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attraper le temps qui file…

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10 juillet 2020

Je couds pour un (deux) homme (garçons)

Pleine d'optimisme, je me suis inscrite le mois dernier à la 25e édition du défi de Nabel "Je couds pour un homme", avec l'idée de coudre la chemise coupée en mars dernier. Mais depuis… il y a un un petit épisode caniculaire qui m'a peu motivée pour coudre une chemise à manches longues, quelques "sorties de déconfinement" qui nous ont occupés, notre fabuleuse récolte de courgettes et la cueillette des groseilles à gérer, sans compter une grosse source de stress (pour ne pas dire d'angoisse) qui m'a bien accaparée. Bref, la chemise est restée en l'état de puzzle et j'ai cru que j'allais manquer le RV.

Mais le défi laisse toute lattitude quant à l'âge de "l'homme" (chaque fois, je m'attendris devant les petits vêtements cousus ou tricotés) et j'ai justement deux petits garçons à gâter ! Ma brodeuse, délaissée depuis des mois, a repris du service pour les deux petits frères de Pablo. Lorsque les motifs de lamas ont été à la mode l'été dernier, j'avais acheté un petit coupon en prévision d'une prochaine naissance dans la famille, un clin d'œil à leur périple à vélo dans la Cordillère des Andes. Ce que je n'avais pas prévu (et les jeunes parents non plus), c'est qu'ils auraient des jumeaux ! Mais j'ai vite trouvé un autre tissu dans mon stock.

9 juillet - 19 juillet - 7

Je n'avais pas de broderie "lama", j'ai donc choisi de conserver le thème de la trousse de Pablo : sport et moyens de transport, avec ces petits cochons tout mignons. Ainsi les trois frères auront des trousses similaires, mais bien identifiables par leurs tissus et coloris.

9 juillet - 39 juillet - 5

9 juillet - 29 juillet - 6

Ce qui me contrarie un peu, c'est que je ne peux plus utiliser le logiciel de ma brodeuse depuis le changement de système de l'ordinateur. J'avais une piste pour récupérer un vieux PC portable mais le confinement est venu tout bouleverser… je n'ai plus que les 3 polices de caractère intégrées dans la brodeuse, sans fantaisie possible, alors je m'adapte.

9 juillet - 49 juillet - 8

La lumière rasante du matin n'est guère flatteuse, pourtant j'avais bien repassé mes tissus !

 

 

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5 juillet 2020

Défi de Virginie #27 : autoportrait

Un nouveau dimanche consacré à un aspect technique de la photographie, avec l'autoportrait. Bon. Je n'arrive pas à régler correctement cet appareil en mode retardateur, vu qu'il effectue la mise au point quand j'appuie sur le déclencheur (donc, lorsque je ne suis pas devant l'objectif) et que la photo obtenue est toujours floue, quel que soit le stratagème employé (notamment faire la mise au point sur mon mannequin de couture, puis prendre rapidement sa place). Curieusement, je n'avais pas ce problème avec mon Canon, mais là, il n'a plus de batterie ni de carte-mémoire.

Le selfie, on oublie : j'ai de très petits bras. J'avais bien cru voir une perche à selfie quelque part, abandonnée par l'un de mes ados, mais je ne sais plus où…

J'ai donc choisi la photographie dans un miroir. Difficulté n° 1: si l'appareil est de face, il est devant mon visage. Difficulté n° 2 : la fenêtre est derrière moi. J'ai tâtonné pour trouver où fixer mon regard : pas sur l'appareil, pas devant moi non plus. J'ai cherché (sans succès) un point entre les deux : l'optique a toujours été mon point faible en terminale (avec l'électricité).

Verdict : j'ai une énorme marge de progrès devant moi !

5 juillet - 25 juillet - 35 juillet - 1

Note à moi-même : il serait temps de dépoussiérer le miroir !

