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attraper le temps qui file…
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14 janvier 2024

52/2024 : sucré

Ce dimanche, Virginie nous propose un thème gourmand, avec le mot "sucré". Je n'ai pas eu trop de mal à trouver ! 

Mercredi, j'ai confectionné quelques calissons pour l'amie qui nous avait invités le vendredi, j'ai eu du mal à les façonner, ma pâte était plus collante que d'habitude, peut-être parce que j'arrivais à la fin du pot de melon confit, qui trempait donc dans son sirop.

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Et nous dégustons un par un les succulents macarons offerts par nos amis dimanche dernier.

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Ce message est programmé : normalement, j'ai survécu à une nuit sous la temte par des températures négatives, une grande première (mais quelle idée d'avoir renoncé au dortoir !), j'ai prévu le matelas gonflable, des plaids, deux sacs de couchage, une bouillotte, bonnet et chaussettes… je vous raconterai.

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11 mars 2011

Le printemps n'est pas loin !

Et c'est bien agréable… du coup, je suis un peu prise par le jardin ces jours-ci : j'ai retourné tout le parterre au pied de mes rosiers pour semer un mélange de fleurs qui devrait m'éviter de désherber, dégagé mes pieds de rhubarbe envahis d'orties, commencé à nettoyer le coin des fraisiers… tout ceci prend pas mal de temps, j'ai encore 15 tuniques africaines à coudre pour dimanche, mais j'avance petit à petit les projets en cours. Je ne peux rien montrer avant le 15 car c'est un défi, donc il faudra patienter encore un tout petit peu, mais sachez que je prépare aussi le tuto de la sacoche de collégien (en ligne mercredi j'espère).

Bon, et pour vous faire patienter d'ici là :

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Quand je vous disais que le printemps arrive !

19 mars 2011

Une couture pour le Japon

En attendant de pouvoir me remettre au travail (journée musicale : cours et diverses répétitions le matin, concert l'après-midi, fête familiale demain), je vous envoie chez Kallou !

Elle a créé un patron de Daruma (= figurine à vœux, au Japon) très mignon, une adorable petite boule de poils dans son enveloppe rouge à oreilles. Il est possible d'acheter soit le patron, soit le kit si vous en savez pas où vous procurer les fournitures nécessaires, et les bénéfices seront reversés à la Croix-Rouge qui œuvre au secours des victimes des catastrophes qui se sont abattues sur le Japon.

buttondarumagrand

11 mai 2015

#52xmerci–18 : le toucher

C'est le thème proposé par Frenchlily pour la semaine qui vient de se terminer. Thème qui tombe à pic, car je sors tout juste de chez l'ostéopathe, ou plutôt de l'école d'ostéopathie qui s'est ouverte il y a peu près de mon bureau, une véritable bénédiction ! J'ai donc été mise entre les mains de deux étudiants (pas d'inquiétude : ils sont tous kinésithérapeuthes ou médecins à la base) qui ont étudié mon dos sous toutes les coutures, puis préconisé quelques gestes. Le professeur est venu vérifier le diagnostic et j'ai pu aprécier le toucher du professionnel aguerri : au lieu de palper, appuyer, il s'est contenté d'effleurer mes vertèbres. Il a ensuite laissé son élève corriger les positions, avant d'intervenir à son tour pour parfaire le traitement.

Quel cadeau de la vie que le toucher ! Les mains à la fois résistantes et sensibles, capables d'estimer la température d'un front ou de l'eau du bain d'un bébé, la qualité d'une étoffe, la consistante d'une pâte à pain, le degré de séchage des chaussettes, le parfait lissage d'un enduit, le besoin d'arrosage de la terre…

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22 mai 2015

#52xmerci–20

Le thème de cette semaine est la musique. Nos enfants semblent avoir hérité de notre oreille musicale, tous trois chantent juste et les filles ont choisi des instruments exigeants. Après des mois de flottement pour l'une et l'autre (Aurore a même demandé en milieu d'année à arrêter l'alto), elles ont repris le goût du travail ces dernières semaines (et Marie vient de valider son deuxième cycle !).

Il est un professionnel du son qui nous est précieux lorsque quelque chose ne va pas : le luthier ! Nous lui rendons visite, bien évidemment pour acheter les instruments nécessaires (en ce qui concerne l'alto, il faut en changer tous les 18 mois environ, on n'a pas encore inventé l'alto télescopique qui grandit avec l'enfant), mais également pour réparer les casses (à 7, 8, 9 ans, on est encore maladroite : le violoncelle est tombé trois fois, l'alto une seule fois, deux archets ont succombé également à des chutes de pupitre), ou procéder à de petits réglages qui améliorent le son, ou remêcher les archets.

J'ai toujours aimé entrer chez un luthier… l'odeur des bois, colles et vernis, les instruments suspendus ou posés de toutes parts, l'atmosphère si particulière. C'est intimidant également, jouer devant le luthier pour essayer un instrument est une véritable épreuve, quel que soit le nombre d'années de pratique (merci aux professeurs qui nous accompagnent pour les achats importants, alors qu'ils habitent si loin). Un peu médecin, un peu magicien, un peu artiste, voilà un métier qui m'aurait plu si j'avais été plus adroite à tailler le bois. Merci donc à notre luthier pour sa patience et sa disponibilité !

