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attraper le temps qui file…

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15 décembre 2017

Il était cinq fois Noël : je décore la maison

Lundi, j'étais restée avec une interrogation quant à mes 4 bougies de l'Avent. Mercredi, en sortant pour "courir" (j'en suis à 6 fois 1min30, rien de transcendant mais je n'ai pas mal au tendon — aux cuisses, si — le souffle revient tout doucement et ma kiné me dit que tout va bien, en principe on arrête les séances en janvier), je suis allée près des bosquets de pins, ça tombait bien, c'étaient des routes goudronnées ou gravillonées et je n'avais pas envie de m'embourber. J'ai trouvé de toutes petites pommes de pin, que j'ai passées à la gouache blanche très diluée. Quelques boules blanches, des fleurs artificielles et un coup de bombe de neige par-dessus, le tour est joué !

16 décembre - 2

Dans mon élan, j'ai installé la crèche, en restant dans le thème "Noël blanc".

16 décembre - 1

 

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14 décembre 2017

19e rencontre parents-professeurs

J'ai compté ! (j'en ai délégué trois à mon mari : celles qui ont ont eu lieu le samedi matin)

Il y a eu celles du collège des aînés : rendez-vous pris à l'avance avec 4 professeurs, pas plus ! Du coup, que choisir ? Les matières où les notes sont les plus catastrophiques ? Les matières "principales" (effectivement, les profs de musique, EPS, arts plastiques et techno ont des plannings bien vides, sauf quand ils sont professeur principal d'une classe) ? Les rencontres commençant à 17 heures, forcément, c'est toujours moi qui m'y suis collée, avec à mes côtés un ado pas fier de lui, pour entendre toujours le même discours : il/elle ne travaille pas assez, il ne faut pas hésiter à poser des questions s'il/elle n'a pas compris… et au final, bien peu de solutions proposées, les promesses d'indiquer à l'élève des méthodes de travail, de lui prêter un livre pour aider à son travail personnel, n'ont jamais été tenues ! Ce qui n'était pas tenu, non plus, c'était la durée des rendez-vous : toutes les 10 minutes en théorie. En pratique, on courait d'une salle à l'autre, on inversait des rendez-vous, on rentrait à la maison avec une bonne heure de retard sur l'horaire prévu.

Au lycée de Paul, peu de changements, si ce n'est que les salles de classe étant situées sur plusieurs niveaux et deux bâtiments, c'était encore plus compliqué de jongler entre le retard des uns et l'avance des autres. Le discours cependant m'a semblé un peu plus positif au début, on sentait les professeurs désireux de faire réussir leurs élèves. Il est devenu un peu plus culpabilisant en terminale : là, c'était du sérieux et le lycée devait conserver ses statistiques de réussite.

Mais ce que je retiens de toutes ces heures passées à attendre dans le couloir, c'est un certain fatalisme : j'allais passer un mauvais quart d'heure, pas de bonne surprise à attendre.

Alors forcément, l'entrée de Marie en lycée professionnel et celle d'Aurore au collège ont marqué le début d'une période plus paisible. Marie est passée de collégienne en difficulté à lycéenne "presque" épanouie ; à la première réunion, j'ai encore entendu "il faut qu'elle participe plus à l'oral", "son niveau d'anglais est vraiment très bas". L'année suivante, ce n'étaient que des compliments. J'ai découvert que ma jeune fille timide était devenue une chef d'équipe compétente et écoutée, respectée de garçons pourtant costauds et lourdauds (certains surnommés "sangliers" par leurs profs). En revanche, ce qui ne s'arrangeait pas, c'était le rythme de passage : plus de rendez-vous, c'était premier-arrivé-premier-reçu et j'enviais les parents (retraités ?) qui venaient à deux avec leur lycéen, pouvant ainsi courir trois lièvres à la fois ; sauf que pour certains, c'était pour recevoir un terrible verdict — je n'écoutais pas aux portes mais ils parlaient bien haut parfois — avec nécessité de chercher de toute urgence un CAP de secours… moi, je venais juste recevoir confimation que deux demandes de BTS, c'était déjà trop (APB, mon cauchemar !)

Quant au collège d'Aurore… j'ai hésité à prendre rendez-vous, ayant pitié des professeurs qui cumulent ces rencontres. Finalement, je l'ai fait pour montrer à ma collégienne que je ne me désintéressais pas complètement de sa scolarité. Les professeurs me disaient "Vous savez, c'est agréable pour nous parfois de pouvoir faire des compliments, ça nous change un peu".

