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attraper le temps qui file…
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17 février 2019

Projet 52 de Virginie #7

Ce qui nous lie (lit)

En principe, rien ne nous lie : ils bénéficient, à plus ou moins long terme, d'une aide alimentaire. Nous n'en avons jamais eu besoin, même dans nos difficiles débuts de jeune couple d'étudiants. Ils ont, pour la plupart, quitté leur pays. Nous nous sommes à peine éloignés de notre Normandie natale. Cette soirée est une rare occasion de sortir de leur quotidien. Nous aimerions limiter un peu nos activités extérieures. Ils ne savent pas où ils seront logés dans quelques semaines. Nous sommes bien installés, dans une maison qui est désormais complètement à nous.

Mais ce soir, nous avons partagé un bon moment, comme chaque année. Cette fois, c'était un peu exceptionnel car la banque alimentaire fêtait ses 20 ans. Il y a eu des chansons, reprises en chœur, des jeux pour les enfants, quelques discours, des contes (avec la musique de Vivaldi), un repas où chacun avait apporté ses spécialités (mais point de poulet au gingembre cette année, Simone n'était pas là), un bal. Il y avait des petits et grands enfants, nombreux, des mamans seules, de jeunes couples dont le bonheur se lit dans les sourires (ceux-là, on espère ne pas les revoir l'an prochain), des familles que l'on côtoie depuis bien trop longtemps pour avoir l'espoir de les voir devenir autonomes, d'autres qui sont passés de l'autre côté et sont désormais bénévoles, la chorale dirigée par cette dame qui ne parlait pas un mot de français à son arrivée…

17 février - 1

 

Notre association avait, lors de sa création clairement affiché ses objectifs : « Cette association a pour objet de collecter, de faire connaître, de promouvoir et de partager danses, musiques, chants traditionnels et arts populaires de France, d'Europe et plus généralement du Monde. Elle a pour buts de créer, de renforcer le lien social, de favoriser les relations intergénérationnelles, de rapprocher des personnes de différents milieux et de différentes cultures. Elle a pour vocation d'être accessible à tous et de lutter contre les exclusions. » On y est presque, non ?

 

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20 février 2019

Lasagnes de courge épinards-chèvre

Il y a longtemps que je n'ai pas participé à un défi chez recettes.de.defi-lasagnes-revisitees
Ce mois-ci, les lasagnes revisitées sont à l'honneur et voici une recette que je fais de temps à autre,
légère et végétarienne.

Il vous faut  :

- une courge plutôt pauvre en eau, butternut ou potimarron, de belle taille
- de quoi la couper en tranches : une trancheuse à jambon solide si vous avez la chance d'en posséder une (la nôtre a 27 ans, elle a tranché beaucoup plus de pain, fromage à raclette, ou légumes que de charcuteries, mais elle a souffert dans l'opération), ou un grand couteau
- 450 g d'épinards en branches déjà tombés (surgelés par exemple)
- 150 g de chèvre frais
- 75 cl de béchamel (prenez votre recette favorite, pour moi c'est 30g de beurre, 30g de farine, 15 cl de vin blanc, 30 cl de lait et 30 cl de bouillon de légumes)
- 100 g de cerneaux de noix
- un peu de gruyère râpé

Épluchez votre courge, coupez-la en deux pour retirer les graines, puis coupez-la en tranches de +/- 0,5 cm d'épaisseur. C'est le plus difficile de la recette, je pense qu'il vaut mieux recouper la courge en deux et faire des tranches plus petites.

19 février - 119 février - 2

Égouttez soigneusement vos épinards (décongelés si nécessaire). Préparez votre béchamel habituelle (si vous avez un appareil qui le fait à votre place pendant que vous vous battez avec la courge, profitez-en). Hachez grossièrement les cerneaux de noix.

19 février - 3

Mélangez les épinards, le chèvre frais et les noix avec les 2/3 de la béchamel.

19 février - 4

Placez une première couche de tranches de courge dans un plat, recouvrez d'une couche d'épinards, puis continuez… ce sont des lasagnes, vous savez faire. Terminez par des tranches de courge, puis versez le reste de béchamel. Parsemez de gruyère râpé et enfournez pendant 45 à 50 minutes à 180 °C.

19 février 5 - 119 février - 6

Je n'avais laissé cuire que 40 minutes et les tranches du dessus étaient encore un peu dures. Mais celles du dessous étaient bien fondantes. Nous avons mangé ce plat avec une salade de scarole-endives-mâche-poire et crottin de chèvre, c'était un délice !

19 février - 7

Et Marie a une fois de plus fait saliver ses collègues en mangeant les restes ce midi.

24 février 2019

Projet 52 de Virginie #8

Au programme ce dimanche : source de stress.

J'ai hésité à photographier ma montre, parce que j'ai toujours détesté être en retard. Les bouchons, ce soir, sur l'autoroute. Un panneau à la gare avec "train retardé" "train supprimé". Mais ma source de stress préférée, la voici :

24 février - 1

Parce que depuis qu'ils sont nés, je m'inquiète : pour un pleur, une poussée de fièvre, une chute. Pour le résultat d'un examen ou d'une affectation scolaire. Pour un entretien de stage. Pour un téléphone qu'ils ne décrochent jamais. Pour un trajet en train, en voiture, à vélo, en avion. Pour un retard tardif le soir. Pour un retard tout court. Pour un SMS sans réponse. Pour un écrit, un oral. Pour le code, puis le permis, puis sa première sortie seul avec la voiture. Pour une radio, une échographie, une analyse. Ne rayez aucune mention inutile, les sources de stress sont fournies automatiquement dans le kit bébé, avec la culpabilité et les réveils nocturnes.

Mais aussi avec l'amour inconditionnel, la joie immense des premières fois (et des suivantes), la fierté maternelle, la satisfaction d'avoir à peu près mené à bien cette grande aventure, jusqu'à maintenant.

27 février 2019

Le tour du monde des soupes #18

Eh oui, malgré le temps radieux, nous mangeons toujours des soupes. Si l'on peut oublier manteaux, gilets et chaussettes l'après-midi, les petits matins et soirées sont toujours hivernaux !

Direction l'Algérie, avec une Chorba Frik. Je me suis permis, comme toujours, quelques petites variantes par rapport à la recette (outre les tomates en boîte, évidemment) : je n'avais pas d'agneau à cuisiner (à part un gigot), pas envie d'aller exprès à la boucherie, alors comme je passais au magasin de surgelés, j'ai pris des boulettes kefta que j'ai réchauffées au four. Et j'ai triché en ouvrant une boîte de pois chiches. J'ai trouvé du frik chez notre épicier algérien si gentil (je ne vais plus que rarement dans son magasin de fruits et légumes, que je frénquentais autrefois chaque mercredi, quand l'école de musique était tout à côté). Je pensais lui acheter aussi du pain à la semoule, mais il n'en avait pas, alors je l'ai confectionné moi-même, en le cuisant à la poêle, à feu doux.

