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attraper le temps qui file…
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15 janvier 2019

Vive la reine !

Vous vous demandiez quel ouvrage au crochet j'ai commencé la semaine dernière ? Nous fêtions les rois, hier soir, à Calibeurdaine. Notre nouvelle guitariste est une pâtissière hors pair et elle avait promis d'apporter des galettes de sa fabrication, mais nous a annoncé qu'eile n'avait pas de couronne chez elle.

Il y avait longtemps que je voulais refaire cette couronne crochetée avec un fil métalllisé, afin qu'elle fasse moins "coiffe bretonne". Le fil, je l'avais acheté sans lire l'étiquette, grave erreur ! Comme il est destiné au tricot, il n'est pas torsadé et se dédouble à chaque point, le fil métallique accroche et je n'avais qu'un crochet n°2, un peu trop fin. La brillance du fil métallique m'a gênée pour compter les mailles (il aurait fallu crocheter en plein jour). Mais j'en suis venue à bout, en partie grâce à l'astuce de Zenobia : passer le fil sur une bougie chauffe-plat.

J'ai retrouvé le diagramme, j'ai dû encore une fois rechercher l'explication des points, parce que j'avais tout oublié et quelques jours plus tard, j'avais ma couronne. Restait à la rigidifier. Je ne voulais pas l'amidonner comme la fois précédente car j'avais peur d'abîmer le fil ou de le ternir au repassage. J'ai vu qu'il existait du durcisseur pour tissus et j'ai eu l'idée de le remplacer par du vernis-colle.

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J'ai donc placé mon ouvrage sur un saladier qui avait juste les bonnes dimensions et je l'ai tendu grâce à  des fils de coton entrecroisés. Une fois installée ma toile d'araignée, j'ai dégainé mon pinceau et… j'ai été prise d'un doute : le vernis-colle, je m'en sers pour les étiquettes de mes pots de confiture, ça tient très bien, tellement bien qu'elles résistent au passage au lave-vaisselle. Je m'apprêtais donc  à coller solidement ma couronne sur le saladier !

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Comme je n'avais pas envie de défaire toute mon installation, j'ai glissé tant bien que mal quelques morceaux de film plastique entre la dentelle et le verre, puis j'ai largement imbibé ma couronne de colle et laissé sécher quelques heures. Puis j'ai coupé les fils et testé le résultat, c'était un peu trop souple à mon goût, j'ai donc reposé la couronne sur son support et remis une couche de colle, en activant le séchage à l'aide du sèche-cheveux. 2h plus tard, c'était prêt.

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Ma couronne a fait sensation (pas autant que la galette, mais presque !). Je la trouve cependant toujours trop inclinée vers l'extérieur (un problème de saladier ou de diagramme ?) et trop petite, il aurait fallu un motif de plus, pourtant la chaînette de départ semblait trop longue, il faudra que je le note sur le modèle.

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5 janvier 2019

De bon matin, j'ai rencontré…

Les rois sont arrivés à la crèche, mais le chamelier avait la lèpre, le pauvre. Paul a installé un hôpital de campagne et sorti sa trousse de chirurgie poscas. Au passage, il a redonné de la blancheur au vieux mouton, reverdi l'herbe et rajeuni quelques vêtements.

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J'ai profité de ce dernier samedi de vacances pour confectionner ma pâte feuilletée et la galette aux pommes, mise à refroidir sur la terrasse, n'a pas été mangée par le renard (mais nous l'avons bien surveillée car Gribouille, le chat des voisins, est très entreprenant !)

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29 décembre 2018

Il était 6 fois Noël #10 : le grand jour

Cette année, Noël a duré presque une semaine. Avec du temps pour se retrouver, des parties de jeu endiablées entre cousins, des sorties au grand air, des montagnes de cadeaux, des bûches et des gâteaux délicieux, de jolies tables, des soirées qui se prolongent tard dans la nuit, beaucoup d'amis rencontrés, une animation de messe presque improvisée, des petits enfants excités, les falaises d'Étretat, de la lumière, de grandes marches, le Havre retrouvé…

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13 décembre 2018

Il était 6 fois Noël #6 : recette

Samarian a fait un énorme travail avec son billet de suivi du challenge « Six fois Noël » !

