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attraper le temps qui file…

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4 janvier 2024

Le pantalon ultra confortable

Quelques jours de grand froid m'ont décidée à couper le velours côtelé que j'avais acheté en novembre, j'avais le plus grand besoin d'un deuxième pantalon chaud, je ne pouvais pas porter celui que j'avais 7 jours sur 7. Mais j'ai eu du mal à trouver du temps pour le coudre. J'ai posé le bouton le lundi matin, juste avant de.

Le velours, trouvé chez Snaply, contient 10% d'élasthanne, c'est beaucoup et mes craintes se sont avérées : il s'est déjà beaucoup détendu. Mais au moins il est confortable ! Il est également un peu plus "vert" que ce que je pensais.
j'ai repris le patron Douce de Lamericana. J'ai dû reprendre le milieu dos et la ceinture de quelques cm, pas du tout parce que j'ai maigri mais à cause de l'élasticité. Comme celui de cet été, des plis se forment quand je marche et ils se marquent vite (mais les pantalons du commerce font pareil).

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Pour éviter de trop grosses épaisseurs, j'ai coupé la braguette, le sous-pont le la ceinture intérieur en milleraies, mais finalement ce velours s'est laissé coudre très facilement, peut-être à cause d'un tissage un peu lâche à mon goût, je crains qu'il ne dure pas très longtemps.

4 janvier - 14 janvier - 2

Enfin, je suis bien dedans, j'ai les jambes au chaud et il est quand même rapide à coudre, que demander de plus ? 

4 janvier - 64 janvier - 3

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3 janvier 2024

Décembre bien plein

Fatigant, ce mois de décembre, surtout juste après une grippe ! Des week-ends trop remplis, quelques soirées agréables mais tardives, et puis ce travail au jardin qui ne pouvait plus attendre : couper l'énorme faux-cyprès, arracher la souche et planter l'érable trop serré dans son pot et un petit camélia, le tout sous la pluie. Découvrir 15 jours après que la bâche trempée a été oubliée dans la voiture (avec des milliers d'écailles) et devoir tout nettoyer juste avant de charger bagages et cadeaux… J'ai dû mettre de côté une partie de mes projets, ce qui n'a pas amélioré mon humeur, déjà atteinte par la fatigue (et une petite toux qui persistait). J'ai fini par retomber malade pour finir l'année en beauté ! Mais j'ai encore quelques jours de repos avant d'attaquer janvier (qui sera tout sauf calme).

2 janvier - 1 (2)

1/ Dernier jour de convalescence, ça va beaucoup mieux. Après ma journée de télétravail, j'accompagne Aurore faire ses courses pour son WE campé, puis nous rejoignons Guillaume dans notre pizzeria favorite avant le théâtre (Copenhague, une pièce captivante).
2/ Journée marathon : cours de musique, déjeuner, récupération de tronçonneuse chez un voisin (pas très voisin…), répétition d'ensemble, petite séance de piochage/bêchage autour de la souche du faux cyprès — qui ne semble pas bouger d'un centimètre —, jeu de piste pour récupérer les feuilles de chants de l'Avent à l'église, animation de messe et enfin délicieuse raclette partagée avec Marie.
3/ C'est notre sortie annnuelle avec Marie : le salon CSF. Il faut se lever tôt (un RER toutes les 2h, le service se dégrade de plus en plus), mais cela nous permet d'arpenter une première fois les allées dans le calme. J'ai trouvé le tissu dont j'avais besoin (et un autre moins indispensable), Marie a choisi un nouveau patron, nous avons déniché quelques cadeaux de Noël et le retour, bien que long et glacial, n'a pas été trop laborieux.

2 janvier - 6

4/ Je dis adieu à ma dentiste, qui me suit depuis 23 ans et prend une retraite bien méritée (et je n'ai aucune carie !)
5/ Pour une fois, j'ai anticipé la préparation de la pâte et je confectionne mes bonshommes en pain d'épices, puis des mannele briochés pour la St Nicolas.
6/ Un moment de détente : je confectionne des guirlandes parfumées en écoutant un podcast, un thé à portée de main… et le résultat me plaît.
7/ Heureusement que j'avais eu l'idée de ce calendrier de l'avent virtuel et que javais sélectionné et classé les photos fin novembre : chaque soir, je poste sur le WhatsApp familial une petite phrase et 2-3 photos des Noëls de leur enfance.
8/ Je trouve enfin une petite heure pour commencer à coudre le pantalon coupé depuis 15 jours et dont j'ai le plus grand besoin… puis je laisse ma machine à Aurore qui se coud une robe.
9/ Une journée chargée, mais qui se termine par un magnifique concert de la chorale ukrainienne de notre ville (renforcée depuis deux ans par des réfugiées, dont une jeune violoniste remarquable).