4 juillet 2020

Un peu de tricot

J'aime bien avoir les mains occupées lorsque je regarde un film (s'il n'y a pas trop de sous-titres à lire !) ou lors d'un long trajet en voiture. Une copine couturière m'avait fait don d'un joli stock de pelotes, l'hiver précédent, alors je cherche des tricots qui peuvent convenir, même si je n'ai jamais la laine préconisée pour le modèle.

4 juillet - 1 (1)

Cette fois, j'ai employé un mélange lin-viscose pour tricoter le châle Nurmilintu que j'avais vu chez Temps qui file (oui, le nom m'avait intriguée en passant sur le forum canalblog lors d'un énième problème technique… et je découvre que nous ne sommes qu'à quelques kilomètres l'une de l'autre !). Je suis allée voir les explications, j'ai calculé comment diminuer la proportion de point mousse et je me suis lancée. J'ai terminé la bordure en picots pendant une réunion zoom (chut), ma collègue m'ayant discrètement signalé (les réunions en visio ont cet avantage) qu'elle était en train de tricoter, hors-champ, j'ai pris moi aussi mes aiguilles. Mais nous sommes bien décidées à instaurer le tricot-réunion, à la rentrée : parfois, cela aide à se concentrer !

4 juillet - 14 juillet - 2

J'aurais peut-être dû prendre 1/2 taille d'aiguille supérieure pour un résultat plus ajouré.

4 juillet - 3

Ce petit châle a déjà trouvé son utilité certains soirs, lorsqu'il faisait un peu frais pour dîner dehors.

4 juillet - 4 

J'aurais préféré, peut-être, faire les rangs de retour de la dentelle en jersey, voire remplacer le point mousse par du jersey, pour un rendu plus "net". Je vais voir si je détricote celui-ci ou si j'en tricote un autre.

 

4 juillet - 2 (1)

 Explications gratuites en français sur Ravelry, fil K'lin de Fonty, 50% lin 50% viscose.

28 juin 2020

Défi de Virginie #26 : Musique

Je ne vais pas refaire une énième photo de violon(s), alto, violoncelle, guitare(s), flûte(s), piano… (le yukulélé est chez le luthier) ! La musique est une affaire de famille chez nous et nous en avons largement usé pour nous sentir un peu utiles pendant ce confinement. Régulièrement, encore, un voisin, un habitant du quartier nous remercie pour nos joyeux "euro-balcons" du vendredi, je remercie en retour pour leur tolérance face à nos interprétations approximatives et nos fausses notes.

Lorsque l'on apprend à jouer d'un instrument c'est comme le vélo : c'est pour la vie. Pourtant, c'est aussi un instrument de torture : la corne au bout des doigts, les douleurs de poignet, d'épaule, de nuque, de dos, de mâchoire… mais malgré tout, le bonheur de jouer ensemble peut faire oublier un moment une situation pénible. 

Comme ce poilu qui a construit un violon, à partir d'une popotte métallique, de morceaux de bois dans lequel il a taillé un manche, une tête et des chevilles, d'un cordier (auquel il semble manquer un morceau) et de cordes de violon, pour rendre plus douces les soirées des soldats et oublier un peu le froid, la boue, la peur.

28 juin - 1
"le violon du poilu", Historial de la Grande Guerre, Péronne

 

21 juin 2020

Défi de Virginie #25 : L'Air

Ce dimanche, c'est le thème des cinq éléments qui revient, avec peut-être le plus difficile à photographier : l'air. Si j'avais eu le courage de prendre le RER, je serais allée photographier le Ballon de Paris qui mesure la qualité de l'air (mais aucun regret : je vois qu'aujourd'hui, il ne vole pas !), mais comme j'ai entendu le vent souffler par les fenêtres entrebaillées, je suis descendue au jardin, car je viens enfin de trouver un moulin à vent pour remplacer celui qui était cassé, après cinq ans de loyaux services été comme hiver.

