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attraper le temps qui file…

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6 juillet 2023

La culotte de Mémé

… ainsi nommée par ma charmante fille, quand elle a vu le résultat. Je voulais une alternative aux "shortys anti-frottements" du commerce, si possible en coton, mais pour l'instant ce n'est pas très concluant. Déjà, je me demande pourquoi ces articles sont introuvables en France (on trouve bien des modèles gainants, mais ce n'est pas le but recherché) et coûtent un tel prix sur les sites qui en proposent : ce ne sont jamais que des collants sans jambes, à 45 euros ! J'avais presque trouvé mon bonheur chez Snag tights, le modèles est effectivement léger et très extensible, bien confortable et tout doux, si ce n'est qu'il me remonte juste sous la poitrine et descend presque aux genoux, donc tient très, très chaud. 

Après avoir regardé les patrons existants et parcouru quelques sites de mercerie, j'ai décidé de faire un essai avec un jersey coton très fin, mais peu extensible, dans lequel j'avais cousu des moufles pour bébé avant la naissance de Paul ainsi que quelques petits accessoires bien utiles. Pour la dentelle élastique, je voulais pouvoir la toucher, je suis donc allée chez Fil 2000, où j'ai également pris de l'élastique à boxer tout doux. Ma peau est très réactive, le moindre petit morceau d'étiquette me pique toute la journée, ça complique un peu la donne. J'ai piqué au point zig-zag en tendant légèrement les élastiques, puis refermé une extrémité sur l'autre, à plat.

6 juillet - 36 juillet - 4

J'ai pris mon patron fétiche de bas de pyjama (Ottobre), j'avais décidé coller l'empiècement du haut sur les demi-jambes, mais je ne sais pas ce que j'ai fait, il m'a fallu remettre une pièce dans le dos. Verdict : c'est relativement confortable, la dentelle gratte légèrement (mais j'ai peur qu'un simple ourlet ait tendance à rouler et remonter sur les cuisses), je n'ai pas essayé de le porter "en vrai". L'effet "Mémé" est bien réel, probablement accentué par le blanc (mais je n'avais que ça en stock).

6 juillet - 16 juillet - 2

Si je renouvelle l'opération, j'irai chez Lionel Tissus chercher un jersey fin avec lycra au toucher pas trop synthétique, ça doit bien exister. Par exemple de la doublure pour maillot de bain.

 

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5 juillet 2023

Le tour du monde en 80 livres #16

C'est un petit challenge lecture créé par Bidib. En juin, j'ai lu 6 livres, j'ai exploré 3 nouveaux pays. Je m'approche des 80 !

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Tunisie

Habib Selmi, La voisine du cinquième.

« À présent, je la vois plusieurs fois par jour.
Elle s'appelle Zohra, mais la plupart des habitants de l'immeuble l'appellent “Mme Mansour”. D'autres disent la “femme de ménage”, ou la “Tusisienne”, de la même façon qu'ils appellent Mme Rodriguez la “Portugaise", et M. Gonzales, qui vit seul dans un appartement au cnquième étage l'”Espagnol” ».

Kamal est professeur de mathématiques dans une université parisienne. Zohra est la femme de ménage de sa voisine de pallier, Mme Albert. En apprenant qu'il est Tunisien lui aussi, elle devient moins réservée à son égard, le salue et échange quelques mots en tunisien lorsqu'ils se croisent. Kamal s'étonne lorsqu'il découvre que Zohra et son mari, un ouvrier retraité, habitent un appartement dans cet immeuble plutôt bourgeois, et non pas une chambre de bonne, et qu'ils en sont propriétaires. Peu à peu, un subtil jeu de séduction se noue entre les deux personnages. Pourtant, Kamal n'envisage pas un instant de tromper sa femme, Brigitte. Comme cette dernière a de plus en plus mal au dos, ils proposent à Zohra de travailler chez eux. Un peu plus tard, elle demande à Kamal de lui aprendre à lire et écrire l'arabe : elle n'est jamais allée à l'école et la bibliothèque de son voisin la fascine. Leurs rapports glissent peu à peu sur une pente dangereuse…

« C'est curieux comme la relation entre un homme et une femme peut être fragile, ambigüe, versatile ! Elle dépend de choses si simples, voire dérisoires. Il suffit parfois d'un regard à la dérobée, ou d'u geste spontané, d'un rire, d'un sourire, ou même d'une odeur pour que cette relation soit bouleversée et qu'elle prenne un tournant qui ne nous aurait jamais traversé l'esprit. » 

Pologne

Maryla Szymiczkowa, Madame Mohr a disparu.