2 janvier - 1

10/ Rendez-vous dans une gare des environs (que je peine toujours à atteindre, tant les routes sont compliquées dans cette zone) avec une dizaine de scouts venus de presque tous les groupes, cette fois nous prenons le train, direction Montparnasse, puis le local des éclaireurs du Luxembourg, qui nous accueillent avec chocolat chaud et vionnoiseries. Une fois nos lanternes allumées, nous repartons, voyageons sans encombre (pour une fois) et presque toutes les bougies sont arrivées allumées à destination. Heureusement pour les autres, il y avait des solutions de secours.
11/ Aurore et moi avançons bien dans nos coutures respectives (pendant que le curry de patate douce attache au fond de la casserole… mais c'est bien meilleur comme ça)
12/ Le bal du téléthon est passé, nous commençons donc à répéter pour la St Patrick (les danses irlandaises sont quand même beaucoup plus amusantes à jouer)
13/ J'ai empaqueté mes colis pour la banque alimentaire, la bûche glacée du 27 est au congélateur, j'ai préparé et cuit deux pains et concocté un délicieux dîner suédois pour la Ste Lucie. 
14/ Un apériscout bien sympa (ça n'arrange pas la fatigue, mais se voir sans réunion, ça fait du bien aussi)
15/ Une petite déco de rien du tout qui me met en joie chaque fois que je passe devant (soit 150 fois par jour).

2 janvier - 12

16/ Une journée ensoleillée, après tant de jours de pluie et de grisaille, ça fait du bien. J'en ai profité pour aller à pied à la médiathèque après la répétition, mon violon en bandoulière.
17/ L'érable de Marie (qui était bien à l'étroit dans son pot) et un camélia sont venus remplacer le thuya faux-cyprès, pour l'instant ça fait un vide mais ce sera bien plus beau que cette grande masse plus trop verte.
18/ Je commence à préparer la bûche, j'avais testé la recette à l'avance et cette fois, je la note sur un cahier plutôt que le bout de papier habituel qui disparaît sitôt Noël passé, ça m'évitera de passer un temps fou à comparer des recettes l'an prochain.

2 janvier - 5


19/ Parfois, il faut savoir renoncer à des projets trop ambitieux : je coudrai mon pantalon et mon chemisier après Noël et les petits cadeaux cousus-main ne seront pas sous le sapin cette année. Ma liste est allégée et mon esprit plus tranquille.
20/ Une journée parisienne, avec quelques achats, la récupération de cadeaux (si on peut éviter de faire rouler un  camion…), un déjeuner japonais avec Aurore avant l'exposition Van Gogh à Orsay, fabuleuse malgré la foule.

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21/ Après une journée de cuisine/courses/ménage, je vais au beau concert de Noël avec une amie, puis nous rejoignons les calibeurdains pour la soirée de fin d'année : un bon buffet, suivi des délicieuses de bûches de notre guitariste pâtissière et d'un mini-bal. Je suis tellement fatiguée que je joue tout de travers, mais ça ne perturbe pas les danseurs.
22/ Pourquoi ai-je proposé de chanter ce matin ? Je suis à 6h40 à l'église pour la messe de l'Aurore, entremêlée des Laudes, heureusement qu'une amie m'a préparé les partitions ! Mais ça me permet d'être au marché juste après 8h, une bonne idée, vu le monde qui se presse déjà devant les étals.
23/ Un voyage rapide et nous voici en famille (il y a quelques absents cette année) pour démarrer les festivités. Je récupère sans encombre le dernier cadeau : un livre re-commandé en urgence car celui que j'avais reçu était abîmé, il est en bon état, ouf, me voilà prête.
24/ On cuisine, on se balade, puis nous allons à pied à l'église (la messe est toujours aussi joyeuse et animée) avant de rentrer nous régaler.

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25/ Une journée tranquille : échange de cadeaux, petit concert (cette année, un extrait du trio op. 100 de Schubert), jeux de société.
26/ Un dernier tour en bord de mer, puis nous repartons retrouver notre maison où nous attend Paul.

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27/ Nos invités arrivent peu à peu, le repas est prêt et semble plaire à tous, nous avons droit à une surprise musicale (une demoiselle — qui a évidemment grandi – a appris le violon en deux mois !), nous sortons à notre tour nos instruments pour des chants de Noël, nouvel échange de cadeaux, jeux de société, planche apéritive et tous mes "petits" à la maison.
28/ Profiter de Paul pendant quelques jours.

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29/ J'avais réservé un mini escape-game organisé par une maison de quartier, nous venons facilement à bout des énigmes et terminons bien avant le temps imparti, mais nous nous sommes amusés.

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30/ Comme nous finirons l'année juste tous les deux, nous démarrons une randonnée un peu particulière : le GR 75. Nous avons parcouru un peu plus de 16 km (donc pas le tiers espéré), avec quelques détours (dus à l'application, qui ne comprend pas l'intérêt de la boucle et nous a parfois égarés en voulant couper par le centre de Paris), découvert quelques parcs et deux jolies portions de la petite ceinture. Prochain épisode début 2024.
31/ Une journée au calme, sans contrainte, j'en profite pour tester l'un de mes cadeaux de Noël, bien pratique.

2 janvier - 2

 

 

 



2 janvier 2024

Le tour du monde en 80 livres #22

C'est un petit challenge lecture créé par Bidib. En décembre, j'ai lu (pour le défi) 3 livres mais j'ai exploré seulement 1 nouveau pays, si bien que je n'atteins pas encore le nombre symbolique de 100, mais ça ne saurait tarder, grâce aux livres offerts à Noël par mon adorable Aurore :

2 janvier - 1 (3)

Oui, je suis déjà allée au Soudan, mais elle ne le savait pas lorsqu'elle a commandé les livres !