Et… croyez moi si vous voulez : le vent agitait bien les arbres, mais pas un souffle au niveau de la terrasse ! Il m'a fallu demander à ma fidèle collaboratrice (Marie) de souffler sur le moulin. Pas facile : si elle se plaçait derrière l'appareil, ça ne marchait pas ; sur le côté non plus, ce qui nous a valu un bon moment de rire.

21 juin - 1 (1)

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17 juin 2020

Brodeuses

18 juin - 1

 

          Saison des pâturins
          Extrême la chaleur
          Décolorées les fleurs

                                    Kakeï 

 

 

 

Lorsque je commence par un haïku, c'est que ce n'est pas mon œuvre que je présente : mes filles se sont mises à la broderie, Marie en décembre, avec le sashiko (il faudra que je vous montre sa veste) et Aurore pendant le confinement. Je ne les ai pas vues comploter toutes les deux et les questions d'Aurore sur la boutonnière automatique ne m'ont pas mis la puce à l'oreille (elle est en train de se coudre un top, avec mon aide, et avait de toutes façons besoin de rétrécir les boutonnières, trop grandes, sur l'une de ses robes). Elles ont acheté une taie d'oreiller qu'elles ont recoupée pour en faire une housse de coussin et l'ont brodée d'une couronne de fleurs, pour me l'offrir lors de la fête des mères.

18 juin - 2

La couture, puis les boutonnières, n'ont pas été sans quelques difficultés, Aurore ayant essayé de les broder avec mon ancienne machine à coudre (que je lui avais prêtée pour confectionner des sacs à linge pour les scouts), puis sur ma "nouvelle" machine sans plus de succès, malgré les tutoriels vidéo sur internet. J'ai ri quand elle m'a raconté ses déboires, surtout qu'elle ignorait que j'avais fait un tutoriel sur la machine en question, qui lui aurait fait gagner du temps…

18 juin - 318 juin - 6

Il y a encore de la marge de progression pour les ourlets, mais elle a surfilé les coutures dans les règles de l'art

18 juin - 7

J'ose à peine m'asseoir sur mon beau coussin ! Magnifique symbole de complicité sororale, l'une sachant mieux broder au point droit, l'autre maîtrisant les pétales de fleurs au point lancé et les cœurs au point de nœud.

18 juin - 518 juin - 4

 

 

15 juin 2020

Jaune safran

J'en avais déjà parlé : après de longues hésitations, je me suis enfin décidée à couper dans mon cuir jaune. J'avais d'abord rapidement cousu une version d'essai dans un vieux pantalon en velours côtelé, plus petite que mon sac en simili, pour vérifier que tout mes objets indispensables y trouvaient place. Puis j'ai cousu l'intérieur du sac, avec toutes ses poches, dans un tissu provençal (acheté en 2000 — j'y avais cousu, entre autres, un mignon petit corsaire pour Marie), avec de petites cigales jaunes sur fond bleu.

12 juin - 112 juin - 2

Comme toujours, une poche pour chaque objet, afin de les trouver sans peine. Et un mousqueton pour les clés.

12 juin - 3

J'ai ensuite fait des essais de couture sur de petites chutes et constaté que le résultat était meilleur avec une aiguille 90 universelle plutôt qu'avec l'aiguille spéciale cuir (qui fait de gros trous). J'avais acheté du fil polyester 30 en même temps que le cuir ; par la suite, le vendeur de Fil 2000 m'avais prédit qu'il n'irait pas dans la machine (malgré ce qui est indiqué dans la notice) et il avait raison ! J'ai essayé de mettre le fil 50, qu'il m'avait conseillé pour le jean, dans la canette et c'était une mauvaise idée également. Je m'en suis donc tenue sagement à du polyester ordinaire dans la canette et le fil beige 50 au-dessus et j'ai obtenu, à très petite vitesse, une couture parfaite pour 1 épaisseur de cuir et 1 de tissu, une couture très correcte pour 2 épaisseurs de cuir, passable pour 2 de cuir et 2 de tissu (les surpiqures du rabat — quelques soucis de tension sans plus et quelques points irréguliers) et, comme je m'y attendais, des points sautés quand je devais coudre sur les valeurs de couture.