Cette 19e rencontre marque un changement : elle est dans une très très bonne classe d'un prestigieux établissement, alors forcément les moyennes ont chuté, mais je ne me fais pas de souci, on va dire qu'il lui reste une bonne marge de progression. Elle aussi a bien trouvé sa voie, je m'étonne de la voir changer de jour en jour. Le bulletin me sera remis par la prof de maths, je ne vais pas entendre de compliments cette fois, c'est une littéraire et je me félicite chaque jour d'avoir œuvré l'an dernier pour qu'elle aille dans ce lycée, dans cette classe de dinosaures (c'est le surnom d'usage pour les latinistes-héllénistes). Et je suis prête : ma liseuse est chargée, mon téléphone aussi, j'ai une bouteille d'eau, je peux tenir un siège de plusieurs heures dans les couloirs !

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13 décembre 2017

Il était cinq fois Noël : album jeunesse

C'est le jour de découvrir un album jeunesse, au chalet ! Ici, les albums se font rares, certains ont été donnés, d'autres rangés au grenier. J'ai toutefois déniché un livre qui m'avait été fort utile à l'époque où le calendrier de l'avent familial comportait, au lieu de chocolat ou petits objets, des activités pour patienter jusqu'à Noël : confection de sablés, achat ou décoration du sapin, installation de la crèche, pâte à sel… et souvent, les soirs de semaine, c'était une histoire, une chanson, une comptine de Noël.

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Une dizaine de comptines

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six longues histoires (dont la légende de Saint Nicolas)

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et quinze chants traditionnels avec leur partition

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un livre bien complet pour préparer Noël avec des enfants !

 

Et ce soir, nous fêtons la Sainte Lucie avec notre lumineuse Aurore.

11 décembre 2017

Il était cinq fois Noël : blanc comme neige

Oh, que j'ai du mal à suivre le rythme, ces temps-ci ! Beaucoup de travail, du genre dispersé avec des revirements qui me rendent folle, des transports anarchiques (ce matin, j'ai couru d'un quai à l'autre pour voir deux trains partir successivement sur une voie où ils n'étaient pas annoncés), une météo changeante avec une dominante de pluies glaciales, des réunions à n'en plus finir… la maison ne ressemble à rien. Et pourtant, je ne veux renoncer ni au don du sang, ni aux concerts, ni aux pains d'épices de la Saint-Nicolas. Ça passera (ou pas).

Heureusement qu'il y a le challenge « cinq fois Noël » pour me rappeler que le temps passe ! Blanc comme neige, c'était samedi matin (avec une Miss Aurore qui s'est faite attraper au moment de partir en petite robe, tennis en toile, sans pull, ni écharpe, ni gants ! C'est beau la jeunesse…).

11 décembre - 1

 

Alors ce soir, j'ai ressorti la couronne blanche de l'an dernier

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et déplié, puis décoré le sapin

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Chouette, la guirlande lumineuse fonctionne toujours !

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et je cherche l'inspiration pour un "plateau" de l'avent…
des pommes de pin peintes en blanc, des feuillages ?

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10 décembre 2017

10 du 10 : lumières

C'est le thème proposé pour ce dimanche par J'habite à Waterford.

La lumière, aujourd'hui, il va falloir la créer artificiellement ! La pluie a battu les volets toute la nuit, c'est la tempête annoncée qui débute.

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Ce matin, c'est couture au programme ! Mon ampoule "lumière du jour" m'est une aide précieuse, surtout pour assortir les couleurs.

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De temps en temps, le vent chasse les nuages et le soleil fait son apparition

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Près de l'ordinateur, une lampe en galets et bois flotté nous rappelle nos origines normandes

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Nous avons reçu deux orchidées supplémentaires pour notre anniversaire de mariage, une étagère les accueille désormais, juste sous le vélux au nord, elle s'y trouvent bien apparemment (notre voisine, qui noius avait confié la sienne pour un mois de vacances, n'en revenait pas de la voir pleine de jeunes pousses)

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C'est l'heure de partir au bal du téléthon ! La tendance lumineuse est au rouge cette année.

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Rouge aussi la petite lampe qui s'allume quand la danse va se terminer (si le chef a bien pensé à l'éteindre en début de morceau…). En principe, on s'arrête quand le chef a levé le pied, mais lorsque nous sommes nombreux, c'est plus compliqué.