Aujourd'hui : « On passe en cuisine, on sort les emportes pièces, les moules en forme de sapin, la cannelle et le sucre glace. Il est grand temps de confectionner des gourmandises sucrées pour pouvoir grignoter ce week-end pendant le marathon de lecture. »

Mais surtout, ce soir, nous fêtons la Sainte Lucie, avec des Lussekatter, brioches au safran dont la couleur dorée est censée éloigner le diable, qui sont traditionnellement préparées en Suède pour cette fête. Alors, pour fêter notre lumière*, j'ai préparé ces brioches.

- 250 g de farine
- 5 g de levure de boulanger déshydratée
- 45 g de beurre
- 10 cl de lait tiède
- 50 g de sucre
- 1 œuf
- une quinzaine de filaments de safran
- 1/2 cc de sel
- 1 jaune d'œuf pour dorer
- quelques fruits confits ou raisins secs

Dans le lait tiède, verser la levure, 1 cc de sucre et le safran, laisser infuser 5 minutes.

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Verser dans une terrine la farine, le sucre, le sel, casser l'œuf au centre, ajouter le beurre ramolli puis verser le lait. Pétrir la pâte pendant 10 minutes, puis la laisser doubler de volume dans un endroit tiède pendant 30 min environ. Enfin dégazer la pâte, la diviser en morceaux puis former les petites brioches en S (vous trouverez d'autres suggestions de formes ici).

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Dorer les brioches au jaune d'œuf, disposer les fruits confits ou les raisins (les yeux du chat Lucifer) et les laisser lever 15-20 min. Préchauffer le four à 165 °C puis enfourner les brioches pour 12 à 15 min. Le goût du safran est bien sensible, même si la couleur jaune n'est pas prononcée.

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* Il est loin le temps où elle fêtait la Sainte Lucie comme les petites suédoises :

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19 juillet 2018

Vive la mariée !

Non, je n'en suis pas encore à coudre une robe de mariée (quoique, j'ai déjà cousu la mienne et j'espère de tout cœur que mes filles me le demanderont), mais j'ai habillé la Maman de la mariée, ce n'est pas rien ! 

En avril, ma collègue-amie et moi sommes allées en expédition au Marché St Pierre pour trouver un tissu qui convienne. Le modèle était choisi : la Belladone, une valeur sûre, que je savais pourvoir réaliser dans les temps et sans problème. Nous partions avec l'idée d'un imprimé dans les bleus ou roses… et cette gabardine superbe, d'un vert émeraude lumineux, que ne peut rendre la photo, nous a plu tout de suite. Un tour de toutes les boutiques plus tard, nous revenions l'acheter. Ensuite… j'ai été un peu occupée, et nous avons ri entre collègues à l'idée qu'en guise de robe, elle allait devoir se réaliser une toge avec le tissu. (je savais que j'aurais le temps)

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Et puis j'ai coupé, cousu, pris mon temps pour soigner les finitions, aligner les pinces et les plis (il suffit de ne faire les plis de la jupe qu'après avoir posé la ceinture sur le corsage). Un essayage a suffi pour ajuster le dos (qui a souvent tendance à bailler dans ce modèle). J'ai perfectionné ma pose de fermeture invisible.

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Petite touche de fantaisie : la parementure d'ourlet, en vague japonaise (c'est de saison en ce moment à Paris)

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Enfin, comme il restait largement assez de tissu, j'ai proposé de compléter la robe d'un boléro assorti. Là encore, j'étais sûre de moi, puisque je l'avais déjà cousu pour la confirmation de Marie (et heureusement, car il m'avait fallu retoucher énormément le patron).

