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attraper le temps qui file…

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14 août 2016

Jours tranquilles

Je suis seule à la maison avec Aurore, Marie est toujours en Corse et les hommes de la maison ont entrepris de rentrer du Havre en vélo, en deux jours (avec nuit à l'hôtel). Les 125 km parcourus aujourd'hui leur ont semblé durs, surtout sur la fin, et je pense qu'ils auront du mal à remonter en selle demain matin !

Au programme :  j'ai huilé les futurs bureaux pendant qu'Aurore découvrait les joies du montage de meubles en kit.

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Nous avons préparé de délicieux repas : salade de patate douce, sarrazin, avocat, fèves et deux saumons

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Pizzas merguez-poivrons-gruyère pour elle, basilic-courgette-mozzarella pour moi

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Nous prenons l'apéritif en sirotant des cocktails

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J'ai commencé à récolter la lavande (qui continue de fleurir), désherbé les dalles (l'éternel recommencement), commencé doucement les bagages, de son côté Aurore trie ses cours, nous avons animé une messe sous protection policière (un peu angoissant, quand même)

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Et puis je lui ai fait découvrir la vie de Scarlett O'Hara (elle a été déçue par la fin abrupte de l'histoire) et demain, ce sera un tout autre style : Zazie dans le métro !

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11 août 2016

Jupe ensoleillée

Comme le temps est tout gris, je suis allée chercher le soleil aux Antilles avec ce madras bleu, assorti à un satin de coton, les deux trouvés aux coupons de St Pierre il y a 15 jours. Autant je suis déçue par la baisse de qualité de leurs tissus imprimés (pour un même motif, le coton n'a plus rien à voir, le tissage est grossier), autant je peux y acheter des satins de coton, jeans ou madras les yeux fermés. À 10h30, rien ne me plaisait, j'avais repéré du voile à 5 euros sur le site, mais le seul coloris disponible était un turquoise que je ne me voyais pas porter, les cotons imprimés étaient moches, pas de satin… à 11h20, j'ai failli acheter, sans grand enthousiasme, du satin gris. Et juste à la fin de mes courses, avant de reprendre le métro, j'y suis repassée : ce satin bleu et le madras assorti m'ont immédiatement sauté aux yeux et à l'extérieur, fouillant une dernière fois l'étalage, j'ai déniché un coupon de voile blanc (pour ma Barcelona).

Je savais exactement ce que je voulais faire : une jupe Ottobre comme celle-ci. Je l'ai vite coupée, cousue, mais j'ai traîné plusieurs jours à faire l'ourlet final, prise par d'autres activités passionantes comme le démontage intégral des toilettes de l'étage pour les récurer dans les moindres recoins (et ce n'était pas du luxe, vu que l'entretien courant est confié aux ados…), les visites aux magasins de meubles ou de bricolage (pour les bureaux des filles, j'ai simplement acheté un plan de travail de cuisine en hêtre massif et l'ai fait découper en fonction de l'espace disponible : bien moins cher et aucune perte de place par rapport à un plateau tout fait), la rédaction d'une annonce pour le secrétaire (qui a été récupéré dans la journée pour une quatrième vie), l'inspection des fonds de placards (tiens, mon mug rouge n'a pas été cassé, finalement, il était juste dans un sac plastique, lui-même au fond d'un sac en papier. J'ai également remis la main sur les ciseaux qui étaient déjà revenus deux fois dans le tiroir avant de disparaître de nouveau. Quant au verre-mesure, bizarrement il était dans un tiroir du meuble de salle de bains — sale, bien sûr ; ne parlons pas de la boîte en plastique au contenu indéfinissable, je dirais qu'il s'agit des restes d'un repas de midi datant d'au moins deux mois)… bon, bon, je vais manger quelques carrés de chocolat et passer mes nerfs sur l'aspirateur, ça vaut mieux !

Revenons à ma jupe… elle est très agréable à porter, grâce à l'élasticité du satin, elle virevolte grâce à ses six pans, j'ai posé la fermeture invisible presque sans y penser et la finition de la parementure n'a plus de secrets pour moi. Seule la couture du faux volant me pose encore problème : je l'ai bâti entièrement à la main, et il y a du métrage !

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Jupe n°7 Ottobre été 2015

 

10 août 2016

10 du10 : Faites Aaaaa

A comme… août ! C'est le thème proposé par J'habite à Waterford

A comme Aube. Alors que j'aurais pu dormir une heure de plus, voilà que je me suis réveillée bien trop tôt. Comme une nuit sur deux, à peu près… pas très reposant !

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 A comme Aménagement de la chambre des filles ; exit le secrétaire aux charnières cassées et à la surface de travail exigüe, ainsi que le charmant pupitre d'écolier pliant. Nous partons en quête de mobilier plus fonctionnel.

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A comme… Alex, qui accueillera les copies et crayons de Marie (il était lourd, Alex, et il faut le monter maintenant !)

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A comme Achats. Tous les magasins visités finissent ou commencent par A !