 

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Lybie 

Hisham Matar, Une disparition.

Devenu adulte, Nuri raconte la disparition, lorsqu'il avait quatorze ans, de son père, Kamal Pasha el-Alfi, ancien ministre de la monarchie égyptienne et dissident politique lybien, enlevé à Genève, le laissant seul avec sa très jeune belle-mère. Au fil des années, il n'aura de cesse de s'interroger sur ce père qu'il conanissait finalement peu et sur la mystérieuse cause de la mort de sa mère… et finira par découvrir un secret dérangeant.

« Pour la première fois depuis la mort de Maman, je vis les yeux de Papa retrouver leur étincelle tandis qu'il racontait de vieilles anecdotes de quand il était “un fier serviteur du roi”. Il fit le récit animé de comment, en 1941, à l'âge de douze ans, il avait rencontré l'oncle légendaire du monarque : un général qui avait commandé les troupes ottomanes pendant la Première Guerre Mondiale et parlait sept langues. »
« Au Caire, quand on me demandait, je disais qu'il était ministre à la retraite, parce que c'était ce que ma mère m'avait dit de répondre. Longtemps, j'ai cru que c'était effectivement un métier. Je savais que Papa n'avait pas de travail, qu'il n'avait pas besoin de travailler pour vivre, qu'il avait hérité d'une grosse somme d'argent de son père, dernier d'une longue lignée de négociants en soie : on avait sur l'étagère un livre écrit par celui qui était à l'origine de tout, Mustapha pacha el-Alfi, une chronique de ses longs et laborieux voyages vers la Chine quelque six cents ans plus tôt. »

« L'avion atterit au Caire au moment même où le jour se levait. En prenant place à l'arrière du taxi, je fus surpris de la spontanéité avec laquelle ma langue formula la vieille adresse : 21 rue Fairouz, Zamalek. Un filet de brume s'étirait dans les rues vides où la chaleur montait déjà. Des souvenirs revenaient. La façon dont ma mère se brossait les cheveux, d'un mouvement flegmatique vers l'extérieur, comme on repousserait une mauvaise nouvelle. Moi à genoux sur une couchette dans une cabine de l'Isis ; tandis que le bateau remontait le Nil vers l'intérieur des terres, brossant les cheveux de Mona. C'est ici que j'avais connu tout ce que j'aimais et tout ce qui aujourd’hui était perdu. Et voilà que j'arrivais dans une absence, après que tout le monde était parti. »

Iran

Zoyâ Pirzâd, On s'y fera.

À Téhéran, Arezou, la quarantaine, divorcée, a repris l'agence immobilière de son père défunt. Elle tente de garder l'équilibre entre sa vie active (où son amie Shirine la seconde efficacement), sa mère capricieuse qui vit comme si l'argent tombait du ciel et sa fille étudiante qui se comporte encore en adolescente perpétuellement insatisfaite. La rencontre d'un riche client, Zardiou, pourrait bien être une nouvelle chance qui lui est donnée, à condition de passer outre son entourage, qui serait scandalisé de la voir se remarier.
Les critiques de ce roman sont souvent sévères, mais il m'a beaucoup plu, me faisant voyager dans la ville, avec de belles descriptions de maisons anciennes, rencontrer des personnalités très diverses dans toutes les couches de la société, découvrir des traditions (la nappe aux sept S) et m'a donné envie d'explorer cette cuisine parfumée.

« Ma mère est une séductrice née. Elle séduit les hommes, elle séduit les femmes, et probablement, quand elle est seule face à son miroir, elle se séduit elle-même. »
« 
— Tu es comme une pile sur laquelle on tire tout le temps sans jamais la recharger. Tu dois penser un peu à toi. — Comment faire ? — Trouver le chargeur. »
« Arezou jeta un coup d’œil dans la cour. Tous les arbres avaient perdu leurs feuilles, sauf le pin au milieu de la pelouse. Le jour où son père avait rapporté le plançon qu’il avait planté là, Arezou l’avait arrosé avec son petit arrosoir. « Ta mère adore les pins ! », lui avait-il dit. Puis il était tombé malade et il avait dû s’aliter ; il regardait dans la cour par la fenêtre en disant : « Comme ce pin a poussé ! Prends bien soin de ta mère. »

Afghanistan 

Mahmud Nasimi, Un Afghan à Paris.

Ce petit libre est une merveille de poésie et de délicatesse. Le jeune auteur, arrivé à Paris sans ressouces, sans parler le moindre mot de français, a découvert, alors qu'il était au bord du désespoir, le Père Lachaise et ses auteurs célèbres dont il s'est fait des amis. C'est à travers leurs œuvres qu'il a appris, en très peu de temps, une nouvelle langue qu'il maîtrise magnifiquement ! 

