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attraper le temps qui file…

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19 septembre 2016

Il en faut peu pour être heureux

Certaines réussissent à noter trois petits bonheurs par jour… j'y arriverais sans doute aussi, il faudrait juste que je prenne le temps ! Mais tout de même, pour illuminer un vendredi de pluie, il suffit que :

- le plombier m'annonce que le nouveau ballon arrivera lundi et qu'il viendra l'installer mardi (en fait, j'ai harcelé – gentiment – sa secrétaire vendredi, car il ne m'a appelée que ce midi, pratique quand il faut poser un jour de congé !)

- je passe acheter quelques bonnes choses pour un gâteau et un goûter entre amis (qui s'est transformé en déjeuner entre-temps, mais ce n'est pas grave, rien ne se perdra), je m'aperçois que j'ai oublié de déposer l'entente préalable de l'orthodontiste, j'arrive devant la sécu à 16h59 et… je trouve la porte ouverte !

- un colis plein de projets a été livré et réceptionné par Marie (dont l'emploi du temps est encore un vrai gruyère pour l'instant)

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Et samedi, nous avons décoré un gâteau-jardin à la française, pour l'anniversaire d'un camarade de BTS

18 septembre218 septembre3

 

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14 septembre 2016

Pschiiittt et ploc, ploc…

… que j'ai entendu ce matin, venant de la lingerie. À ce bruit inhabituel, je suis allée voir :

13 septembre2

 

Une flaque au sol et de petits jets d'eau vers le plafond, notre vénérable ballon d'eau chaude (bientôt 23 ans) venait de nous lâcher. Chose que je redoutais depuis un moment, quand même, au point d'avoir déjà fait établir quelques devis pour son remplacement. Ma mission du jour était justement de rappeler le plombier pour savoir où en était le devis de la salle de bains et fixer une date, d'ici quelques semaines, pour changer le ballon. Je l'ai donc appelé, pour savoir comment fermer l'arrivée d'eau déjà. Pour la suite, j'attends qu'il me rappelle… et comme nous avons beaucoup de chance, c'est mercredi ! Je n'ai donc pas découvert, à mon retour du bureau, 300 litres d'eau (voire plus, vu qu'il continuait à se remplir) d'eau inondant l'étage, coulant en torrent dans l'escalier, dévastant murs et plafonds (c'est arrivé à des voisins partis en vacances). Naïvement, je suis allée courir, pensant prendre une douche à mon retour : le ballon était plein d'eau chaude, en surpression même, une douche aiderait à stopper la fuite. Mais non, pas d'eau qui entre = pas d'eau qui sort. Les douches seront donc froides jusqu'à nouvel ordre.

Quelques dégâts collatéraux : les chiffons, rangés (entassés) dans le tiroir du bas (ouf, les autres contiennent les vêtements frâichement lavés/repassés) qui ont absorbé une quantité d'eau impressionante, au vu du poids du tiroir en question, quelques patrons en attente de rangement, fixés par des aimants sur le ballon, un carton posé au sol… rien de grave, je m'en tire bien !

13 septembre1

Et merci aux jeunes pour le pliage des chiffons, le tiroir fermera beaucoup mieux dorénavant !

11 septembre 2016

en (dés)équilibre

Un pied dans les vacances, un pied dans la rentrée… pas très confortable comme position ! Pourquoi ai-je tant de mal cette année à reprendre le rythme ? Parce qu'il fait trop chaud ? Parce que j'ai passé deux semaines à la maison, à savourer l'absence de toute contrainte horaire ? Parce que j'ai repris le travail de façon intensive le surlendemain de notre retour ?

Je sais qu'il va falloir passer à la vitesse supérieure, le capharnaüm de la maison, les papiers en attente me le rappellent chaque jour et pourtant, je résiste ! Mais j'ai préféré faire des folies et assurer notre réserve annuelle de cocos de Paimpol

10 septembre1  10 kg, soit deux soirées d'écossage !