24 février - 224 février - 3

Paul s'est préparé des boulettes végétariennes délicieuses, avec des lentilles corail cuites, de l'oignon haché, du raz-el-hanout, curcuma et paprika, un œuf et de la chapelure (dosage aproximatif jusqu'à obtenir la consistance souhaitée) qu'il a cuites sur une plaque huilée au four. Je les ai terminées deux jours plus tard avec un couscous (c'était notre semaine algérienne).

24 février - 1

 

1 mars 2019

Bonheurs de février

Février a commencé en hiver et s'est terminé dans un printemps trop précoce. Les trois premières semaines ont été intenses, Aurore a enchaîné répétitions, concerts, exposé, finalisation du TPE, nous n'avons pas chômé non plus et les vacances scolaires ont été bienvenues pour mettre un frein à toutes nos activités en soirée et retrouver un peu d'énergie. 

28 février - 1

1/ Aurore nous fait sortir de notre zone de confort, par exemple en allant écouter une lecture de l'Illiade en grec ancien/français dans un espace magnifique, mais pas chauffé. 2/ Un après-midi au chaud, à l'abri de la tempête, et une soirée crêpes, c'est la chandeleur ! 3/ Et ce midi, la raclette tant réclamée. 4/ Je réalise que mon travail actuel (chercher des titres en danois/suédois/finnois/allemand) va bien brouiller les pistes de Google à mon sujet. Je me demande ce que je vais recevoir comme publicités prochainement ! Et accessoirement, cela me donne une envie folle de visiter le Danemark. 5/ Ma sensation du devoir accompli, celle que j'éprouvais en sortant des contrôles au lycée : les courses sont faites et rangées et il n'y a rien de prévu ce soir. 6/ Le peintre a terminé notre chambre, j'ai bien travaillé pour le TPE d'Aurore et l'examen médical est parfait. 7/ Cette recette, réalisé à quatre mains avec Marie, est un pur délice. 8/ Paul est revenu de la fac avec 90% de son sublime brownie (j'avais essayé de le persuader en vain hier que tout ne rentrerait pas dans sa boîte…) 9/ Changer de clé, de voix, d'instrument, de diapason tout au long de la journée… ça entretient le cerveau, non ? 10/ La tempête dehors, le confort à l'intérieur et une journée bien remplie. 11/ Le reste  de la tarte aux agrumes pour finir mon déjeuner. 12/ Voilà une semaine d'hiver comme je les aime : le givre du matin, un peu de brume, du soleil, le foid sec, de la lumière enfin ! 13/ Je m'arrête devant le passage piéton (normal…), le monsieur me remercie avec force sourires, pouce en l'air, s'incline la main sur le cœur : j'ai rarement l'occasion de rire seule en voiture. 14/ Il flotte dans l'air comme une impression de printemps qui me rend légère (enfin, jusqu'à ce que je me fracasse le tibia contre un petit plot en acier sur la place du théâtre) 15/ Un concert dynamisant de musique Klezmer, avec les jeunes en première partie (qui n'ont eu que 6h de masterclass pour intégrer un nouveau style musical) et une fin à 22h, appréciable en cette période de grande fatigue. 16/ J'ai cru ne pas survivre à cette journée, mais tout s'est bien passé : cours et répétitions, concert pour les petits de l'éveil musical, accompagnement au pied levé pour les chansons, puis le conte (on m'a demandé la veille de jouer des extraits les 4 saisons de Vivaldi !), le repas, le bal. 17/ Allez, on met la dernière main aux bricolages du TPE (quel beau travail !). 18/ Dernier concert avant les vacances, après les tout-petits violonistes et trompettistes, nos 3 altistes préférés jouent chacun un morceau (et nous, leurs 3 mamans, sommes toujours fidèles au postes et fières d'eux). 19/ Enfin, le livre qui avait perdu son éditeur il y a 13 mois vient d'en retrouver un (et la maquette est faite, juste quelques ajustements à prévoir); et je retrouve le confort du travail en binôme avec mon collègue J. 20/ Journée en duo avec Paul, qui prend spontanément le relais du ménage pendant mon cours d'aquagym, m'accompagne pour récupérer notre nouveau composteur et met au point une délicieuse recette de boulettes de lentilles. 21/Je crois que j'ai réussi le meilleur couscous de ma vie (mais comme j'ai dosé au hasard, comme toujours, j'ai peu de chances de recommencer). 22/ La prof d'anglais a ouvert hier la boîte du TPE (ça devait l'intriguer) et n'a pas pu s'arrêter de lire jusqu'à la fin… c'est le meilleur qu'elle ait jamais lu, a-t-elle dit aux filles. Le travail paie. Elle a dû se coucher à 2h, la pauvre. Ce n'est pas très sympa pour les autres groupes qui seront forcément comparés à l'équipe de choc. 23/ Fou-rire, pendant la répétition de l'ensemble baroque, alors que nous tentons désespérément de jouer des cromornes, même notre hautboïste jette l'éponge au bout d'un quart d'heure. Et le soir, poulet yassa préparé par les Spuntini pour leurs familles et donateurs, c'était une belle soirée. 24/ Petit déjeuner avec le parrain de Marie, venu exprès pour le repas, déjeuner chez un cousin, puis une balade au soleil : un bon dimanche. 25/ Après les travaux bouclés vendredi, j'enchaîne directement (et efficacement) sur les nouveautés. Je me réjouis de ne pas avoir de longues semaines de chômage technique, pour une fois. 26/ Il fait si beau qu'Aurore et moi décidons d'aller à l'hypermarché à pied, avec le caddie à roulettes (bon, évidemment, on ne fait pas toutes les courses de la semaine d'un seul coup). 27/ Un mercredi où j'ai rayé toutes les lignes de ma liste est à marquer d'une pierre blanche. 28/ Après quelques péripéties, je pars en vacances en ayant envoyé mes fichiers un peu partout : à eux de travailler maintenant ! 

 

 

 

 

 

 

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9 mars 2019

Les carrés de 2019 #2

Si seulement je pouvais continuer sur ma lancée… J'ai adopté une méthode tranquille : comme chaque carré est maintenant très long à coudre, je décalque le motif et je choisis le tissu, puis je couds quelques étapes chaque jour, si j'ai le temps. Parfois, je fais la moitié d'un appliqué à la main le matin, avant de partir travailler. Finalement, au bout de la semaine, j'ai cousu un carré, parfois deux. Il y en a dont je suis satisfaite :
9 mars - 49 mars - 79 mars - 59 mars - 6

D'autres un peu moins :

9 mars - 19 mars - 29 mars - 3

Mais ça avance !

Dear Jane

 

 

 

10 mars 2019

Projet 52 de Virginie #10

Ce qui me fait réfléchir ? 

J'ai beau avoir un travail "intellectuel", je n'ai pas trop à réfléchir, les automatismes sont bien installés, sauf lorsque les évolutions techniques me demandent d'inventer et mettre en place de nouvelles méthodes de travail : ce fut le cas lorsque les épreuves numériques, ont remplacé les ozalids sur papier, lorsque les auteurs ont cessé de me renvoyer leurs corrections au stylo rouge sur tirage papier pour insérer des commentaires dans un pdf. Mais le plus souvent, "ça roule tout seul" et les tendons du poignet et de l'épaule sont plus sollciités que le cerveau.