« S'il y a quelque obscurité dans mon texte, s'il y a quelque chose que je ne serais pas parvenu transmettre au lecteur, ce sera à cause de ma propre difficulté à dire les choses qui m'habitent et non par la faute de la langue. À l'inverse, écrire en français a révélé en moi des sensations que j'avais éprouvées en Afghanistan et dont je n'avais pas conscience. »
« Malgré tous ces moments difficiles, je me nourrissais d'espoir et pensais à Lao Tseu, philosophe chinois affirmant : “il est plus intelligent d'allumer une toute petite lampe de de se plaindre de l'obscurité” »
« Au-dessus des nuages, il y a toujours le soleil. Car j'aime ce pays. Bien que je n'y aie pas de racines, j'aime y vivre. Bien qu'il m'ait donné peine et souffrance, je l'aime de plus en plus. Bien qu'il m'ait fait éprouver du chagrin, je l'aime avec force. Bien qu'il ait jeté du sel sur mes blessures, j'ai envie d'embrasser pas à pas les sables de la Normandie qui a reçu les blessés dans la nuit du Débarquement. »

 

lectures décembre

Afrique

Afrique du Sud
Yewande Omotoso, La Voisine.

Algérie 
Kamel Daoud, La préface du nègre : le Minotaure 504 et autres nouvelles

Burkina Faso 
Roukiata Ouédraogo, Du miel sous les galettes.

Cameroun
Calixte Beyala, Le Christ selon l'Afrique.

Congo Brazzaville
Alain Mabanckou, Le commerce des Allongés.

Djibouti
Abdourahman A. Waberi, Aux États-Unis d'Afrique.

Égypte
Alaa El Aswany, L'Immeuble Yacoubian.

Gabon
Janis Otsiemi, La vie est un sale boulot.

Ghana 
Yaa Gyasi, No home.
Nii Ayikwei Parkes, Notre quelque part.

Guinée
Camara Laye, L'enfant noir.

Kenya
Ngugi wa Thiong'o, La rivière de vie.

Mali
Aya Cissoko, N'ba.

Maroc 
Mohamed Leftah, L'enfant de marbre

Maurice
Mariam Sheik Fareed, Le syndrôme de l'accent étranger.
Nathacha Appanah-Mouriquand, Blue Bay Palace.

Mayotte
Nassuf Djailani, À tous ceux qui accusent le poète de traîtrise à la langue française, poème.
Yazidou Maandhui, Mirage, poème.

Nigeria  
Chigozie Obioma, Les pêcheurs

République démocratique du Congo
Denis Mukwege, La force des femmes.

Réunion
Aimé Césaire, Calendrier lagunaire, poème.
Myriam Cazalou, Convois vers l'usine sucrière, poème.
Agnès Gueneau, Cause à ou, poème.
Rosemay Nivard, Un quart de pomme, poème.
Patrice Treuthardt, Retour au port natal, poème.

Rwanda 
Gaël Faye, Petit pays.
Scholastique Mukasonga, L'iguifou, nouvelles rwandaises. 
Beata Umubyeyi Mairesse, Tous tes enfants dispersés.  

Sénégal
Birago Diop, Les contes d'Amadou Koumba
Fatou Diome, Celles qui attendent

Soudan
Abdelaziz Baraka Sakin, Le Messie du Darfour.

Tanzanie
Abdulrazak Gurnah, Près de la mer.

Tchad
Adjim Danngar, Djarabane. 1. Au petit marché des amours perdues.

Togo
Kossi Ejoui, L'ombre des choses à venir.

Tunisie
Habib Selmi, La voisine du cinquième.

Zimbabwe
Petina Gappah, Le livre de Memory.

 

Amérique

Argentine
Gabriela Cabezón Cámara, Pleines de grâce

Brésil 
Paulo Coelho, L'Alchimiste.

Canada :
Jean-Paul Dubois, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon (prix Goncourt 2019).
Nancy Huston, Le club des miracles relatifs.

Chili 
Luis Sepúlveda, Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler et Histoire du chat et de la souris qui devinrent amis.

Colombie 
Gabriel Garciá Márquez, La Mala Hora.

Costa Rica
Edo Brenes, Bons baisers de Limon.

Cuba
Leonardo Padura, Adios Hemingway.

États-unis  
Jack London, Martin Eden
Harper Lee, Va et poste une sentinelle.
Toni Morrison, Beloved.

Guadeloupe
Jenny Archimède, Dans mon île, poème.
Daniel Maximin, Natale, poème
Max Rippon, Cataplasme, poème.
Guy Tirolien, Prière d'un petit enfant nègre, poème.

Guyane
Léon-Gontran Damas, Solde, poème.
Serge Patient, Cayenne est désoléepoème.

Groenland
Mo Malø, Qaanaaq.
Mo Malø, Diskø.
Mo Malø, Nuunk.

Haïti
Jacques-Stephen Alexis, L'étoile absinthe.
René Depestre, Lettre au poète Léon Damas, poème.

Jamaïque
Kei Miller, By the Rivers of Babylon.

Martinique
Nicole Cage-Florentiny, Dans mon île ne poussent pas les saules, poème.
George Desportes, À la crinière du cyclone, poème.
Éric Pézo, On avance la peur…, poème.
Joseph Polius, Petits mots…, poème.
Julienne Salvat, Dire d'enfance rosée…, poème.

Mexique 
Laura Esquivel, Chocolat amer. 
Carlos Fuentes, Une certaine parenté

Pérou 
Mario Vargas Llosa,  La Tante Julia et le scribouillard.

Venezuela
Karina Sainz Borgo, La fille de l'Espagnole.