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(et une fois encore, je suis sortie de son atelier sans payer, après le nettoyage d'un archet dont la vis était récalcitrante)

* Examen décidé très tardivement, professeur absent depuis le début de mois – en congé de paternité – remplaçant très peu psychologue qui a bien "cassé" Marie lors du cours 8 jours avant et accompagnatrice qui doit se décommander au dernier moment, tout pour y aller dans la zénitude la plus totale ; au final, je n'ai pas pu arriver à temps moi non plus, ayant à me changer de la tête aux pieds après un retour à vélo sous un véritable déluge

 

 

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31 mai 2015

#52xMerci–21

Frenchlily a annoncé qu'elle mettait fin, pour sa part, à ce défi. Je vais essayer toutefois de continuer à suivre les thèmes proposés. Si vous souhaitez continuer avec moi (Anne, Loulou, Daphnénuphar ?), je vous propose de mettre votre lien en commentaire, je n'ai pas trouvé d'outil plus convivial pour l'instant (disons que Linky tool et moi ne parlons pas le même langage et que je ne comprends rien à ce que ce site raconte…*)

Le thème pour cette 21e semaine était "un de vos plus grands accomplissements". En ce jour de fête des mères (en France), ça semble évident, non ?

Même si le premier mot qui me viendrait à l'esprit est probablement fatigue plutôt que bonheur (mais celui-ci vient en second, rassurez-vous !), mes enfants sont ce dont je suis le plus fière. J'ai ressorti des archives une photo que j'aime beaucoup, un beau moment en famille, image de la complicité qui les lie depuis toujours (eh oui, les disputes sont plutôt rares entre eux).

Fouras

Rochefort, pont transbordeur, août 2004, une photo où aucun ne ferme les yeux ni ne grimace, rarissime !

 

*mais je suis preneuse d'explications en français ou du nom d'un autre site !

 

 

3 juin 2015

Ohé, ohé, matelot

Dans la série “je couds pour Paul” (non, rien à voir avec ses succès aux concours, simplement il y a eu des demandes de sa part — ce qui est notable pour un jeune homme de son âge), le hasard m'a fait trouver chez Toto ce jersey à marinière en cherchant le satin de coton pour la robe d'Aurore. Passons sur le vendeur qui ne sait pas ce qu'il vend : à ma demande d'une hauteur de motif, il m'a demandé quel métrage. J'ai donc mesuré le motif blanc+rayures (j'avais de la chance, la coupe commençait juste au début du blanc), ça faisait 75 cm mais il fallait acheter par multiple de 10 cm ! Il a donc entamé largement la bande blanche suivante… à ma dernière visite, il en restait un peu, coupé en plein milieu des rayures ! Bon, du coup, j'ai pu faire une marinière bien longue.

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J'ai pris le tee-shirt à col rond de Casual wear (histoire de continuer mon exploration de ce livre). Le jersey étant en 180 cm de large, je pensais donc pouvoir facilement couper le corps et les manches, mais c'était sans compter le rétrécissement au lavage : au final, j'avais 162 cm de large, j'ai donc rogné légèrement sur la largeur de manches et du corps, après vérification des dimensions sur un pull en coton du jeune homme. Seule modification : une parementure d'encolure, vu l'épaisseur du jersey, parementure qui s'est obstinée à rouler et ressortir et que j'ai dû coudre à points invisibles tout autour.

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Pour ce modèle, il fallait absolument aligner la première rayure, or les têtes de manches sont très peu arrondies sur ce patron. J'ai donc coupé un devant et un dos très courts (s'arrêtant sous la poitrine) et des manches courtes sur de l'intissé, tracé des rayures au feutre (je devais tenir compte de la hauteur de blanc en partant de la couture d'épaule), puis bâti et marqué l'endroit où devait se situer la rayure du haut sur la manche. Ensuite, un j'ai pu faire un léger ajustement à l'épinglage grâce à l'élasticité du jersey.

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 Le voilà paré pour l'été !

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5 avril 2021

Bonheurs de mars

Un mois de mars qui a débuté avec les dernières visites de l'infirmière à 7h et des activités que je pouvais reprendre peu à peu, de plus en plus longtemps. La fatigue de l'intervention qui s'effaçait, la reprise progressive du boulot. Et puis la visite au chirurgien, le feu vert pour me chausser et conduire de nouveau et le troisième confinement annoncé le soir-même. Le soulagement de ne pas avoir à remplir cette attestation de sortie, ma "phobie administrative personnelle", la douleur revenue jour et nuit, dès que mon orteil a commencé à bouger, le kiné qui va m'aider à me rééduquer, bienveillant et efficace, les quelques activités sociales que nous pouvons conserver avec ce confinement allégé, le temps qui se met au beau. Et pour terminer, la fermeture des lycées qui nous ramène Aurore pour "le mois des anniversaires".