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L'une des danseuses a opté pour une tenue "particulière" : jupe Père Noël et ceinture lumineuse !

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Les lumières me guident le long du chemin, afin que je ne me perde pas dans la forêt

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5 décembre 2017

Il était cinq fois Noël : chaleur

J'avais pourtant réservé ma chambre au chalet, mais je suis en retard pour le défi « Il était cinq fois Noël » de Samarian et Chicky Poo ! Pour la troisième année, je les rejoins avec plaisir dans cette attente des fêtes.

Calendrier Samarian

Hier, c'était donc le défi photo avec « Chaleur ». Je passe pas mal de temps dans ma lingerie ces jours-ci, une pièce rarement chauffée, peu isolée, au-dessus du garage. Alors je mise sur deux valeurs sûres : mon fer à repasser et une boisson chaude, de préférence dans une jolie tasse, comme celle-ci, offerte par mes enfants qui ont trouvé qu'elle ressemblait à la chouette fétiche de Farbenmix.

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C'est parti pour une petite heure de couture avant une énième réunion ! 

Il était cinq fois

 

3 décembre 2017

Bonheurs de novembre

Voilà, nous sommes vraiment passés de l'automne à l'hiver, en quelques jours. Le marathon couture est lancé et le rythme des activités reste soutenu pour tous les cinq.

3 décembre - 1

1/ Un bon repas en bonne compagnie, mais je me crois dimanche ! 2/ Reprise des activités couturesques (autres que des réparations). 3/ Une petite virée parisienne, fatigante mais fructueuse : j'ai trouvé mon morceau de popeline framboise, les fermetures souhaitées, la pochette de crayons pour Marie et — cerise sur le gâteau — le manteau repéré hier par Aurore, avec la taille et la couleur désirées. 4/ Une journée bien tranquille et des crêpes maison. 5/ Un goûter entre amis pour clôturer ces petites vacances. 6/ Rentrée en musique, avec un programme chargé. 7/ Nous avons un crapaud ! Souvenirs de mes vacances dans la maison de Bretagne… 8/ Après des semaines d'arrêt, renouer avec la course, en douceur (5 fois 30 secondes, on verra si le tendon tient le coup) et les mercredis asiatiques (Danhobak Jjim). 9/ Toujours une belle complicité entre frère et sœurs, ils se sentent responsables les uns des autres, c'est un bonheur à vivre. 10/ Je ne m'en croyais pas capable mais j'ai dit non au très gros service qu'on me demandait ! 11/ Apprendre une naissance tant attendue, savoir tout de suite quelles broderies et tissu conviendront, me mettre au travail. 12/ Une belle journée pour les 10 ans de notre groupe (un peu tiraillée entre le violon et le taxi). 13/ Ça y est, notre vieille citrouille s'est changée en carrosse ! 14/ C'était ma pharmacienne préférée aujourd'hui, nous avons discuté de nos préoccupations de mamans de grands ados (pas trop, quand même, il y avait du monde…) 15/ Dossier plomberie clôturé (nous attendions un accessoire depuis août quand même, cette fuite aura eu du bon). 16/ La splendeur de l'automne, le rouge des liquidambars, le jaune vif des érables champêtres, toutes les nuances d'orange des tulipiers. 17/ Paul a décroché un stage (plus court que prévu car non-gratifié, les temps sont difficiles) et peut commencer dès lundi, ce qui lui sauve ses prochaines vacances, pas loin, sans prendre les transports en commun, dans un domaine totalement différent de tout ce qu'il a fait jusqu'alors, magnifique ! 18/ Après une belle journée où tout s'est enchaîné comme prévu, profiter d'avoir un cavalier pour se lancer dans des valses, bourrées, chapeloises, cercles, Andro, Hanter-dro et finir par une tarentelle (aussi fatigante à danser qu'à jouer !). 19/ Une petite course sous le soleil, un délicieux tajine, le retour de la messe avec une Aurore volubile, enthousiaste et pleine de projets (mais où va-t-elle chercher cette énergie ?) 20/ Une soirée calme, ça devient rare. 21/ Un très beau concert de jazz de la chorale où chante notre amie, belle musique, belle mise en scène, chorégraphies au top, quel travail ! 22/ J'ai trouvé le nouvel Ottobre Famille (sinon, cette journée a été épouvantable). 23/ Sur tout le trajet pour le Pilates, je me plaignais d'être si fatiguée… et arrivées sur place, le cours est annulé : le professeur est parti à la maternité ! Marie et moi avons quand même fait une petite séance dans le salon. 24/ Séance "dentiste" pas catastrophique : une carie, dont je me doutais, soignée sans douleur (les anesthésies ne sont jamais efficaces à 100% chez moi) et pas besoin d'y retourner avant 6 mois. 25/ J'ai bien fait d'accompagner Marie à l'arrêt du bus : le chauffeur ne s'est pas arrêté ! Mais mes cris ont alerté le conducteur d'un autre bus, qui a klaxonné et fait des appels de phares à son collègue… m'épargnant ainsi une bonne heure de conduite. 26/ Déjà dix ans que nous n'avions pas été tous réunis, quel bonheur de se retrouver entre cousins ! 27/ Ce sauté de porc aux pruneaux qui a juste un peu attaché à la casserole est un délice (mais il était temps !) 28/ Aurore est décidément bien dans son lycée et sa classe, c'était un choix pertinent. 29/ Quand le feu prend du premier coup, c'est tellement plus simple. 30/ J'aime voir tomber la neige à gros flocons (si je ne dois pas sortir en voiture, évidemment).