La couture… ah oui, les explications de certains patrons sont tellement succintes, ou leurs méthodes de montage tellement tordues que je dois réfléchir pour aller au plus simple. Mais là aussi, l'habitude prend souvent le dessus.

L'organisation familiale ? Effectivement, j'ai souvent l'impression d'être seule à réfléchir pour cinq, pour que chacun puisse être au bon endroit au bon moment, puisse manger à temps, ait tout ce dont il a besoin. C'est une part de mon cerveau qui est dédiée à cela, elle fonctionne la plupart du temps de façon autonome et mes multiples listes sur papier ou dans mon petit carnet y contribuent.

Quand il me reste un peu de temps et d'énergie, c'est la lecture, je crois, qui me donne à réfléchir, surtout ces 15 derniers jours avec ce livre prêté par une amie : réfléchir sur ce qui est essentiel dans une vie, comment un homme peut se recentrer sur le principal : se reconstruire, et mettre à contribution son entourage pour y réussir, à quel point le temps n'a pas la même valeur, la même durée pour tous, à quel point nous sommes faits de nos souvenirs, comment les cinq sens peuvent venir à notre aide dans les moments les plus pénibles…

10 mars - 1

Il y a quelques livres qui m'ont profondément marquée, celui-ci en fera partie.

17 mars 2019

Projet 52 de Virginie #11 : bon appétit

Virginie nous demande, ce dimanche, ce qui nous met en appétit. Bon, déjà, je vais aller courir un peu pour avoir meilleure conscience en me mettant à table ce midi. Parce qu'hier soir, entre le stage et le bal irlandais, il y avait "auberge espagnole" et que les calibeurdains sont des gens gourmands et gourmets. Certes, il fallait reprendre des forces (qu'est-ce qu'on a transpiré !), mais j'ai cédé à la tentation des gâteaux tous plus appétissants les uns que les autres. Et ce midi, nous déjeunons chez des amis avec nos musiciens normands. La dernière fois, c'était un repas italien, de l'apéritif (Spritz et antipasti) au dessert (tiramisu), en passant par le vitello tonnato.

Aujourd'hui, ce sera cari ou rougail, je parie pour un punch planteur (nous avons prévu d'y aller à pied), j'ai donc préparé un dessert de circonstance:

17 mars - 1

mais nul doute que les photos, chez Virginie, nous donneront faim !

7 avril 2019

Projet 52 de Virginie #14 : en avril…

ne te découvre pas d'un fil ! Cette année encore, avril prolonge les giboulées de mars : lundi, j'étais en robe légère, mardi, j'avais remis manteau, écharpe et gants, mercredi, la grêle est tombée et cet après-midi, j'admirais mon cerisier croulant sous les fleurs, pieds nus et sans gilet.

Et ce n'est pas nouveau, je n'ai qu'à me remémorer le déluge glacé l'an dernier à La Haye le 30 avril, ou bien ce 26 avril 2016 où la neige tombait à gros flocons sur le jardin fleuri (tellement vite que mon appareil photo n'a pas réussi à les capter)

7 avril - 1

8 avril 2019

Bonheurs de mars

Un mois de mars bien occupé par les préparatifs de la fête de samedi dernier, ce qui explique mon retard de publication : le secret devait être bien gardé ! Ceci dit, la principale intéressée ayant été très (pré)occupée elle aussi par le concours général de français, son oral de TPE, l'oral blanc du bac et de nombreuses heures supplémentaires à l'école de musique, elle ne serait peut-être pas passée sur ce blog, mais j'ai préféré jouer la prudence, j'ai fait bien assez de gaffes par ailleurs !

5 mars

1/ La pluie tombée pendant la nuit a nettement réduit le niveau de pollution : mon mal de gorge s'est envolé ! 2/ J'apprécie ce samedi de vacances, sans aucune contrainte. 3/ Opération "composteur" menée à bien, en équipe et dans la bonne humeur, juste avant l'averse.  4/ Aller le matin à la jardinerie acheter un pot, puis s'apercevoir à 14h qu'il n'y a plus de terre de bruyère… heureusement, Paul est prêt à m'accompagner au supermarché (à pied), ça rend la corvée moins pénible. 5/ Sortie parisienne avec Aurore, fatigante mais dépaysante. 6/ C'est fou comme le fait de devoir utiliser une marche sur deux dans l'escalier (pour cause de re-vernissage) permet d'améliorer la mémoire : d'habitude, si je descends pour faire 3 choses, j'en oublie 2 une fois en bas. 7/ Malgré mon erreur de choix de patron (il était prévu pour du jersey), cette robe, cousue en deux petits jours, va parfaitement à sa destinataire. 8/ Une journée à l'aiguille en fête avec deux couturières du forum, que ça fait du bien ! 9/ Premier repas à 6. 10/ Finissons ces vacances par une séance de cuisine à quatre mains avec Marie : nems et essai de gâteaux cambodgiens. 11/ Une pile de mails un peu affolés m'attend, de mon auteur danois : j'avais oublié de le prévenir de mes vacances, mais après quelques échanges, nous repartons sur de bonnes bases. 12/ Les problèmes de train, c'est bien quand je dois justement terminer un livre pour le rendre à sa prépriétaire. 13/ Bricolages secrets avec l'aide de Paul. 14/ Tous les invités à la fête ont répondu et le thème semble leur plaire. 15/ J'y allais un peu à reculons, pour rendre service à un ami, mais cette heure de méditation est bénéfique, au milieu de tant d'agitation. 16/ Un beau bal de la St Patrick, beaucoup de jeunes au stage, à un moment, j'ai compté 60 danseurs ! 17/ Déjeuner entre musiciens et danseurs, nous sommes tous fatigués mais heureux de passer ce moment ensemble. 18/ L'arrivée d'un livre tant attendu, je désespérais de le voir un jour en chair et en os imprimé et relié ! 19/ Coup de fil de ma kiné pour avancer le rendez-vous, ça tombe bien, j'avais vraiment mal à l'épaule. 20/ Avec le beau temps, je retrouve le courage d'aller à la piscine à vélo. 21/ Le jeune homme qui pensait avoir loupé son premier entretien d'embauche est demandé d'urgence pour ce poste (mais il ne peut pas se libérer tout de suite). 22/ Tout s'arrange au mieux : demain, je dois conduire Aurore à un week-end à 3 km du magasin où j'avais besoin de passer. 23/ La soirée crêpes me remet un peu d'aplomb après tant de stress et de fatigue. 24/ Quel temps radieux ! 25/ Voilà le rhume, heureusement je n'ai rien de très important cette semaine. 26/ J'adore préparer des fêtes surprises ! 27/ Nous avons une fois de plus bien avancé et la demoiselle nous a facilité les choses en passant l'après-midi à la bibliothèque. 28/ Après une dernière péripétie (mais où trouver des ballons de baudruche un jeudi matin ?), les filles ont passé leur oral de TPE, la prof d'histoire a pleuré. 29/ Visiblement, je ne suis pas seule à préparer un anniversaire dans le plus grand secret. Bon, je vais rester sourde et aveugle durant les 3 prochaines semaines ! 30/ Encore une douzaine de danses guidée par un bon danseur et je maîtriserai la mazurka (merci à L. pour sa patience) 31/ Les doux pleurs d'un nouveau-né, les petits bruits qui me sont encore familiers, ce beau petit visage endormi : j'ai fait la connaissance de Pauline (17 jours).