15 juin - 115 juin - 2

Au bout d'un moment, j'ai constaté que je passais mieux les sur-épaisseurs en arrêtant la machine à chaque point c'est toujours plus rapide que de coudre à la main) et j'ai refait à la main les endroits où les points avaient sauté. J'avais pris soin de retirer un peu l'épaisseur au cuir, avec le couteau à parer prévu à cet effet, mais je n'ai pas osé racler très fort de peur de le fragiliser. Peut-être aurais-je dû y aller plus franchement.

12 juin - 1412 juin - 8

La souplesse et la douceur du cuir m'ont enchantée et convaincue d'acheter une machine spéciale cuir (Toyota Power Fabric), dès que celle-ci sera de nouveau disponible en France !

12 juin - 1512 juin - 16

Pour arrêter les coutures, j'ai tiré les fils vers l'intérieur, noué plusieurs fois avant de les rentrer dans les coutures.

Pour la bandoulière, j'avais acheté une lanière de cuir, mais le coloris safran n'étant pas disponible, j'avais pris de l'orange. Finalement, j'ai trouvé ce cuir un peu trop rigide. J'avais coupé ma peau de manière à conserver, dans les chutes, de quoi couper une bande de 90 cm de long. J'ai regardé comment étaient finis tous les sacs de la maison, et décidé de doubler ma bandoulière avec un ruban. Pour mes précédents sacs, la bandoulière était prise dans la couture du haut. Mais, outre le problème des épaisseurs, cela oblige à tout découdre en cas d'usure. Forte de mes expériences, j'ai choisi de la fixer sur les côtés du sac et de la confectionner en trois parties : une longue bande réglable par une boucle, et deux plus petites qui sont attachées au sac et facilement remplaçables lorsqu'elles sont abîmées par les frottements.

12 juin - 512 juin - 6

Comme il était impossible de les coudre, j'ai choisi de les attacher avec des vis Chicago. Je n'y avais pas pensé au départ, il m'a donc fallu repasser une commande chez Déco cuir. Pendant ce temps, j'ai laissé mon sac reposer un peu, je trauvais qu'il manquait de tenue. J'ai résolu ce défaut en intercalant, entre le cuir et la doublure, une couche de "jeffytex "ou plutôt, son équivalent de chez Mondial tissus : j'ai cousu un sac dans ce feutre, je l'ai glissé par l'ouverture dans le bas de la doublure, je l'ai bien calé en place, puis fixé juste par les vis qui tiennent la sangle.

12 juin - 1012 juin - 9

Comme pour mon sac précédent, j'ai cousu une petite poche extérieure pour ranger mon Pass Navigo. Je l'ai cousue en wax pour éviter d'avoir trop d'épaisseur. Mais la fixation de la bandoulière gêne l'accès à cette poche, je pense donc démonter cette partie, decouper une bande un peu plus longue, la faire descendre jusque dans la poche et la fixer en bas avec une vis supplémentaire. Je verrai si c'est nécessaire lorsque je reprendrai le train.

12 juin - 11

Prix de revient :

- cuir : 33 euros
- boucles, fermoir, vis, renfort : 6 euros
- outillage (couteau à parer et gomme adragante) : 11 euros
- frais de port : 12,5 euros (parce que j'ai passé deux commandes)
- fournitures non-utilisées (fil, boucles trop grandes, sangle orange) : 11 euros

Ce qui me donne un sac en cuir pleine fleur, sur mesure, léger, avec tout ce qu'il me faut comme poches intérieures, réparable si besoin, à moins de 65 euros  (sans compter les heures de travail) !