 

 

 

21 novembre 2017

Pour Louise

Elle se faisait attendre, cette petite, mais ça en valait la peine : elle est ravissante !

J'avais eu quelques idées d'associations tissu/broderies mais dès que j'ai appris sa naissance et son prénom, il m'a paru évident qu'il fallait ce tissu fleuri et du lin. Message reçu samedi matin, broderie samedi après-midi, couture le soir (j'attendais le retour d'Aurore d'une journée passée dans le froid et sous la pluie avec les scouts), dernières finitions dimanche matin.

 

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Bienvenue à Louise et félicitations aux heureux parents et aux jeunes grands-parents !

20 novembre 2017

Je ne suis pas aidée !

Alors que je décide de me remettre un peu à coudre (enfin, coudre autre chose que des pièces sur des pantalons déchirés, ce qui a été ma grande activité d'octobre, entre deux quintes de toux), mes filles me font part de leurs besoins :

- Pour Aurore, le pyjama en flanelle qu'elle m'avait demandé au printemps dernier et pour lequel elle a choisi un tartan. Elle le veut “bien large” (je n'invente rien). Je lui montre le patron (Burda), je prends ses mesures car il s'agit d'un patron pour enfants, je découpe (sans trop chercher à raccorder les carreaux car je n'avais guère de marge), je m'applique sur les coutures anglaises rabattues, parce que la flanelle, ça gratte… tout cela avec une demoiselle-courant-d'air (entre son emploi du temps chargé au lycée, ses trajets en train, ses multiples activités musicales, les scouts et ses visites à la médiathèque, elle est toujours partie !) peu disponible pour les essayages. Et finalement, elle le trouve trop large ! Tant pis, pour dormir, ce sera confortable.

 

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(au petit-déjeuner, nous l'appelons Jolitorax)

- Pour Marie, qui doit transporter, pour sa prépa-concours, un carnet de croquis format A3 et souhaitait un tote-bag "tout simple, Maman". Elle me confie son carton à dessins, je coupe un centimètre tout autour, j'assemble, je finis l'ourlet intérieur avec une jolie bande fleurie, puis je convoque la demoiselle pour ajuster la longueur des anses… et là, elle me signale que le carton est lui-même rangé dans une pochette plastifiée, plus grande, donc !

J'ai décousu une partie de la bande fleurie et, le côté du sac, puis ajouté un morceau pour l'élargir. Et comme le pyjama, ce sac rempli complètement son office, tant pis pour l'esthétisme (il ne faudrait pas que ça devienne une habitude…)

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Merci mes filles, je vous aime quand même !

 

15 novembre 2017

La loi des séries

Je pense que notre maison a un caractère bien trempé et craint qu'on ne l'oublie, au quotidien. Par conséquent, les équipements se relaient pour nous occuper, au rythme d'un tous les dix jours :

Début septembre, le portail est bloqué (fermé, évidemment): les deux battants se sont légèrement rapprochés l'un de l'autre, probablement les pilliers de béton qui ont joué avec toutes ces pluies… le week-end suivant, les hommes forts unissent leurs efforts pour régler les gonds.