 

11 avril 2019

10 du 10 : printemps

 

Humeur printanière, C'est le thème du nouveau défi proposé par J'habite à Waterford

J'ai oublié qu'on était le 10, hier matin ! Et cette journée a été bien peu printanière : je suis allée courir dans le froid, puis en voiture à la piscine car il pleuvait fort, l'eau n'était pas très chaude et j'espère ne pas avoir attrapé un rhume, une petite sieste pour récupérer ce ce début de semaine chargé (et pouvoir tenir les jours suivants, qui ne le sont pas moins), ce n'est qu'en fin d'après-midi que j'ai pensé à faire un tour de jardin, qui a bien compris que le printemps était là.

Les orchidées ont apprécié leur rempotage, j'attends les fleurs !

9 avril - 1

Le cerisier, lui, n'a jamais été aussi fleuri. S'il donne autant de cerises qu'il le promet, on pourra largement partager avec les merles.

9 avril - 2

 Les tulipes, bizarre, sont toutes devenues jaunes…

9 avril - 3

Et la menthe a déjà repoussé, avec un bon mois d'avance

9 avril - 4

En avance aussi, l'oranger du Mexique (il devrait fleurir en juin !). Il s'étale de plus en plus, je vais devoir le remetttre dans le droit chemin.

9 avril - 6

 Ouf, l'érable du Japon de Marie a a passé l'hiver sans dommage

9 avril - 7

Et les hortensias, desséchés par la canicule, refont quelques pousses.

9 avril - 9

 Les jolies pervenches commencent à tapisser le sol

9 avril - 8

 et les soucis ont envahi le bas du mur

9 avril - 10

 Peu d'espoir cette année encore d'avoir des pommes, ces fruitiers ne se plaisent pas chez nous.

9 avril - 5

15 avril 2019

Chez Honeydukes

Qui dit Harry Potter dit confiseries, des chocogrenouilles découvertes par Harry lors de son premier voyage en Poudlard Express, à la sortie à Pré-au-Lard, en passant par le chocolat comme remède aux détraqueurs.

J'avais déjà un moule à grenouilles. Pour éviter les difficultés de moulage de la première fois, je me suis équipée de chocolat de couverture dans un magasin spécialisé (300g ont suffi pour deux plaques) et j'ai "allégé" les confiseries en y enfonçant un nounours en guimauve, une fois le fond du moule garni de chocolat fondu.

16 avril - 7

Les couine-souris, comme toujours, sont de la marque Trolli. Les dragées surprises de Berthie Crochue viennent de chez Hema (mais on en trouve des "vraies" chez Monoprix, notamment. Rien que la iste des goûts — en plus du prix prohibitif — m'a dissuadée d'essayer). Les gommes de limaces se trouvent partout.

16 avril - 1 (1)

Rien d'extraordinaire non plus pour les vifs d'or : de petites ailes de papier de soie collées au dernier moment sur les rochers.

16 avril - 1

Ma tentative de mouler de la jelly dans des moules à mini-cannelés a été cette fois un échec total : impossible de démouler les blocs sans les briser. J'avais traduit la recette (du portugais) sans réussir à déterminer s'il fallait utiliser un sachet de poudre ou les deux, en tout cas, mes deux aides-cuistots ont bien ri !

Quand au pub des Trois-Balais, il servait des boissons variées et, bien sûr, la traditionnelle bierraubeurre.

16 avril - 516 avril - 6

Après quelques essais, j'ai retenu cette recette :

Un coulis de caramel préparé avec 200g de sucre, 12 cl de crème liquide et 50 g de beurre, un peu de mélange 4 épices, de cannelle et de gingembre, un verre de cidre doux, puis dans le mélange refroidi, le reste du cidre jusqu'à remplir la bouteille : on obtient alors une mousse abondante qui tient plusieurs jours.

16 avril - 2

16 avril - 4

(on n'a pas fini de manger de la citrouille !)

17 avril 2019

On a fêté…

… en temps normal, la radio est éteinte vers 19h, la télévision jamais allumée avant le film du soir, nous aurions pu donc ignorer ce qui se passait à quelques kilomètres. Mais c'était le jour des ses 21 ans, elle regardait donc souvent son téléphone.

Pourtant, nous avons coupé, pour un moment, avec l'actualité, et fait la fête quand même. Cette année, elle souhaitait un bò-bún, j'avais pu préparer quelques ingrédients la veille et les nems sont sortis du congélateur (depuis ma soirée du 5 avril, avec 105 nems préparés avec les 3 filles de l'équipe compagnons, qui m'a valu de sentir la friture pendant 8 jours, j'ai un peu de mal à refaire de la cuisine vietnamienne…)

15 avril - 2

Pour ne pas changer, j'ai préparé un gâteau au thé vert et aux litchis ; je crois que je tiens la bonne recette, cette fois… mais j'ai fait un peu au hasard sans rien noter ! 

15 avril - 4

Paul s'est chargé de la déco japonaise

15 avril - 1

Et elle l'a trouvé trop beau !

15 avril - 3

Puis elle a ouvert ses cadeaux

15 avril - 9

dont un particulièrement gros ! Elle ne pouvait plus travailler sur son portable léger, impossible d'y faire des travaux graphiques de grande ampleur, alors il a fallu aller voir chez les joueurs… plus puissant, beaucoup plus lourd et un peu gadget, avec les touches qui changent de couleur (mais ça peut se désactiver, heureusement, parce que c'est agaçant)

15 avril - 515 avril - 6

 

Comme elle ne travaillait pas ce jour-là, elle a préparé des douceurs pour ses gentils collègues. Ça travaille dur à l'agence, mas ça fête beaucoup aussi : presque tous sont du mois d'avril ! 

15 avril - 8

 

18 avril 2019

Le tour du monde des soupes #21

Ce mardi matin, j'ai fait l'inventaire de ce qui qui devait être mangé, du panier de l'Amap : le demi chou vert et la demi courge butternut (nous partageons un panier avec des voisins) n'attendront pas plusieurs jours. Quelle aubaine, donc, que cette recette de soupe contenant ces deux légumes, plus quelques ingrédients en réserve au congélateur (la morue, peu apréciée de mes jeunes), et justement associée à la Semaine Sainte !

« La fanesca est une soupe traditionnelle de l'Équateur, typique de la Semaine Sainte, à base de morue, de citrouille, de courge, et de divers légumes secs. Elle est enrichie de fromage et de lait…

En fonction de la région de l’Équateur où la fanesca est préparée, la soupe comportera certaines variations spécifiques à la géographie de la région. Dans l’ensemble, le plat est préparé, partagé et apprécié par un grand nombre de familles équatoriennes lors de cette fête spéciale de la Semana Santa (Semaine Sainte).