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 1/ Au téléphone avec un collègue, je dois sortir pour avoir du réseau, assise au soleil c'est bien agréable, même si j'ai un peu froid. 2/ Je réussis du premier coup à mettre mon attelle de pied dans une position confortable. Du coup, je la garde toute la journée, tant pis pour le bas de pyjama ! 3/ Par tranches de 10 minutes, je viens à bout du sac que j'avais commencé à coudre et le résultat me plaît. 4/ Ma couture du jour est un échec… mais Marie ne m'en veut pas et continue à nous préparer des repas dignes d'un restaurant, chaque soir. 5/ Mon pied gonflant toujours dès que je reste debout quelques minutes, Guillaume me conduit à la pharmacie pour acheter des chaussettes de contention, que la pharmacienne m'aide à enfiler : soulagement immédiat ! 6/ J'aime avoir tous mes "petits" dans la maison, on s'active en cuisine pour préparer des crêpes. 7/ Des citrons offerts par nos voisins, directement venus de leur jardin du Portugal. 8/ Je peux enfin porter toutes mes chaussettes orphelines ! 9/ Un petit tour du pâté de maisons, pour profiter du soleil printanier et admirer les premiers arbres en fleurs. 10/ De passage au bureau, véhiculée par une collègue venue spécialement un mercredi pour cette petite réunion. 11/ Une petite heure de travail (je prépare tout doucement la vraie reprise), puis une sieste tandis que la tempête fait rage dehors. 12/ L'opération annuelle "récurrage des siphons de l'évier" est menée à bien, non sans efforts (2 jours de courbatures à la suite !) 13/ L'assemblée territoriale en présentiel, c'est tout de même beaucoup mieux (surtout quand le couvre-feu oblige à tenir l'horaire) 14/ Une sortie "jardinerie" avec Marie, heureusement qu'elle a le permis ! 15/ Les affaires reprennent, ou plutôt les urgences professionnelles commencent à arriver, juste quand je retrouve de l'énergie. 16/ Un dîner/réunion avec notre aumônier territorial, prévu en octobre et maintes fois repoussé. 17/ Je m'extasie chaque jour devant ma petite misère qui pousse à une vitesse incroyable. 18/ Visite de contrôle à l'hôpital, j'ai le droit de me chausser et de conduire (ce qui ne veut pas dire que je vais y arriver immédiatement)… un "déconfinement" personnel juste quand la région est reconfinée, mauvais timing ! 19/ Le mirabellier est couvert de boutons de fleurs (qu'il garde sagement fermés en attendant que les températures remontent). 20/ Une heure de chants et d'échanges autour de notre mission chez les scouts, puis un beau témoignage, une petite compensation du week-end Oméga annulé. 21/ L'abandon de l'attestation de sortie (ma phobie du confinement). 22/ Le troisième coup de fil est le bon : j'ai trouvé un kiné qui a de la place dès vendredi ! 23/ Retour surprise d'Aurore, dont la voisine de chambre est cas-contact, la voici à la maison pour le reste de la semaine. 24/ Par une belle journée printanière, je ressors mon vélo pour rejoindre la médiathèque. 25/ Un prélude de Bach au violoncelle qui enchante notre fin de journée. 26/ Les préparatifs de Semaine Sainte sont lancés, les consignes changent sans arrêt, la photocopieuse vient de trépasser mais on s'active dans la joie. 27/ Les Rameaux animés avec mon orchestre favori, suivi d'un concert… canapé, avec les voisins qui avaient également pris des places pour ce soir au théâtre. 28/ Premier atelier couture "zéro déchet" de l'Amap, une seule participante a pu venir, mais c'est un joyeux moment. 29/ Tests négatifs : Aurore va pouvoir retourner à l'internat ce soir (sa voisine de chambre était cas-contact) et Guillaume ne met pas en péril toute l'animation liturgique à venir. 30/ Séance de kiné (en discutant un peu de tout) douloureuse mais bénéfique. 31/ Le soleil qui brille, la douce chaleur, les chants d'oiseaux et le parfum des arbres en fleurs… une parenthèse printanière avant de retrouver l'hiver dans quelques jours.

 

4 avril 2021

Défi 52/2021 : ce que je déteste

Oh, plein de choses : avoir froid aux pieds, les manches qui redescendent quand j'ai les mains dans l'eau de vaisselle, les fausses notes, la pluie quand je suis dehors et qu'il fait 1 °C, être réveillée toutes les heures par des bouffées de chaleur, puis 10 minutes plus tard parce que je suis glacée, le vandalisme et l'incivisme, Voltage, les télédémarcheurs… et l'impression d'être Sisyphe devant le panier de linge sale, le rangement de l'entrée ou du garage, la poussière et les toiles d'araignées !

Franchement, comment est-ce possible de trouver cela en poussant le canapé, alors que j'avais fait le ménage à fond il y a un mois et que je passe l'aspirateur dans cette pièce une à deux fois par semaine ? Et en parlant de l'aspirateur, pourquoi le fil prend-il un malin plaisir à s'accrocher partout, à faire tromber des chaises, à se prendre dans le moindre obsatacle, voire dans ses propres roues, et à se débrancher tout seul quand je suis à l'autre bout de l'étage ?

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11 avril 2021

Défi 52/2021 : une légende

D'après la légende, la Bièvre doit son nom au castor (beber en celte, bièvre en vieux français).  Mais beber peut aussi signifier "brune", de la couleur de ses eaux.

Au XVIIIe siècle, cette rivière était aussi nommée "ruisseau des Gobelins", encore une légende que ces créatures, popularisées par Tolkien. Mais plus prosaïquement, ce nom de Gobelins fait référence à la manufacture de tapisseries parisienne : longue de 35 km, cette rivière va se jeter dans la Seine à Paris et c'est sur sa rive que s'installa, au XVe siècle, Jean Gobelin, le fondateur. Tanneries, teintureries, moulins se sont multipliés, au point que la rivière devint un véritable cloaque. À présent, elle est couverte sur la moitié de sa longueur, mais coule encore à l'air libre jusqu'à Antony.

Historiquement, la rivière prend sa source à la Fontaine des Gobelins, mais elle existe déjà en amont, traversant l'étang des Roussières. Voici toutefois la fontaine, un mince filet d'eau qui s'écoule même au plus fort de l'été : j'y suis descendue ce matin, ma plus longue marche depuis deux mois, au moins 1 kilomètre !

