52/2023 : ni rêve, ni cauchemar
Ce dimanche, Virginie nous demande d'illustrer un rêve/un cauchemar. Pas facile ! Alors, j'ai pris une voie détournée.
Selon les études sur le sommeil, les rêves arrivent dans la dernière phase d'un cycle de sommeil, ainsi détaillé :
Sommeil léger — sommeil profond — someil léger — sommeil paradoxal
Le tout durant 90 minutes environ. C'est bien là qu'est mon problème, puisque cette semaine, j'ai plutôt eu le programme suivant :
Sommeil léger — réveil pour tousser — sommeil léger — réveil pour mal de gorge — sommeil léger — réveil pour me moucher — sommeil léger… avec un rythme de réveil toutes les 30 à 60 minutes et le cerveau en hyper vigilance « il ne faut pas que je tousse, sinon je réveille Guillaume, et puis ça irrite la gorge et je tousserai encore plus. Et si ça dégénère en bronchite, je fais quoi ? (mon médecin est en vacances). Je peux aller dormir en bas ? Mais il faut débarrasser le canapé, le déplier, mettre des draps. Et dans la chambre d'Aurore ? On a coupé le chauffage. Est-ce que je serai guérie pour partir dimanche* ? » Pas très reposant, tout ça…
Alors, sur ma table de nuit, j'ai tout l'attirail des nuits "à peu près potables" : collutoire et pastilles pour la gorge, mouchoirs, huiles essentielles, bouteille d'eau à portée de main, lecteur mp3 (écouter un podcast avec le son au minimum m'aide à me rendormir). Et puis un livre où les cauchemars tiennent une certaine place… (je relis les derniers opus de la saga pour me rafraîchir la mémoire, puis je lirai Ils m'ont menti que je viens d'emprunter la médiathèque, et je serai prête à attaquer le dernier volume)
* Et depuis 2 jours, j'ai totalement perdu l'odorat, ça me rappelle quelque chose… heureusement qu'il n'y a plus de PCR avant de prendre l'avion ! Je vous rassure, je porte un masque dès que je vois des gens (mais mon collègue en portait un lui aussi)