C'est alors qu'arrive l'épisode "câble" : depuis début avril, nous avons des soucis de téléphone, entre autres. Or, nous venions de passer à la "fibre", c'est-à-dire que tout passait désormais par le câble d'antenne (installé en 1994) au lieu des lignes téléphoniques. Après de nombreux appels au support technique (et l'énervement qui s'ensuit inévitablement), nous perdions patience. Enfin, un technicien s'est déplacé. Après avoir repéré l'arrivée du câble dans le garage, l'avoir suivi dans la lingerie, puis une chambre, nous l'avons cherché dans le grenier (sous 50 cm de flocons d'ouate de cellulose) sans succès. 
Le dimanche suivant, en triant des photos, j'ai retrouvé celles-ci et remarqué une gaine électrique qui se baladait toute seule, à l'écart des autres. Je l'ai facilement récupérée sous les flocons et effectivement, elle contenait le câble !
Le mercredi, toujours avec le technicien, nous suivons ce câble de bout en bout, démontant quelques plaques de parquet au passage, afin de trouver un boîtier de dérivation qui serait cause de la déperdition de signal… rien ! Celui-ci doit se trouver dans l'épaisseur d'un mur. Il lui a donc fallu passer un nouveau câble au travers du garage, puis au bord du toit côté jardin, redescendre le long de la gouttière pour entrer dans le séjour. Forcément, à cet endroit précis, il y avait la réserve d'eau pleine (300 litres seau par seau, c'est un peu longuet à vider) et de l'autre côté du mur, une bibliothèque pleine aussi. Une fois la nouvelle prise posée, j'ai terminé le travail en découpant le fond de la bibliothèque pour passer le fil. Bilan : une bonne séance de gym !

Ensuite, ce fut le tour de la porte entre le garage et la cuisine (qui nous sert d'entrée, donc la plus sollicitée de la maison) dont le pène ne sortait plus (impossible donc à la porte de tenir fermée). Par chance, toutes les portes de la maison sont équipées de la même serrure et presque toutes s'ouvrent dans le même sens, restait donc à échanger avec une porte moins souvent utilisée.

Un matin, j'ai remarqué une grande flaque dans le garage. C'est toujours agréable, au moment de partir travailler, de devoir déplacer une étagère bien chargée pour éponger le sol ! L'étagère en question (que j'avais poussée un peu plus près du mur la veille) semblait appuyer sur le robinet d'arrêt, qui gouttait. Mais une fois celui-ci dégagé, il gouttait toujours un peu. Il n'a pas aimé son surmenage de l'été, probablement… j'attends le passage du plombier (en attendant, j'ai vérifié que je pouvais couper l'eau au compteur, je suis donc descendue dans la fosse et j'y ai rencontré un crapaud ! J'hésite à l'embrasser, je n'ai pas besoin de prince charmant pour l'instant).

Et puis c'est l'interrupteur du garage qui a lâché (oui, encore le garage). Interrupteur double (garage et cave), pour moitié va-et-vient, et équipé d'une diode pour prévenir de l'allumage de la cave. Lui trouver un remplaçant n'a pas été simple, mais le montage a battu tous les records de galère (4h pour réussir à brancher solidement tous les fils, les faire rentrer dans le boîtier exigu et refermer celui-ci).

C'est au moment où les températures ont frôlé les 0°C que le radiateur sèche-serviettes de la douche a refusé de chauffer, il n'est pourtant pas bien vieux ! Panne très courante, semble-t-il, il n'a pas été difficile de trouver des infos sur internet, de commander une nouvelle carte électronique et de la changer, vidéo à l'appui.

Dans une semaine (si tout va bien *), Schmidt vient nous changer une armoire de cuisine, dont la porte ne tient plus depuis le 8 mars. Meuble encore sous garantie à cette date, mais le magasin avait changé de gérant, puis changé de marque, et il m'a fallu harceler le service clients pour obtenir gain de cause ! Encore ont-ils tout décidé sans me demander mon avis, si bien que nous avons l'armoire neuve dans le garage depuis 4 semaines (60 cm de large, 2 m de haut, pas encombrante du tout… mais arrivée juste après la pose du câble, heureusement) en attendant le menuisier.

Je demande une pause !

 

* EDIT : si tout va bien, écrivais-je… le poseur m'a prévenue vers 17h qu'il n'aurait finalement pas le temps de passer (chic, c'était une joie de vider le contenu de 3 placards), le RV est remis à… fin janvier !

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