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13 avril 2021

Anniversaires confinés, saison 2

Elle devait passser cette journée à l'internat, nous lui avions donc préparé un petit colis surprise, en écrivant clairement les consignes (suite au calendrier de l'avent ouvert le 30 novembre).

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C'est donc à la maison qu'elle a découvert ses surprises, au fil de la journée, entre deux cours en visio. Et le soir, nous avions commandé notre menu au restaurant. Nous n'y sommes jamais allés et c'était vraiment bon, bien présenté. Mais évidemment, il faut faire la vaisselle ensuite…

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Samedi, nous avons continué la fête. Mais tout d'abord, il y a eu un petit bonheur imprévu : mercredi, une amie nous a fait part de la déception d'un jeune couple de fiancés, dont la demande de dérogation à la règle des 10 km pour la chorale prévue avait été rejetée. Quelques mails plus tard, c'était réglé, nous pouvions même leur jouer le canon de Pachelbel qu'ils avaient choisi comme musique d'entrée. Un mariage chamboulé et pluvieux, mais un mariage joyeux !

Le soir, les deux Paul nous ont rejoints, pour un festin japonais : soupe miso, salade de chou, brochettes, sushis et makis, tout ceci préparé maison (Paul, qui avait profité d'un passage chez le réparateur de vélo pour dépasser ses 10 km, s'est révélé expert dans la cuisson du riz et la confection des makis)

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C'est désormais une tradition : nous mangeons nos premières fraises (des gariguettes de Bretagne) à cette occasion, mais pour une fois, j'ai remplacé le fraisier par une version plus légère : je me suis inspirée de ce Paris-Brest façon fraisier mais, au lieu de la crème mousseline, j'ai garni mes couronnes de chou de ma crème habituelle, moitié crème pâtissière-moitié crème fouettée. 
Je n'ai même pas de photo avec les bougies !

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Une petite pause et on reprend jeudi pour le prochain aniversaire.

14 avril 2021

Petites coutures utiles

J'ai attribué à mon sac Chouette le rôle de sac à tricot (les anses sont un peu trop courtes à l'usage pour un sac d'hiver porté avec un manteau), mais les poches intérieures ne suffisaient pas pour ranger les petits accessoires. J'ai donc cousu une trousse pour mes crochets, mon crayon, mes anneaux marqueurs, ainsi qu'un carnet à aiguilles pour avoir sous la main de quoi terminer mes tricots. J'ai hésité à réaliser une belle pochette pour mes aiguilles circulaires, mais c'est un gros travail et la trousse en plastique fournie à l'achat me suffit pour l'instant, elle semble solide et sa transparence est un avantage.

Au passage, je remarque que le velours imprimé du sac est un peu terni, mais pas trop.

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Un autre ouvrage que je devais faire depuis longtemps : j'en avais assez, à chaque fois que je veux utiliser l'agrafeuse murale, de vider la caisse à outils pour y trouver les agrafes. L'emballage plastique de l'agrafeuse était en piteux état. J'ai commencé par sortir mes petites chutes de tissus résistants, puis j'ai désossé le vieux sac à dos de Paul, plusieurs fois réparé, qu'il avait fini par remplacer : il était équipé de multiples poches matelassées, élastiques de maintien, fermetures… que je ne voulais pas jeter.

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J'ai utilisé le compartiment à ordinateur pour la structure de ma pochette, ainsi que les élastiques qui y étaient attachés. J'ai cousu une grande poche pour l'agrafeuse, de petites poches et des élastiques pour les agrafes. Ma machine a un peu peiné sur les épaisseurs (toile + mousse + doublure, mais c'est passé.

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Pour fermer, un velcro et un élastique large qui entoure la pochette. Le résultat n'est pas du tout esthétique, mais ce n'était pas le but recherché, juste un rangement pratique et un peu de déstockage dans la lingerie.

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18 avril 2021

Défi 52/2021 : une icône

Icône, image, symbole… je suis totalement hermétique à la lecture des icônes de l'ordinateur (tout comme aux logos), j'ai mis des années à m'apercevoir que le symbole de firefox était un renard roux roulé sur lui-même ! Et puis mes logiciels professionnels changent l'icône à chaque nouvelle mise à jour, si bien que je me retrouvais, certains matins, à ne pas savoir sur laquelle cliquer (enfin, ça c'était du temps où mes logiciels étaient mis à jour, parce qu'avec mon vieil ordinateur de 10 ans, je commence à chercher les pédales sous le bureau pour le faire avancer un peu plus vite)

Enfin, ce qui est certain, c'est qu'en voyant mon bureau rempli d'icônes, je me dit qu'il est grand temps de faire le grand ménage de printemps ! 

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21 avril 2021

Anniversaires confinés, saison 2#3

J'ai eu une merveilleuse journée d'anniversaire !

Il y a deux ans, alors que j'augurais mal de cette journée, j'avais eu droit à une succession de belles surprises. Cette fois, c'est ma sœur qui a ouvert le bal en m'annonçant, il y a 15 jours, qu'elle arriverait chez nous ce jour-là car elle passait le CAPLP le lendemain. Je ne l'avais pas vue depuis Noël 2019 ! Puis Paul a décidé que l'on fêterait en famille l'anniversaire de Marie dimanche midi et envisagé de rester les deux jours suivants, si l'on pouvait fournir une connection internet de qualité à Alice pour travailler. Comme j'étais en vacances, je lui ai cédé mon bureau, assez proche de la box pour un branchement filaire. Avec Guillaume et Marie en télétravail et Aurore qui ne cesse jamais vraiment de travailler, nous étions, ce lundi, dans un parfait espace de co-working où Paul et moi avons joué les Happyness Managers, garantissant du café chaud à toute heure, un repas équilibré prêt à midi pile; nous avons mis la table et sommes allés à la chasse aux billets de train — bonne idée, nous avons découvert que l'entrée principale de la gare était fermée pour travaux !