Cracovie, 1893. Zohra, femme d'un professeur de médecine à l'université, rêve de s'introduire dans la haute société. Il lui a déjà fallu beaucoup d'efforts pour pousser son mari, totalement dénué d'ambition, à gravir les échelons et elle constate qu'il n'ira pas plus haut, à elle donc de trouver le moyen d'être reçue par des baronnes ou des comtesses. Les bonnes œuvres ? Ces dames lui confient des tâches subalternes et s'arrogent tous les honneurs. Jusqu'au jour où elle se rend à la Maison Helcel, maison de soins privée pour les malades et les vieux, pour récolter des lots de tombola, et qu'elle apprend que l'une des pensionnaires a disparu. La Miss Marple qui s'éveille en elle lui permet de découvrir le corps de la vieille dame là où personne n'avait songé à la chercher… et à décréter que sa mort n'est pas naturelle, contrairement au constat du médecin. Un autre décès, cette fois un crime sans doute possible, va lui fournir une occupation bien plus intéressante que coudre des sachets de lavande : interroger les uns et les autres, parcourir la région, tirer un à un les fils qui la conduiront vers la vérité.

 « Il était difficile de faire son chemin sans titre ou sans mari dans les plus hautes instances de la ville ou de la province. En même temps, dans sa vie quotidienne, dans la gestion du personnel de maison et l'échange des potins, elle se sentait comme dans un corset noué trop serré […] à une autre époque, elle aurait pu être davantage ele-même ; elle se voyait comme Cléopâtre, Zénobie, ou encore Grazyna, ou peut-être Élizabeth l'Anglaise, ou Jeanne d'Arc finalement – en tout cas comme une femme de pouvoir […]  En attendant, elle devait se contenter de donner ses recommandations à Franciszkka, de planifier les repas pour la semaine à venir et de veiller à ce que la poularde fût retirée à temps du four. »

« En un instant, elle éprouva cette sensation dont parlent les romans, où de brillants détectives découvrent soudain, en une illumination, la quasi-totalité des liens de cause à effet. Les faits commençaient à s'engrener comme les roues dentées d'un mécanisme, tous les éléments prenaient soudain sens, et même si l'un d'eux demeurait obscur, elle savait désormais où chercher. » 

Groenland

Mo Malø, Nuunk.

Troisième tome des aventures de Qaanaaq Adriensen:le chef de la police est autorisé à reprendre son poste, à certaines conditions. Hélas, les affaires le rattrapent et un tueur lui envoie les pièces d'un puzzle macabre partout où il se déplace, suivant le scénario de l'un des romans policiers de son père adoptif. Mais comment peut-il le suivre au travers du pays, alors même que ses voyages sont improvisés au dernier moment ? Peut-on l'accuser de paranoïa quand tous les événements semblent le viser directement ? 
Encore une fois, je me suis laissée prendre dans cette poursuite, même s'il arrive un peu trop d'accidents au personnage principal et qu'il est sauvé au dernier moment, à chaque fois, par un coup de chance inouï (et la redoutable efficacité de ses collaborateurs). Est-ce que je lirai la suite ? Oui, certainement.

Angleterre

Alan Bennett, La Reine des lectrices.

Imaginons que la Reine Elizabeth découvre, à près de 80 ans, le monde merveilleux des livres, et se prend de passion pour la lecture, au point qu'elle commence à négliger ses engagements protocolaires, ce que son entourage ne voit pas d'un très bon œil. Un tout petit roman, drôle et ironique, pour se souvenir de cette reine qui a toujours fait passer son devoir avant tout.

"Il a fallu tendre une main gantée de blanc pour en serrer d'autres qui étaient couvertes de sang et soutenir d'aimables conversations avec des individus qui avaient participé à des massacres d'enfants. Il a fallu patauger dans les tripes et les excréments. Je me suis souvent dit que pour une reine, le seul équipement vraiment indispensable serait une paire de cuissardes."

Maurice

Mariam Sheik Fareed, Le syndrôme de l'accent étranger.

Merci à Laurence de m'avoir conseillé ce livre plein de poésie. C'est l'histoire de Désiré, émigré de l'Île Maurice et balayeur à Paris, qui trouve dans le métro la sacoche oubliée par Alex, un cuisinier d'origine bretonne et apprenti romancier. Dans la sacoche, un ordinateur qui contient les premiers chapitres d'un roman, dont Sophie est l'héroïne. Désiré décide de proposer un marché à Alex : il lui rendra son ordinateur si celui-ci termine son roman. Et pour écrire sa lettre, il va se faire aider de Marie, bénévole à la soupe populaire, d'origine indienne, et un peu perdue dans ses études. Tous ces personnages ont quitté quelque chose, quelque part, voire pris la fuite, et cherchent un sens à leur vie, sans le savoir. Ils vont s'aider mutuellement à surmonter leurs blocages, s'apprivoiser les uns les autres. 