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Le choix de la doublure a été plus délicat, cette couleur est particulière (d'ailleurs, le vendeur de Fil 2000 n'a pas réussi à trouver exactement la bonne couleur de fil, c'est rare). Et puis j'ai retrouvé, en fouillant mes tiroirs, une soierie dans laquelle j'avais confectionné une robe pour Marie, qui avait été épouvantable à coudre : le tissu s'effiloche horriblement, se prend autour du pied de la machine… mais j'avais trouvé l'arme secrète : la surjeteuse !

J'ai tout juste réussi, dans les chutes, à couper la doublure du boléro.

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Je trouve l'ensemble très chic, peut-être un peu trop sobre, à égayer d'une broche ou d'un foulard coloré ?

(et un peu de repassage…)

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La séance d'essayage, hier au bureau, a été largement applaudie. Mais surtout, je pense avoir fait vraiment plaisir à la destinataire, ce qui était mon objectif ! 

Maintenant, je souhaite que ce mariage se déroule joyeusement, sous le ciel bleu de Normandie, et soit une belle fête de famille. Car une maman reste une maman, et se fait beaucoup de souci à l'avance ! 

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16 juin 2018

Tenue chic

Paul avait comme projet, avec son cousin, de se rendre aux Geek Faeries. Pour cela, il m'avait demandé de lui coudre un gilet noir et… il s'est laissé pousser les cheveux (pourquoi ? Je l'ignore, je n'en sais pas plus sur son "personnage"). Sa tignasse devenant de plus en plus hirsute, j'ai insisté pour couper un peu. Non. Pas avant le 3 juin. Sauf que, le 2, notre jolie nièce a fait sa première communion. Impossible donc pour Paul et son cousin (le frère de la communiante) de se rendre en Touraine. J'ai obtenu la promesse de jouer à la coiffeuse dès que sa tenue serait terminée et qu'il aurait fait des photos. C'est vous dire ma motivation pour coudre ce gilet, malgré mon emploi du temps chargé débordant.

J'ai trouvé un patron gratuit en ligne, Paul a choisi un tissu (dont je ne connais pas le nom, une sorte de jersey côtelé très épais qui doit servir pour des pantalons de cheval ?) qui attendait dans l'une de mes caisses de tissus et je me suis lancée… en inversant les deux dos du patron (j'aurais dû prendre la doublure). Je m'en suis aperçue après avoir soigneusement cousu les pinces et assemblé les dos extérieur et doublure (forcément, ça ne se raccordait pas du tout aux épaules). Heureusement, j'avais largement assez de tissu, j'ai donc recoupé les dos et les doublures, refait les pinces, assemblé le tout selon une méthode personnelle qui ne laisse aucune couture apparente, surpiqué…

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…avant de découvrir que le tissu (pourtant épais, de bonne tenue et très peu extensible) s'était légèrement détendu, juste assez pour faire des poches disgracieuses sous les bras et un bas gondolant. Un peu désespérée, j'ai décousu puis… terminé mon livre. Enfin, j'ai entoilé tout le bas du gilet, recoupé un peu le jersey, recousu, retourné, vérifié les longueurs avant de surpiquer le tour, puis les coutures de côté.

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Paul a choisi dans mon tiroir de très beaux boutons, un peu grands, mais travaillés, tout à fait dans le style steampunk qu'il recherche. Ils venaient d'un manteau que j'ai porté autrefois, dans mon adolescence.