 

 

Asie

Afghanistan
Spôjmaï Zariâb, La plaine de Caïn.

Arabie Saoudite
Athîr Abdallah Al-Nashmî, Une perte.

Cambodge 
Tian, L'année du lièvre (BD) : 1. Au revoir Phnom Penh. 2. Ne vous inquiétez pas. 3. Un nouveau départ.

Chine 
Qiu Xiaolong, La danseuse de Mao.

Corée du Nord
Hyeonseo Lee, La fille aux sept noms.

Corée du Sud
Ch'oe Yun, Là-bas, sans bruit, tombe un pétale. 

Inde 
Rohinton Mistry, L'équilibre du monde.

Indonésie
Pramoedya Ananta Toer, Le monde des hommes. (Buru Quartet tome 1)

Iran 
Fariba Vafi, Un secret de rue

Israël
Amos Oz, Vie et mort en quatre rimes

Japon 
Haruki Murakami, Le passage de la nuit. 
Durian Sukegawa, Les délices de Tokyo.

Laos
Loo Hui Phang, L'imprudence.

Népal 
Mahjusshree Thapa, Les saisons de l'envol.

Syrie
Niroz Malek, Le promeneur d'Alep.

Sri Lanka 
Antonythasan Jesuthasan, Friday et friday.

Taïwan
Xiaole Wu, Les enfants des riches.

Thaïlande
Rattawut Lapcharoensap, Café Lovely.

Turquie
Orhan Pamuk, La femme aux cheveux roux.

Vietnam 
Kim Thúy, Man.  

 

Europe

Albanie
Ornela Vorpsi, Buvez du cacao Van Houten !  

Allemagne 
Eduard von Keyserling, Altesses.
Marlen Haushoffer, Le mur invisible.

Autriche
Daniel Glattauer, Quand souffle le vent du nord. 
Daniel Glattauer, La septième vague. 

Belgique 
Amélie Nothomb, Antéchrista.
Michel Van Zeveren, Le plat du loup plat.
Nadine Monfils, Les folles enquêtes de Magritte et Georgette. 1. Nom d'une pipe !

Bosnie Herzégovine 
Miljenko Jergović, Volga, Volga.

Bulgarie
Elitza Gueorguieva, Les cosmonautes ne font que passer.

Croatie
Ante Tomic, Miracle à la Combe aux aspics.

Danemark
Jens Christian Grøndahl, Quelle n'est pas ma joie

Espagne 
Carlos Ruiz Zafón, Marina

Estonie
Andrus Kivirähk, Les secrets. 

Finlande
Sofi Oksanen, Baby Jane.
Arto Paasilinna, La douce empoisonneuse.

France 
Maurice Leblanc, Arsène Lupin
Riad Satouff, Le jeune acteur
Loïc Clément, d'après Marie-Aude Murail, illustrations Anne Montel, Miss Charity t. 1, L'enfance de l'art
Romain Gary (Émile Ajar), La vie devant soi et Les racines du ciel)
Delphine Horvilleur, Vivre avec nos morts. Petit traité de consolation. 
Jean Giono, Regain.
Daniel Pennac, Le cas Malaussène : 1. Ils m'ont menti. 2. Terminus Malaussène.
Isabelle Guézan, La Nouvelle Organisation du Travail (uniquement sur Kindle).
Romain Gary, Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable.
Daniel Pennac, Mon frère.
Anne BihanCraquement nègre…, poème.
Alexis Gloaguen, Rien n'est plus paradoxal que la mort, poème.
Catherine C. Laurent, Regarder le payspoème.

Grèce
Vassilis Alexakis, Ap. J. C.

Hongrie 
Magda Szabó, La porte et Abigaël.

Irlande
Maggie O'Farell, Assez de bleu dans le ciel

Islande :
Audur Ava Olafsdottir, Miss Islande

Italie 
Alessandro Baricco, Novecento : pianiste. Un monologue.

Macédoine
Rumena Bužarovska, Mon cher mari.

Moldavie
Vladimir Lortchenkov, Des Mille et une façons de quitter la Moldavie.

Norvège
Gunnar Staalesen, Le loup dans la bergerie

Pays-Bas
Toine Heijmans, En mer

Pologne
Maryla Szymiczkowa, Madame Mohr a disparu.

Portugal
Gonçalo M. Tavares, Une jeune fille perdue dans le siècle à la recherche de son père.

République Tchèque 
Kafka, Le procès et La métamorphose

Roumanie
Ioana Pârvulescu, La vie commence vendredi.
Panaït Istrati, Codine.

Royaume-uni 
Edward Morgan Forster, Avec vue sur l'Arno
Mhairi McFarlane, Et ne t'avise pas de m'embrasser.
William Makepeace Thackeray, La Foire aux vanités (Vanity Fair).
Alan Bennett, La Reine des lectrices.
Herman Melville, Bartleby le scribe.

Russie
Léon Tolstoï, La sonate à Kreutzer. Le bonheur conjugal. Le diable.

Serbie
Filip Grbic, Errance.

Slovaquie
Pavol Rankov, C'est arrivé un premier septembre.