« Il ne pouvait pas refaire sa vie dans l'angle mort. Sa vie telle qu'elle aurait pu être. Celle dont il ne pouvait se souvenir, même en essayant de toutes ses forces, parce qu'elle n'avait jamais existé ainsi. »
« Elle s'initiait à un vie où l'on sait que le soleil continue à briller sans vous, quoi qu'il arrive. Elle apprenait à aimer les gens qui aiment les peintures pastel représentant des couchers de soleil. »

France

Isabelle Guézan, La Nouvelle Organisation du Travail (uniquement sur Kindle)

Imaginez que l'intelligence artificielle devienne la norme, partout, que des robots remplacent les ouvriers, que les algorythmes décident de tout. Qu'une grande peur du moment se réalise : dans tous les métiers, ou presque, les hommes sont remplacés par des machines. 
Mais que deviennent alors les hommes, comment les occuper, comment les faire continuer à vivre ? La solution semble tout simplement idéale : faire travailler tout le monde "comme avant", verser des salaires correspondant aux postes, avec obligation pour chacun de dépenser ses revenus pour faire tourner l'éconimie, de manger sainement, de faire du sport, de se cultiver… Plus de chômage, plus de pauvres, le rêve, non ? Tout est dirigé selon les limites des ressources de la planète, des vacances au bout du monde jusqu'à la maternité, droits équitablement répartis entre les individus selon un système complexe de points et d'années d'attente.
Nous suivons la vie de Benjamin, de son entretien d'embauche au service financier d'une grande entreprise jusqu'à sa tentative de sortir du système, avec Anne, sa supérieure hiérarchique. Une lecture autant angoissante que drôle, fourmillante de détails (ce qui peut paraître fastidieux au début, mais on s'attache vite aux personnages et l'on est ravi de passer plus de temps avec eux).

 

Lectures juin

 

Afrique

Afrique du Sud
Yewande Omotoso, La Voisine

Algérie 
Kamel Daoud, La préface du nègre : le Minotaure 504 et autres nouvelles

Burkina Faso 
Roukiata Ouédraogo, Du miel sous les galettes.

Cameroun
Calixte Beyala, Le Christ selon l'Afrique.

Congo Brazzaville
Alain Mabanckou, Le commerce des Allongés.

Égypte
Alaa El Aswany, L'Immeuble Yacoubian.

Ghana 
Yaa Gyasi, No home.

Guinée
Camara Laye, L'enfant noir.

Mali
Aya Cissoko, N'ba.

Maroc 
Mohamed Leftah, L'enfant de marbre

Nigeria  
Chigozie Obioma, Les pêcheurs

Rwanda 
Gaël Faye, Petit pays.
Scholastique Mukasonga, L'iguifou, nouvelles rwandaises. 
Beata Umubyeyi Mairesse, Tous tes enfants dispersés.  

Sénégal
Birago Diop, Les contes d'Amadou Koumba
Fatou Diome, Celles qui attendent

Togo
Kossi Ejoui, L'ombre des choses à venir.

 

Amérique

Argentine
Gabriela Cabezón Cámara, Pleines de grâce

Brésil 
Paulo Coelho, L'Alchimiste.

Canada :
Jean-Paul Dubois, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon (prix Goncourt 2019).
Nancy Huston, Le club des miracles relatifs.

Chili 
Luis Sepúlveda, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler et Histoire du chat et de la souris qui devinrent amis.

Colombie 
Gabriel Garciá Márquez, La Mala Hora.

États-unis  
Jack London, Martin Eden
Harper Lee, Va et poste une sentinelle.

Groenland
Mo Malø, Qaanaaq.
Mo Malø, Diskø.

Haïti
Jacques-Stephen Alexis, L'étoile absinthe.

Mexique 
Laura Esquivel, Chocolat amer. 
Carlos Fuentes, Une certaine parenté

Pérou 
Mario Vargas Llosa,  La Tante Julia et le scribouillard.

Venezuela
Karina Sainz Borgo, La fille de l'Espagnole.

Asie

Afghanistan
Spôjmaï Zariâb, La plaine de Caïn.

Arabie Saoudite
Athîr Abdallah Al-Nashmî, Une perte.

Cambodge 
Tian, L'année du lièvre (BD) : 1. Au revoir Phnom Penh. 2. Ne vous inquiétez pas. 3. Un nouveau départ.

Chine 
Qiu Xiaolong, La danseuse de Mao.

Inde 
Rohinton Mistry, L'équilibre du monde.

Iran 
Fariba Vafi, Un secret de rue

Israël
Amos Oz, Vie et mort en quatre rimes

Japon 
Haruki Murakami, Le passage de la nuit. 
Durian Sukegawa, Les délices de Tokyo.

Syrie
Niroz Malek, Le promeneur d'Alep.

Sri Lanka 
Antonythasan Jesuthasan, Friday et friday.

Taïwan
Xiaole Wu, Les enfants des riches.

Thaïlande
Rattawut Lapcharoensap, Café Lovely.

Vietnam 
Kim Thúy, Man.  

Europe

Albanie
Ornela Vorpsi, Buvez du cacao Van Houten !  

Allemagne 
Eduard von Keyserling, Altesses.
Marlen Haushoffer, Le mur invisible.

