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attraper le temps qui file…

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9 octobre 2022

52/2022 : symbolique

Le thème du jour, porposé par Virginie, est "symbolique". Alors je suis allée piocher dans mon tiroir à trésors, car ce qui s'y trouve n'a aucune valeur, si ce n'est à mes yeux !

9 octobre - 1 (1)

On remarquera que plus le temps passe, moins il y a d'informations ! Marie avait été étiquetée et placée aussitôt en couveuse, tant il faisait froid au bloc, quant à Aurore, le bracelet avait été préparé avant sa naissance.

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3 octobre 2022

Le retour de la cigogne #2

Fin août, nous avons reçu un joli faire-part :

3 octobre - 1

Je me suis dit que j'allais bien trouver un tissu avec de petits koalas quelque part, j'ai repéré celui-ci chez Mondial tissus, en plus il est pile dans les coloris du faire-part !

3 octobre - 2

Bienvenue donc à Élise !

3 octobre - 33 octobre - 6

3 octobre - 53 octobre - 4

 

2 octobre 2022

Défi 52/2022 : Omnes generationem

Le thème du jour, proposé par Virginie, est "de génération en génération". J'ai déjà parlé cette année de la robe de baptême, de mon violon, de la couture… Il y a toutefois quelque chose qui se transmet toujours d'une génération à l'autre :

2 octobre - 1

 

De gauche à droite, le cahier de ma mamie, Suzanne, celui de ma maman Marceline, le mien, et celui que j'ai offert à Marie, le top du cahier de recettes : à spirales, avec une couverture plastifiée à rabats pour protéger les pages des éclaboussures

2 octobre - 5

 

et la recette familiale transmise de mère en fille

 2 octobre - 2

2 octobre - 3

Le lien, d'ailleurs, ne se fait pas toujours de mère en fille :

2 octobre - 4

 

1 octobre 2022

les joies de septembre

Septembre m'a paru à la fois long et court ! Dix jours pour préparer la fête de nos 30 ans de mariage (dont nous avons bien profité, malgré une météo capricieuse, nous forçant à nous entasser à 35 dans notre salon), dix jours pour nous en remettre, retrouver tous les objets déplacés à l'étage, ranger la vaisselle, finir les restes  (il y a encore du gâteau au congélateur), dix jours pour s'installer dans le rythme "scolaire", assimiler les heures de retour de notre étudiante, les cours de musique, prévoir les menus et faire les courses (on repasse de 3 à 4 en semaine, c'est loin d'être négligeable et mon chariot est lourd à traîner derrière le vélo). L'automne est là, on a ressorti les gilets et les chaussettes et il est temps de ranger les tenues d'été.

1 octobre - 21 octobre - 1 (1)

1 octobre - 1

1 octobre - 31 octobre - 1 (2)