Suède 
Camilla Läckberg, Femmes sans merci. 
Katarina Mazetti, Le mec de la tombe d'à côté
Jonas Jonasson, Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire.
Vilhelm Moberg, La saga des émigrants (7 tomes)
Stieg Larsson puis David Lagercrantz, Millenium (6 tomes) 

Suisse 
Joël Dicker, L’Affaire Alaska Sanders. 

Ukraine :
Andreï Kourkov, Le jardinier d'Otchakov.

 

Océanie 

Australie 
Joan Lindsa, Pique-nique à Hanging Rock

Nouvelle Calédonie
Déwé Gorodé, Les mots sont des innocents, poème.
Nicolas Kurtovitch, Le sens des marées, poème.
Raymond Lacroix, Le nouveau sorcier de la grue aux requins, poème.
Frédéric Ohlen, Ils m'ont dit…, poème.
Denis Pourawa, Névarèna, poème.
Paul Wamo, L'épithète, poème.

Nouvelle Zélande 
Eleanor Catton, La répétition.

Polynésie française
Célestine Hitiura Vaïte, L'Arbre à pain (Chroniques de Tahiti 1).
Flora Aurima Devatine, Pas d'i…, pas d'o…, poème.
Henri Hiro, Si seulement…, poème. 

Wallis-et-Futuna
Virginie Tafilagi, Mes yeux-paroles, poème.

 

31 décembre 2023

52/2023 : l'heure du bilan

Ce dimanche, Virginie nous propose de faire le bilan de cette année. Dans le cadre du défi, il y a eu pas mal de retours en enfance, que ce soient les souvenirs évoqués ou le personnage de Mathurine qui m'a fait renouer avec les longues heures passées à jouer aux playmobils. Côté personnel, j'ai connu pas mal de hauts et bas niveau santé (d'ailleurs, c'est reparti pour la toux), j'avais lancé une grande opération de rangement et désencombrement de la maison, du jardin, de mes tissus et je suis repassée du côté obscur, le sport, n'en parlons pas… Je n'ai pas trouvé de photo particulièrement réussie parmi les 50 (mince, j'ai loupé 2 dimanches !), mais il est temps de laisser cette année derrière moi et espérer faire mieux en 2024. Et oui, bien sûr, je continue, le programme concocté par Virginie est déjà en ligne et promet de belles participations !

31 décembre - 1

 

24 décembre 2023

52/2023 : Noir et blanc

Ce dimanche, chez Virginie, la couleur a disparu ! Bien à l'image du ciel, bas et gris. Ce qui ne nous a pas empêchés de sortir faire un grand tour dans la ville de mon enfance (où le gris domaine également, quoique le béton de Perret ait des teintes légèrement rosées), en passant par le marché de Noël boire un vin chaud et par la charmante exposition à l'hôtel de ville, pour une remontée dans le temps.

24 décembre - 2

24 décembre - 324 décembre - 4

24 décembre - 1

 

J'ai à peine traité mes photos, la preuve, voici pour comparer la même en couleurs :

24 décembre - 1 (1)

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18 décembre 2023

Goûter pour attendre Noël

Une délicieuse recette de pain d'épicées publiée par Cakes in the City, que j'ai légèrement adaptée à mon goût (trop de sucre, et pourtant ma confiture d'orange maison est moins sucrée que celles du commerce) : 

Mélanger 100g de farine de seigle, 200g de farine de blé, 20 g de sucre roux, 1 cc de levure, 1 cc de bicarbonate, 1 cc de 4 épices, 1 cc de cannelle et 1/2 cc d'anis moulu.
Faire fondre 60g de beurre avec 120g de miel et 130 ml d'eau chaude.
Ajouter 200g de confiture d'oranges (avec des morceaux de préférence), bien mélanger le tout, enfourner à 160 °C pour 35 minutes.

Il est délicieux, rapide à préparer, très moelleux et se garde quelques jours (si personne ne le termine avant…)

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Et comme il fait très froid, on l'accompagne d'un jus de pomme chaud aux épices :
Dans un litre de jus de pomme, placer 3 bâtons de cannelle, 3 étoiles de badiane et 6 gousses de cardamome, une cuillère à soupe de jus de citronlaisser frémir à feu doux pendant 10 minutes, puis laisser infuser encore une bonne demi-heure. Réchauffer avec 1 cuillère à soupe de miel avant de servir.

18 décembre - 1

 

17 décembre 2023

52/2023 : ça me fatigue

Comme souvent, le thème du jour proposé par Virginie est en parfaite adéquation avec la période ! Bien évidemment, je suis fatiguée : les dernières vacances sont loin, les virus sont passés par là, mes nuits sont en pointillés et les événements se succèdent, bals, réunions, soirées festives, répétitions.

Et, encore plus que les années passées (les virus n'y sont pas pour rien), j'ai manqué d'anticipation, la to-do-list avant le départ est loin d'être bouclée et une bonne douzaine de tâches vont forcément s'y ajouter d'ici vendredi, sans compter les sorties prévues mercredi et jeudi. Je vais quand même arriver au bout, mais j'aurais dû m'y prendre plus tôt.