La soupe est composée de 12 grains différents (représentant les 12 apôtres), de morue (représentant les ichthys ou “poisson de Jésus”), tous cuits dans du lait et agrémentés d’oeufs durs et de raviolis à la pomme de terre (molo). »

Pour les 12 grains, le compte n'y est pas tout à fait : petits pois, lentilles, pois chiches, maïs, haricots blancs, fèves, lupins, cacahuètes… on peut y ajouter le riz ? Et varier les lentilles et haricots ?

En fouillant le placard, j'ai trouvé mes 12 graines : haricots blancs et rouges, lentilles vertes, corail et beluga, fèves jaunes et vertes, petits pois, lupins, arachides, pois chiches, maïs, ensuite il a fallu cuire tout cela, en groupant par temps de cuisson. La bouteille de gaz m'a lâchée en cours de route.

18 avril1

Je n'ai eu à acheter que le lupin, le rocou et un bouquet de coriandre.

J'ai eu beau diviser les ingrédients par deux, je me suis retrouvée avec des quantités qui ne rentraient dans aucune casserole ! Je n'ai pas pu mettre non plus les 2 litres de lait (déjà que mon litre a débordé dès que j'ai tourné le dos !).

18 avril218 avril3

J'ai rusé en remplaçant les cacahuètes moulues par du beurre de cacahuète (à ce stade, ça embaumait délicieusement dans ma cuisine) et nous nous sommes passés d'une bonne partie des accompagnements … optimiste, j'avais envisagé de frire une banane plantain et préparer des empanadas, mais… « Ce plat est réputé pour rassembler les familles, avec des membres participant à ce “travail d’amour” collectif qui nécessite du temps, de la patience et une grande variété d’ingrédients différents ». Vers 19 heures, en émiettant la morue, je me maudissais de m'être lancée là-dedans. Mais j'ai des dîners pour 3 jours.

18 avril4

Le résultat est très parfumé, très beau aussi, avec ces grains de couleurs variées (visuellement, l'ajout de haricots rouges est un plus) et très très copieux, une petite assiettée suffit. Le goût de la morue est très dscret : parfait pour les palais récalcitrants !

 

 

 

20 avril 2019

Pour changer des trousses…

… et pour que Pauline ne soit pas jalouse de sa grande sœur et de son grand frère, une banderole pour décorer sa chambre.

20 - 120 - 2

(toujours aussi pratique à photographier !)

20 - 1120 - 1020 - 9

20 - 820 - 720 - 620 - 5

et un petit lutin tout doux (et la lumière rasante du soir qui souligne bien les plis)

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Et à propos du grand-frère, qui est encore tout petit, samedi soir, en pleine vigile pascale, il m'a fait rire en disant à voix haute dans un moment de silence "Elle est longue, cette messe, quand même !”  (oui, oui, ça fait déjà 2h15, courage, il n'y en a plus que pour 45 minutes…)

 

 

 

 

 

21 avril 2019

Projet 52 de Virginie #16 : vitesse

La vitesse… pas celle de notre trajet de ce dimanche… 4h10 pour 200 km d'autoroute, record de lenteur battu, il faisait trop beau et les parisiens se sont jetés sur les routes vers Deauville. 

Mais celle du temps qui passe et qui accélère de plus en plus (vous l'avez remarqué vous aussi ?). Il y a 3 ou 4 ans, rentrant des 2 messes que j'avais animées, malgré un gros rhume, et prévoyant déjà une bonne sieste, j'avais trouvé ma maison remplie de voisins et d'amis, réunis pour mes 40 ans. Je n'avais rien vu venir.

Alors là, il doit y avoir une erreur !

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17 janvier 2023

Le questionnaire de DrCaso

 Mes réponses (de bonne heure, cette semaine !) au questionnaire du dimanche de Dr Caso. 

Question de Mme Chapeau : Êtes-vous plutôt du matin ou du soir ?

J'ai longtemps été du matin et certainement pas du soir : lycéenne, il arrivait que des camarades téléphonent à 21h30 pour avoir de l'aide sur un devoir de maths et mes parents lui répondaient que je dormais. Hélas, la vie sociale en région parisienne se déroule plutôt le soir, les réunions se terminent rarement avant 22h30, notre répétititon du lundi est encore plus tardive et les gens que je côtoie se couchent sans problème après minuit tous les jours. Depuis quelques années, cependant, je ne suis plus trop du matin non plus puisque je dors assez mal, fini donc le réveil quotidien avant 7h ! Il m'arrive fréquemment de me rendormir jusqu'à presque 8h, ce qui ne me pose plus trop de problèmes : je n'ai plus d'enfant à déposer à l'école, plus d'ado à presser le matin, je me prépare rapidement et j'ai (quand il n'y a pas d'incident, c'est-à-dire un jour sur deux) un train toutes les 5 minutes pour aller travailler, 35 minutes de porte-à-porte, plus un jour de télétravail où je peux sauter directement du lit à mon bureau, à 2 mètres (mais je préfère avoir déjeuné et être habillée et coiffée). Mais j'envie ceux qui n'ont besoin de dormir que 6 heures par nuit.

Quelle(s) boisson(s) détestez-vous ?

Tous les alcools forts, les sodas très sucrés… et l'eau sans calcaire.

Question de Narayan : Qu’avez-vous fait pour fêter vos 50 ans ?

Ah… le jour de mes 50 ans, c'était Vendredi saint et ça m'avait beaucoup contrariée. Finalement, j'avais eu une succession de surprises et de non-anniversaires très agréables. Mais si je prends la question au premier degré : je ne fais rien pour fêter mon anniversaire, je laisse faire mon entourage !

22 avril - 1

Question de Petite Ombre : Vous souvenez vous systématiquement de vos rêves ? Si oui, est-ce que cela vous dérange ou pas ?

J'oublie très vite mes rêves, je peux les raconter au moment où je me réveille, pas une heure plus tard. À part évidemment quelques cauchemars qui m'ont marquée…

À quoi ressemble votre week-end idéal ?

Du temps pour voir des amis, marcher ou courir, entretenir la maison et le jardin, faire quelques boutiques, une activité manuelle, un peu de couture, cuisiner, lire au coin du feu en hiver ou dans le hamac en été, faire la sieste… bref, mon week-end idéal dure au moins 3 jours ! (vous aussi, vous prévoyez toujours plein de choses pour le WE et vous êtes frustré de n'en avoir pu faire que la moitié ?)

 

3 avril 2019

Le tour du monde des soupes #20

Pour ne pas rester sur un échec, nous sommes partis au Mexique avec la Sopa azteca.

Il m'a fallu remplacer certains ingrédients introuvables :

Pour le queso panela, j'ai utilisé de la feta rincée plusieurs fois, comme la recette le suggère. Je n'avais pas de piments doux, alors j'ai mis deux petits piments séchés que nous avions rapportés d'Italie, je les ai enlevés en fin de cuisson et j'ai ajouté un peu de paprika. Enfin pour l'épazote (ou thé du Mexique), je me suis inspirée de sa description "à la saveur puissante, âcre et légèrement citronnée, mentholée et camphrée". J'ai mis deux feuilles de citronnier (surgelées) et de la menthe. Le céleri, la coriandre, l'origan et le laurier venaient renforcer les sauveurs du bouillon.