Il y a eu tout de même une soirée trépidante lundi dernier : dans la matinée, je réfléchis à ce que je vais faire des belles fanes de radis récupérées à l'Amap (avec des radis, au bout, hein, mais ceux-là, nous les avions déjà mangés). Une soupe, par cette chaleur ? Et là, un éclair de lucidité : ne serions-nous pas le 5 septembre ? (Anne n'a pas fait mieux, ça me rassure…). Plan de bataille : j'élabore un menu avec l'aide de mon ami Picard. À la pause de midi, je fais quelques courses à la petite supérette du coin. Je constate la disparition de ma carte de paiement de l'hypermarché (empruntée par Marie)… très bien, comme punition, elle passera dès sa sortie du train acheter les deux produits que je n'ai pas trouvés. À 16h, je cours et réussis à attraper le train d'avant. 16h30, j'ai 1/2 h avant la livraison attendue, je saute dans la voiture et découvre que Picard est à 6 min de trajet (aux heures creuses). 16h58, me voilà de retour, j'attends le livreur, tout en cuisant mes fanes de radis (oui, j'ai réussi à les intégerer au menu). Je constate qu'il ne reste que deux figues au congélateur (j'aurais dû vérifier avant), tant pis, les brochettes de St Jacques aux figues seront pour une autre occasion. Je sors tout ce qui doit décongeler. 17h40, je réceptionne mon colis et pars à l'école de musique montrer le nouvel alto au professeur. 18h30, l'alto ne convient pas… découragement et fatigue m'envahissent, mais il ne faut pas mollir ! 18h55, Marie envoie un SMS à son père pour savoir quelle bouteille sortir de la cave, il répond « Il y a quelque chose à fêter ? »

Et voilà comment on improvise un repas de fête en deux heures : velouté glacé de fanes de radis et millefeuille de saumon, coquilles Saint-jacques à la bretonne (la recette de Mamie), quinoa aux petits légumes et palets poireau-carottes et farandole des desserts.

10 septembre210 septembre310 septembre4

Sinon… la rentrée s'est bien passée pour tous, Aurore a TOUS ses professeurs (mais 4h de moins dans son emploi du temps, je ne décolère pas contre cette réforme appliquée au petit bonheur selon les académies, qui l'a forcée à abandonner en cours de route son option classe euro anglais et lui a supprimé deux heures de latin), Marie a inauguré son année de BTS par une sortie à Vaux-le-Vicomte, elle rentre chaque semaine avec un nouvel objet à acquérir (une ramette A3, du calque à esquisses en rouleau, un kutch (???) — les commandes internet marchent bon train), Paul a obtenu l'accord de son école pour les deux stages qu'il avait trouvés en mai-juin (dont 6 mois sans transport en commun, alléluia !), Aurore a posté sa demande de stage mi-août et s'inquiète de n'avoir reçu aucune réponse (la personne à contacter par téléphone est à son bureau de 8h30 à 12h30 et de 14h à 17h, impossible pour la demoiselle de lui téléphoner, donc, on verra mercredi) et j'aimerais que Marie s'occupe un peu plus activement de trouver son stage de novembre.

Et je viens d'entrer dans le tunnel des réunions de début d'année, court, le tunnel, il faut l'avouer, avoir deux étudiants simplifie la tâche (en revanche, je soufflerai le jour où j'aurai mis en pace la télétransmission des soins avec la mutuelle, il ne me manque plus que l'attestation de sécu étudiante de Marie pour lancer la demande, qui devra, je le sais par expérience, être appuyée de quelques coups de fil insistants). Cela devrait m'aider à reprendre le rythme, non ? À moins que ce ne soit la première grosse galère ferroviaire de l'année, avec suppression d'une ligne et demie * sur trois et énervement matinal contre Paul qui prend toujours le dernier train possible et n'a donc pas pu anticiper le problème, ne sait pas chercher un itinéraire alternatif et ne s'est pas occupé, depuis 3 semaines, de son problème d'internet sur téléphone, ce qui n'aide pas quand on est bloqué dans une petite gare…

 

 

* Mystère : comment les RER C ont-ils pu circuler toute la journée de St Quentin en Yvelines à St Martin d'Étampes (en traversant Paris) alors qu'en sens inverse, le trafic était totalement interrompu. Ou alors, 28 trains stationnaient la nuit dernière au dépôt de Trappes et ils sont tous à Jusivy, maintenant, c'est malin !