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Avec une mention  spéciale au géant suédois auquel nous avons fait trois visites (une le matin pour nos gros achats, une à midi pour y manger, une dernière dans l'après-midi pour deux derniers articles, faute de trouver mieux ailleurs)

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A comme Aurore, mon assistante joyeuse et dynamique de la semaine !

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A comme Arrosage, il fait gris mais la pluie ne viendra pas, aujourd'hui encore.

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A comme Application, il en faut pour coudre un carré de Dear Jane !

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A comme Altiste ; elle peine, ses devoirs de vacances sont vraiment difficiles, mais mesure après mesure, la première page du duo est presque déchiffrée (je l'aide, avec mon ancien violon monté en cordes d'alto, mais j'ai du mal aussi !) — et comme si ça ne suffisait pas, elle se met à la guitare !

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A comme Abricot, un petit dessert gourmand pour terminer la journée

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7 août 2016

J'ai désobéi !

Ce samedi avait lieu la fête des dizaines chez La Punaise, pour célébrer dignement son anniversaire et celui de son adorable mari. Une joyeuse réunion d'amis, de parents, de voisins et de quelques blogueuses. Comme elle fait bien les choses, elle avait commandé un temps radieux, après une semaine maussade. Et avait donné pour consigne : « Pas de cadeau ! Nous avons tout ce qu'il nous faut »

Mais on a toujours besoin d'un petit sac, n'est-ce pas ? Et puis j'avais trouvé une broderie trop belle et parfaitement adaptée (et rapide, ce qui ne gâche rien), je devais absolument l'utiliser ! J'ai donc rapidement vérifié ses goûts sur son blog (vivent les tags) : couleur préférée, rouge, rose… parfait, il restait du sergé de ma belladone, bien épais.

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Un patron déjà testé (ce qui ne m'a pas empêchée d'avoir à découdre la patte de fermeture, trop longue, comme la dernière fois) et quelques heures de calme, à écouter des podcasts (j'ai retrouvé dans l'ordinateur quelques épisodes de parking de nuit de Sophie Loubière, quel régal !)

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Quant à la fête : nous avons fait des rencontres, bien mangé et bien bu, joué un peu de musique, parlé, ri, dansé jusqu'à point d'heure. Paul et Aurore, passés les premiers moments de gêne, ont trouvé des copains de soirée (Paul a même déserté la tente familiale pour celle des jeunes) et la nuit a été courte !

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Et La Punaise a encore toute l'énergie de sa jeunesse, la preuve :

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4 août 2016

Défi 52 carrés #28-29-30-31

Ouh là, quatre semaines sans publier pour le Dear Jane ! Il y a du relâchement pendant l'été… mais j'ai cousu quatre carrés, donc je suis à jour.

Un tout simple (comment m'avait-il échappé jusque-là ?)

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Un Paper fondation (avec un satin de coton un peu épais, j'ai eu du mal à passer les épaisseurs des coutures)

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Et deux appliqués très proches, que j'ai coupés et cousus en simultané

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Ça avance, certaines zones commencent à être bien remplies : 38 carrés cousus !

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Et la reprise des repas asiatiques, pour changer un peu de la salade et des courgettes : bibimbap estival au saumon cru (pour ceux qui aiment), germes de soja, chou pak choy, concombre, carottes, laitue, tomate jaune (qui commençait à rougir)

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3 août 2016

Barcelona

Un patron vite cousu… ou pas, c'est selon !

J'ai acheté le patron le mardi, me suis mise en quête du tissu le mercredi (j'ai eu du mal à trouver), l'ai lavé séché et repassé, jeudi-vendredi, coupé samedi et piqué les plis le dimanche.

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Là, ça c'est gâté ! Lorsque j'ai voulu fixer les plis contrariés selon les indications du patron (trois coutures horizontales dans un sens, puis on couche les plis de l'autre côté et on re-pique au milieu), il m'a été impossible de changer le sens des plis, le tissu était trop tendu. J'ai donc décidé de faire 4 coutures horizontales au lieu de 5 et décousu… et là, j'ai remarqué que le stylo frixion ne s'effaçait pas totalement à la chaleur, mais laissait des traces jaunes !

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Après essai sur une chute, ça part au lavage, ouf !

Ensuite, j'ai suivi sagement les explications jusqu'au biais : je suis une rebelle, je préfère coudre mon biais d'abord sur l'envers, puis le retourner et le surpiquer sur l'endroit. Sauf que là, il ne s'agit pas d'un biais classique mais d'un biais invisible, que l'on retourne complètement sur l'intérieur avant de le replier et de le surpiquer.
Bon. J'ai donc décousu. Et puis recousu le biais du bon côté — que je croyais ! J'ai réussi à recoudre une emmanchure à l'envers ! Dire que j'ai du mal à me repérer avec les coutures anglaises est un doux euphémisme…

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Le découd-vite a bien servi, donc. Au final, les finitions sont très propres, impeccables pour un tissu aussi transparent. Bêtises mises à part, je pense cette blouse doit se coudre dans la journée, malgré l'application que demandent les plis et le rabattage du biais.