Pour limiter les matières grasses, j'ai juste passé un peu d'huile au pinceau sur les tortillas avant de les enfourner une dizaine de minutes.

Le résultat est surprenant : la tortilla à la fois croustillante et fondante, l'avocat que l'on n'a pas l'habitude de manger chaud, la douceur de la crème avec l'acidité de la tomate, le poulet effiloché comme dans le poulet bang-bang chinois. Nous nous sommes régalés.

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2 mai 2019

Bonheurs d'avril

Un mois d'avril contrasté, côté météo déjà avec du très froid et du très chaud, je suis passée plusieurs dans la même semaine de tee-shirt/sandales à manteau/écharpe/gants. Un mois chargé côté boulot, je me suis dépêchée pour terminer un livre dans les temps, mais finalement j'attends des nouvelles de la couverture (tant mieux, ça me donne le temps de tout vérifier), Marie a terminé son stage et j'ai un peu aidé à boucler son mémoire, Aurore a enchaîné les bacs blancs, rendus de dossiers, exposés… elle était épuisée le soir des vacances. Nous avons beaucoup fêté, beaucoup répété et chanté, profité à fond d'être encore tous les cinq à la maison. Mais le jardinage a pris du retard, je ne sais pas ce que j'arriverai à faire pousser au potager. Enfin, cette année, le muguet est juste à l'heure.

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1/ Nous faisons connaissance avec notre nouvelle ophtalmo, sympathique (c'est la cousine de notre voisine), ponctuelle et aux tarifs raisonnables. 2/ Aurore croyait avoir plein de caries, ouf, ce n'est pas le cas. 3/ Pff, pas facile de boucler les préparatifs quand l'héroïne de la fête a 12h de cours en moins… mais nous avançons. 4/ Ma lycéenne a brillamment réussi son oral blanc de français (avec le professeur le plus redoutable, en plus). 5/ Séance cuisine avec les Compatacle : 105 nems ! (je vais sentir l'huile de friture pendant des jours…) 6/ La fête, préparée de longue date, a été une pleine réussite. 7/ Après pas mal de rangements, entrecoupés d'une sieste, nous finissons le week-end chez nos voisins, à boire du champagne pour fêter la (re)naissance de leur petite-fille. 8/ C'est la première fois depuis longtemps que j'ai l'impression d'être en forme, même après le déjeuner. 9/ Joyeux aniversaire, Aurore ! 10/ Entrer la première dans la piscine vide, c'est comme entamer la neige neuve. 11/ Deuxième épreuve du livre bouclée, je suis toujours dans les temps. 12/ Ouf, la semaine se termine ! 13/ Je commence un cadeau de naissance, c'est toujours très plaisant. 14/ Je revois des abeilles. 15/ Malgré l'effroi, on fait la fête autour de Marie. 16/ La glycine refleurit. 17/ Un petit moment à flâner au soleil. 18/ Le marathon a commencé, jusqu'ici, tout va bien. 19/ Une journée qui promettait d'être maussade et contrariante, mais il fait un temps idyllique et ce petit restaurant était une belle surprise. 20/ Malgré la fatigue écrasante, on se laisse porter par la beauté de cette vigile. 21/ Le trajet est si ennuyeux que je retrouve mes réflexes d'autrefois pour occuper les enfants en voyage, et ils jouent le jeu. 22/ Les bons moments passent si vite ! 23/ Paul me fait la surprise d'une superbe décoration de gâteau (un cheese-cake préparé par Aurore). 24/ Déjà mercredi, elle sera courte, cette semaine ! 25/ De passage à la librairie (Aurore a encore une très longue liste de suggestions de lectures), j'aperçois le dernier tome du Retour à la terre, je vais en profiter pour relire les cinq premiers. 26/ Une journée sans contrainte aucune, même pas besoin de sortir (avec le temps qu'il fait, c'est plus sûr). 27/ La météo est épouvantable ! Nous pensons aux mariés du jour… et testons une nouvelle pizzeria pour nous récompenser d'avoir travaillé toute la journée sur le mémoire de Marie. 28/ Après quelques ruses de sioux pour passer le fichier de 42 à moins de 10 Mo (réduction des images une à une, essai de toutes les techniques de fabrication d'un pdf, logiciels en ligne…), Marie peut enfin envoyer son mémoire, dûment relu par tous ses collègues et moi-même. Les correcteurs accusent réception, ouf ! Et nous récupérons une Aurore enrhumée mais plus que ravie de son séjour à Taizé. 29/ C'est indéniable, Marie a préparé trop de coocies pour ses collèques. 30/ Sous le soleil et la chaleur (la météo est vraiment extrême, en ce moment), nous découvrons la coulée verte.

3 mai 2019

Coulée verte

Tant pis, les petits travaux de la maison et du jardin attendront quelques semaines de plus, il y avait urgence ce mardi à profiter du beau temps revenu. Nous sommes allés à la découverte de la coulée verte, une ancienne voie ferrée transformée en jardin. Départ juste derrière l'Opéra Bastille, on monte un escalier et… les bruits de la ville s'amenuisent.

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La végétation est variée… genêts roses, hêtre pourpre

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En prenant de la hauteur, on découvre la ville autrement : le charme d'un ensemble d'immeubles…

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Un bâtiment un peu étrange (ne dirait-on pas qu'ils se préparent à plonger pour un numéro de natation synchronisée ?)

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ou de petits jardins suspendus

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On passe de l'évocation de Versailles à celle de Grenade

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on traverse des jardins, dont celui-ci, équipé de fontaines d'eau pétillante

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Le viaduc devient fossé, on passe des tunnels

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Et nous voici déjà Porte de Montempoivre, la promenade peut ensuite se poursuivre dans le bois de Vincennes.

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Nous avons obliqué vers un atelier de tapisserie pour discuter de la rénovation de nos chaises, un excellent artisan mais… le prix du décapage-revernissage-rempaillage dépasse largement le prix de chaises neuves ! Si vous avez de bonnes adresses à nous communiquer, je suis preneuse ! Nos chaises de style merisier, en hêtre, sont en parfait état mais le vernis a complètement blanchi à la lumière.

 

 

 

 

 

 

 

 

7 mai 2019

Nancy… et les violons

Notre troisième jour de vacances promettant d'être moyennement pluvieux, nous avons opté pour la grande ville, avec un repli possible dans un musée. Retour donc Porte de la Craffe, Grande rue, Chapelle des Cordeliers ou Place Stanislas (“Pff, beaucoup trop de dorures”, a dit Marie). Une petit tour dans un quartier où nous n'étions pas passés cet été, rien d'inoubliable… je fais preuve toutefois d'une remarquable persévérance à prendre des photos penchées !

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Après un déjeuner dans un petit restaurant qui affichait complet cet été, nous nous réfugions au Musée des Beaux-Arts. Décidément, mes préférences vont aux peintres des XVe-XVIe siècles, puis aux modernes. Entre les deux, peu de tableaux trouvent grâce à mes yeux !