Autriche
Daniel Glattauer, Quand souffle le vent du nord. 
Daniel Glattauer, La septième vague. 

Belgique 
Amélie Nothomb, Antéchrista.
Michel Van Zeveren, Le plat du loup plat.
Nadine Monfils, Les folles enquêtes de Magritte et Georgette. 1. Nom d'une pipe !

Bosnie Herzégovine 
Miljenko Jergović, Volga, Volga.

Croatie
Ante Tomic, Miracle à la Combe aux aspics.

Danemark
Jens Christian Grøndahl, Quelle n'est pas ma joie

Espagne 
Carlos Ruiz Zafón, Marina

Estonie
Andrus Kivirähk, Les secrets. 

Finlande
Sofi Oksanen, Baby Jane.
Arto Paasilinna, La douce empoisonneuse.

France 
Maurice Leblanc, Arsène Lupin
Riad Satouff, Le jeune acteur
Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art
Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi et Les racines du ciel)
Delphine Horvilleur, Vivre avec nos morts. Petit traité de consolation. 
Jean Giono, Regain.
Daniel Pennac, Le cas Malaussène. 1. Ils m'ont menti.

Grèce
Vassilis Alexakis, Ap. J. C.

Hongrie 
Magda Szabó, La porte et Abigaël.

Irlande
Maggie O'Farell, Assez de bleu dans le ciel

Islande :
Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande

Italie 
Alessandro Baricco, Novecento : pianiste. Un monologue.

Moldavie
Vladimir Lortchenkov, Des Mille et une façons de quitter la Moldavie.

Norvège
Gunnar Staalesen, Le loup dans la bergerie

Pays-Bas
Toine Heijmans, En mer

Portugal
Gonçalo M. Tavares, Une jeune fille perdue dans le siècle à la recherche de son père.

République Tchèque 
Kafka, Le procès et La métamorphose

Roumanie
Ioana Pârvulescu, La vie commence vendredi.
Panaït Istrati, Codine.

Royaume-uni 
Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno
Mhairi McFarlane, Et ne t'avise pas de m'embrasser.
William Makepeace Thackeray, La Foire aux vanités (Vanity Fair).

Russie
Léon Tolstoï, La sonate à Kreutzer. Le bonheur conjugal. Le diable.

Serbie
Filip Grbic, Errance.

Slovaquie
Pavol Rankov, C'est arrivé un premier septembre.

Suède 
Camilla Läckberg, Femmes sans merci. 
Katarina Mazetti, Le mec de la tombe d'à côté
Jonas Jonasson, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.
Vilhelm Moberg, La saga des émigrants (7 tomes)
Stieg Larsson puis David Lagercrantz, Millenium (6 tomes) 

Suisse 
Joël Dicker, L’Affaire Alaska Sanders. 

Ukraine :
Andreï Kourkov, Le jardinier d'Otchakov.

 

Océanie 

Australie 
Joan Lindsa, Pique-nique à Hanging Rock

Nouvelle Zélande 
Eleanor Catton, La répétition.

Polynésie française
Célestine Hitiura Vaïte, L'Arbre à pain (Chroniques de Tahiti 1).

 

3 juillet 2023

Juin ensoleillé

Un joli mois de juin, fatigant comme chaque année, on a parfois frôlé l'overdose de soirées hors de la maison, mais les nuits sont restées reposantes, notamment grâce à la baisse des températures nocturnes pour contrebalancer les grosses chaleurs de la journée. Il va falloir rester vigilants pendant l'été : nous avons un gros événement à préparer et il ne s'agit pas de procrastiner, sous peine d'une rentrée épouvantable, mais les vacances arrivent et je compte bien en profiter.

4 juillet - 6

1/ Paul est de passage et il est bienvenu pour aider à gérer la "crise du four" : installer ce nouvel appareil, lourd, dans un emplacement difficile d'accès (contre le mur) et réussir à passer le câble, trop court, dans le boîtier de dérivation situé derrière un placard bas et profond, en plaçant chacun des fils dans le domino correspondant. Ouf, c'est fait !
2/ Aurore va mieux, elle a récupéré sans problème son studio (qui est équipé de draps, comme promis), puis ses bagages, un WE de repos et il n'y paraîtra plus.
3/ J'étrenne le nouveau four avec des pelures d'oranges (pour évacuer les odeurs de plastique), puis une quiche, puis des pâtés, enfin Marie y enfourne une tarte pour la fête des mères.

4 juillet - 7

4/ Une belle balade à vélo avec des cousins, un pique-nique royal et pas de coup de soleil (mais c'était limite).
5/ Mes lignes de train ont décidé d'anticiper la grève : j'attends 25 minutes sur le quai, mais j'y ai retrouvé une paroissienne, avec laquelle je discute et ne vois pas le temps passer.
6/ Me voilà radiée à vie du don du sang ! Sur le moment, je suis en colère (leurs critères ont changé), mais je profite de ce temps libre pour aller chercher des fruits et des légumes frais.
7/ Une nouveau petit concert de l'ensemble de Marie, pour les portes-ouverts de l'école de musique, me donne presque envie de rejoindre la classe de musique de chambre l'an prochain (ce n'est pas du tout raisonnable).