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Et pour parfaire la tenue, un nœud papillon pour lequel j'ai utilisé le tuto de Barnabé aime le café, en le simplifiant (un seul nœud, sans la doublure, juste entoilé)

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Il a cousu là-dessus ses engrenages favoris. Il doit porter sa tenue pour sa soirée de fin d'école et un anniversaire. Vivement la fin ! (que je puisse lui couper les cheveux et qu'il se taille la barbe)

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Et en attendant, c'est la fête de la placette, ja vais rejoindre mes voisins, qui commencent à installer des tables, avec ma tarte tatin au fenouil (on fait avec le contenu du panier… l'an dernier, le risotto aux navets caramélisés ne tentait personne mais il n'en est pas resté une miette)

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16 avril 2018

20 ans

20 ans auparavant, j'avais ciré le parquet (en point de Hongrie) de tout l'appartement, nous étions allés faire une grande marche dans Versailles et j'avais perdu les eaux à la fin du dîner…

De l'avis de mon collègue Jean, Marie était le plus ravissant bébé qu'il ait jamais vu (celle qui criait le plus fort de toute la maternité, également).

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Cette fête, voilà des semaines que nous la préparons, dans le plus grand secret. À 17 heures, Aurore a emmené sa sœur faire du shopping, elle a réussi à la convaincre de mettre une jupe au lieu de son vieux pantalon et elles ont mis beaucoup de temps à trouver le vêtement recherché.

Dès qu'elles ont passé la porte, nous nous sommes activés : les quiches, congelées à moitié cuites, ont été enfournées, les gâteaux ont été garnis et décorés, la vaisselle sortie. Les amis ont été mis à contribution pour accrocher des photos dans le moindre espace disponible, la sono a été branchée.

Il y avait les amis scouts

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et ceux du lycée et du BTS

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Lorsqu'Aurore nous a envoyé un message de la rue voisine, tous se sont alignés dans le salon et le grand copain A. a mis son déguisement de licorne pour ouvrir la porte à Marie… qui a eu un grand moment de stupéfaction !

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avant de se voir partout, partout

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et puis la fête dont elle rêvait a commencé…

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… et duré

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Vers minuit, nous sommes allés nous coucher pendant les parties de loup-garou, à quelques mètres de notre chambre (j'ai dormi entre les éclats de rire). Vers 3 heures tous se sont couchés, ici et là, je n'ai rien entendu  (à part le gonflage du matelas)

Et puis à 7h, le réveil a sonné : deux courageux cyclistes partaient pour Bruxelles

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Peu à peu, les jeunes ont émergé, déjeuné, des parents sont venus les chercher, j'en ai déposé à la gare.

Et puis j'avais promis à Marie pour le jour de ses 20 ans, de lui confectionner un Ispahan, alors je me suis remise en cuisine et décidément, je ne sais pas faire les macarons ! 

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8 novembre 2017

25 ans après

Il y a eu l'avant :

La location de la salle en février (la mairie demandait plein de papiers, d'attestations… et le paiement complet !)

Les premières listes d'invités : 106 places, c'est beaucoup et c'est peu. Nos familles, nos amis de jeunesse et ceux que nous nous sommes faits ici… des choix pas faciles à faire, une petite liste complémentaire au cas-où…

Une première idée de ce que nous voulons faire de cette soirée. Des objectifs (rentrer dans ma robe de mariée par exemple)

Un premier envoi d'invitations, quelques retours négatifs ou "pas avec tous les enfants" qui nous ont permis d'élargir un peu le cercle

Une petite sueur froide en réalisant que nous avions oublié de nous compter (finalement, la fête, ce sera sans nous !)

La logistique : l'achat et le transport des boissons, forcément étalé sur deux mois, le petit jeu de "qui dort où" — merci nos voisins pour vos prêts de chambres — la vaisselle (jetable mais écologique) à commander, la décoration, la liste de tout ce qu'il faut emmener, des nappes au café, du papier-toilette (eh oui) aux couteaux-qui-coupent, des torchons aux étiquettes, le pain et les fromages, le thé et les tisanes, sans oublier le sucre, les cakes salés et gougères qu'il ne faudra pas laisser dans le congélateur… 

Une petite retouche de la robe de mariée (les épingles marquent l'emplacement des boutons en 1992)

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Quelques fleurs en papier pour égayer les murs blancs

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Et puis nous y étions :

8h30 : remise des clés de la salle. Notre interlocutrice remarque que la cuisine n'est pas propre : 10 minutes plus tard, l'équipe "ménage" de la mairie est sur place ! Nous déposons nos cartons de vaisselle et bouteilles d'eau et rentrons préparer le déjeuner.