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Un peu d'école de Nancy…                        et notre plage de Sainte-Adresse par Dufy

Paul tente une géocache introuvable, puis en trouve une autre, minuscule, au pied d'une jolie maison. Nous terminons la journée par un petit détour par les côtes de Toul (avec évidemment une dégustation et quelques caisses pour remplir la cave)

 

Samedi, la neige est annoncée, tous aux abris ! Nous avons donc réservé la journée pour visiter le musée de Mirecourt, puis faire quelques achats. Mirecourt est la capitale de la luthrie française depuis le XVIe siècle, mais l'école n'existe que depuis 50 ans et le musée a été créé quelques années plus tard. On y trouve évidemment quelques violons, ainsi que d'autres instruments à cordes : guitares, mandolines. Rien à voir avec les collections des musées des instruments de musique de Paris ou Bruxelles, mais on peut aussi découvrir les étapes de la fabrication.

Commençons, logiquement, par l'épinette des Vosges

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Un magnifique violon ancien, ainsi qu'un archet particulièrement travaillé.

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Puis les différents états, des pièces d'épicéa et d'érable au violon… et du morceau de pernambouc à l'archet, en passant par les ingrédients secrets des vernis.

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Nous avons pu essayer un violon, un violoncelle et un alto fabriqués par les élèves de l'école de lutherie, expérience très intéressante pour Aurore qui avait essayé deux altos de Mirecourt du XIXe, lorsque nous cherchions à lui en acheter un.

À l'étage, quelques instruments fascinants : le nyckelharpa, le violon norvégien (et ses 4 cordes sympathiques passant sous la touche)

(pour écouter, c'est ici)

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l'oud

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Un film était diffusé : Ma vie de contrebasse, mais nous n'avions pas le temps de le regarder en entier, le musée fermait.

Sous une pluie glacée mêlée de neige, nous avons cherché un endroit pour déjeuner.

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Mais que vendent-ils au juste ?

Puis fait une mini-sieste dans la voiture, pendant que Paul cherchait une géocache (il est revenu bredouille, trempé et gelé au bout de 15 minutes). Nous étions à l'ouverture du musée de la musique mécanique et avons bénéficié d'une visite guidée pour nous cinq : des serinettes, inventées dans les Vosges pour apprendre aux canaris à chanter des airs à la mode, aux limonaires des manèges, des pianos mécaniques aux immenses orchestres automatiques, remplaçant 7 ou 8 musiciens, pour les bals, mais surtout infatigables et capables de jouer pendant des heures 7 jours sur 7.

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Nous avons pu nous essayer à tourner la manivelle de l'orgue de barbarie en rythme (pas si facile !)

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Ce musée comporte également un étage consacré à la dentelle aux fuseaux (qui n'a jamais été mécanisée dans les Vosges)

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Enfin, nous avons pu bénéficier d'une présentation du métier de luthier, par un élève du lycée Jean-Bastiste Vuillaume. Le voir tordre la table du violon pour montrer à quel point elle est souple nous a donné des sueurs froides. Il nous a présenté ses outils, les gabarits, les bois, c'était très intéressant, car le métier de luthier en ville est plutôt consacré à de l'entretien.

Les vacances se terminent, il est temps de remplir le réfrigérateur de Marie, de récupérer quelques objets devenus inutiles (sa couette d'hiver, les patins à glace) et de passer une dernière nuit ensemble, avant de la laisser à ses révisions.

9 mai 2019

Comme chez Mamie

Voyager à cinq, pour quelques jours, est devenu beaucoup plus facile depuis qu'un site qu'on ne nomme plus permet les locations entre particuliers. Quand nos enfants étaient petits, nous avions la solution de la chambre d'hôtel familiale : petits déjeuners à moitié prix, menu enfant au restaurant, voire pique-nique… nous avons aussi beaucoup fréquenté les chambres d'hôtes, puis moins, après notre séjour dans le Morvan où la chambre était située dans la maison de la propriétaire, sans véritable indépendance, et que nous avons dû finir l'après-midi au Flunch d'Avalon, après avoir épuisé toutes les ressources touristiques du coin par temps pluvieux.
L'hôtel… il nous faut au minimum deux chambres et les tarifs prohibitifs des petits-déjeuners, le fait de manger au restaurant midi et soir, rendent le séjour bien plus coûteux que la location, ça va pour une nuit ou des vacances en itinérance.
Les locations de vacances classiques qui vont du samedi au samedi riment avec avec routes surchargées.
Nous préférons donc, lorsque c'est possible, la location entre particuliers et nous avons eu des expériences très diverses : l'appartement ou la maison aménagé pour cet usage (Rome, La Haye, Bordeaux), avec une décoration plus ou moins soignée, des lieux un peu impersonnels, dans l'ensemble modernes et jolis, plutôt pratiques.
Le logement du propriétaire qui s'est expatrié, emportant une partie de ses meubles (Londres, Berlin) : décoration un peu disparate, parfois nous avons manqué d'équipements (surtout à Berlin), gestion un peu plus lourde car c'est un prestataire qui s'occupe de la location.
Cette fois, il s'agissait d'une maison de famille et à part quelques modernisations indispensables, elle est restée un peu figée dans le temps (avec des livres, des photos de famille…). Sur les photos du site, la décoration promettait d'être… vintage : la cuisine jaune, les gros imprimés fleuris partout (y compris au plafond !). Et pourtant, dès que je suis entrée dans cette maison, j'ai eu l'impression de retrouver mon enfance. Le parquet vernis du salon, les meubles art-déco, le canapé en bois recouvert de velours fleuri et le repose-pieds assorti (Mamie avait le même !), le tourne-disques.

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Puisque j'avais oublié notre matériel de base pour la cuisine, j'ai ouvert tous les placards et j'ai trouvé des pots d'épices qui m'ont rappelé tant de souvenirs !

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Le précieux petit bocal contenant les indispensables de la bûche de Noël

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Le buffet, et sa vaisselle de porcelaine (mais pas le renard)

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L'ombrelle-parapluie, en satin noir, doublée de fleurs dans les tons gris

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La salle de bains à trois portes, communicant avec les chambres (ça, c'était dans l'appartement Perret de mon autre grand-mère, une impression de passages secrets qui nous ravissait, avec mes cousins)

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Et puis, en ouvrant la petite armoire de toilette à la recherche d'un rouleau de papier, ce parfum… mais oui, il y avait même un poudrier entamé ! Je n'ai pas résisté à la tentation de l'ouvrir pour humer cette odeur.

Alors oui, la décoration était datée, il y avait quelques toiles d'araignées, les rideaux étaient un peu poussiéreux, la douche était exigue, mais qu'est-ce que je me suis sentie bien dans cette maison !