4 juillet - 3

8/ Je termine une nouvelle robe et je suis enchantée du résultat.
9/ Un apéritif chez Marie, pour commencer agréablement le week-end.
10/ Après une nuit épouvantable (réveil à 1 heure avec le cou complètement bloqué et un quart du dos très douloureux), je trouve un créneau chez l'ostéopathe, qui réussit à détendre un peu tout ça. Et… il pleut, enfin !
11/ Les plants de courgettes sont en fleurs. 
12/ Une grosse réunion qui se termine tardivement, mais un projet qui avance bien.
13/ La satisfaction d'avoir trouvé et écrasé le moustique qui menaçait de pourrir ma nuit, juste avant d'éteindre la lumière.
14/ Un aller-retour chez Fil 2000, un grand ménage, une visite à la médiathèque et trois tout petits problèmes qui ont trop traîné et sont enfin réglés.
15/ Nous recevons notre première hôte Warmshower, une cycliste allemande qui fait un grand périple de 3 mois ! J'ai passé la journée à réviser mon allemand lointain dans ma tête et je m'apprête à sortir le Harraps, mais elle parle français.
16/ Le retour d'Aurore, certes en coup de vent, le temps de vider une valise et remplir un sac à dos (et vérifier, une dernière fois, que son rapport de stage a bien été chargé sur le serveur de l'université).
17/ Un barbecue de sardines, un gros après-midi de bricolage/jardinage avec l'aide de Marie, un barbecue bœuf/merguez et la satisfaction d'un projet mené à bien.

4 juillet - 24 juillet - 8

18/ La fête paroissiale sous le soleil, un jeune homme qui m'a choisie pour déverser tout ce qu'il avait sur le cœur, un mini-bal folk, puis nous reconduisons Aurore gare de l'Est, avec une pause au Bouillon Chartier.
19/ Une répétition qui se termine, comme souvent, avec cidre et gâteaux, et dont nous découvrons qu'elle sera la dernière de l'année.
20/ J'ai enfin une vision claire de mon planning professionnel de l'automne : pas trop chargé, mais assez rempli pour ne pas m'ennuyer, et des projets à plus long terme.
21/ Une belle soirée de fête de la musique, comme l'an dernier devant la mairie, un peu moins de monde (il y a école demain) et Marie qui nous rejoint après son concert.
22/ Marie a vu ses deux réservations de Dublin annulées (suite à des plaintes de locataires, apparemment), mais nous trouvons vite d'autres hébergements, plus chers mais mieux situés.
23/ Aurore a obtenu son premier choix de master, la voilà rassurée. Comme je dois récupérer des fichiers et discuter de maquettes, je passe chez mon ancien collègue, nous travaillons un peu puis déjeunons rapidement, avant que je repasse au bureau. La journée se termine sur une animation musicale bien décevante, lors d'une fête d'école, qui nous a tous épuisés, tant c'était bruyant. Nous n'y retournerons plus ! À la maison, les filles nous attendent pour fêter la bonne nouvelle au champagne.
24/ Encore un samedi chargé, avec cours de musique, répétition (je m'interroge sur l'instrument que je jouerai dans ce concerto, manifestement écrit pour le violon, surtout que je ne peux pas du tout répéter au dessus de viole, l'instrument ne sortant pas de l'école de musique), animation de messe, nous restons discuter un long moment devant l'église et je me réjouis de voir mon amie M. en forme, malgré ses nombreuses chimios.
25/ Une journée plus tranquille, avec lecture et sieste dans le hamac, couture avec Marie et un bref passage d'Aurore (des deux WE où  elle est rentrée, nous l'avons à peine vue) qui a pris un gros coup de soleil.
26/ On peut presque tout rapporter sur un vélo, il faut juste être équipé (j'avais prévu des élastiques en quantité).

4 juillet - 1

27/ Une collègue m'a donné du levain, je me lance dans la boulangerie à l'ancienne.

4 juillet - 9

28/ Direction le magasin de sport, en vélo (ce qui triple la durée de l'opération), pour m'équiper, justement, pour pédaler.
29/ Je cuisine les premières courgettes du jardin ! Pour les tomates, il faudra attendre encore un peu.

4 juillet - 4

30/ Pour la première fois, je participe à un "tricobière", sous forme de pique-nique aux Tuileries, dans une ambiance un peu particulière. Nous serons d'ailleurs obligées de plier bagage avant le dessert, pour cause de manifestation. Pour rejoindre le métro, je parcours des rues désertes, le métro est vide également, mais j'arrive sans encombre à la maison.