1/ Ça commence fort avec le retour du Togo d'Aurore et son équipe, que je suis allée chercher à Orly (avion à l'heure, stationnement facile, bagages récupérés et filles en forme, le top)
2/ Mes filles qui passent me prendre au bureau pour un déjeuner en terrasse.
3/ Le forum des associations permet toujours de revoir des personnes un peu perdues de vue (en revanche, j'oublie l'idée d'y passer rapidement)
4/ En général, je manque terriblement d'a-propos, je suis d'autant plus contente d'avoir pensé, quand on m'a demandé de l'aide, à cette jeune fille qui chantait si bien, d'avoir su comment obtenir ses coordonnées, et qu'elle ait dit oui pour aider aux messes animées par les enfants dans sa paroisse.
5/ Une nouvelle musicienne nous a rejoints cette année et visiblement, elle n'a pas eu peur de notre justesse approximative, de notre répertoire gigantesque et de notre festival de blagues : elle a promis de revenir lundi prochain.
6/ Comme notre chef avait des invités qui sont partis plus tôt que prévu (et donc des sauciosses et brochettes en quantité), on prolonge l'été avec un barbecue, un mardi soir… pas raisonnable du tout mais bien agréable.
7/ Notre étudiante découvre les joies de la fac : informations si bien cachées sur le site qu'il faut être expert en jeux de piste pour les trouver, bugs informatiques et casse-tête de l'emploi du temps à créer, en jonglant avec des listes de cours plus intéressants les uns que les autres, des horaires de TD qui se chevauchent, évidemment et, double-licence oblige, des déplacements entre ses deux instituts. Grâce aux conseils des étudiants aguerris (merci FB), elle a préparé à l'avance 4 emplois du temps possibles et s'est installée devant son écran dès l'ouverture des inscriptions. En 4 minutes, elle réussit à prendre une place dans tous les cours qui l'intéressent (ses efforts ont été toutefois contrecarrés par le cours d'histoire de la Russie, décalé d'une heure après-coup, l'obligeant à changer pour l'Amérique latine, mais elle est ravie et prête à recommencer dans 2 jours, pour l'histoire des arts.
8/ J'ai bien fait de découdre ma robe pour la retoucher, c'est là que je note mes progrès en couture.
9/ Préparer la fête, accueillir les premiers invités qui dorment à la maison, c'est déjà un peu la fête.
10/ Une magnifique soirée, malgré une météo désastreuse. La messe était magnifiquement animée (merci les musiciennes !), nos amis avaient préparé des animations et chansons et, à 35 dans le salon, nous étions bien serrés mais ça l'a fait.
11/ On continue la fête, cette fois à 20 dans le jardin, grâce au retour de l'été. C'est tellement bien d'avoir le temps de profiter des uns et des autres.
12/ Plus d'internet, téléphone ou télévision depuis 2 jours… c'est la petite motivation qui nous manquait pour aller à la répétition (malgré la fatigue).
13/ Je profite d'avoir mes deux filles à la maison tous les soirs, je sais que ça ne durera pas.
14/ Après avoir cherché une clé USB un peu partout, vidé les tiroirs, les sacs, les corbeilles à papier, je m'apprête à vider le sac de l'aspirateur lorsque je l'aperçois, bien cachée dans l'épaisseur d'un cadre (on a déplacé beaucoup de meubles et d'objets samedi, pour accueilir nos invités), je suis infiniment soulagée (et je me promets d'en copier le contenu sur mon ordinateur, promesse que je vais oublier dans 10 minutes, comme toujours)
15/ Une soirée avec Marie : un flan aux aubergines (Aurore déteste) devant 3 épisodes de notre série "entre filles" (Emily in Paris, clairement ce n'est pas du grand art)
16/ Reprise des activités scoutes, nous faisons connaissance avec nos nouveaux équipiers (un renfort bien nécessaire).
17/ Après la reprise des cours de musique (tout doucement, parce que la tendinite est plus sensible que jamais), je vais faire les magasins avec Marie, mais nous ne trouvons pas grand chose, où sont passées les couleurs vives de l'automne ?
18/ Un aller-retour à Jambville pour le WE de rentrée des compagnons, une rencontre "en vrai" avec ma nouvelle binôme et un passage à la boutique : c'est tellement agréable sous le soleil, ce lieu ! 
19/ L'althéa se couvre de feuilles bien vertes, il avait donc supporté la transplantation de mars mais manquait juste d'eau.
20/ Je me réjouis d'être encore en vie, après m'être étranglée avec mon café ce matin, parce qu'une collègue m'a fait rire (j'ai vraiment frôlé la noyade !)
21/ Aurore a un besoin urgent de chaussures et un trou de 3 h dans son emploi du temps, je la rejoins devant la Sorbonne et nous profitons du beau temps pour déambuler au Luxembourg et dans le quartier latin.
22/ Après des dizaines de mails, on arrive à un compromis acceptable pour les tenues médiévales de notre ensemble de musique (les robes pseudo-renaissance en polyester et à grandes manches expédiées de Chine, choisies initialement par le chef, non merci ! Je suis contente d'avoir eu le soutien de toutes mes collègues sur ce coup-là). Bon, c'est principalement moi qui vais les coudre… mais j'ai 3 semaines, c'est large (je vous entends rire derrière vos écrans).
23/ Nos plants de tomate continuent à fournir de beaux fruits malgré le froid, quel délice ! 
24/ Un samedi un peu cahotique, qui se termine de belle façon, au restaurant avec Aurore.
25/ Deux nouvelles trousses bébé qui me plaisent, après avoir tant hésité sur les tissus, et nos voyageurs de retour de Normandie avec plein de petits restes délicieux.
26/ Le temps des soupes est revenu : patate douce, lentilles corail, lait de coco, curry, un délice ! 
27/ Première flambée de la saison, l'arrivée de l'automne est un peu brutale cette année mais on a de quoi résister.
28/ Un gros cageot de pommes "pour compote" bradées et deux kilos de coings, heureusement que j'avais un tendeur dans mon sac à dos, pour rapporter ces achats imprévus sur mon porte-bagages.
29/ Première grève de train de l'année, je suis contente d'être en télétravail aujourd'hui.
30/ Début de notre saison théâtrale avec Marivaux, dans une salle pleine (notamment quantité de lycéens qui ont bien apprécié la pièce, apparemment)