31 août 2016

Vacances en famille #5 : rencontres

Quelle était la probabilité pour que des amis proches, qui vont chaque année "dans les Alpes", y aillent justement la même semaine que nous ? (ça je sais : 1 chance sur 56 ) Quelle était la probabilité que la maison de leur beau-frère se trouve à 10 km de notre gîte ? Que nous choisissions justement de partir de ce village pour notre dernière balade ? Que nous passions devant leur voiture au moment où ils allaient y monter (ils se rendaient au lac de la Douche) ? (bon, OK, nous sommes passés trois fois devant leur voiture, ne trouvant le départ du sentier, mais nous ne l'avions pas regardée). Une rencontre stupéfiante, mais bien sympathique. Si ce n'avait pas été notre dernier jour, nous les aurions invités à dîner, c'était jour d'aniversaire en plus !

Anniversaire pour lequel j'avais oublié les bougies. Nous avons essayé d'enflammer une brindille de mélèze… eh bien, je me demande comment se déclenchent les incendies de forêt… le mélèze brûle très mal !  (oui, c'était un saucisson d'anniversaire, on fait avec ce qu'on a sous la main)

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Mais le soir, c'était tarte aux myrtilles maison !

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Quelques rencontres, donc…

Des animaux évidemment

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un randonneur solitaire, mais qui avait besoin de parler (et qui montait aussi lentement que moi… enfin, lentement… plutôt moins vite que les autres qui avaient mangé du chamois ce matin-là). J'ai découvert un nouveau sport de passionnés un peu fous : le monocycle de randonnée, ou comment refaire les étapes les plus difficiles du Tour de France sur une seule roue !

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Quelques traces de la vie passée des villages

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… ou de jeux d'enfants

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et juste en face :
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Il a fallu rentrer, cependant, mais nous étions contents de retrouver notre maison, même si nous n'avons pas une si belle vue de notre fenêtre de cuisine

26 août2

 

 

28 août 2016

Vacances en famille #4

Bon, après ça, nous avons tous réclamé "une balade pas trop longue et pas trop dure", réservant la grande sortie, celle que l'on fait normalement la deuxième semaine, au jeudi, quand les courbatures seraient un peu oubliées. Nous avons marché moins longtemps, moins haut (mais de toutes façons, la montée est toujours rude). Il a commencé à faire très chaud, rien à voir cependant avec la canicule qui s'est abattue sur les trois quarts du pays, il faisait toujours 11 degrés le matin ! Aurore a eu mal au cœur, mal à la tête, mal aux jambes (pas de doute, l'adolescence est bien là) et a saigné du nez en abondance ; mes pieds m'ont fait souffrir, puis moins… Nous avons manqué d'eau parfois ; nous avons oublié d'emporter le dessert, ou le saucisson ; les bûcherons ont placé des obstacles sur notre chemin ; nous sommes retournés à la piscine

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Mais le jeudi, nous étions d'attaque, à 8h30, au Casset.

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Une heure de montée presque tranquille sous les mélèzes et nous arrivons au lac de la Douche, pour une courte pause avant d'entamer la grimpette, dans les cailloux.

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Une heure plus tard, nous apercevons la cabane de berger, le col n'est plus très loin ! Les poules semblent intéressés par notre en-cas.

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C'est l'endroit idéal pour observer les marmottes.

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Enfin, après le col, nous montons vers le glacier (qui a encore reculé) et son lac

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Un pique-nique plus tard, il est temps de redescendre

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en cueillant quelques myrtilles (bien cachées sous les genevriers) au passage

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Re-voilà le raidillon dans les cailloux, je suis effarée de voir tant de familles entamer la montée, en pleine chaleur !

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Aurore a eu un fidèle petit compagnon pendant toute la descente (il aime la crème solaire ?)

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25 août 2016

Vacances en famille #3

Je vous ai laissés sur un suspense insoutenable : Aurore allait-elle pouvoir chausser ses chaussures de randonnée ?

Un peu perplexe, je suis allée poser la question à la pharmacie et j'ai découvert une innovation fabuleuse : les “capuchons d'orteils”. Un petit accessoire en mousse ou en silicone qui protège l'orteil des frottements ou des chocs. Bien évidemment, la pharmacienne avait vendu la dernière boîte et ne pouvait pas en commander avant lundi, mais nous avons trouvé l'équivalent au supermarché : un tube de silicone assez épais, à couper à la longueur souhaitée.