12 juin - 412 juin - 12

12 juin - 712 juin - 13

un léger raté dans la couture

 

 

 

 

 

14 juin 2020

Défi de Virginie-24-plaisir gastronomique

14 juin - 1

Je ne vais pas nier ma gourmandise : j'aime manger des plats qui ont du goût, de préférence variés, des légumes tous les jours, et si possible tous les jours différents (même si nous pouvons manger 3 jours de suite des épinards ou des courgettes, selon les paniers de nos maraîcher, ce ne sera jamaisavec la même recette). Mais le goût ne suffit pas à aprécier un mets. L'aspect esthétique compte, évidemment : une savoureuse charlotte qui s'effondre au démoulage (ma spécialité) peut gâter légèrement le plaisir de la dégustation. Et puis il faut un état d'esprit apte à apprécier les bonnes choses. Comme ce tiramisu de tomates hier soir : premier repas entre amis depuis le déconfinement, nous étions 10 pour fêter l'anniversaire d'O., prévu de longue date, annulé puis reprogrammé en petit comité. Nous avons bien mangé, bien bu, bien ri, parlé jusqu'à deux heures du matin. Aucune ombre, si ce n'est le souvenir fugace des “gestes barrière” pas tout à fait respectés…

Quelle délicieuse soirée !

11 juin 2020

10 du 10 : dures matières

Oh, mercredi, j'ai oublié que c'était le 10 ! J'ai couru après le temps toute la journée, aussi…

Voici donc le thème proposé par notre organisatrice : Je précise matériau, parce que Dur, c'est aussi Difficile... Allez on reste dans le positif, si ça peut être dur et joli à la fois c'est encore mieux... 

Je commence par une matière douce au toucher : le bois des bacs construits par Marie, bien garnis en ce moment

11 juin - 2

 

Puis une autre de ses réalisations qui vieillit joliment

11 juin - 3

 

Le morceau de souche, si dur, dans lequel j'ai cassé deux mèches, mais je m'en réjouis car plusieurs trous sont habités (et tellement bien bouchés qu'on les distingue à peine)

11 juin - 4

 

Le métal, pour la remorque de Guillaume enfin livrée !

11 juin - 5

 

Le verre, si difficile à photographier

11 juin - 6

 

L'ébène, l'amourette et la nacre de l'archet

11 juin - 7

 

Les touches des pianos anciens étaient en ébène et ivoire, à présent, elles sont simplement en plastique

11 juin - 8

 

Un morceau de verre poli par les vagues

11 juin - 9

 

Et dans la semelle de mon fer, le calcaire, malgré l'eau adoucie !

11 juin - 10

 

Enfin, une matière que je trouve bien dure : la chaise sur laquelle je passe des heures et qui aurait besoin d'une nouvelle assise mieux rembourrée !

11 juin - 1

7 juin 2020

Défi de Virginie-23/52 - symétrie

Aujourd'hui, chez Virginie, c'est le jour de la leçon de photo, avec la composition symétrique. J'avoue qu'il m'a fallu recadrer mes photos, j'ai un don pour les prendre de travers. Mais j'ai essayé de trouver la symétrie lors de notre grande balade de vendredi en bord de mer (ce qui aurait été idéal pour le thème de dimanche dernier !)

7 juin - 1

Je ne me souviens pas avoir déjà vu cette esplanade aussi déserte ! Plus de manège, de camions de glaces ou croustillons, de centaines de promeneurs, il faut dire qu'il ne faisait pas chaud et que le vent soufflait fort. Quelle incroyable libération, que de pouvoir y marcher !

7 juin - 2 

Pour une symétrie parfaite, il aurait fallu avoir les deux tours de part et d'autre de l'arche,
mais il m'aurait fallu prendre une centaine de mètres de recul (et me retrouver au beau milieu du bassin !)

7 juin - 3

La ville de mon enfance, bien quadrillée, m'a valu de me perdre très souvent, par la suite,
étonnée que toutes les rues ne se croisent pas à angle droit.

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