4 juillet - 5 

2 juillet 2023

52/2023 : Musique

Ce dimanche, Virginie m'offre un thème sur mesure ! 

Ce lundi soir, nous avons constaté que c'était notre dernière répétition : le chef partait en vacances, donc pourquoi répéter sans lui et sans programme à court ou moyen terme ? La semaine a été chargée : mercredi soir, fête de la musique, vendredi, animation pour une fête d'école, fête qui aurait bien pu se dérouler sans nous : après deux courtes danses, ils ont lancé le "spectacle", nous avons joué la musique d'une danse qu'ils avaient répétée avec un autre groupe, avons prêté notre sono pour qu'ils branchent leurs téléphones pour les deux autres musiques (un petit couac parmi d'autres dans une soirée bien mal préparée) puis le petit bal prévu a été court-circuité par l'ouverture anticipée du buffet. Parents et enfants se sont rués sous le préau, un espace entre deux dalles de béton où tous les cris étaient amplifiés, tout le monde nous tournait le dos, nous avons joué quelques danses, réussissant à attirer 2 ou 3 gamins, puis nous avons rangé tout le matériel et sommes sortis (difficilement, toutes les issues étaient bouclées), puis rentrés chez nous, reposer nos oreilles bien éprouvées par un tel volume sonore (comme une école peut-elle être aussi mal conçue phoniquement ?) en jurant de ne plus y remettre les pieds (parmi les 25 écoles et 13 centres de loisirs, nous avons du choix). Quand nous avions envisagé de rejoindre les danseurs pour leur dernière répétition, j'avais dit non, trop fatiguée, mais la perspective de se revoir une dernière fois, de sortir nos instruments pour un dernier bal (avec cette fois un public conquis), était trop tentante. 

2 juillet - 12 juillet - 2

La veille, Marie a joué pour la dernière fois avec son ensemble de musique de chambre et a versé une petite larme, car elle ne sait pas si elle pourra y retourner l'an prochain (ça risque de peser lourd sur son budget, vu qu'elle n'habite plus la ville). Seize ans d'auditions, de répétitiuons publiques et de concerts, c'est quelque chose ! 

 2 juillet - 3

 

28 juin 2023

Confort sur mesure

Lorsque Marie a acheté ses chaises, nous avons constaté qu'elles manquaient un peu de confort. Il existait une version avec une assise rembourrée, un peu triste (toile grise) et non déhoussable, ce qui n'est pas très pratique pour des chaises de cuisine. Je lui ai donc dit que je lui coudrais des coussins, avec le joli tissu de son choix.

28 juin - 7

Lorsque sa table est arrivée, les chaises se sont avérées un peu trop basses, des coussins épais devenaient donc indispensables. Mais le temps de trouver le tissu parfait (nous avons fait tout le quartier du marché St Pierre sans succès), d'acheter une plaque de mousse (Mondial tissus), d'imaginer le modèle, de coudre un coussin avant de devoir aller à Paris racheter de la fermeture au mètre, de terminer les coussins, de m'apercevoir que j'avais oublié les dossiers et coupé le tissu un peu trop largement, de tester un dossier, de devoir aller à Paris racheter du velcro… un bon mois est passé ! Mais voici le travail terminé et je pense que ma cliente sera satisfaite.

28 juin - 3

Quant au métrage de tissu, il était parfait : je n'ai presque aucune chute ! (j'ai dû quand même coudre l'un des dossiers en deux parties, ce qui n'aurait peut-être pas été le cas si j'avais réfléchi un peu avant de couper toutes les pièces)

28 juin - 1

Les coussins sont fixés à la chaise par une large bande sous l'assise ; en raison de leur épaisseur (5 cm), il faut pouvoir les retirer avant le pliage. J'ai largement fait dépasser la fermeture sur les côtés, car je sais par expérience à quel point il est difficile de faire entrer un bloc de mousse dans une housse lorsque l'ouverture est trop étroite.

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La mousse du dossier est juste prise dans le tissu, fermé au dos par du velcro. J'ai recoupé la mousse dans l'épaisseur, grâce à mon couteau électrique de cuisine.

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Pour trois coussins, il m'a fallu 70 cm de tissu jacquard, une plaque de mousse de 1m x 50 cm, 1m80 de fermeture fine, 2m de velcro (je note tout cela pour une prochaine fois) et un reste de coton d'ameublement épais pour le dessous.

 

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26 juin 2023

Une robe couleur de soleil

Quand j'ai vu ce tissu sur le marché, l'été dernier, je n'ai pas hésité à en prendre deux mètres, même s'il était "plus cher" (3 euros/m), avec le projet de me coudre une robe.