Dès qu'elle a terminé sa journée, Marie s'est enfermée dans la cuisine (où elle avait déjà pas mal œuvré la veille) et distribué le travail à ceux qui la rejoignaient, une fois leur ordinateur éteint. Je suis restée sagement à l'étage fermant mes yeux et mes oreilles à toute cette agitation. Aurore s'est chargée de l'entrée, présentée comme un café gourmand : soupe froide de carotte-coco-curry, feuilletés tapenade, cookie tomate séchée-fêta et financier figue-chèvre. 

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Puis des magrets de canard à l'orange avec purée maison et enfin, le magnifique (et délicieux) gâteau confectionné par Marie : génoise, croustillant chocolat, crémeux pomme-tatin, mousse chocolat au lait et fine couche de crêpes dentelle. Bravo ma fille !

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Après le déballage de quelques cadeaux, ma sœur et moi avons passé près d'une heure à trier de vieilles photos de famille et, avant d'aller au lit, j'ai reçu un mail très attendu… j'en reparlerai plus tard. Je me suis couchée enchatée de ma journée et plus encore de savoir la maison pleine de ceux qui me sont chers.

 

25 avril 2021

Défi 52/2021 : Pâtisserie

C'est désormais la tradition : pâtisser chaque samedi (ou dimanche, si j'ai manqué de temps). Pas plus, même si l'on s'accorderait bien une part de gâteau tous les jours, depuis que nous sommes cantonnés à la maison.

Les anniversaires sont passés, les pâtissières se sont surpassées (ou pas), revenons aux bases : une tarte, avec les dernières mirabelles du congélateur, sur une pâte brisée toute simple, juste un petit fond aux amandes et semoule pour absorber le jus des fruits. Si nous sommes raisonnables, il en restera pour demain…

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Petite anecdote : en pensant à cette photo, j'ai feuilleté avant-hier le vénérable livre de pâtisserie de ma Mamie et j'ai hésité à préparer des cygnes à la crème… mais j'ai préparé un peu trop de pâte à choux ces temps-ci.
La seule fois où j'ai réalisé cette recette qui me faisait tant rêver petite, au moment du montage, Paul avait mangé toutes les têtes des cygnes ! Nous avons donc été réduits à manger de simples choux à la crème.

2 mai 2021

Défi 52/2021 : Mouarf

Aujourd'hui, c'est Gilsoub qui a choisi le thème : Mouarf (un truc qui vous a amusé, fait rire…) 

Ce n'est pas facile de mettre en image ce qui me fait rire, comme la petite blague familiale (incompréhensible hors contexte : « Alice, tu es une saucière ») qui nous a fait pleurer de rire, les filles et moi, à en perdre le souffle durant plusieurs minutes, alors que Guillaume nous regardait sans comprendre.

Cet après-midi, nous avons essayé de garder notre sérieux pour enregistrer un petit morceau de musique. Notre programme habituel a été respecté : 1/3 de discussions et disputes, 1/3 de musique (sans garantie d'absence de fausse-note) et 1/3 de fous rires, très problématiques pour le flûtiste, en espérant que cela fera rire les destinataires de ce petit délire familial.

2 mai - 1

 

3 mai 2021

bonheurs d'avril

Un mois contrasté : le printemps qui montre le bout de son nez mais des températures polaires, quelques festivités familiales en petit comité, de très bons moments, mais de mauvaises nouvelles dans notre entourage. Un mois avec notre étudiante à la maison, quelques similitudes avec le printemps 2020, un peu plus de libertés mais une certaine lassitude qui s'installe. Un mois bien rempli, très actif comparé aux précédents, et qui se termine avec la maison en chantier une fois de plus : repeindre les toilettes, ça semblait facile et rapide mais non, finalement… surtout quand on oublie de calculer la quantité de peinture nécessaire ! 