 

30 septembre 2022

Le tour du monde en 80 livres #8

C'est un petit challenge lecture créé par Bidib. En septembre, j'ajoute seulement 4 lectures et 3 pays à ma liste, mais j'ai aussi commencé d'autres livres que j'avais emprutés et que j'ai abandonnés au bout de quelques pages. À ce stade, je ne peux plus parcourir au hasard les rayons de la médiathèque et me fier à la couleur des couvertures ou aux noms des auteurs, je retombe trop souvent sur des pays déjà visités. Il va me falloir préparer un peu plus mes voyages littéraires !

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Afghanistan

Spôjmaï Zariâb, La plaine de Caïn. Treize nouvelles regroupées en deux parties : La femme et la vie, La femme et la mort, écrites pendant la dictature communiste en Afghanistan. Tout est hostile dans ces nouvelles, les personnages n'ont plus aucun repère et nombre d'entre eux sombrent dans la folie (la nouvelle "les signatures" m'a fait fait penser à Kafka), les voisins ne prêtent plus attention les uns aux autres. Quelques nouvelles évoquent plus directement la violonce des occupants, ou la violence faite aux femmes. 
Une très belle écriture (du moins la traduction, puisque l'ouvrage a été écrit en persan), mais à lire quand on a le moral ! 
« Je rêvais que ces signatures se mettaient en mouvement : leurs jambages se tordaient et devenaient de grands personnages qui me menaçaient du regard et s'approchaient de moi avec lenteur, les yeux chargés de haine. Je voulais m'enfuir mais, de quelque côté que ce fût, je me heurtais de tout mon corps aux murs du bureau. » 

Finlande

Sofi Oksanen, Baby Jane. La narratrice relate sa liaison amoureuse avec Piki, qui vit recluse dans son appartement d'Helsinki, par peur panique de sortir, ses vaines tentatives pour la guérir, ses gestes de folie également, qui aboutissent à une rupture, puis le contact qui se rétablit pour faire tourner leur petite entreprise très particulière. La fin reste énigmatique : que s'est-il vraiment passé, ce jour-là ? Un roman sur la dépression, le mal de vivre et la jalousie.
« Et je croyais que tout cela était possible, je n'avais aucune raison d'en douter. Nos rêves n'avaient rien d'irréaliste : c'étaient de jolies choses, qui ne nécessitaient rien d'autre qu'une bien-aimée et assez d'amour, ce dont on avait à profusion. Il fallait aussi le désir de les réaliser, bien sûr, mais cela aussi on l'avait. On avait tout ce qu'il fallait pour accomplir ces choses. On irait à Linnanmäki ; à un jeu de tir ou de massacre, Piki me décrocherait un gigantesque animal en peluche que je serais fière de porter toute la journée. On irait se promener dans la neige fraîche et on contemplerait nos traces de pas contiguës derrière nous. On ferait cela ensemble. Tout cela serait à nous. »

Arto Paasilinna, La douce empoisonneuse. Linnea s'est sacrifiée pour son neveu Kauko, qu'elle a recueilli tout petit. Lorsqu'il sort de prison et vient chaque mois, avec ses amis, dans sa petite maison à la campagne lui extorquer la plus grosse partie de sa pension et la malmener, c'en est trop et elle décide, si elle ne peut échapper au trio infernal, de mettre fin à ses jours. Mais le destin va contrecarrer ses plans de manière inattendue.