12h30 : Aurore rentre du lycée, nos premiers invités arrivent. Le temps est presque estival, ce qui ne gâche rien.

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14h45 : départ pour la salle, qu'il faut aménager et décorer. Déplier et placer tables et chaises, découper les nappes, plier les serviettes, coller les photos, installer la sono, disposer assiettes et verres… le temps passe très vite !

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16h30 : Vite, il est temps de rentrer nous habiller ! La fête commence à 17h.

Quelques morceaux de musique…

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Des chants…

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Et quelques danses folk pour nous mettre en appétit

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Je n'ai guère vu les plats apportés par nos invités

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Le mur de photos a bien plu

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En revanche, le "coin photo-booth" concocté par Paul n'a guère eu de succès, pas assez de publicité ? 

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Son petit coin "cadeaux" sur le thème du voyage, exploitant ingénieusement les cartes géographiques envoyées par des organismes humanitaires, était très réussi

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Certains se sont amusés avec les étiquettes…

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Il y a eu des concurrents prêts à tout pour gagner !  

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Et puis ce moment où nous avons été la cible des paparazzi

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Avant l'ouverture du bal

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 Je crois que nous nous sommes bien plus amusés que les "jeunes" du mariage de la salle à côté ! 

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Vers deux heures, une équipe de choc a débarrassé, replié et rangé tables et chaises en un temps record (merci encore à nos voisins qui ont transporté les bouteilles, pains, cadeaux, fleurs… nous épargnant quelques voyages) et nos jeunes, aidés de leurs cousins, ont décollé les photos, balayé, frotté, essuyé… si bien qu'à trois heures, nous étions dans notre lit canapé, l'esprit tranquille pour l'état des lieux quelques trop courtes heures plus tard (8h30 le dimanche !)

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Aurons-nous le courage de recommencer avant nos noces d'or ?

 

 

 

 

 

18 juillet 2017

Début de vacances en feu d'artifice

La dernière semaine fut rude, entre consultations médicales (douloureuse cauthérisation pour Aurore, qui devrait mettre fin à ses pénibles saignements de nez, et verdict sans appel du radiologue : plus de course pour moi pendant 4 à 6 mois pour cause de tendinite achléenne chronique et aigüe), le résultat du brevet avec la mention TB attendue (et obtenue haut la main) et le rassemblement des bagages.

Vendredi matin, grasse matinée jusqu'à 7h, puis on charge la voiture, direction Chaumont-sur-Loire et son Festival des jardins.

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Et puis, après un petit détour par Vouvray et un Tetris pour faire entrer quelques cartons de vin dans un coffre bien plein, nous remontons vers Montoire et… c'est l'arrivée à la Hirlière !

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déjà bien animée, entre jongleurs et cartonneurs

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Nous faisons un tour de présentations, essayons (sans illusions) de retenir les prénoms et montons notre camp, puis nous nous laissons porter par le mouvemnt… apéritif, grillades, rencontres, discussions… le vent frais nous pousse dans la maison pour finir la soirée. Enfin, nous laissons les cartonneurs à leur ouvrage et regagnons notre gîte. 

Samedi, les futurs combattants fignolent leurs casques (de véritables œuvres d'arts) et préparent armures et armes. Une seule règle : que du carton et de la colle ! Pendant ce temps, de nouveaux invités sont arrivés et parmi eux, Loulou et le Nini. Quelle joie de se rencontrer pour de vrai !

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Puis c'est le moment pour les combattants de se faire admirer…

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pendant que certains mettent leurs yeux au chaud pour quelques instants…

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… une photo de groupe, une parade…

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… puis le combat, acharné, quelques minutes impossibles à photographier ! Mais Anne a fait quelques vidéos.