Dimanche matin, nous voilà donc partis pour une balade d'essai ; au départ, nous prévoyons de monter une petite heure, puis de redescendre doucement. Mais c'est assez frustrant, comme promenade, de faire demi-tour au milieu du bois. Comme Aurore saute de pierre en pierre en traversant le torrent ou court sur le sentier, nous décidons de pousser plus loin… et nous arrivons, après quelques kilomètres de petite route en lacets, puis une grimpette assez raide, à la Croix de Toulouse d'où nous avons une superbe vue sur la vallée de la Guisane (notre point de départ) et Briançon, à nos pieds.

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Nous sommes partis sans ravitaillement, aussi sommes-nous affamés lorsque nous rentrons au gîte (il est près de 14 heures) ! Et nous avons, mine de rien, parcouru 15 kilomètres pour un dénivelé de 650 mètres. Pour une première randonnée, c'est beaucoup, aussi décidons-nous de tester, pour l'après-midi, la baignade bio qui a ouvert depuis peu à Chantemerle. Et c'est une bonne idée : pas de chlore, des pelouses autour du bassin, une vue magnifique… bien mieux que l'ancienne piscine !

Le lendemain, c'est de bonne heure que nous partons, dûment munis d'un en-cas, d'un pique-nique et de gourdes pleines (et de sérieuses courbatures, aussi, mais celle-là, nous les aurions bien laissées…). Direction le grand Lac, par la cheminée, une randonnée faite en l'absence de Paul il y a 3 ans. Nos montons dans la fraîcheur du petit matin vers l'Alpe du Lauzet, ses chalets et son troupeau. Il est toujours surprenant de se retourner pour voir la distance parcourue : notre voiture, au bout d'un quart d'heure, est déjà toute petite !

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Nous nous dirigeons vers le fond de la vallée. Je suis déjà bonne dernière mais trouve un autre randonneur (plus âgé et relevant tout juste d'une ablation du rein) pour m'accompagner. Ce monsieur ne cesse de calculer notre vitesse d'ascension : 550 mètres à l'heure, un bon rythme ! Ah, voici la cheminée, là il faut faire un peu d'escalade, avec l'aide de câbles. Comme nous sommes bien pris entre deux parois de roches, je ne souffre pas du vertige.

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Enfin, voici le lac ; nous grignotons nos fruits secs tandis que notre compagnon de route se baigne, l'eau est à 11 degrés !

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Nous décidons de gagner directement le col, sans prendre le sentier qui fait un large détour. Au début, tout va bien, un chemin longe le torrent, nous pensons qu'il nous conduira au lac plus haut… mais le chemin s'arrête brusquement et il nous faut couper tout droit, la pente s'accentue ! Enfin, après une bonne heure d'efforts, nous atteignons la ligne crête, puis le col de la Ponsonnière. Nous venons de monter de près de 1000 mètres, quasiment tout droit !

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Un déjeuner près du petit lac plus bas, puis le retour par le sentier "normal".

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La descente est longue et difficile, j'avais oublié à quel point la pente était raide et caillouteuse ! Le paysage magnifique (vue sur la calotte des Agneaux et ses glaciers, anciennes mines de graphite) ne parvient pas à me faire oublier mes soucis : une douleur au bout du pied gauche qui monte et me fait plier les genoux, par moments ; une ancienne tendinite d'Achille qui se réveille ; je me tords la cheville à plusieurs reprises et ralentis encore le rythme… mais je ne prends pas garde au vent froid si propice aux coups de soleil ! Au bout de deux heures de descente sous un ciel sans nuages, mes genoux sont écarlates (les visages et bras de toute la famille également). En revanche, pour le pied d'Aurore, tout va bien !

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24 août 2016

Vacances en famille #2

Le deuxième objectif de notre séjour à Lyon était le parc de la Tête d'Or. Au printemps, nous avons enregistré soigneusement la série "Jardins d'ici et d'ailleurs", réalisée par un paysagiste (la suite est en préparation). Un certain nombre de jardins, en France ou à l'étranger, se sont inscrits sur notre liste "à visiter".