Thaïlande

Rattawut Lapcharoensap, Café Lovely. Un recueil de sept nouvelles sur la Thaïlande d'aujourd'hui : Les farangs (touristes occidentaux) dont tombe régulièrement amoureux le jeune Luk, amourettes qui durent le temps de leur séjour dans l'hôtel que tient sa mère, les relations conflictuelles entre deux frères, le dernier voyage d'un fils avec sa mère qui perd la vue, les réfugiés cambodgiens chassés de campement en campement, la cruauté des combats de coqs… ce sont avant tout les rapports humains et sociaux qui sont peints dans ce recueil, ainsi que la méfiance universelle vis-à-vis de ceux qui l'on ne connaît pas. 
« À l'époque, j'avais vaguement compris qu'il était dangereux d'être Khmer rouge, comme d'être cancéreux par exemple. Quand on avait le khmer rouge, on devait perdre ses cheveux, devenir tout pâle et beaucoup trop maigre, et cracher des glaires vertes dégoûtantes comme l'oncle Sutichai que nous allions voir à l'hôpital les dimanches. Si cette petite fille avalt le khmer rouge, il fallait à tout prix l'empêcher de le refiler à Dong. »

cafépaasilinababyLa plaine de Caïn - Spôjmaï Zariâb - Babelio

Afrique

Algérie :
Kamel Daoud, La préface du nègre : le Minotaure 504 et autres nouvelles

Burkina Faso :
Roukiata Ouédraogo, Du miel sous les galettes.

Ghana :
Yaa Gyasi, No home.

Maroc : 
Mohamed Leftah, L'enfant de marbre

Nigeria : 
Chigozie Obioma, Les pêcheurs

Rwanda :
Gaël Faye, Petit pays.
Scholastique Mukasonga, L'iguifou, nouvelles rwandaises. 
Beata Umubyeyi Mairesse, Tous tes enfants dispersés.  

Sénégal:
Birago Diop, Les contes d'Amadou Koumba
Fatou Diome, Celles qui attendent

Togo : 
Kossi Ejoui, L'ombre des choses à venir.

 

Amérique

Brésil :
Paulo Coelho, L'Alchimiste.

Canada :
Jean-Paul Dubois, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon (prix Goncourt 2019).
Nancy Huston, Le club des miracles relatifs.

Chili : 
Luis Sepúlveda, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler et Histoire du chat et de la souris qui devinrent amis.

Colombie :  
Gabriel Garciá Márquez, La Mala Hora.

États-unis :  
Jack London, Martin Eden
Harper Lee, Va et poste une sentinelle.

Mexique :
Laura Esquivel, Chocolat amer. 
Carlos Fuentes, Une certaine parenté

Pérou :
Mario Vargas Llosa,  La Tante Julia et le scribouillard.

 

Asie

Cambodge :
Tian, L'année du lièvre (BD) : 1. Au revoir Phnom Penh. 2. Ne vous inquiétez pas. 3. Un nouveau départ.

Chine :
Qiu Xiaolong, La danseuse de Mao.

Inde :
Rohinton Mistry, L'équilibre du monde.

Iran :
Fariba Vafi, Un secret de rue

Japon :
Haruki Murakami, Le passage de la nuit. 
Durian Sukegawa, Les délices de Tokyo.

Sri Lanka :
Antonythasan Jesuthasan, Friday et friday.

Vietnam :
Kim Thúy, Man. 

 

Europe

Allemagne :
Eduard von Keyserling, Altesses.
Marlen Haushoffer, Le mur invisible.