(et puis il y avait aussi un très bon piano, accordé, j'ai regretté de ne pas avoir apporté quelques partitions)

3 juin 2019

Bonheurs de mai

C'est important de noter ici les petits et grands bonheurs de mes journées, parce que si je fais le bilan de ce mois de mai, c'est plutôt déprimant : des proches qui vont mal, physiquement ou moralement, un décès (après une maladie foudroyante), un ordinateur cassé, la radiologue d'Aurore qui demande à me parler en privé (rien de vital, rassurez-vous, mais c'est très embêtant), le projet de camp de nos compas qui m'empêche parfois de dormir, tant ils semblent prendre certains points à la légère, mon thermomètre interne déréglé au point de me réveiller parfois toutes les heures. Et comme en avril, les températures qui ont joué au yoyo, accentuant la fatigue. Mais aussi Paul qui a trouvé (facilement) un CDI proche de la maison pour la rentrée prochaine, Marie qui valide ses partiels et Aurore… pareille à elle-même (un courant d'air)

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1/ Une journée parfaite : voyage sans problème, location agréable, temps splendide ! 2/ La bonne humeur persiste malgré la météo. 3/ L'un de mes tableaux préférés est dans ce musée, je l'ignorais; la peinture, c'est toujours mieux en vrai. 4/ Une sortie dans un pub à l'ambiance… animée. 5/ J'ai le cœur beaucoup plus léger qu'il y a huit mois, en laissant Marie dans sa chambre. 6/ Chocolat-framboises, c'est vraiment le duo gagnant. 7/ Une soirée détente, avec l'impression d'être déjà vendredi. 8/ Un dîner chez des amis, pour nous remettre d'un après-midi intense. 9/ Enfin une bonne nouvelle, parmi toutes les mauvaises qui pleuvent en ce moment ! 10/ La traduction en ligne est parfois surprenante (réponse du relecteur — que je ne connais absolument pas : « You save my day! Un gros bisou à vous ! ») mais c'est toujours bon signe quand mes interlocuteurs commencent à glisser quelques phrases en français dans leurs mails. 11/ Une joyeuse répétition de bal renaissance, suivie d'un joyeux bal folk. 12/ Enfin, le déluge s'est arrêté ! J'en profite pour acheter quelques jolis plants et rêver à nos futures récoltes. 13/ Quel soulagement lorsque le compacteur en action sous mon bureau depuis quelques heures s'arrête enfin (le sol, la table, le plafond, l'ordinateur tremblaient et mon niveau de concentration était proche de zéro— témoins les coquilles constatées le lendemain). 14/ Une recette à conserver : les pancakes aux épinards. Après le curry épinards-pois chiches, la salade betterave-épinards-orange, la pizza épinards-mozzarella-coppa, la tourte aux épinards, les jeunes feuilles d'épinards en salade… nous en sommes venus à bout (L'Amap, un sacerdoce !) 15/ Je teste deux nouveaux patrons : le premier (gratuit), à oublier, le second tombe impeccablement sans retouches ! Et je trouve le tissu idéal dans mon stock. 16/ Enfin, le professeur de musique de chambre a déplacé cette répétition du week-end de Pentecôte, qui mettait Aurore au supplice de devoir choisir entre deux projets essentiels pour elle (3 mois de pressions de part et d'autre). 17/ J'aurai terminé ma jupe pour la représentation, demain. 18/ C'était joyeux, quoique un peu désordonné, ce bal ! 19/ Enfin, voilà le potager installé pour l'été. 20/ Chaque matin, je fais un tour du jardin et je me réjouis des salades, courgettes, tomates qui poussent. 21/ Quelques mails et coups de fil pour faire remonter des problèmes (je suis bien remontée moi aussi, et ça soulage !). 22/ Aller à la piscine en jupe/tee-shirt/sandales, quel confort ! 23/ Grâce à un passage de J. (qui est à la retraite mais avec qui j'ai plusieurs projets en cours), mon gros travail du moment est bouclé et envoyé. 24/ Au marché, j'ai acheté les premiers abricots et melon de la saison (et des fraises, des courgettes, des tomates… je suis rentrée chargée comme un baudet) 25/ Mon pavot géant a fleuri, quelle merveille ! Et cette année, il a au moins 9 boutons, ça change de la fleur unique et éphémère des premières années. 26/ Un joli déjeuner ce midi, Paul qui a fait le ménage, une couture bouclée dans la journée, une réunion avec nos compas pour faire avancer leur dossier de camp : un beau dimanche. 27/ Une heure et demie de thé-papotage chez une amie. 28/ Une journée seule à la maison (enfin, avec Paul) pour bien avancer dans mes projets couture. 29/ Je récupère (avec retard) ma lycéenne enchantée de sa sortie sur les traces de la Grande Guerre. Tous les sujets d'étude d'histoire l'enthousiasment, ce sera difficile de faire un choix le moment venu. 30/ Un jour férié bienvenu pour se reposer, recevoir une amie à déjeuner, bricoler un peu. 31/ Nous jouons les touristes à Versailles : marché, expositions, restaurant corse (et retour à vélo sous le soleil).

10 juin 2019

Les carrés de 2019 #3

Semaine 23 et j'ai cousu 20 carrés cette année, j'ai presque rattrapé mon retard ! 

Un peu de tout : de l'assemblage avec ou sans papier et de l'appliqué, du "bien aligné" et du "un peu de travers", des points invisibles et d'autres un peu trop visibles… j'ai progressé pendant ces 3 ans mais les motifs sont de plus en plus compliqués.

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Dear Jane-2

11 juin 2019

10 du 10 : la lettre L

J'habite à Waterford nous demande ce qui commence par L, ce Lundi de Loooong week-end. Et je ne suis pas inspirée, pas du tout ! Rien ne commence par L aujourd'hui. Je vais devoir chercher parfois loin le Lien entre mes photos et le thème du jour, voire m'aider de ce Livre reçu à Noël.

11 juin3

L comme Lavande, qui a largement débordé de l'espace qui lui était imparti. Ça se déplace facilement, un pied de lavande ? Je la replanterais bien un mètre plus haut.

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L comme Labeur. Astreinte pour un gros projet à livrer mardi — c'était prévu — et gros imprévu vendredi, qui oblige l'équipe à y passer le week-end, voire les nuits.

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L comme Lecture, sieste après sieste, en 10 jours, j'ai bien avancé dans mon gros livre.

11 juin - 3

L comme Liquidation des restes sans que ce soit une punition : les fanes d'oignons, mixées avec un avocat trop mûr et le fond d'une barquette de fromage frais, sur des morceaux de la baguette d'hier, grillée, les chutes de pâte à pizza recyclées en gressins et un fond de bouteille de Pineau qui accompagne un melon pas terrible.

11 juin - 2

L comme Lourd, c'est normal pour un cale-porte, n'est-ce pas ? Un sac intérieur rempli de sable et un petit sac marin en chutes de tissus pour l'esthétique (celui-ci sera pour Dinard, probablement)

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L comme… Loupé ! Je voulais verser la purée de cerises dans le bac de la sorbetière mais j'ai sous-estimé la capacité des matières visqueuses à faire n'importe quoi.

11 juin - 7

L comme Laize. Je pensais avoir acheté un tissu en 150 cm, la laize ne fait que 138, mais je pense que je réussirai peut-être à caser un Datura en plus du chemisier prévu.

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L comme Liesse (j'utilise un dictionnaire de synonymes si je veux !) de la plus jeune, de retour du Frat où elle était en service (quand elle parle des "jeunes", ce sont les collégiens… deux ans de moins, ça fait une bonne différence)

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L comme dernières Lueurs du jour, nous sommes tous fatigués et nous n'attendrons pas la nuit pour rejoindre nos Lits.

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attraper le temps qui file…
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