26 juin - 5

Vu le temps que j'ai mis à me décider pour ma robe blanche, j'ai rangé mon tissu jaune au début de l'automne en attendant le retour des beaux jours. Au printemps, je l'ai ressorti et continué à hésiter : quel patron choisir ? Je n'en votais pas vraiment d'adapté à cette viscose toute légère et souple. Et puis ma collègue est arrivée, au premier jour de soleil, dans sa robe Myosotis, et m'a proposé de me prêter son patron (vu que Deer and Doe ne fait plus de patrons papier et que celui-ci comporte deux planches A0, je ne me voyais pas coller des dizaines de pages). J'ai coupé une petite toile (juste le corsage, avec une seule manche) dans celle du pantalon d'Aurore (j'ai jeté ensuite le tissu sans culpabilité) : impeccable !

26 juin - 4

J'ai choisi la version B, à manches courtes, à laquelle j'ai ajouté un volant. La couture s'est étalée sur près de trois semaines, avec réenfilages multiples de la surjeteuse pour cause de confection simultanée d'une jupe bleue par Marie. Comme toujours, j'ai posé la parementure sur l'envers, pour la rabatte ensuite à l'extérieur comme une patte de boutonnage, je trouve le résultat bien plus propre. Le col a toutefois une fâcheuse tendance à rebiquer, la faute peut-être à un entoilage un peu trop léger, ou à la technique du "burrito" employée pour avoir des extrémités parfaites, mais qui tire toujours un peu sur le tissu : nickel sur un coton bien stable, mais pas vraiment adaptée à une viscose qui se déforme facilement.

26 juin - 1 

Il m'est presque impossible de garder les yeux ouverts sur une photo, ça agace énormément mes filles ! 

Je l'ai déjà bien portée, par grosses chaleurs, et elle est vraiment agréable. Un bémol toutefois : le tissu bouloche aux endroits soumis aux frottements (du jamais vu en viscose !), mais ça ne se voit pas grâce aux motifs. J'ai ajouté une poche dans la couture de côté, mais elle ne supporte pas le poids de mon téléphone, qui tire toute la robe vers le bas de ce côté. Et grâce au volant, j'ai une robe qui touuuuurne ! 

26 juin - 226 juin - 3 

25 juin 2023

52/2022 : À la tienne !

Ce dimanche, Virginie nous propose de trinquer. C'est malin, j'avais pris une semaine d'avance sur ce thème, alors que j'aurais pu attendre quelques heures pour vous montrer, en guise de rose, mon magnifique coup de soleil !

Vendredi, nous avons sorti le champagne pour fêter les résultats de MonMaster (elle a obtenu son premier choix, le plus sélectif de tous, mais a eu quelques refus pour des fillières qui semblaient gagnées d'avance)

24 juin - 1

Hier soir, des bolées de cidre ont accompagné nos galettes complètes

24 juin - 2

Et en ce dimanche caniculaire, on va rester sobre, avec, alternativement, du thé vert glacé, agrémenté de quelques glaçons au pamplemousse

24 juin - 3

et du bissap, additionné d'un filet de jus de citron

24 juin - 4

 

 

20 juin 2023

Le questionnaire de Dr CaSo

 C'est mercredi,  le jour de mes réponses au questionnaire du dimanche de Dr CaSo :

•   Qu’avez-vous fait d’intéressant cette semaine ?

Intéressant, je ne sais pas, mais nécessaire et prévu depuis un moment : nous avons installé de la ganivelle pour séparer notre espace de celui des poules. Elles n'ont pas encore trouvé leurs marques, mais savent rentrer toutes seules au poulailler le soir. Et ça donne un côté champêtre à notre petit jardin de ville, je suis contente du résultat (la rhubarbe a souffert de sa transplantation, mais elle devrait s'en remettre).

20 juin - 220 juin - 3

•   Question de Bleck : une simple connaissance vous invite pour un repas à l’improviste le jour même, vous acceptez facilement et sans salamalecs ou vous êtes plutôt pour une invitation à quinze jours ?

Si je suis libre, pourquoi pas ? Il nous est arrivé d'aller déjeuner chez des amis en apportant le plat qui mijotait depuis deux heures, ou d'inviter à l'improviste ces mêmes amis parce que la neige empêchait nos autres invités de venir. Une simple connaissance ? Oui, mais l'invitation était pour le lendemain.

•   Pensez-vous que les gens autour de vous ont une vie plus facile que la votre ?

Actuellement, non. Je n'ai pas de gros problèmes, ni familiaux, ni financiers, ni de santé et malheureusement, beaucoup de personnes dans mon entourage vivent des situations difficiles.

•    Question de Bismarck : avez-vous un lave-vaisselle ? Si oui, l’utilisez-vous quotidiennement ?

Oui j'en ai un et j'ai eu très peur, il y a 15 jours, qu'il nous lâche pour un truc aussi bête que des clips en plastique cassés, qui occasionnaient un décollement du bandeau de commande et des faux-contacts dans le programmateur. Après deux essais ratés, j'ai réussi à installer une poignée de fortune, mais solide, grâce à une sangle d'appareil photo. C'est moche, mais ça tiendra au moins jusqu'à la fin de l'été, j'espère. J'y mets quasiment toute la vaisselle et il tourne quand il est archi plein, soit tous les 1,5 à 3 jours.