3 mai - 1

1/ Le retour d'Aurore, qui venait à peine de regagner l'internat après sa semaine d'isolement. 2/ Une semaine de marathon à préparer les messes de la Semaine sainte, prévoir les repas et décos de Pâques, finaliser toutes les urgences du boulot (mais pourquoi les urgences arrivent-elles toutes ensemble ?) et relire les travaux de Marie ; ouf, je suis arrivé au bout ! 3/ Un après-midi à bricoler et cuisine avec "mes" filles. 4/ Une belle journée de Pâques, malgré le réveil à 5h15 (pour la vigile) : nous avons bien mangé, profité les uns des autres, fait des réserves de chocolats. 5/ Un jour de repos bien mérité, un délicieux gigot, encore du chocolat (il faut bien lutter contre ce froid polaire !) 6/ Une panne de courant qui touche toute la ville, heureusement après la journée de travail et avant la tombée de la nuit, nous fait mesurer à quel point nous sommes démunis dans ce cas. 7/ Un nouveau petit tricot commencé pour occuper mes mains devant le film du soir. 8/ Un tour au magasin de tissus avec Aurore qui voudrait une robe. 9/ Les petites surprises qu'Aurore découvre au fil de la journée et notre menu du soir, d'un restaurant où nous n'étions jamais allés, un délice. 10/ Le retour de Paul pour 24h, cette participation impromptue à un mariage et le dîner d'anniversaire, préparé avec mes deux grands. 11/ Un cours de photo dispensé par Paul, puis l'aventure d'aller marcher seule un petit kilomètre. 12/ Comment ne pas pleurer devant Les filles du Docteur March ? 13/ Voir Aurore se donner tant de mal pour broder un cadeau pour sa sœur, entre deux fiches ou devoirs. 14/ Le sous-bois couvert de jacinthes, quelle merveille ! 15/ Pour changer, l'anniversaire de Marie se fête autour d"une raclette (non mais franchement, c'est quoi cette météo ?) 16/ Un dernier effort, un envoi de fichier et je suis en vacances. 17/ J'aime bien quand je termine un livre juste au moment de récupérer le suivant à la médiathèque. 18/ Deuxième repas d'anniversaire de Marie, avec Paul et Alice, qui restent quelques jours. 19/ L'une de mes meilleures journées d'anniversaire de toute ma vie. 20/ Nouvelle journée dans l'espace de co-working, où je joue les Happyness Managers avec Paul. 21/ Une petite heure à papoter avec ma sœur, plus détendue que ce matin après avoir passé son oral, avant qu'elle ne reparte vers sa Normandie. 22/ Il y avait longtemps que je ne m'étais pas accordé le droit de lire un roman entier dans la journée (Chanson douce) en laissant de côté mes tâches habituelles, pas si urgentes après tout. 23/ Une parfaite journée printanière, les oiseaux chantent à tue-tête. 24/ L'atelier couture de l'Amap : ma grande table remplie de machines (5), chutes de tissus et accessoires, une joyeuse ambiance et le plus grand désordre, le but n'étant pas d'être productives mais de passer un bon moment. 25/ Le barbecue est sorti de son hibernation. 26/ Bien après tout le monde, nous découvrons la série Lupin. 27/ Le moment où l'on choisit et achète la peinture est toujours enthousiasmant (forcément, la suite l'est un peu moins…) 28/ L'arrivée de mon cadeau d'anniversaire (que je n'ai pas le temps de déballer tout de suite) 29/ Il y a des jours que l'on préfèrerait oublier… j'ai à peu près réussi mon enduit au plafond, ça compense ? 30/ J'essaye ma robe presque terminée et elle me va parfaitement, il ne manque  qu'une dizaine de degrés en plus pour l'étrenner. 

9 mai 2021

Défi 52/2021 : Thé ou café ?

Virginie pose la question ce dimanche. Mais pourquoi choisir ? Pour moi, c'est thé ET café : deux grands tasses de thé au petit déjeuner, puis, plus tard, un café en milieu de matinée (pardois deux si je travaille, avec en plus une thermos de thé sur le bureau : j'ai toujours soif). Et un autre café à midi, suivi d'une ou deux tasses de thé vers 17h. Cela ne m'empêche nullement de m'endormir et la cause de mes réveils nocturnes est toute autre. 

Une tasse de porcelaine blanche de Limoges pour le thé, des mugs anglais pour le café (bon, pas sur cette photo), et dans les tasses, du café équitable, préparé sans filtre ni dosette. Quant au thé, du vrac bien évidemment, mais pas de grands crus japonais, simplement un thé noir ou vert parfumé (vert aux agrumes, oolong chataîgne, à l'amande, aux épices, citron ou fruits rouges…) et du thé vert torréfié pour accompagner nos repas japonais. Le tout sans sucre depuis quelques années, même si parfois, ça me manque encore.

 

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16 mai 2021

Défi 52/2021 : Arbre au printemps

J'ai pris la photo il y a quelques semaines, notre cerisier n'avait pas trop souffert des gelées matinales :

16 mai - 1

Depuis, des milliers de mini-cerises sont tombées au sol ; chaque année, je me dis que la récolte sera moindre, chaque année je suis surprise de la générosité de cet arbre, alors j'en donne, je fais des confitures et des fruits au sirop.

20 mai 2021

Pour une future voyageuse ?

Peut-être que Toscane voyagera en Italie… en attendant, elle sera elle aussi équipée de sa trousse à petites affaires. Le message d'Aline est arrivé à point nommé : « Est-ce que vous venez bientôt au Havre ? Jaimerais une trousse pour Toscane, si possible comme celle d'Aliénor ». J'avais suffisamment de tissu fleuri et de lin, et quelques jours pour broder et coudre cette trousse.

20 mai - 120 mai - 2

20 mai - 3

Nous nous sommes donné rendez-vous sur la plage et il n'a même pas plu !

20 mai - 4

28 mai 2021

Enfin !

Dès que j'ai été prioritaire au vaccin, j'ai tenté de trouver un créneau, j'habite à côté du plus grand vaccinodrome de France, naïvement, je pensais que ce serait facile, hop, hop en deux clics (comme dans les pubs) et ça a été un cauchemar : les créneaux qui disparaissent au moment où on clique et quand, par chance, on a réussi à en bloquer un, on clique sur le 2e RV et "votre demande n'a pas pu aboutir", suivi de la page "Aucun rendez-vous n'est disponible pour le moment mais de nombreux créneaux vont être mis en ligne dans les jours à venir. Vous pouvez également prendre rendez-vous dans un autre lieu de vaccination". Tu parles ! J'avais l'impression de jouer à un jeu vidéo où il faut être le plus rapide, et visiblement, je ne l'étais pas. Quant aux "autres lieux de vaccination", c'était pareil, sauf à aller à 150 km (et devoir y retourner pour la 2e injection ?).