Belgique :
Amélie Nothomb, Antéchrista.
Michel Van Zeveren, Le plat du loup plat.
Nadine Monfils, Les folles enquêtes de Magritte et Georgette. 1. Nom d'une pipe !

Danemark
Jens Christian Grøndahl, Quelle n'est pas ma joie

Espagne :
Carlos Ruiz Zafón, Marina

France :
Maurice Leblanc, Arsène Lupin
Riad Satouff, Le jeune acteur
Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art
Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi et Les racines du ciel)

Hongrie :
Magda Szabó, La porte et Abigaël.

Irlande
Maggie O'Farell, Assez de bleu dans le ciel

Islande :
Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande

Italie :
Alessandro Baricco, Novecento : pianiste. Un monologue.

Norvège
Gunnar Staalesen, Le loup dans la bergerie

Pays-Bas
Toine Heijmans, En mer

République Tchèque :
Kafka, Le procès et La métamorphose

Royaume-uni :
Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno
Mhairi McFarlane, Et ne t'avise pas de m'embrasser.

Suède :
Camilla Läckberg, Femmes sans merci. 
Katarina Mazetti, Le mec de la tombe d'à côté

Jonas Jonasson, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.
Vilhelm Moberg, La saga des émigrants (7 tomes)
Stieg Larsson puis David Lagercrantz, Millenium (6 tomes) 

Suisse :
Joël Dicker, L’Affaire Alaska Sanders. 

Ukraine :
Andreï Kourkov, Le jardinier d'Otchakov.

 

Océanie

Australie :
Joan Lindsay, Pique-nique à Hanging Rock

Nouvelle Zélande :
Eleanor Catton, La répétition.

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28 septembre 2022

Les questions du dimanche

  • Que pourriez-vous faire par amour ?

Contrairement à la réponse idéale, je ne pense pas que je donnerais ma vie ! Mais pour ma famille, mes amis, je donne beaucoup de mon temps et de ma personne. Par exemple, découdre et détricoter l'encolure montante d'un pull du commerce et la retricoter avec des aiguilles minuscules.

  • Quel est votre don ?

Chanter juste. Après, j'ai une certaine créativité et une bonne capacité d'organisation, mais ma voix est vraiment ce qui m'a été "donné" et je n'ai pas tellement besoin d'y travailler.

28 septembre - 1 (2) une photo où je n'ai pas l'air d'une demeurée (photographier un chanteur en pleine action est difficile)

Quel est le dernier vêtement que vous avez acheté et pourquoi ?

J'ai acheté un lot de brassières cet été, parce que le frottement du soutien-gorge m'irritait jusqu'au sang à cause de la chaleur. 

  • Quel âge avez-vous ? et dans votre tête / dans votre corps cet âge vous semble-t-il ok ou une vaste fumisterie ?

Dans ma tête, j'ai 35 ans… mais mon corps essaye de me faire croire que j'ai passé les 65, avec des douleurs un peu partout, accentuées ces jours-ci par l'humidité et le froid (je vais 3 fois par semaine chez 2 kinés différents !). Et puis, qu'est-ce qui se passe avec le temps ? Pourquoi les années raccourcissent-elles sans arrêt ?

  • Quel est votre conte de fée, légende ou mythe préféré et pourquoi ?

Comme Dr Caso, je suis certaine que vivent dans ma maison des petits lutins farceurs qui cachent nos affaires. Selon la légende, autrefois ils étaient beaucoup plus gentils et rendaient toutes sortes de services, mais ils ont été maltraités et se vengent désormais. Pourtant, je suis formelle : je n'ai jamais fait de mal un lutin ! Ça doit dater des anciens propriétaires !
(non, en vrai, c'étaient des gens adorables)

Et la question subsidiaire d'Anne : Parmi les dons et personnages d'Harry Potter, quel est celui qui vous serait le plus utile ?

Ah, je rêve toujours du retourneur de temps d'Hermione (de plus, c'est un très bel objet). Transplaner me plairait bien également.
Quant à l'elfe de maison, Anne, tu sais que j'en ai eu deux, successivement, durant quelques mois, et j'ai apprécié à leur juste valeur ces périodes ! 

