencontré Annabelle et Brunehilde devant le stand Triscote (bouh, je ne me remets pas de la disparition des triscotes !) après un petit jeu de bataille navale par SMS ("Jy suis" "Mais quel stand ?" "B3 devant Froufrou" "OK, escale technique et on arrive" "On est en B3, mais toi ?" "J'arrive" "Ben où êtes-vous ?" "en A 16"…

Puis mes copinautes du forum MM, évidemment, avec lesquelles nous avions élaboré une stratégie de combat très au point : salon dès l'ouverture (pour ma part, je piaffais devant les portes à 9h04, en râlant intérieurement contre les organisateurs qui ne sont pas capables d'ouvrir à l'heure, avant d'entendre dans la file derrière moi « Ça ouvre à 9h30 »… hum, dire que j'ai couru pour avoir mon train… du coup, j'ai pu arpenter la moitié des allées désertes en toute tranquillité), premier tour des allées, puis restaurant à 12h30 (juste en face), pour papoter à notre aise toutes les 7, refaire nos forces avec de retourner affronter la foule du début d'après-midi, puis la presque-plus-foule après 15h30, puis la re-foule de la nocturne dès 18h. Nous en avons profité à fond, donc !

Côté achats, j'avais une petite liste et j'ai trouvé tout ce que je souhaitais : de nouveaux ciseaux de couture en direct de Nogent pour remplacer ceux offerts il y a une vingtaine d'année par Mamie, privés de pointe suite à une chute sur le carrelage, qui se montraient très récalcitrants depuis quelques mois, probablement après avoir affronté une épingle oubliée… deux aiguisages ne sont pas venus à bout du problème ; et une petite paire de ciseaux "lingère" pour les découpages de précision (le monsieur a été assez effrayé de me voir sortir un petit bout de tissu de mon sac pour essayer les ciseaux de broderie — Mais Madame, il ne faut couper que du fil avec ceux-là !)

Et puis du fil de canette pour la brodeuse, quelques tissus et rubans sur les thèmes "Londres" et "Japon-mais-bleu" pour des commandes de mes filles… et un achat coup-de-cœur : cette tasse coquelicots chez Tissus anglais.`

18 février3

Vous remarquerez le trouve-ciseaux offert par Gloubichamalu à chacune d'entre nous. 18 février1
Pour ma part, j'avais préparé des trouve-découd-vite (et dire que je ne m'en suis toujours pas fait un !)

 

Nous nous sommes bien fait remarquer avec notre déballage sur la table :
thermocollants, pressions résine, marque-page en patchwork…

Pour l'instant, comme je ne lis plus que sur le kindle en ce moment,
le marque-page me tient compagnie quand je couds

16 février11

et l'après-midi, petite pause chocolatée sur les tables prévues pour le pique-nique (une bonne amélioration par rapport aux années passées), déballage de chutes de montgolfière et partage sous les yeux interrogatifs de nos voisines ; exposition de sacs de couturières, également

20 février1

Voilà, c'était une belle journée, rendez-vous l'année prochaine !

 

 

19 février 2014

Pour que cessent les larmes

Dernièrement, le bureau de la vie scolaire du collège a été le théâtre d'un drame, Aurore versait des torrents de larmes, les surveillants cherchaient frénétiquement sur les étagères et dans les tiroirs, allaient chercher des serpillères, ils ont été à deux doigts de m'appeler (je ne sais pas ce que j'aurais pu faire à distance) : Aurore avait perdu ses clés, celle de la maison et celle du casier où était enfermé son cartable. Je ne sais ce qui était le pire : se trouver à la porte pendant 20 minutes ou devoir aller aux cours de l'après-midi sans ses cahiers !

Le dénouement a été heureux (ce n'était donc pas un drame mais une comédie) : les clés, perdues dans la cour, avaient été ramassées par un élève, remises à un surveillant qui avait quitté le collège après avoir les avoir déposés dans le mauvais tiroir.

J'ai retrouvé ma fille un peu secouée en fin d'après-midi (c'est dur, la vie de petite fille !) et nous avons conclu qu'il lui fallait de toute urgence une pochette à clés. J'ai bien tenté de la convaincre que la sacoche de collégienne était parfaite, mais la demoiselle voulait un sac à main comme sa copine (et je vous assure que lorsqu'elle a une idée en tête, elle est difficile à convaincre, son quart breton prend le dessus dans ce cas-là). Nous avons fini par nous mettre d'accord sur la pochette de Merci Giroflée, avec quelques variantes : pas de passepoil pour le bas, fermeture par pressions, ajout d'une bandoulière. Je lui ai proposé quelques touches de flex pailleté, elle a sauté de joie « parce que tu m'avais dit que c'était pour moi et tu ne m'as jamais rien fait avec » (j'assume mon statut de mère indigne, mes enfants sont brimés quotidiennement, les malheureux). Ce patron de pochette est un pur bonheur, les explications sont claires, aucun difficulté !

Comme deux précautions valent mieux qu'une, j'y ai placé un mousqueton, tenu par un ruban. Avec cela, si elle réussit à perdre ses clés, je démissionne.

19 février3

Voici donc la pochette idéale pour le collège, tout juste assez grande pour deux clés, un paquet de mouchoirs, un stick à lèvres et une ou deux bricoles indispensables dans la vie d'une petite fille. Et bien sûr, elle est rooose, avec du qui brille, des fleurs, un gros grain étoilé (froufrou)… elle ne la quitte plus, je parie qu'elle dort avec cette nuit !

19 février219 février1

J'avais dit une couture par jour cette semaine ? On dirait que je m'y tiens et encore, je ne compte pas les genoux de pantalons réparés, les boutons recousus, l'ourlet du pyjama défait et refait, les patrons rangés… allez, on garde le rythme !

 

 

18 février 2014

Nuits de Chine, nuits câlines…

Frileuse comme je suis, j'avais besoin d'un nouveau pyjama de toute urgence et pourtant… coupé le 2 janvier, cousu aujourd'hui seulement ! Mais pour une fois, rien n'est venu me perturber. Patron Ottobre 1/2005, comme le précédent, version femme, cette fois. Bas maison également (montant bien haut à la taille, comme j'aime). J'ai dû tricher pour les manches, n'ayant qu'un mètre de jersey (Stenzo) mais le bleu uni (coton-lycra) acheté à Reims est un plaisir à coudre, bien épais et ne se déformant pas. Je sens que je vais passer une commande bien vite ! Pour les finitions de l'encolure, j'ai opté pour la version « élastique dentelle » trouvé chez Fil 2000, très doux et souple.

19 février219 février3

Et pour le même prix, la version portée (devant le miroir de salle de bains nettoyé par mes filles, hum…)

19 février1

Publicité
Publicité
attraper le temps qui file…
Publicité
Archives
Publicité