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10 décembre 2023

52/2023 : vue à travers

Ce dimanche, chez Virginie, il nous faut regarder "à travers ". Ce dimanche, je ne suis pas là, une fois de plus. Hier, de bonne heure et sous une pluie battante, nous avons chargé tant bien que mal dans le coffre une énorme souche et les plus grosses branches du faux-cyprès abattu le week-end précédent, nous les avons déchargées à la déchetterie et j'ai dû me changer des pieds à la tête tant j'étais trempée et boueuse, avant d'aller à mon cours de musique. Un déjeuner rapide et je partais pour une répétition supplémentaire de l'ensemble baroque. J'ai eu une heure de répit pour coudre un peu, avant la messe que j'animais, suivie du concert de la chorale ukrainienne dans laquelle chantent plusieurs amis. Ce matin, je suis allée au rendez-vous avec 10 scouts venus de tout le territoire : nous allons prendre le train puis marcher jusqu'au Temple du Luxembourg où nous attendent les délégués tout juste revenus de Linz, qui nous transmettrons la flamme allumée à Bethléem. Et puis j'enchaînerai sur le bal du Téléthon, jusqu'au soir.

Mais j'ai eu un tout petit peu de temps pour ma photo :


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Le mois dernier, je suis allée à la boutique des sœurs de Jérusalem, je voulais leur acheter leur magnifique livre de cuisine. J'en ai profité pour ajouter un santon à ma crèche, une boulangère. Encore deux femmes (ou plutôt 6, si je compte les Rois-mages) et j'atteindrai la parité ! 

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6 décembre 2023

11 fois Noël : cuisine et bricolage

Cette année, le temps file encore plus vite que les précédentes et je n'ai encore pas mis les pieds au chalet ! Dimanche, c'était le jour des gourmandises (mais j'étais de sortie à Paris) et hier, celui du bricolage. J'avais bien anticipé ce dernier en préparant mes tranches d'oranges, mais elles ont mis plus de temps que prévu à sécher. Je les ai placées dans mon four tiède après l'avoir utilisé pour d'autres cuissons, il a fallu une nuit et encore deux heures ce matin pour avoir des oranges à peu près sèches, mais je suis contente car elles ont bien conservé leur couleur.

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J'ai trouvé dans mes placards des bâtons de cannelle, des étoiles de badiane et des graines de cardamome, et j'ai cueilli du laurier et du romarin. Au début, j'emmêlais sans cesse mon fil mais j'ai fini par trouver la bonne technique : préparer la boucle nouée puis y passer la badiane ou le romarin avant de serrer le nœud.

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J'ai ensuite noué les guirlandes sur une baguette (qui est tombée de la table juste avant la fin, d'où une bonne séance de démêlage) et je l'ai accrochée au mur de l'escalier.

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Et puis, comme c'est aujourd'hui la Saint Nicolas, j'ai décoré mes bonshommes de pain d'épices !

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4 décembre 2023

Novembre lumineux

Il a été bien rempli, ce mois de novembre : un week-end en Normandie, une soirée théâtrale, deux concerts, un bal, une expo, un cinéma, deux sorties à Paris, un resto entre anciens collègues, pas mal de réunions, d'avancées dans ma mission pour les scouts et quelques projets professionnels terminés. Et pourtant, j'ai eu le covid et la grippe, tombant très bas niveau fatigue et remontant difficilement la pente. J'espère que je vais m'arrêter là et ne pas attrapper une gastro le WE prochain, pour compléter le bingo des maladies hivernales ! J'ai plein de projets couture que j'aimerais bien concrétiser.

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1/ Pendant le trajet de retour, nous trouvons une solution pour stocker le frigo (très bas de gamme) du studio de Marie : elle en a acheté un bien plus performant (et cher, à cause de dimensions non-standard) et n'avait pas envie d'en faire cadeau à sa propriétaire quand elle quittera les lieux. Nous n'avons ni sous-sol ni dépendance, mais il rentre dans le placard de son ancienne chambre.

2/ Je commence à planter les 100 bulbes achetés la semaine dernière : le jardin sera beau au printemps. 
3/ 96, 97, 98, 99,100 (sous l'œil des poules, frustrées de ne pas pouvoir gober un ver de terre à chaque coup de pelle), j'ai mal au dos et presque une ampoule dans la main. Mais la pluie se met à tomber pour arroser mes plantations, timing météo parfait !
4/ On reprend la route (on aura fait des kilomètres pendant ces vacances) pour un petit week-end familial au Havre. Des rumeurs disent qu'on a croisé de très près le couple présidentiel en bord de mer (je n'ai vu que les gardes du corps, pour ma part, mais mon filleul les  formellement reconnus).
5/ Nous avons trouvé un petit café sympathique pour notre sortie du dimanche matin au Havre (et nous y sommes restés un moment, vu le grain qui passait).
6/ Au seuil d'une très longue semaine pleine de réunions, je laisse Guillaume à la sienne (de réunion) pour m'installer devant ma série avec mon tricot.
7/ À l'occasion d'un départ en retraite, deux anciennes collègues ont réalisé un dîner avec "ceux d'il y a 20 ans", c'était fort sympathique.

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8/ Malgré tous les imprévus de la journée, je réussis à finaliser un atelier de formation pour les chefs sur lequel je séchais depuis plus d'un an et je boucle la réunion avec mon co-animateur en 20 minutes (juste à temps pour chopper Bertille à la tombée de la nuit).
9/ J'ouvre le poulailler avec appréhension, mais Bertille est toujours vivante et Alphonsine a toutes ses plumes. Petite réunion improvisée dans la soirée avec mes coéquipières, nous sommes efficaces et les planètes s'alignent pour la prochaine réunion (avec aumônier disponible, un exploit).