 28 septembre - 1

27 septembre 2022

Le retour de la cigogne

Je n'avais pas cousu de trousse bébé depuis janvier ! Un coup de fil d'une amie il y a 10 jours, qui avait eu des naissances dans son entourage et devait justement passer à Versailles lundi, et me revoilà à chercher l'inspiration devant ma boîte de tissus et mes motifs de broderies. Cette fois, j'ai eu du mal, surtout pour Léonard ("un bébé très souriant, qui ne pleure jamais"), j'ai changé 4 fois de tissu avant de me décider. Il faut vraiment que je renouvelle mon stock de tissus "garçons".

27 septembre - 7 J'adore ce petit cochon !

27 septembre - 8

27 septembre - 227 septembre - 3

Pour Léon, le thème devait avoir un rapport avec la musique… mais mes broderies musicales sont soit trop réalistes, soit très féminines. Et puis j'ai eu l'idée de cette portée et de ce jeu de mot (vous l'avez ?)

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Voilà deux petits garçons bien équipés pour leurs déplacements en famille !

27 septembre - 1

 

 

 

 

 

 

 

 

 

25 septembre 2022

Défi 52/2021 : Gérer le quotidien

Le thème du jour proposé par Virginie est une citation : « Vivre, c'est réponde en permanence à des problèmes d'intendance. » (Serge Joncour, Chien-Loup)

Depuis une semaine, je savoure d'avance ce week-end seule (ou presque) à la maison : certes, j'ai deux cours de musique samedi, mais je vais déjeuner rapidement et le reste du temps, je vais coudre les 3 trousses prévues.

Vendredi soir, j'ai proposé à une amie de l'accompagner à la messe du soir. Et Marie était en panique : elle est chargée du déjeuner mensuel à l'agence, lundi (chacun cuisine à tour de rôle), mais doit remettre un gros dossier ce jour-là, sous peine de pénalités de retard énormes, elle n'a pas trouvé tous les ingrédients nécessaires et n'aura pas beaucoup de temps pour cuisiner en rentrant dimanche.

Alors… hier matin l'amie d'Aurore qui a dormi ici (et Aurore avait oublié ses clés, se faire réveiller à minuit par le téléphone, c'est cool) était encore à la maison quand je suis partie, j'ai donc un peu discuté avec elles. Et lorsque je suis revenue, les filles faisaient cuire des pâtes. Mon téléphone a sonné, je suis restée longtemps avec mon interlocutrice, surtout que je pensais la veille que je devais l'appeler. Pendant ce temps, j'ai réussi à démarrer une broderie, le téléphone sur l'épaule (tiens, je me demandais pourquoi j'avais mal aux cervicales !), à sortit un filet de truite du congélateur : flûte, il n'y a plus de brocolis, bon, des petits pois et des épinards alors. J'ai refusé de conduire les demoiselles à la gare. La conversation a été brutalement interrompue par l'extinction de mon téléphone. Je l'ai mis en charge, j'ai cuit mes légumes en faisant des allers-retours avec la lingerie pour changer les fils. J'ai mangé en sortant des partitions entre deux bouchées. J'ai rempli le lave-linge et je l'ai programmé pour la nuit. Je suis partie à ma répétition. En sortant, je suis allée compléter les courses de Marie (le samedi après-midi, dans un hypermarché blindé de monde). J'ai lancé une nouvelle broderie et j'ai un peu repassé l'énorme tas de nappes et serviettes (quand on reçoit…). J'ai nettoyé le poulailler. Les poules ne semblaient pas prêtes à rentrer, je les ai laissées dehors et je suis partie à la messe. J'avais réservé à la pizzeria pour 20h, mais je suis allée raccompagner l'un des musiciens à son foyer. À 19h50, je suis passée chercher ma fille en espérant qu'elle aurait rentré les poules : elle n'était pas à la maison. Les poules couraient en tous sens dans le jardin et refusaient de rentrer. Au téléphone, Aurore m'a dit qu'elle me rejoignait au restaurant, je suis partie sur les chapeaux de roues.