J'ai passé quelques heures d'insomnies à me dire que si je n'arrivais pas à avoir mon RV avant le 1er juin, c'était raté pour moi, impossible de lutter contre des petits jeunes sur-entraînés au jeu (en vrai, je suis persuadée qu'il y a eu, durant cette période, un robot qui prenait des RV automatiquement, du genre de celui-ci, que j'ai fini par installer sans résultat). Et puis un soir à 22h45, surprise : plein de créneaux qui restent affichés plus d'une seconde, le rêve ! La date ne m'arrangeait pas vraiment, mais je n'ai pas tergiversé. Mardi matin, à 9h05, j'arrivais au vélodrome (ça m'aura donné l'occasion d'y aller au moins une fois).

28 mai - 3

 

Je n'ai presque pas attendu : deux minutes dans le couloir d'accès où quelques chaises à peine étaient occupées

28 mai - 1

 

Puis quelques minutes, le temps de remplir le questionnaire (vous aussi, vous avez oublié d'inscrire votre nom en haut ?)

28 mai - 1 (1)

 

Un bref entretien avec un médecin, puis une jeune pompière m'a piquée, j'ai ensuite été guidée vers le secrétaire médical qui m'a remis mon attestation, m'a rappelé la date de la deuxième injection, puis m'a demandé d'attendre 15 minutes dans la zone de surveillance. 9h35, je peux sortir !

28 mai - 2

J'ai eu mal au bras dans la soirée puis durant 24 heures (après, j'ai eu à l'autre bras, à force de tenir une rampe de spots à bout de bras, mais c'est une autre histoire)

 

 

 

27 janvier 2019

Projet 52 de Virginie #4

Le mot de la semaine est "enfantin". Voyons, qu'est-ce que j'ai gardé de mon enfance ?

Mon humeur qui se met immédiatement au beau fixe dès qu'il commence à neiger.

La peur du noir (mais le plus souvent, j'arrive à la surmonter).

De la musique, des chansons dans ma tête, toujours.

Le goût pour les nounours en guimauve (je résiste, je dois en acheter une fois tous les deux ans)

L'habitude de lire plusieurs livres à la fois (Balzac dans le train et le soir au moment de m'endormir — ce n'est pas pour Balzac mais pour la practicité de la liseuse que je n'ai pas besoin de tenir à deux mains — les écrivains américains pour les siestes du week-end — en ce moment : zéro page — et les autres au rythme de quelques pages par jour, dès que je peux trouver un moment. Il fut un temps où je pouvais totalement m'abstraire de ce qui m'entourait : un jour, tout le camping m'a cherchée, appelée, pendant des dizaines de minutes… j'étais dans la minuscule salle de bains de la caravane, un livre sur les genoux, les oreilles sourdes à mon prénom crié au-dehors. Comme dans cette phrase de Boris Pasternack, décrivant Lara à la bibliothèque : « Il la voyait de trois quarts, presque tout à fait de dos, elle lisait avec passion, comme les enfants ». À présent, une conversation un peu forte dans le train suffit à me faire perdre le fil de ma lecture. Mais perdre le fil de l'histoire du livre abandonné depuis plusieurs jours, jamais !

27 janvier

 

30 janvier 2019

Mon Everest à moi

Il me faisait peur, ce carré G6. J'avais commencé la petite étoile centrale l'année dernière, je ne l'avais pas trop mal réussie et… je m'étais trompée de couleur pour le centre ! J'avais décousu, sauvé deux des côtés (les autres n'avaient pas résisté à l'opération), j'avais recommencé mais eu quelques déboires. Finalement, je m'y suis remise, sur quelques jours, j'ai accumulé les erreurs (en inversant deux côtés à la fin, j'avais un hexagone déformé à la place d'un carré) mais j'ai fini par obtenir un résultat assez satisfaisant (je sais, il y a des décalages de la grande étoile).

31 janvier - 1

Et puis j'ai terminé un carré commencé pendant l'été 2018 (vu de près il n'est pas très réussi…)

31 janvier - 2 

Celui-ci aussi a été cousu cet été

31 janvier - 7

Et j'en ai cousu quatre autres

31 janvier - 331 janvier - 6

31 janvier - 531 janvier - 4

J'avais dit 52 carrés par an… j'en ai cousu 31 en 2017 et 3 en 2018, si je veux voir la fin de ce plaid avant ma retraite, je vais devoir redresser la barre ! Comme je me perdais un peu dans mes tissus bleus, je les ai triés : dans le bac à chutes, ceux qui ont été cousus deux fois, puis d'un côté ceux qui ont servi à coudre un carré (à ré-utiliser donc) et de l'autre ceux qui n'ont pas encore servi. Un vrai gain de temps au moment de faire mon choix (faire correspondre la taille du motif ou l'épaisseur  du tissu aux découpes du carré et éviter que le tissu choisi jure ou ressemble trop à ses voisins est un véritable défi parfois).

Je me suis fixé comme priorité de remplir les lignes trop vides (M par exemple) :

Dear Jane

 

 

 

7 février 2019

Le tour du monde des soupes #16

Après notre amie slovaque, nous avons reçu le parrain d'Aurore qui est d'origine portugaise, qui m'a parlé de la soupe qu'il a souvent mangée en hiver : le caldo verde.