Nous y avons passé une partie de la journée et nous n'avons pas été déçus ! J'ai trouvé les serres magnifiques et bien aménagées, plus intéressantes que celles du Jardin des plantes de Paris, les animaux du zoo ne semblent pas malheureux (il faut dire que j'avais été choquée par le parc de Port-Breton de Dinard), les jeux pour enfants et manèges sont délicieusement désuets… nous aurions aimé passer sous le lac pour rejoindre l'île, mais Aurore a boité une bonne partie de la balade : elle avait perdu, la veille, l'ongle de son petit orteil (sans choc, ni mycose, tout était bien propre et net, un véritable mystère), le port de chaussures fermées était douloureux et nos essais de compresse, bandage… n'ont faut qu'aggraver le problème. La perspective d'une semaine de randonnées en montagne m'inquiétait fortement !

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Un petit tour à Masdagascar… ou sous l'arbre à palabres

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Il faut absolument que je plante des pétunias Liberty !

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Les petits girafons sont trop mignons !

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Mais le zèbre n'est guère poli

 

Enfin, nous avons gagné Valence, dernière étape sur la route des Alpes.

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23 août 2016

Vacances en famille

Nous avons réussi à trouver, in-extremis, une semaine où nous étions tous disponibles pour partir en vacances. C'était la dernière chance : Paul reprend les cours lundi 29 ! Et comme Marie est rentrée de camp le 16, nous avons même pris deux jours de plus pour visiter Lyon. Jeudi midi, donc, nous sommes arrivés dans le tout nouveau quartier de la Confluence. Immeubles à l'architecture originale, port de plaisance, zones en contruction (le marché de gros et les prisons viennent d'être démolis)…

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Le musée nous a occupés un bon moment, mis nous aurions pu y passer quelques heures de plus tant les collections et expositions sont riches et bien documentées !

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La journée s'est achevée dans la zone d'activités proche de notre hôtel : ayant trouvé la pizzeria du village fermée, nous avons mangé des pizzas au Petit Palace… entre le four à bois et le grill à kebab, nous n'avions pas froid ! Mais l'accueil fort sympathique nous a donné envie d'y revenir (Lyon est une étape pratique)

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20 août 2016

collection voyage 2016 #2

J'ai dit qu'il m'arrivait de coudre dans l'urgence ? C'est donc logique que je décide à 16h45, en faisant les bagages, qu'il est indispensable de coudre une housse de transport pour notre nouvelle radio de cuisine, que nous emportons en vacances le lendemain matin…

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2h15 plus tard, j'ai rentabilisé les chutes des sacs de Tilulu et Titou et de la housse de surmatelas de Paul que j'avais mis aux dimensions de son lit au printemps. j'aurais pu faire plus vite, mais j'avais oublié les poignées et oublié de coudre 10 cm de la housse (???), je ne l'ai vu qu'à la toute fin du travail, le découd-vite a donc servi un peu.

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Et voilà, la housse a rempli son office ; en revanche, comme il n'y avait aucun meuble pour poser l'appareil à proximité d'une prise de courant, nous avons été contraints de faire un détour par Chavanay pour acheter quelques cartons de Saint-Joseph… la vie est dure !

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18 août 2016

Jour de fête

Pour fêter dignement la majorité internationale de Paul :

Des panna cotta au caviar d'aubergine, très bonnes (sauf pour Aurore qui n'aime pas l'aubergine) et des tartelettes mojito (citron vert, menthe et une larme de rhum — ça manquait un peu de menthe) et la bougie ourson de son premier anniversaire !

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Marie lui a rapporté des bières corses à la farine de chataigne

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ainsi que la boisson locale (mélange assez chimique de caramel, arôme pomme et banane, au gout de bonbon)

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une découverte faite sous les pierres du sentier de randonnée que son groupe de compagnons restaurait (mise à niveau de dalles de sol datant pour certaines du moyen-âge, reconstruction de murs de pierres sèches, curage de fossés…)
(y'a plus qu'à écumer les vide-grenier pour trouver le reste de la série. Le tableau me parle, forcément : j'habitais, adolescente, rue François Millet)

18 août5

et son cadeau de fête - bac - futur BTS !

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