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10/ Une sortie au musée entre collègues, suivie d'une petite visite improvisée chez les sœurs. Nous terminons la journée au théâtre et, c'est rare, je suis mitigée quant à la mise en scène que j'ai trouvée outrée.
11/ Bertille, qui ne mangeait plus hier, a repris des forces et elle a déjà des signes de repousse de plumes (ça pousse à vue d'œil, impressionnant !). De mon côté, aucune nouvelle de mon test covid (à mon avis, c'était un peu tôt, mais je ne pouvais pas le faire un dimanche).

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12/ Un dimanche masqué, d'abord pour animer un atelier pour les chefs débutants (ah, la buée sur les lunettes, j'avais oublié), puis pour coudre avec Marie. Le pantalon terminé, la couturière est très satisfaite, il tombe bien et lui va à merveille.
13/ C'est le coté positif de l'après-covid : pouvoir télétravailler en étant (pas trop) malade. Je dois quand même sortir pour un RV chez le podologue, mais il fait très doux et pendant quelques heures, je peux respirer par le nez, ça fait du bien ! En revanche, j'ai totalement perdu l'odorat, une fois de plus.
14/ Comme je ne peux pas aller répéter, je peux suivre la rencontre Cléophas (il s'agit plutôt d'une conférence) en ligne, tout en coupant mon futur pantalon. Les sujets abordés sont intéressants, mais la date annoncée de mise à disposition des fiches pratiques est bien lointaine !

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15/ Je perçois bien le sens de "fatigue écrasante" ce matin, la moindre tâche me semble insurmontable, mais je réussis quand même à aller à la médiathèque et à la coop bio. Et puis je me repose.
16/ Je remonte la pente : j'ai retrouvé une partie du goût, la fatigue se fait moins sentir (et j'ai dormi jusqu'à 8h15, joie du télétravail).
17/ Soirée cinéma en famille, pour le dernier Miyazaki, puis restaurant japonais pour rester dans le thème.
18/ C'est presque le seul bal de l'année où nous pouvons danser et j'en profite, avec en prime la présence de nos amis de toujours.

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19/ Il fait beau et pas trop froid, il faut en profiter. Je me motive pour aller à vélo à la ferme de Gally acheter des courges, en passant prendre Marie. Je reviens avec 12 kg sur mon porte-bagages, dur dans les montées.
20/ L'automne est longtemps resté invisible, mais les arbres sont  magnifique en ce moment. Le matin, je passe devant les érables champêtres, les tulipiers, les liquidambars et je fais provision de couleurs avant l'hiver.
21/ C'est la semaine de la courge : hier, soupe de potimarron avec croûtons de pain d'épices, ce midi salade lentilles-courge rôtie-tomme de brebis, ce soir chakchoucka courge-pois chiches-fêta et demain, poêlée de gnocchis, courge et châtaignes.
22/ Un mercredi ensoleillé où je rejoins Aurore à la bibliothèque, pour de délicieux ramen rue Sainte Anne avant de faire quelques achats. Je peine à trouver des bottines confortables, solides et imperméables mais je vais continuer à chercher…

4 décembre - 5

23/ Toutes les cleophas du territoire étaient disponibles ce soir et nous passons une agréable soirée, un peu courte pour traiter tous les sujets mais au moins, le contact est instauré.
24/ Un petit tour au marché, pour refaire le plein de clémentines et de fromages.
25/ Après mon cours de musique, j'ai un peu mal au dos mais je pars avec les filles acheter des bottines (elles m'ont aidé à examiner tout ce qu'il y avait en rayon, se chausser en hiver avec des semelles orthopédiques est presque mission impossible) et démarrer la mission cadeaux. Au retour, j'ai mal partout, je suis fiévreuse mais je dois animer la messe… avec un doliprane, ça passe, je pense même que je pourrai aller au conseil territorial demain.

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26/ Aucun doute, c'est la grippe ! J'obtiens le sésame pour la maison médicale de garde, vide à cette heure-là, puis je vais chercher mon ordinateur. Je suis autorisée à prendre de l'ibuprofène et c'est une bonne nouvelle parce que la fièvre qui baisse pendant 2h suivie de 4h à grelotter, c'est pénible.
27/ Une journée au lit, j'ai pu travailler 3 fois 10 minutes (juste l'urgence du moment), j'ai beaucoup lu, terminé ma série et dormi. J'ai connu des grippes plus virulentes.
28/ Une dernière correction sur mon fichier, je laisse ma collègue s'occuper de la suite et je me rendors pour deux heures. Je réussis quand même à sortir dans l'après-midi, au soleil et bien couverte pour racheter du dolliprane (covid et grippe ont vidé les stocks) et récupérer un colis.

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29/ La fatigue commence à s'atténuer, j'aide Aurore a couper et coudre une toile pour sa future robe, qu'elle veut réaliser de A à Z.
30/ Je me sens assez en forme pour aller au concert prévu, une amie nous y accompagne, ravie de cette heure de belle musique.

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