20 juin - 1

•   En voiture (ou en bus ou en train), qu’aimez-vous écouter ? La radio ? Des podcasts ? Des bouquins audio ? Les cris des enfants ? Les conversations des voisins ?

En voiture, la radio, sauf si mon téléphone consent à se connecter le temps d'un podcast, pour les longs voyages. En train, je préfère le silence, si possible, pour lire. Je n'arrive plus, comme par le passé, à me concentrer et faire abstraction des conversations à voix haute de mes voisins (dimanche, deux d'entre eux regardaient des films sur leurs téléphones, avec le volume à fond !)

•    Et la question d'Anne : Quel est le voyage de tes rêves ?

 Quelques chose de lent : le Danemark à vélo, ou une grande randonnée pedestre, un bout du chemin de Compostelle. J'ai longtemps rêvé de faire une partie de la GTJ (Loulou me comprendra) : la traversée du Jura en ski de fond, mais ça demande une planification longtemps à l'avance des hébergements sans aucune garantie d'avoir des pistes enneigées au bon moment.

18 juin 2023

52/2023 : La vie en rose

 Virginie, pour ce dimanche, nous propose d'illustrer « la vie en rose ».

Parfois, le bonheur, c'est aussi simple que partager un Spritz avec Marie et Guillaume, pour fêter le nouvel aménagement du jardin (et la fête des pères avec un peu d'avance), projet mené à bien en un après-midi, malgré la chaleur, le sol dur comme du béton dans lequel il fallait enfoncer les piquets, le fil de fer récalcitrant, les orties, le houx, les ronces et chardons.

18 juin - 1

ou bien de congeler du jus de pamplemousse, pour transformer un banal verre d'eau en boisson rafraîchissante!

18 juin - 1 (1)

14 juin 2023

Le questionnaire de Dr CaSo

 C'est mercredi,  le jour de mes réponses au questionnaire du dimanche de Dr CaSo:

  • Quelle est la première chose que vous avez achetée avec votre propre argent ?

Mon premier achat important, après des heures et des heures de baby-sitting, a été une flûte traversière d'occasion, je l'avais payée 1000 francs ! Parce que c'était quand même plus transportable que le violon, dans un sac à dos scout, et que cet instrument dont jouaient mes amies me fascinait. Et un peu plus tard, une guitare (on n'imagine pas le nombre d'instruments qui dorment sur une étagère, parce qu'un gamin a voulu apprendre et s'est lassé au bout de quelques mois).

  • Quelle combinaison d’aliments aimez-vous que d’autres pourraient trouver bizarre ?

Je ne vois pas trop. Le sucré-salé est assez répandu, maintenant, la courgette dans le gâteau au chocolat aussi. Ah, du roquefort et de la poire ?

14 juin - 1
(ou foie-gras, pain d'épices, figue)

  • Avec l’âge, êtes-vous devenu.e plus ou moins maniaque ?

Je ne l'ai jamais été et je ne pense pas le devenir. Agacée d'être la seule dans cette maison à essayer de garder les surfaces propres, peut-être. Il fut un temps où j'assortissais la couleur du cintre avec celle de la chemise que je venais de repasser, mais maintenant, je suis déjà contente d'avoir déniché assez de cintres pour toutes les chemises…

  • Comment décririez-vous votre boulot actuel (ou passé) à un.e jeune d’aujourd’hui qui pense vouloir faire ce même job?

Je vais répondre comme Dr CaSo : c’est un job en voie de disparition (la mise en pages soignée), où l’on aide les gens à faire quelque chose en voie de disparition (publier des livres papier). Je dois désormais évoluer vers la publication en ligne.

  • Quelles séries télévisées avez-vous beaucoup aimé?

J’ai découvert les séries sur le tard, un peu avant le premier confinement. J'ai adoré Downton Abbey, The Crown, les premières saisons de Borgen (la dernière était un peu trop noire), Split, la première saison de Serviteur du peuple, Clan et dernièrement State of Hapiness.

Et cette semaine, la question d'Anne : Si tu pouvais prendre une année sabbatique rémunérée, qu’est-ce que tu ferais ?

Eh bien comme pendant mes vacances : m'occuper de la maison un peu plus en profondeur, faire les petits aménagements que je remets toujours à plus tard, coudre évidemment, lire dnas le hamac au jardin, mais aussi prendre la voiture et faire le tour des amis et de la famille qui sont loin et que je ne vois même pas une fois par an ! Passer, chez Anne, Loulou, Annabelle, pédaler le long de la Loire, ou entre Nantes et Brest. En espérant être encore en assez bonne santé et pas trop cassée de partout pour faire tout cela à la retraite.

14 août - 22

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attraper le temps qui file…
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