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Portée : le voile est vraiment transparent, à porter avec un soutien-gorge beige et un bas clair ! J'aurais pu copier la taille au dessous et les pinces de poitrine, descendues après le test de Michèle de Cousu-main, sont finalement un peu basses pour moi (le patron prévoit deux hauteurs différentes).

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Voile de coton à 5 euros les 3 mètres des Coupons de St Pierre, un peu rèche (le bleu turquoise était plus doux), à refaire en plumetis, peut-être ?

2 août 2016

Je suis toujours là !

J'avais prévu de coudre, la semaine dernière… mais je ne sais pas où ont disparu les heures que je devais y consacrer, dans une faille spacio-temporelle, probablement !

Le grand ménage du lundi (indispensable après une grosse semaine de laisser-aller, entre la tornade de la préparation des sacs de camps et la chaleur accablante;

Les courses du mardi et les arrosages quotidiens du jardin (mine de rien, ça prend du temps);

Une virée parisienne mercredi avec 3 passages aux coupons de St Pierre, parce que l'assortiment de coupons n'est pas le même au fil de la journée (et j'ai bien fait, ce n'est qu'au troisième passage que j'ai trouvé mon bonheur), l'examen de TOUS les rouleaux de coton écru de TOUS les magasins du marché Saint-Pierre avant de trouver le coloris exact du fond de mon Dear Jane (parce que, bien évidemment, j'ai utilisé un tissu dont j'ignore la provenance);

Jeudi, un début de soirée passé à jouer à la marchande à l'Amap pour cause de train supprimé (je devais juste remplacer Guillaume pendant 20 minutes, mais une fois sur place, on discute avec les amis de passage…) et des légumes à cuisiner, beaucoup de légumes, c'est la pleine saison ! Nous nous sommes retrouvés avec 4 belles salades, alors qu'il nous en restait deux de la semaine précédente, sans parler des courgettes, tomates, haricots, fèves, choux pointus, chou rouge… tout cela pour deux, au secours !

Vendredi, hop, deux salades offertes aux voisins ! Et depuis, c'est salade, courgettes et tomates à tous les repas.

2 août5 notre futur carrelage de salle de bains ?

Dimanche, l'exposition Le grand orchestre des animaux à la fondation Cartier avec une amie, puis un barbecue coréen (une première pour nous) et un café en terrasse, au soleil, c'est bon aussi de ne rien faire !

2 août22 août1

Et lundi, avec l'aide de Paul, rentré de son camp, les grands travaux de l'été (cette fois, pas de doute, le bois est bien sec — enfin, il était, car évidemment, il pleut maintenant…) : les boiseries extérieures, volets, porte, fenêtres, poutres et cache-moineaux. Le voisin nous a laissé accès à ses échelles mais je n'en mène pas large, perchée à 3 mètres, le pinceau d'une main et le pot de lasure de l'autre. Où sont passées la souplesse et l'insouciance de mon adolescence, lorsque nous ravalions les 3 étages de la maison ?

2 août32 août4

J'ai trouvé un outil formidable tout-en-un, qui ouvre les pots de peinture sans les abîmer, contrairement au tournevis, permet de gratter la peinture à plat ou dans les recoins, de retirer des clous, d'essorer le rouleau, d'élargir les fissures, de dévisser le rouleau et qui fait même décapsuleur !

27 juillet 2016

Petite surprise

J'aime comme ce monde virtuel permet de tisser des liens bien réels. J'aime envoyer et recevoir des surprises, préparer de petits envois dont je sais qu'ils seront appréciés. Il y a quelque temps, après Tilulu et Titou, c'est Petit Mammouth qui est venu agrandir la belle famille de Loulou. Alors, pour lui souhaiter la bienvenue, je lui ai envoyé quelques petits bavoirs…

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Espérons qu'il sera aussi inventif que ses cousins pour alimenter le blog de sa Mamie-Ange en jolies anecdotes !

 

25 juillet 2016

Ils sont partis

Aurore, avec les scouts et guides en Bretagne, Paul et ses louveteaux en Bourgogne, quant à Marie et ses compagnons, après un départ très matinal (réveil à 4h45, ouille), un long après-midi à passé Nice, ils ne sont pas encore arrivés mais doivent être à cette heure sur le bateau. Direction un tout petit village de Corse et ses sentiers de randonnée à entretenir.

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De mon côté, j'ai profité du calme pour faire… un grand ménage ! (enfin, j'ai surtout profité de la baisse des températures)

 

22 juillet 2016

Encore pour le camp…

… mais pour Marie cette fois. Comme son groupe de compagnons part en autonomie, il leur a fallu répartir le matériel collectif entre eux. Elle a hérité des piquets de tente. Mais j'ai jugé qu'il lui était impossible de prendre deux trains, puis le bateau, ainsi :

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Elle risquait d'éborgner les autres voyageurs !

J'ai donc confectionné un sac, rembourré à l'intérieur et bien visible à l'extérieur, grâce aux chutes de cette veste (il faut toujours garder les chutes, ça peut servir). Celui qui se cognera la tête sera vraiment distrait…

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