Voilà, c'était la moitié de mon week-end "à mon rythme", ce matin, j'ai étendu le linge, je suis allée courir, j'ai cuisiné, terminé mes broderies, le tas de repassage n'a presque pas baissé, je vais essayer de coudre au moins deux trousses mais je dois aussi éplucher et couper les fruits et légumes de Marie, envoyer les documents promis hier au téléphone, re-nettoyer le poulailler…

Cerise sur la charge mentale, on remet des chaussettes et des masques (dans les transports)… ça ne m'avait pas manqué !

25 septembre - 1

 

22 septembre 2022

Les questions du dimanche

Mes réponses (très en retard) au questionnaire de DrCaso :

Après une mauvaise journée, ressassez-vous les mêmes pensées pendant des heures ? (du style, j’aurais dû dire ça, je suis vraiment nulle, pourquoi n’y ai-je pas pensé…)

Parfois oui, mais le plus souvent, je suis très vite prise par autre chose dans la soirée et… ces questions me reviennent vers 2-3h du matin et m'empêchent de me rendormir.

Quel est votre apéritif préféré ?

Depuis cet été, le Spritz. Sinon, un bon verre de Gewurtzraminer ou de champagne, du muscat, jamais d'alcool fort. Et des amis pour la partager.

20 septembre - 1

(donc, très logiquement, je mets une photo de bières)

Quels arbres ou plantes aimeriez-vous avoir dans votre jardin idéal ?

Un figuier (mon jardin n'a aucun endroit suffisament ensoleillé et abrité du vent), une glycine (aucun endroit adéquat non plus), un magnolia étoilé (prévu très prochainement).

Seriez vous capable de donner un de vos organes pour sauver la vie d’un criminel ?

Je n'aime pas du tout l'idée, mais vu que le don d'organes est anonyme et que je suis à 100% pour que l'on donne mes organes (s'il en reste en bon état) après ma mort… c'est théoriquement possible, hélas.
Pour la situation inverse, lire ou relire La petite marchande de prose (et tous les volumes de la saga Malaussène)

Y a-t-il des membres de votre famille élargie (oncles et tantes, aïeux, cousines et cousins à des degrés divers) dont personne ne semble savoir ce qu’ils sont devenus ? (pas en mode disparition inquiétante, mais en mode, Tiens, ça fait longtemps que je n’ai pas de nouvelle de Tonton Machin, si je demandais à cousine Truc et cousine Truc dit Ah ben non je n’en sais rien justement je comptais te poser la question ; et au bout du compte, chacun pensait que d’autres étaient restés proches mais en fait personne)

Je ne suis pas du tout assidue pour prendre des nouvelles des uns et des autres, mais je suis certaine que tous les membres de ma famille, même élargie, sont en contact au moins avec l'un de leurs proches et que je peux avoir de leurs nouvelles à tout moment (si je prends le temps de décrocher le téléphone).

Et la question subsidiaire d'Anne : 

Aujourd'hui je cède, je remets des chaussures, une veste, et même un foulard (il fait 7°) ! Êtes vous frileux-se ?

Oh oui ! Les soirs d'hiver, je ne m'endors qu'avec une couverture supplémentaire au-dessus de la couette et une bouillotte bien chaude dans le dos. Et depuis que mon thermostat interne s'est encore plus déréglé, ça devient compliqué de m'habiller ! 

20 septembre - 1 (1)

18 septembre 2022

52/2022 : un détail

Ce dimanche, c'est le Dinosaure qui a choisi le thème du jour chez Virginie : macro/proxy photo.

Je ne suis pas équipée pour ce type de photo, mais je me suis rappelée les perles de pluie dans les sedums photographiées avec mon téléphone au printemps : c'est incroyable ce que la surface hydrophobe des feuilles peut faire avec de simples gouttes d'eau !

18 septembre - 1

Marie a fait de même, je vous laisse juger quel est l'appareil le plus performant !

18 septembre - 1 (1)

 

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