Je n'ai pas trouvé de chou kale, qui semble le plus proche du chou cavalier de la recette originale, mais comme je ne voue pas une grande passion au chou kale, que je trouve très coriace, je me suis rabattue sur un chou bien vert et bien frisé. En revenant du marché, j'ai déposé le sac dans mon bureau et je suis allée déjeuner. À mon retour, la pièce était pleine d'aleurodes qui se posaient sur nos écrans, le vélux, les appliques ou nos visages. J'espère que cela signifiait que le chou était dépourvu de pesticides… il a passé le reste de l'après-midi au coin dans le couloir, devant une fenêtre. Mais ces bestioles ont résisté à l'eau vinaigrée et au brossage, et elle s'envolaient encore sous mon couteau !

Notre hyper a ouvert un grand rayon "produits du monde" où j'ai trouvé un authentique chouriço (pas du tout pimenté).

J'ai voulu également préparer un pain broa, en utilisant le programme "pain rapide" de ma machine pour le pétrissage. Pour la première étape, tout allait bien, j'ai mélangé la farine de maïs et l'eau bouillante et laissé reposer une petite heure comme prévu, puis j'ai ajouté les autres farines, l'eau et la levure, mais j'ai oubié de débrancher la machine à la fin du pétrissage… lorsque je suis descendue une heure plus tard sortir ma pâte pour la façonner en boule et l'enfourner, la cuisson était déjà bien entamée ! J'ai donc obtenu un pavé (« La seule différence avec une brique, c'est que vous appelez ça du pain ») pas du tout présentable, très dur en surface mais néanmoins parfaitement mangeable, surtout en le trempant dans la soupe, ce qui était le but initial. 

6 février1

Le midi, nous avions mangé un velouté de champignons mais personne n'a râlé.

 

 

11 février 2019

10 du 10 : V comme…

V comme Valentin, nous a dit J'habite à Waterford, et ce n'était pas évident au premier abord de trouver des mots en V. Notez que je n'ai pas cédé à la facilité en photographiant, au hasard, mon violon, celui d'Aurore, ma viole ou le violoncelle de Marie, qui chante de nouveau parfois dans la maison pour notre plus grand bonheur  (en vrai, c'est parce qu'aucune de mes filles n'a voulu coopérer : elles ont trop de travail, ont-elles dit).

Comme je publie le 11, en raison du projet de Virginie, vous aurez 11 photos (ah, mais ce sera pareil en mars, alors ?)

V comme Vitaminée. Dès que Sécotine a publié la recette de cette tarte aux agrumes, j'ai décidé qu'elle agrémenterait notre déjeuner dominical (et j'en ai salivé d'avance pendant 3 jours)

11 février - 1

V comme Voilà peut-être une éclaircie ? (bon, elle a duré 15 minutes à peine, le temps de me décider à sortir sans manteau)

11 février - 5

V comme Volaille. Vendredi midi, entre collègues nous nous interrogions sur la composition du plat de volaille de la boulangerie voisine. Dinde ou poulet ? Et nous avons découvert que le lapin, en tant qu'animal de basse-cour, peut être considéré comme une volaille, bien que la définition du Larousse soit claire : « Oiseau élevé dans une basse-cour ou selon les techniques de l'aviculture ». Ce dimanche, c'est un bon poulet bio élevé par Charles, en plein air, à quelques kilomètres de chez nous.

11 février - 9

V comme Vide ? Non, notre chambre n'est pas vide, nous avons replacé le lit, les chevets et la commode, les vêtements sont restés dans le placard, il ne manque plus que les cadres au mur, alors d'où vient cette résonnance ? Le nouvel enduit, la peinture fraîche renvoient-ils plus les sons que la couche d'apprêt qui couvrait les murs depuis l'arrachage du papier ? (en tout cas, c'est bien plus lumineux… quand il fait clair évidemment)

11 février - 2

V comme Vapeur, avec le repassage de la semaine. Vous remarquerez que depuis un an, je suis repassée au bleu, mon fer rose pailleté n'ayant fonctionné que 4 ans.

11 février - 10

V comme Vent : troisième tempête en 10 jours, ça a soufflé fort de nouveau, les chemins sont jonchés de branchages, voire d'arbres. Je vais devoir rebrousser chemin.

11 février - 6

V comme Véhicule, notre fidèle voiture rouge qui se repose la semaine (notre moyen de transport est le Vélo) mais n'a pas chômé ce dimanche : 8h, conduite d'Aurore au point de RV (passons sur la demi-heure qui a suivi, parce qu'elle était toute seule, qu'elle n'avait pas le numéro de l'organisateur (tu as son nom ? Oui, il s'appelle Lucien… grrr), que la responsable de l'aumônerie ne répondait pas (à cette heure-là, tu m'étonnes), enfin à 8h35, les autres sont arrivés et ils sont partis pour l'hôpital), 9h départ pour animer la messe, 10h30 passage à la supérette parce qu'on ne survivra pas une journée sans oignons, 11h récupération d'un objet acheté sur le bon coin, 11h20 petite virée au magasin de bricolage, 12h30 récupération de la visiteuse d'hôpital, le tout sous la pluie. 

11 février - 8

V comme Viburnum-timus, le laurier-tin qui nous offre ses boutons roses, au milieu de l'hiver.

11 février - 7

V comme Vieux, très vieux même cet objet que je viens d'acheter pour trois fois rien et dont je reparlerai plus tard : l'annonce disait XVIIIe siècle.

11 février - 3

V comme Vitres sales, et ce n'est pas cette semaine que je vais les nettoyer !

11 février - 4

V comme Violet, ma couleur que déteste mon appareil photo, la couleur du découd-vite avec lequel je termine cette chemise (pour ouvrir les boutonnières).

11 février - 11 

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attraper le temps qui file…
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