Ensuite, les jeunes (ou moins jeunes) se sont livrés à quelques glissades aquatiques ; nous avons bénéficié d'un petit concert

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Et enfin la très longue rangée de tables s'est remplie

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Et tandis que le champ de blé voisin était moissonné

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nous avons assisté au spectacle lumineux (avec une belle frayeur, heureusement sans gravité)

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Il paraît que la musique a continué jusqu'au petit matin… mais nous avons dormi !

Au matin, nous avons repris la route vers Dinard, où, pour une fois, les propriétaires étaient là pour nous accueillir (pour le plus grand bonheur d'Aurore qui ne voit jamais ses cousins en été puisqu'elle part toujours en camp mi-juillet). Un bain de mer plus tard, nous avons gagné nos lits pour une nuit de 12h30 ! Suivie d'une sieste ! Ça fatigue, l'air de la mer ?

Anne et Gilles, un grand merci pour cet accueil dans votre maison, pour ces sympathiques rencontres avec vos familles et vos amis. Nous avons passé deux jours magnifiques qui nous ont fait le plus grand bien, un début de vacances idéal !

 

 

 

 

17 avril 2017

Une journée particulière

Ce samedi était chargé, mais nous devions fêter dignement l'anniversaire de Marie. Je me suis donc attelée aux préparatifs vendredi soir (heureusement que Paul a pu venir me chercher : les trains ont été arrêtés jusqu'à 21h sur les trois lignes que je peux prendre, pour cause de personnes sur les voies !) et samedi matin de bonne heure. La partie musicienne de la famille (soit 80 %) est partie à la répétition de la veillée pascale, qui a duré 2h30 et s'est terminée par un “joyeux anniversaire” chanté par toute la chorale, laissant les derniers préparatifs à notre elfe de maison, qui a rangé un peu, épluché et coupé les légumes, confectionné des tuiles au parmesan, mis la table, allumé le feu… un feu que nous avons apprécié, tant la température était descendue !

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Tout avait bien commencé (crudités, mousse de courgettes et sa tuile de parmesan, soupe froide thaï de Secotine qui devient un grand classique chez nous — j'y ajoute un peu de citronnelle).

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Comme sa sœur, Marie a un menu d'anniversaire traditionnel : viande grillée à la cheminée et gâteau à la rose. Cette année, j'avais confectionné un cheese-cake rose-litchi-framboises. Ma gélatine provient de chez Detou, et j'ai du mal à la doser, il me semble que le résultat est moins ferme, à poids égal, qu'avec celle qu'on trouve en grande surface. Ou bien il faut plus de temps pour la prise… j'ai déjà eu des déconvenues. Cette fois, j'avais légèrement augmenté la dose, mais en sortant le gâteau du réfrigérateur, j'ai eu quelques doutes… j'ai disposé la décoration dans le moule et je n'ai pas planté de bougies, puis j'ai tenté le démoulage directement à table.

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Ça s'est vité gâté…

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mais c'était bon quand même !

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et puis la sieste indispensable, quelques retouches de partitions, les croque-monsieur, le départ pour l'église, l'installation des micros et les balances, le feu dans la grande cour, les tentatives d'allumage de cierges sous la pluie avec le vent (ça ne sera pas pour cette année), le long et beau chant de l'Exsultet, les 6 lectures et les 6 psaumes, dans l'église juste éclairée par les cierges, les 14 baptêmes dans une ambiance incroyable, 600 personnes chantant et tapant des mains, 3h30 de messe que nous n'avons pas vu passer (mes jambes et mon dos, si, on est beaucoup debout quand on chante dans la chorale !) et les œufs en chocolat en rentrant à la maison.

L'an prochain, j'essayerai de ne pas rater le gâteau et ce ne sera pas le jour de Pâques !

 

 

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